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lobby - Page 805

  • Premier recul du gouvernement : sur la GPA

    Premier recul du gouvernement : sur la GPA

    La technique est connue : il faut faire deux pas en avant pour, face à la contestation, faire un seul pas en arrière.

    A la suite de la manifestation massive de dimanche, l’Assemblée nationale a finalement rejeté mercredi toute reconnaissance automatique en France de la filiation d’enfants conçus par GPA dans un pays étranger où la pratique est autorisée. Les députés sont revenus par 139 voix contre 23, et 7 abstentions, sur le précédent vote d’un amendement que le gouvernement avait fait mine de contester, alors qu’il avait été voté par la majorité au pouvoir.

    Les députés se prononceront lors d’un scrutin solennel mardi sur l’ensemble du projet de loi.

    Xavier Breton (LR) a estimé :

    « Vous rétropédalez mais les masques sont tombés ».

    Les députés de droite préparent un recours au Conseil constitutionnel contre le projet de loi.

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  • Jean-Paul Garraud : « Depuis longtemps déjà, on sait qu’il y a des infiltrations de l’islamisme au cœur de l’État ! »

    Jean-Paul Garraud est le magistrat qui porta, en 2015, l’idée d’un parquet antiterroriste après l’attentat du Bataclan. Seule une version tronquée a été mise en place par Emmanuel Macron.

    Aujourd’hui député au Parlement européen (Identité et Démocratie, élu sur la liste du Rassemblement national), il réagit sur la manière dont les autorités en place réagissent à l’attentat de la préfecture de police de Paris.

    Vous êtes eurodéputé RN et magistrat. Vous aviez à l’époque créé le parquet antiterroriste. Craigniez-vous que l’ennemi frappe de l’intérieur comme cela s’est produit lors de l’attentat de la préfecture de police de Paris ?

    C’est à la fois simple et effrayant. Quand on voit la réalité en face, on est accusé par certains d’agiter des peurs. Manifestement, ce qui s’est passé à la préfecture de police de Paris avait été prévu, même si bien sûr, il ne l’avait pas été à cet endroit-là précisément. Ce phénomène était malheureusement très prévisible. Tout le monde sait depuis longtemps qu’il peut y avoir des infiltrations de l’islamisme dans des services au cœur de l’État.
    Cette affaire nous révèle que c’est désormais une réalité. Cela ne concerne pas uniquement la police, mais aussi les forces de l’ordre, les forces de sécurité, les transports publics et bon nombre d’autres secteurs, comme les associations sportives.
    Un simple rapport d’informations rendu par deux députés en juin dernier fait état d’un certain nombre d’éléments qui laissent prévoir des lendemains très difficiles.
    La question est toujours la même : que fait-on ?
    Le président Hollande était le premier à avoir employé le terme de « guerre contre le terrorisme ». Si on fait la guerre, il faut d’abord désigner clairement l’ennemi, le nommer. Le mot “islamiste” n’est employé que depuis peu. Ensuite, il faut se donner les moyens de gagner cette guerre. Ces moyens sont de divers ordres. Le secteur dont je m’occupe le plus sont les moyens légaux. Dans un État démocratique, c’est à la justice d’aller vite et de faire en sorte de prévenir les attentats. D’où mon projet de procureur national antiterroriste.
    Monsieur Macron n’en a mis en place qu’une version tronquée, une version totalement insuffisante. Cette version n’a pas donné la mesure de ce qu’il faudrait faire en la matière.

    On attend une réponse de l’exécutif concernant les questions suivantes : comment prévenir ce type d’attentats ? Où en est-on des radicalisés dans les forces de l’ordre ?
    Selon nos informations, le seul service qui va être auditionné sera la DRPP elle-même, comme si la radicalisation n’existait pas dans les autres services…

    Des responsables dignes de ce nom auraient déjà dû prendre un certain nombre de mesures et devraient tirer immédiatement les conséquences de ce qui s’est passé à la préfecture de police.
    Dans un premier temps, il serait opportun de faire le nécessaire en ce qui concerne les responsables qui ont failli, à commencer par le ministre de l’Intérieur. Monsieur Castaner se cramponne à son poste. Naturellement, le gouvernement ne va pas rentrer dans ce débat-là. Ce serait tout à l’honneur du ministre de l’Intérieur de tirer les conséquences de ce qui s’est passé et de poser sa démission.
    Dans un deuxième temps, il faut en tirer les conséquences dans tous les services de sécurité. Lors de la perquisition réalisée chez cet individu, on a retrouvé des données personnelles de policiers. Et on a tous en tête le drame de Magnanville. Les policiers savent que leur adresse personnelle a peut-être été diffusée à Daesh. C’est d’une gravité totale. Pour autant, on n’en tire comme conséquence qu’une sorte d’enquête interne aux services de police. Cela montre encore une fois qu’on ne prend pas la dimension du problème. Je n’en connais pas la raison. Est-ce de l’incompétence ou autre ? Il est certain qu’il faut faire des enquêtes approfondies dans tous les services de sécurité et il faut se défaire de toutes personnes susceptibles d’être dangereuses pour l’État et pour les autres.

