N’y aurait-il pas quelque chose de pourri, pas seulement dans le Paris olympique, mais dans le royaume de France ? N’en déplaise aux conservateurs, la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques ne fut pas seulement la célébration d’une déchéance, celle de la capitale, mais bel et bien d’un pays exsangue peuplé de zombies trans. On a beaucoup cité Philippe Muray depuis 48 heures pour décrire ce nouvel « Transhomo festivus », c’est à Louis-Ferdinand Céline, autre maître, qu’en appelle Tom Benejam.