
Les européistes rêvent que l’Europe suspendent les aides aux pays qui ne sont pas alignés sur leur idéologie libertaire :
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Les européistes rêvent que l’Europe suspendent les aides aux pays qui ne sont pas alignés sur leur idéologie libertaire :

C'est une version économique de la poule et de l'œuf : qui est responsable de la crise économique, les États ou les acteurs financiers, à commencer par les banques ? Deux de nos journalistes défendent chacun l'une des deux thèses(1), celle de la défaillance des politiques et celle de la culpabilité des banquiers. Les deux analyses se fondent sur des logiques très différentes il n'est pas surprenant que la plus interventionniste dénonce la passivité des États. Si l'on croit encore au politique, les gouvernements doivent en effet être tenus pour les principaux responsables de la crise actuelle. Reste à savoir de quel pouvoir dispose encore le politique dans le monde et dans le système international actuels. Les banquiers, somme toute, ont fait leur métier, qui consiste à gagner de l'argent, les gouvernants n'ont pas fait le leur, qui consiste à protéger les intérêts de leur peuple. Lorsque les gens de Goldman Sachs et les dirigeants grecs truquent les comptes de la Grèce, tous sont coupables, mais qui l'est le plus ? Il est vrai qu'aujourd'hui, Loukas Papadimos, qui était Gouverneur de la Banque de Grèce à l'époque où les comptes du pays furent truqués et qui occupa par la suite les fonctions de vice-président de la Banque Centrale Européenne (BCE), est devenu Premier ministre de la Grèce. Et que Mario Draghi, qui était vice-président pour l'Europe de Goldman Sachs à l'époque du truquage des comptes grecs, préside actuellement la BCE.
De la poule et de l'œuf, qui est le plus responsable ? Une chose est certaine, tout le monde n'y a pas perdu.

Rod Dreher, journaliste et écrivain américain, éditorialiste à The American Conservative, auteur de Comment être chrétien dans un monde qui ne l’est plus: le pari bénédictin, est interrogé dans Le Figaro sur les élections aux Etats-Unis. Extraits :
[…] Il faut encore attendre des données complètes avant de tirer des conclusions définitives, mais ce que je peux au moins dire c’est que le logiciel intellectuel de la plupart des journalistes et des élites, qui prétendent dire quelles doivent être les convictions politiques des personnes de couleur, est complètement obsolète. Les élites américaines sont enfermées dans une bulle épistémologique. Ces gens ne comprennent pas leur pays, ils le craignent et le détestent à la fois.
Face à un Président de la République qui s’est voulu pédagogue, Louis Fouché, médecin anesthésie-réanimation au CHU de Marseille et membre actif du collectif «Réinfo Covid», dénonce «une manipulation» et «une politique sanitaire actuelle injuste, inadaptée et disproportionnée».
https://fr.novopress.info/219461/%d1%81e-collectif-resistant-recuse-lutilite-du-reconfinement/
Un journaliste qui vote Hollande passerait presque pour être de droite ! Nos médias sont doublement soumis, à l'argent et à la pensée unique. C'est si confortable, la gauche…
C’est devenu classique ! Qu'il entre au bistrot ou chez un commerçant, le journaliste est accueilli par une boutade, pas toujours la même, mais qui, sur un ton entendu, signifie toujours la même chose. ces journaleux racontent n'importe quoi. Quand ils ne racontent pas simplement ce qu'on leur demande de raconter - quitte à prendre des libertés, façon record du monde du grand écart, avec la réalité. Cet « on », c'est bien sûr le système. Les éclats de voix entre politiques et média, c'est bien connu, ne sont là que pour épater la galerie. En fait, tout ce petit monde s'entend, dans la pratique, comme larrons en foire. Et pour cause; puisque, formés quasiment tous à la même école, les journalistes revendiquent une uniformité d'expression et d'idéologie. Façonnés par les mêmes « valeurs », ils expriment une pensée qui n'est pas même leur, une pensée unique, réalité intangible qui avait poussé l'hebdomadaire Marianne, en son temps, à évoquer « le clan des clones ». Contrairement à ce que l'on pourrait croire de média qui récusent avec véhémence l'idée d'appartenir à la presse « d'opinion », ces supports ne sont pas neutres. Ils véhiculent une bien-pensance fondée sur l'anti-racisme, le mondialisme, la repentance, etc. et le rejet de tout ce qui, de prêt ou de loin, pourrait ressembler à une tradition, forcément convaincue d'être réactionnaire.


Au moment où nous écrivions, en ce matin du 4 novembre (heure de Washington), Donald Trump devait au moins gagner quatre des États en suspens. Cependant que Joe Biden aurait besoin de la moitié d’entre eux pour empocher les 270 grands électeurs. Trump l’avait donc « emporté » avec le vote direct. Il semblait, en effet, qu’il ferait mieux que lors de son élection en 2016. Jusqu’à ce que, au cours de la nuit, le vote dit par correspondance en réduise considérablement la portée, ou inverse la tendance.

Depuis le début de cette année dominée par l’épidémie, des attentats islamistes ont eu lieu, d’autres furent déjoués, certains auteurs sont passés de la case “terrorisme” à celle de “maladie mentale”. Depuis le 25 Septembre et l’agression commise rue Nicolas-Appert près des anciens locaux de Charlie Hebdo, alors que se déroulait le procès des attentats de 2015, le rôle déterminant de l’islamisme dans les attentats que notre pays subit ne permet plus les faux semblants.
Le Coronavirus existe et il est normal de le combattre. Mais les oligarques se servent de cette lutte pour faire avancer leurs intérêts et leur vision du monde. Plus que la recherche de l’efficacité, c’est ce qui permet de comprendre la stratégie de Macron. Une stratégie du choc. Faire peur pour détruire. Faire peur pour déconstruire. Faire peur pour transformer. Explications avec ce texte de Jean-Yves Le Gallou.
1– Le coronavirus est apparu fin 2019. Fruit du hasard. Hasard naturel s’il s’agit d’une mutation franchissant la barrière des espèces. Hasard humain s’il est sorti accidentellement (ou non) d’un laboratoire d’expérimentation. Hypothèse prise aujourd’hui au sérieux par de nombreux scientifiques.