    Tribune reprise de Boulevard Voltaire

  • Débat sur l'immigration.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Hémicycle aux trois quarts vide, annonces de circonstance, échanges stériles, discours fossilisés... Le débat sur l'immigration — sans vote, bien sûr, mais y en aurait il eu un que cela n'aurait évidemment rien changé — qui s'est tenu lundi soir à l'Assemblée nationale n'était que le reflet des effets de tribunes de Macron sur le sujet: vide de tout sens.
    Champion de la triangulation, le Président de cette République de tous les mensonges, de toutes les supercheries et de toutes les manipulations, tente, en s'emparant du thème de l'immigration, de séduire une partie de la droite à quelques mois des Municipales et d'apparaitre aux yeux des Français comme le chef modéré mais réaliste et libéré des tabous de la pensée unique de ce parti de l'ordre juste, républicain et démocrate qu'il veut incarner. Posture qui, face aux critiques venues de sa gauche à l'intérieur même de son camp, lui a valu le soutien appuyé d'un autre imposteur chronique — Jean-Pierre Chevènement (" nous ne devons pas être dans le déni"), dont on chercherait vainement la trace du commencement d'un début de volonté de mener une lutte déterminée contre la déferlante migratoire, lorsqu'il était ministre de l'Intérieur.
    Au bal des faux culs, ils sont toujours, il est vrai, plusieurs à se bousculer pour ouvrir la danse.
    Macron, lui, joue ainsi les Janus biface, tentant de dissimuler l'immigrationnisme absolu qui transpire par tous les pores de sa peau, et affirme son credo de chauve-souris politicienne: "Je suis oiseau, voyez mes ailes protectrices, je suis souris, vive les rats de l'ouverture planétariste".
    Et pendant ce temps, par la mer, par les chemins de terre et par les airs... ILS ARRIVENT !
  • La France prisonnière du concept d’islamophobie

    La France prisonnière du concept d’islamophobie

    C’est ce que les meurtres à la Préfecture de police mettent en évidence. Bernard Antony note :

    Qu’une manifestation en hommage à l’assassin de nos quatre policiers ait seulement pu être conçue et annoncée, et fortement relayée dans des réseaux sociaux, montre à quel degré de cynisme conquérant en est arrivé l’islamo-jihâdisme dans notre pays. Et un Tariq Ramadan et un Hadama Traoré s’expriment sans vergogne pour défendre la mémoire du tueur.

    Souvenons-nous :

    Après les grandes exterminations de la Tchéka et des Goulags, les chefs de l’URSS ne pouvaient plus se permettre de trop grosses liquidations des oppositions sans cesse renaissantes. Alors ils mirent les dissidents, qualifiés de soviétophobes, dans des prisons appelées hôpitaux psychiatriques !

    Aujourd’hui, le concept « d’islamophobie » est utilisé de même par la classe politico-médiatique du néo-totalitarisme progressiste et du pseudo-antiracisme. Il est utilisé  pour disqualifier et poursuivre ceux qui osent une réflexion critique sur la réalité de l’islam et sur l’engendrement de l’islamo-jihâdisme dans l’islam. Qui ne voit que l’interdiction totalitaire, sous le prétexte de délit d’islamophobie, de toute réflexion et regard critique sur l’idéologie islamique est objectivement criminelle ? Elle paralyse toute défense sérieuse de notre société face à la subversion islamiste. La responsabilité d’Emmanuel Macron est, sur ce plan, accablante. Jusqu’à quand la terreur intellectuelle sévissant contre ceux que l’on taxe d’islamophobie nourrira-t-elle le terrorisme islamique ?

    De même, le père Michel Viot écrit :

    […] Plus généralement, pourquoi la France ne tire-t-elle pas les conclusions qui s’imposent de l’état de guerre que l’islamisme mène de fait à notre pays, à nos coutumes, à l’héritage de notre histoire, qu’il veut transformer en un pays islamique, en coutumes islamiques, en un avenir islamique ? Là aussi, certains ergoteront, et se perdront en juridismes divers. Toucher à l’islamisme, ce serait attenter à l’islam, au vivre-ensemble, aux libertés individuelles, etc. Mais, alors que le fanatisme prépare les consciences au terrorisme, alors qu’il répand la haine de la France, des Français, des femmes, des mécréants, des Juifs, des ex-musulmans, c’est agir avec responsabilité et souci du Bien Commun que de faire fermer immédiatement toutes les mosquées « radicales », de mettre toutes les autres sous surveillance étroite, de chasser définitivement de notre pays les institutions des Frères Musulmans, des salafistes, des Wahhabites, de réviser fondamentalement notre politique vis-à-vis des puissances qui les soutiennent (Turquie, Qatar, Arabie Saoudite, etc.), et, plus généralement, d’exiger de tous les pays musulmans une explication approfondie quant à leurs intentions à notre égard.

