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Elle a ressenti une vive douleur dans le dos. Ce samedi 9 novembre 2024, une jeune joggeuse de 18 ans a été blessée d’un coup de couteau dans le dos alors qu’elle se trouvait quai Deschamps, à Bordeaux. À un endroit où, entre sans-abri occupants de « l’aire d’accueil solidaire » et habitants des immeubles flambant neufs qui le voisinent, la cohabitation est déjà explosive.
Si l’élection de Trump doit changer quelque chose dans le comportement et l’attitude de nos personnages politiques, ce sera à l’insu de leur plein gré. On se doutait qu’il ne fallait rien en attendre directement, mais on pouvait, naïvement penser qu’un réveil salutaire allait frapper les volontés mollassonnes de ceux qui briguent le pouvoir. Un paramètre nous avait échappé, c’est justement ce détail. Ils réclament le pouvoir, mais pas pour gouverner, prendre des décisions. Ils le convoitent tous pour bénéficier des avantages de la situation et obéir. Aucune ambition nationale, ils ne savent et ne veulent que suivre des instructions qui leurs seront données par des instances supranationales. De toutes les réactions politiques qui a dit maintenant c’est : la France d’abord ?! Personne, même Marine Le Pen s’est alignée sur Macron pour regretter que l’Europe ne protège pas mieux les intérêts de la France !
La presse française et les instituts de sondages ne se sont pas « trompés », comme le racontent les analystes, à propos de l’élection américaine et de la victoire de Trump. Ils sont simplement dévoilé leur vraie nature. Ils ne sont ni presse, ni instituts de sondages, ils sont influenceurs et ils ont usé de leur poids médiatique, largement subventionné, pour tenter de nous imposer Kamala, de manière à perpétuer leur idéologie du moment, une gauche dévoyée, devenue woke. Ce faisant ils n’ont pas compris que ce ne sont pas les Français qui élisent le président américain et à les voir et les entendre, on avait l’impression que si. Ils pourraient faire un mea-culpa ? Pensez-donc. Ils se remettent en ordre de marche pour débiter avec des airs sentencieux, les pires prédictions et les pires traits de caractère pour les années à venir de la présidence Trump. Ils comptent quoi, ce faisant ? Faire annuler l’élection américaine par les électeurs Français ? Convaincre les Français qu’une part de nationalisme à la Trump ne serait pas bonne pour eux ?
Le réchauffisme est une partie d’un tout. Avec le wokisme, le genrisme, la pédophilie, la drogue et la féminisation des mâles. Un ensemble de contre-valeurs destinées à déstabiliser les gens raisonnables et à finir d’abrutir les crétins. Mais cette fois, les salopards qui prétendaient soumettre le monde à leurs lubies vont avoir affaire à forte partie.
Fixant les grands objectifs pour atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050, la « loi de programmation énergie et climat » (LPEC) est une obligation légale, imposant tous les 5 ans une consultation nationale et un débat Parlementaire. Ses objectifs sont ensuite déclinés dans la Stratégie Nationale Bas Carbone (SNBC), le Plan National d’Adaptation au Changement Climatique (PNACC) et la Programmation Pluriannuelle de l’Energie (PPE). Ces textes législatifs auraient dû être publiés fin 2023. Avec près de deux ans de retard, les nouvelles SNBC et PPE ont été présentées par le gouvernement le 4 novembre et sont ouvertes à la concertation durant 6 semaines.
Deux cent dix neufs morts et plus de 89 personnes encore portées disparues : dans la région de Valence, dix jours après les inondations meurtrières du 29 novembre, le bilan est encore provisoire. Un désastre qui a provoqué la colère des habitants contre le manque d'anticipation et l'incurie du gouvernement de Pedro Sanchez (les secours ont mis six jours pour arriver) mais qui a révélé une réelle compassion du couple royal et l'immense élan de solidarité d'un peuple. Un peuple capable de suppléer aux défaillances de l'État avec la participation si peu remarquée en France de l'Église catholique espagnole pourtant en première ligne.
Après des mois de janvier et février aux températures normales, l’Espagne a connu des mois de mars et avril très chauds et souffre d’une grave sécheresse. Comme toujours, ceux qui ont fait du changement climatique leur modus vivendi ont profité de la circonstance pour reprendre le vieux terme de «réchauffement climatique» et nous faire peur avec l’apocalypse qui ne vient jamais. Vous savez, quand il y a des vagues de froid (comme Philomène en 2021), on les attribue à un grain qui passe, mais la chaleur, c’est toujours le changement climatique.
Cependant, au-delà de la propagande climatique éculée, il est étonnant de voir comment les mêmes personnes qui versent des larmes de crocodile sur les effets de la sécheresse rendent la vie misérable aux agriculteurs et aux éleveurs au nom de leur propre religion climatique.
Elections américaine : Quotidien a envoyé trois têtes chercheuses chargées de comprendre l'incompréhensible. Micro-trottoir après micro-trottoir la popularité de Trump éclate à la face du trio. Une incursion dans la communauté musulmane montre que Kamala Harris n'a pas la cote. Snif... C'est ballot quand même.
Le grand remplacement, l’immigration-invasion, le transgenrisme : des inventions de l’extrême-droite :
En juin 2014, nous écrivions sur MPI “La théorie du genre n’existe pas”, Najat Vallaud-Belkacem vous l’a dit et répété » (Pierre-Alain Depauw).
Cette même ministre du « Droit des femmes » déclarait quelques mois auparavant, en novembre 2013, que la « Théorie du genre » n’existe pas (Xavier Celtillos) :