    Nous sommes d’autant plus furieux de voir nos autorités renoncer à leurs responsabilités, voire se rendre complices de la situation, que nous connaissons bien ce sujet de l’islam, de l’islamisation et des liens pervers que ces phénomènes entretiennent avec certaines puissances et idéologies occidentales. Et que nous tentons d’alerter ces autorités, d’alerter la société civile et de leur faire comprendre ce qui se joue sous nos yeux. Voilà plus de deux ans que nous avons publié le livre La Laïcité mère porteuse de l’Islam ?. D’après les spécialistes il devait être accueilli par un silence de mort ou être attaqué à mort. Nous avons eu droit au silence, à une superbe dérobade, à une ignorance voulue, qui ne sont pas sans rappeler la façon dont ont été traités les signaux avant-coureurs que nous mentionnions au sujet du jihadiste de la Préfecture de Police de Paris. Nous montrons pourtant dans ce livre que l’on pourrait agir réellement contre le terrorisme islamiste et contre l’islamisme. Par exemple avec les mesures politiques de bon sens que nous venons d’évoquer. Et aussi, en particulier, par la critique fondamentale de l’islam, par la mise en lumière de son mensonge historique, de la nature de son projet politico-religieux et de son échec patent depuis deux siècles au moins.

    Mais on se refuse à le faire. On ne veut pas comprendre. Ces études sont censurées de fait en France, de même que sont interdits les réels débats de fond et discussions contradictoires, et toutes les analyses qui ne s’inscrivent pas dans le cadre d’une Laïcité arrogante et de son mépris du fait religieux. La chappe de plomb idéologique se fait de plus en plus prégnante, tandis que se multiplient les procès en islamophobie et les pressions diverses – chasse aux sorcières, exclusion des média sociaux, censure… C’est aussi ce que nous expliquons dans ce livre. Notre pays est ainsi pris entre les mâchoires de l’islamisme et de la religion du Progrès. Le dramatique attentat de la Préfecture de Police de Paris en est à la fois un symptôme et l’annonce de troubles extrêmement graves. […]

    https://www.lesalonbeige.fr/la-france-prisonniere-du-concept-dislamophobie/

  • [CMRDS 2019]Conférence de David l'Epée : la gauche (re)deviendrait-elle raciste ?


  • KOSOVO/SEINE SAINT-DENIS, MEME SCENARIO ?

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Les urnes ont parlé le dimanche 6 octobre, au Kosovo, comme au Portugal et en Italie. Mais, pour l’heure, examinons le seul cas de cette ancienne province autonome de la défunte Yougoslavie. Il semble que les votants aient sonné l’heure du changement dans cette poche albanaise enclavée dans les Balkans, qui fut le prétexte d’une odieuse intervention contre la Serbie. À noter que seulement 100 pays sur les quelques 194 membres de l’ONU, reconnaissent cet « Êtat » mafieux, un Êtat bidon qui n’aurait jamais dû exister. Regardons d’ailleurs son drapeau, imposé par l’OTAN comme l’a été celui de la pseudo Bosnie-Herzégovine : un pavillon totalement artificiel, sans aucune référence historique et pour cause ! D’ailleurs, les habitants, qu’ils soient Albanais ou Serbes, ne s’y trompent pas : les premiers arborent l’aigle noir à deux têtes sur fond écarlate, - celui de Tirana -, et les seconds le tricolore de Belgrade ! 

    Un espoir pour la paix et la justice ?

    Changement, disions-nous au début de cette chronique. Oui, le parti des « commandants historiques » de l’UCK, cette organisation terroriste kosovare, soutenue en douce par nos bons alliés allemands lors du conflit serbo-albanais, était dirigée par l’ex-Premier ministre et chef de guérilla Ramush Haradinaj. Inquiété par le tribunal spécial international suite à une suspicion de crimes commis par l’Armée de libération du Kosovo, son mouvement gouvernemental est, cette fois-ci, nettement devancé par l’opposition. Cette dernière est représentée par la gauche, le parti Vetevendosje, de tendance social-démocrate, avec 26%, dirigé par Albin Kurti, et par la Ligue démocratique du Kosovo, la LDK, 25%, conduite par Madame Vjosa Osmani. À noter que ce dernier parti, qui était inspiré et animé par Ibrahim Rugova, aujourd’hui décédé. Il ne demandait pas, jadis, la sécession du Kosovo, mais une simple reconnaissance en tant que république constitutive de la fédération yougoslave. Une occasion manquée, peut-être, par feu le président Milosévitch, mort en captivité après l’agression de l’OTAN contre son pays. Remarquons que les enclaves serbes, 100 à 120 000 personnes tout de même, qui vivent dans des poches plus ou moins protégées par les troupiers de l‘OTAN, dont Mitrovitza, la plus importante, ont apporté leurs suffrages aux candidats étiquetés Srbska lista, émanation du pouvoir politique en place à Belgrade. Ils auront donc les 10 sièges sur 120 députés, ces 10 strapontins qui sont constitutionnellement attribués à la minorité serbe.

    Un rejet de l’UCK et de ses héritiers ?

    La population, surtout les jeunes, rejette les héritiers de l’UCK qui s’en sont mis plein les poches après leur victoire sous protection, il faut le rappeler, otanienne. Corruption, médiocrité des services publics, clientélisme, sont les plaies du « pays », - le mot pays à écrire, bien sûr, entre guillemets -, dont souffre le Kosovo. Le président Hashim Thaçi, lui-même ancien chef de l’Union des combattants du Kosovo, soupçonné d’avoir trempé dans le trafic du sang des prisonniers de guerre et des civils serbes, devra composer avec l’opposition devenue majoritaire. Pour cela, il faudra qu’Albin Kurti, vieil adversaire des commandants, mais jeune et charismatique juriste, s’entende avec Mme Vjosa Osmani pour bâtir une coalition crédible. L’Union européenne et l’OTAN les guettent, car il leur faudra aussi réussir à normaliser les relations entre Pristina et Belgrade. Sur quelles bases ? Un échange de territoires ? On en a parlé, mais ce n’est pas du goût des occidentaux qui restent cramponnés sur la sacrosainte intangibilité des frontières. Des droits supplémentaires pour la minorité serbe ? Le président serbe Aleksander Vucic n’a pas fermé la porte à des négociations avec le nouveau cabinet de Pristina. Ce ne serait pas une première, il y déjà eu des conversations entre les parties sous les auspices de l’U-E. Mais que peuvent se concéder ces adversaires/partenaires ?

    Une similitude entre le  Kosovo et le  « 9- 3 » ?

    La réalité, le fond de la question, c’est que les Kosovars, - disons des Albanais musulmans -, sont devenus majoritaires dans cette ancienne province historique serbe, - comme une partie de l’île de France de nos rois, en tout cas la Seine-Saint-Denis -, grâce à l’immigration et à la natalité. Seine Saint-Denis/Kosovo, même combat ? Il faut raison garder, mais restons pragmatiques.

    Aujourd’hui, il y a un fait accompli. Le Kosovo est devenu, majoritairement, albanais. (Comme le département 93, j’aurais tendance à dire la « willaya », est majoritairement peuplé de mahométans). Que faire ? La partition, une solution, comme en Bosnie, avec des mini républiques ou cantons ethniques ? Ou alors, rattacher les zones serbes à la Serbie, et le reste à l’Albanie ? Car, posons-nous la question : réellement, le Kosovo en tant que tel, a-t-il une raison, une justification pour exister sous la forme d’un État indépendant, souverain et internationalement reconnu ? L’Espagne, la Russie, la Chine et bien d’autres, ont dit  non. Une entité autonome, peut-être, au sein de la Serbie ou de l’Albanie ? Le rattacher à l’Albanie, créerait un terrible précédent. (On imagine les revendications en cascades, des Hongrois de Roumanie et de Slovaquie, des germanophones du nord de l’Italie etc.) Et, en plus, cela accentuerait une sorte d’injustice territoriale au détriment de la Serbie, mais surtout évacuerait un fait historique.

    Oui, le Kosovo fut le berceau de la Serbie, comme l’île de France, grâce à nos rois, fut la matrice de notre nation. Mais, tant que cette question, latente, des droits des uns et des autres, ne sera pas réglée, le Kosovo sera comme une tumeur au sein du corps européen. Et quid de nos départements métropolitains, à nous « Français de souche », - quelle vilaine association de mots devenus « grossiers » ! -, par trop, disons, « exotiques » ?

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/10/09/kosovo-seine-saint-denis-meme-scenario-6181653.html

  • Aide médicale de l’État : le scandale est encore bien pire !

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    Si vous critiquez l’aide médicale de l’État, vous avez toutes les chances d’être catalogué comme un xénophobe. Si vous ajoutez qu’il existe des abus patents, que des étrangers, en situation irrégulière ou non, profitent de l’AME sans même remplir les conditions pour en bénéficier, vous aggravez votre cas : vous voilà irrémédiablement classés dans le camp des ennemis de l’humanité ! Pourtant, ce n’est pas un fantasme : Le Figaro de ce mercredi publie un article sur « les effarantes dérives de l’aide médicale d’État » en se fondant sur un ouvrage de Véronique Prudhomme, qui a travaillé pendant onze ans à la direction financière d’un hôpital d’Île-de-France : La Vérité sur l’AME.

    Agnès Buzyn, le ministre de la Santé, qui a défendu, devant l’Assemblée nationale, « le droit à la santé pour tous », ajoutant qu’« on ne laisse pas des gens périr parce qu’il leur manque le bon tampon sur le bon document », tout en annonçant le déploiement d’un « plan de lutte contre les fraudes », ferait bien de lire ce livre. Elle y apprendrait, si elle l’ignore – ce qui serait un comble, compte tenu de la fonction qu’elle occupe –, que touristes, étrangers fortunés, fraudeurs en bande organisée, resquilleurs de tout poil profitent du système.

    Quelques exemples suffisent à en montrer les dysfonctionnements.

    Un patient venu d’Afrique du Nord débarque de l’avion et se présente aux urgences avec le courrier d’un médecin de son pays pour un traitement chirurgical précis. Ce n’est pas la première fois qu’il se rend ainsi dans l’Hexagone. Il n’est ni clandestin, ni réfugié. Il bénéficie de l’AME, tout en continuant de résider chez lui. La médecine française a sans doute bonne réputation, mais est-il normal qu’un étranger vienne faire du tourisme médical pour se faire soigner aux frais des contribuables ?

    Le cas le plus fréquent, selon cet ouvrage, est celui du patient qui arrive avec un visa touristique et attend que son autorisation de séjour soit périmée pour devenir un étranger en situation irrégulière et avoir droit à l’AME. Il cite l’exemple d’un homme en rééducation fonctionnelle qui refuse d’être transféré dans un hôpital de son pays, où il pourrait être soigné, jurant qu’« il préférerait se jeter dans la Seine ». Il continue de bénéficier de l’AME. « Près d’un tiers des lits de rééducation » seraient, ainsi, occupés « par ce type de patients », témoigne un professeur de médecine, privant ainsi de places des Français qui « ont contribué toute leur vie au système par le paiement de cotisations sociales ».

    La fraude devient parfois un véritable trafic. On voit ainsi « arriver des personnes de tous les coins de la planète, notamment des pays du Golfe », accompagnées d’un interprète qui connaît tous les rouages. Les interprètes se relaient, disposent de quelques adresses autour de l’hôpital : « la preuve d’une organisation bien rodée ». Apparemment, le gouvernement ferme les yeux ou laisse faire. Craint-il des incidents diplomatiques ? Craint-il d’être accusé de racisme ou d’islamophobie ? Dans tous les cas, il est le premier responsable de la situation.

    D’aucuns objecteront qu’il s’agit de dérives et que ces resquilleurs n’ont rien à voir avec les migrants clandestins. Sans doute. Mais quand un système permet de telles fraudes, c’est qu’il est fondamentalement mauvais et abusivement permissif. Il serait temps que le gouvernement s’en rendît compte et prît les mesures qui s’imposent, non pas pour des raisons électorales, mais pour des raisons de justice sociale à l’égard de tous les Français. Son impéritie en la matière lui ôte, s’il en était besoin, toute légitimité politique.

    Philippe Kerlouan

    https://www.bvoltaire.fr/aide-medicale-detat-le-scandale-est-encore-bien-pire/

  • Catastrophe économique et écologique, risque pour la santé: l'appel de Fabien Bouglé pour arrêter les éoliennes

    641837353.jpgCe scandale est dénoncé par Fabien Bouglé, qui publie une enquête sur ce sujet.

    Fabien Bouglé estime que les éoliennes n’aident pas à la transition écologique et en plus coûtent cher aux contribuables “On a une électricité excédentaire. C’est-à-dire qu’on produit plus d’électricité que nos besoins.

    On produit une électricité subventionnée qui coûtent à peu près 100 milliards d’euros selon la Cour des comptes pour une électricité qu’on va revendre au cours du brut à 45 euros le mégawat/theure. Donc on finance à fonds perdus, une électricité dont on n’a pas besoin“.

    Il affirme aussi que, aujourd’hui, la France est l’un des pays les plus vertueux en ce qui concerne l’énergie décarbonée et d’émission de gaz à effet de serre.

    “90% de notre électricité entre le nucléaire et l’hydraulique est non-émettrice de gaz à effet de serre. Et comme on veut remplacer cette électricité par celle des éoliennes qui sont par essence intermittentes, ça conduit à compenser le moment où les éoliennes ne peuvent pas fonctionner par de l’électricité d’origine fossile comme le gaz, le charbon, ou le pétrole”.

    Il dénonce un gaspillage d’argent public qui ne permet d’ailleurs pas de financer des projets de recherche sur des alternatives beaucoup plus crédibles.

    “J’en appelle à Bruno Le Maire, le ministre de l’Économie à l’heure où on va ouvrir la convention citoyenne pour le climat, arrêtez les éoliennes !”

    Outre l’aspect économique, les éoliennes seraient nocives pour la santé : “Il y a eu une étude de la NASA dans les années 80 qui a montré que les infrasons, qui sont faut-il le rappeler une arme de guerre, conduisent à des problèmes de santé grave. Un biologiste allemand qui vient de sortir un livre en juillet 2019 sur les impacts moléculaires des infrasons qui sont diffusés jusqu’à 20km des éoliennes”.

    Sans compter que les éoliennes polluent nos paysages.

    Source:Le Salon Beige

    Rappelons aussi le livre d'Alban d'Arguant sur les éoliennes :

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/10/09/catastrophe-economique-et-ecologique-risque-pour-la-sante-l-6181611.html

  • Plus aucun intervenant public ne dit réellement ce qu’il pense

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    Entretien d’Eugénie Bastié avec Richard Malka*

    Le Figaro. - Des voix réclament qu’on bannisse des médias des personnalités soit condamnées par la justice pour provocation à la haine, soit mises en cause après des déclarations publiques. Assiste-t-on à une judiciarisation du débat d’idées ?

    Ce n’est pas la judiciarisation qui est inquiétante, mais le triste renoncement à la culture du débat. La polémique est l’oxygène de nos sociétés. C’est un droit reconnu par les tribunaux et obtenu après des siècles de douloureuses luttes et de maturation démocratique. La libre expression des idées gênantes est une nécessité, parce que ces idées sont présentes dans l’esprit de chacun de nous. À défaut de pouvoir en débattre, nous les ruminons, elles métastasent, se répandent d’autant plus facilement qu’il n’existe plus de moyens techniques pour les endiguer, deviennent séduisantes par goût de la transgression et de l’interdit, alimentent le complotisme et créent des martyrs et des héros de la pensée « non officielle », là ou le débat démontrerait l’inanité et la pathologie de leurs thèses. Nos sociétés ne survivront pas si nous n’acceptons pas l’expression des idées qui nous blessent. C’est un impératif collectif qui nous dépasse.

    N’y a-t-il pas une tendance à vouloir restreindre le champ des propos jugés légitimes et autorisés ?

    Jamais, dans notre histoire, la justice n’a été aussi protectrice de la liberté d’opinion des journalistes et des intellectuels, et, par un effet paradoxal, ce sont main- tenant journalistes et intellectuels qui ré- clament des excommunications médiatiques. Mieux, on voudrait transformer des juges, qui n’ont pas le pouvoir de prononcer des interdictions professionnelles, en directeurs de publication des médias. Ainsi, certains voudraient qu’une condamnation pour des propos passés interdise de s’exprimer pour le futur, ce qui porte un nom : la censure. Une telle règle, qui n’existe dans aucun code, ni même charte déontologique, entraînerait une multiplication exponentielle des poursuites de tous contre tous afin d’obtenir le Graal permettant d’écarter tel ou tel adversaire du débat public. Elle influerait sur les décisions des juges qui n’oseraient plus condamner et déresponsabiliserait les dirigeants de médias. Quand comprendrons-nous qu’interdire une personne d’expression, c’est laisser croire à un grand nombre qu’elle détient une vérité interdite ?

    Qu’en est-il des sanctions non judiciaires ?

    Le danger pour la vie des idées, c’est précisément le transfert de la responsabilité de sanctionner à des autorités administratives composées de personnes nommées par le pouvoir politique. Celles-ci, très respectables, privilégieront toujours l’air du temps, les pétitions et la sensibilité de leur entourage plutôt que les problématiques extrêmement complexes de la liberté d’expression qui n’est pas leur culture. Je ne crois pas que l’avenir des chaînes de télévision ou de radio soit de s’adresser uniquement au centre droit et au centre gauche, et encore, pas sur tous les sujets ni sur tous les tons.

    Les partisans de cette surveillance affirment que « les mots tuent ». N’ont-ils pas raison d’établir un continuum entre la parole et les actes ?

    Cela me semble indiscutable. Au commencement, il y a toujours le verbe. Sans remonter à la propagande nazie, Radio Mille Collines a méticuleusement préparé les esprits au génocide rwandais et on ne se réveille pas Mohamed Merah allant tuer des enfants juifs de 4 ans sans lavage de cerveau préalable. Avant, il y a, partout, les mêmes discours victimaires : « Vous êtes humiliés, bafoués, méprisés, exploités... Il est temps de réagir en exterminant vos ennemis. » Cette rhétorique primaire fait des ravages dans les têtes avant de se transformer en actes. Pour autant, je ne veux pas l’interdire - ce qui serait impossible -, mais la déconstruire.

    En définitive, qu’est-ce qu’un délit d’opinion ? En existe-t-il aujourd’hui dans notre droit ?

    Théoriquement, non, l’opinion et les jugements de valeur sont libres, protégés par la Cour européenne des droits de l’homme, nos lois et nos tribunaux, et cela s’étend expressément aux idées « qui heurtent ou qui choquent ». Aux États-Unis, cette liberté est quasi absolue, protégée par le premier amendement de la Constitution. On peut y défiler avec des croix gammées. Et une loi prohibant le négationnisme serait inimaginable. Ce choix consiste à parier sur le bon sens du peuple censé être effaré par la violence de propos extrêmes, alors qu’il pourrait être séduit par un discours délétère mais lissé sur la forme ou codifié pour éviter les foudres de la loi.

    Sous nos latitudes, bien plus traumatisées par les crimes du nazisme, ce système juridique serait culturellement inacceptable et la liberté d’expression est plus encadrée. Le délit d’incitation à la haine et à la discrimination est un délit d’opinion. Dire que les Juifs sont responsables de tous les malheurs du monde ou que les musulmans vont exterminer les « Français » relève de l’opinion, mais aussi des tribunaux, en raison du nécessaire maintien de la paix publique.

    Il y a donc des opinions interdites. N’est ce pas-là une boîte de Pandore pour la liberté d’expression ?

    La jurisprudence de la Cour de cassation a évolué en 2017 dans un sens libéral. Pour que le délit d’incitation à la haine ou à la discrimination soit retenu, il est maintenant exigé une « exhortation » à la haine ou à la discrimination, ce qui explique qu’un groupe de rap qualifiant la France de «pays de nazillons puants et de petits Gaulois de souche, racistes et assassins » ait été relaxé. De même pour Alain Soral et un dessin représentant une caisse enregistreuse marquant 6 millions à côté du camp d’Auschwitz en ironisant sur la « Shoah business ». De même pour Christine Boutin dénonçant l’homosexualité comme « une abomination ». Ces propos sont écœurants, mais on ne peut pas interdire tout ce qui nous choque si ce n’est en renonçant au débat. L’interdiction d’une opinion, la plus monstrueuse soit- elle, est toujours un aveu de faiblesse de la démocratie, elle dit que nous ne croyons pas en nos capacités de conviction et à la maturité du peuple. Plus nous interdisons, plus nous avouons avoir perdu la foi et être incapables de protéger nos valeurs autrement qu’en bannissant de la cité le point de vue adverse. Les délits d’opinion doivent rester exceptionnels, réservés à l’insupportable - d’où l’exigence d’une véritable exhortation – et à l’incontestable, car, sur nombre de sujets, ce que l’un estimera légitime sera nauséabond pour l’autre. Qui détient la vérité ?

    Vous êtes l’avocat de Charlie Hebdo. Diriez-vous que, près de cinq ans après la tuerie, la liberté d’expression a régressé en France ?

    Vu le journal dans lequel je m’exprime, permettez-moi de citer la fameuse réplique de Figaro : « Pourvu que je ne parle en mes écrits ni de l’autorité, ni du culte, ni de la politique, ni des gens en place, ni des corps en crédit, ni de l’opéra, ni des autres spectacles, ni de personne qui tien- ne à quelque chose, je puis tout imprimer librement, sous l’inspection de deux ou trois censeurs. »

    Deux cent cinquante ans plus tard, malgré une révolution, la proclamation de la liberté d’expression comme un des droits les plus précieux de l’homme, la grande loi protectrice de 1881, et un siècle de plus pour que la justice se transforme en ultime garant et non en censeur de cette liberté, nous sommes revenus à l’état décrit par Beaumarchais par l’effet de l’irrépressible besoin des hommes d’interdire les opinions qui ne sont pas les leurs, par peur du doute et amour des certitudes. Si seulement c’était l’inverse ! Les tabous ne sont plus les mêmes qu’à l’époque de Beaumarchais, mais la liste des interdits s’allonge chaque jour : les religions, les communautés, le sexe, le genre, le climat, l’humour noir, tout y passe jusqu’aux pièces du théâtre antique accusées d’être racistes. On doit parler avec des pincettes géantes sur un tel nombre de sujets que plus aucun intervenant public ne dit réellement ce qu’il pense. Le double discours devient la norme par peur du lynchage. C’est un mouvement profond et d’ampleur. Ce qui a changé, c’est que l’État ou la justice n’y sont plus pour rien, c’est nous-mêmes qui dressons la liste.

    (*) Richard Malka est l’avocat au barreau de Paris qui a notamment défendu « Charlie Hebdo », est un ardent partisan de la liberté d’expression. 

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/10/09/plus-aucun-intervenant-public-ne-dit-reellement-ce-qu-il-pe-6181555.html

  • Débat sur l’immigration : Marine Le Pen « bouscule » l’hémicycle, par Franck Deletraz

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    Pensé et programmé par Macron pour couper l’herbe sous le pied du RN à quelques mois des municipales, le fameux débat sur l’immigration, qui s’est tenu lundi à l’Assemblée nationale, a sans surprise accouché d’une souris. Prenant tout à tour la parole devant un hémicycle quasiment désert, Edouard Philippe, Jean-Yves Le Drian, Christophe Castaner et Agnès Buzyn, tout en déplorant une situation migratoire « difficile » qu’ils ont pourtant grandement aggravée depuis leur arrivée au pouvoir, ont ainsi présenté « six axes de travail » non seulement très en dessous de ce qu’exige la situation, mais dont on sait d’ores et déjà qu’ils ne seront (comme toujours) jamais mis en œuvre. Bref, seul véritable moment fort de ce débat : l’intervention énergique de Marine Le Pen, qui a une nouvelle fois demandé un « moratoire » ainsi que l’organisation d’un grand référendum sur l’immigration.

    « Un argument électoral […] à quelques mois des municipales »

    Certes, du côté des résistants à l’invasion de notre pays, personne n’attendait quoi que ce soit de ce débat. Ainsi, avait déclaré auparavant Nicolas Dupont-Aignan, « c’est un débat publicitaire, qui ne va déboucher sur aucun vote, aucune loi, simplement pour se donner bonne conscience ». Un avis partagé par Marine Le Pen qui, en se félicitant quand même « d’avoir brisé le mur du silence », avait aussi dit ne rien attendre de ces discussions qui étaient avant tout « un argument électoral sorti [d’un] chapeau à quelques mois des municipales ». En outre, avait-elle observé, « des débats comme celui-là, nous en avons vécu des dizaines. Mais les lois et amendements que nous avons proposés au gouvernement lors de la loi asile et immigration ont tous été rejetés par la majorité, et d’ailleurs aussi par Les Républicains »… Il faut dire qu’en ce domaine, Macron et son gouvernement, qui réclamaient encore il y a quelques jours du Parlement européen qu’il sanctionne les Etats membres refusant d’accueillir des clandestins, ont perdu toute crédibilité depuis bien longtemps. Aussi, Philippe a eu beau parler lundi de « réviser nos logiciels » et proposer ces fameux « axes de travail », il n’a guère convaincu, y compris dans les rangs de la majorité. Parmi ces « six axes », rappelons-le : une éventuelle mise en place de « quotas par nationalité, ou par secteurs professionnels », une possible « révision des régimes d’asile européens », « l’harmonisation de nos systèmes nationaux », un « plan de lutte contre les fraudes » à l’AME (et non sa suppression, bien sûr…), ou encore « davantage de solidarité au niveau européen ».

    « Lois cosmétiques » et « propos tartarinesques »

    Bref, autant de mesures qui, même si elles venaient à être mises en œuvre, sont clairement insuffisantes pour endiguer le déferlement migratoire auquel la France est confrontée depuis tant d’années. Ce que n’a pas manqué de souligner lundi Marine Le Pen, lors d’une prise de parole qui n’est pas passée inaperçue. En effet, a déclaré la présidente du RN, « des lois il y en a eu beaucoup depuis 30 ans et elles n’ont abouti qu’à des lois cosmétiques, des propos tartarinesques ».

    Or, a-t-elle poursuivi, les Français « ont conscience que l’immigration anarchique est une menace pour leur vie quotidienne ». Dénonçant une « véritable submersion migratoire », avec un « flux ininterrompu dans nos villes », Marine Le Pen a alors rappelé très justement : « Le rôle premier des politiques est de protéger leur peuple. Ce n’est pas ce que les dirigeants ont fait. Derrière ces dissimulations et ces abandons, il y a certes l’incompétence de nos dirigeants, mais cette idéologie mondialiste d’un homme qui n’est qu’un rouage. » Pointant ensuite du doigt les « ONG complices des passeurs », associations qui exposent les pays européens « à une déstabilisation démographique, culturelle », la présidente du RN s’est indignée d’un débat « sans vote, sans décision » et aux allures de « répétition d’une pièce de théâtre de lycée ». Appelant à un « moratoire » sur l’immigration, Marine Le Pen a alors conclu son intervention dans l’hémicycle en invitant l’exécutif à « avoir le courage d’organiser enfin un grand référendum » sur l’immigration.

    Franck Deletraz

    Article paru dans Présent daté du 8 octobre 2019

    https://fr.novopress.info/215750/debat-sur-limmigration-marine-le-pen-bouscule-lhemicycle-par-franck-deletraz/