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  • 1 an de prison ferme et mandat d’arrêt contre Alain Soral

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    Source Breizh info cliquez ici

    1 an de prison ferme et mandat d’arrêt contre Alain Soral. Telle est la peine infligée à l’essayiste, polémiste et animateur du site Egalité et Réconciliation, ce lundi 15 avril 2019.

    Voici ce que l’on peu lire sur le site d’Egalité et Réconciliation à ce sujet :

    Affaire Shoah où t’es ? : après avoir été condamné à 10 000 euros d’amende pour « contestation de crime contre l’Humanité », Alain Soral est cette fois condamné à un an de prison ferme avec mandat d’arrêt pour « contestation de l’existence de la Shoah » ! Rappel : il est bien question d’un simple dessin de caricature relayé sur E&R !

    Le 27 mars 2019, Alain Soral était définitivement condamné à 10 000 euros d’amende avec possibilité d’emprisonnement en cas de non-paiement pour avoir diffusé en avril 2016 un dessin de caricature sur le site internet d’Égalité & Réconciliation ! Malgré le fait qu’Alain Soral ne soit ni l’auteur du dessin ni le directeur de la publication du site internet d’E&R, c’est bien lui qui est condamné pour « injure en raison de sa race, de sa religion ou de son origine » et « contestation de crime contre l’Humanité ».

    Dans cette même affaire Shoah où t’es ?, le parquet de Paris a jugé Alain Soral et son avocat Damien Viguier pour « contestation de l’existence de la Shoah ». Le motif ? Avoir publié en novembre 2017 sur le site d’E&R les conclusions de Maître Damien Viguier au sortir de la première instance. Le parquet a alors requis six mois de prison ferme contre Alain Soral et 15 000 euros d’amende contre Damien Viguier. Mais le jugement du 15 avril 2019 est plus sévère pour le président d’E&R : un an de prison ferme assorti d’un mandat d’arrêt. Damien Viguier est quant à lui condamné à 5 000 euros d’amende pour « complicité ».

    Rappel : la partie civile principale dans cette affaire est la LICRA. L’Union des étudiants juifs de France (UEJF), Avocats sans frontières (ASF), le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP), J’accuse ! et l’Action internationale pour la justice (AIPJ), le Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme (BNVCA) et SOS Racisme étaient également partie civile.

    Le compte rendu de Damien Viguier :

    Le 4 mars 2019 se déroulait devant la treizième chambre du tribunal de Paris l’audience du procès fait au titre de la loi Gayssot à Damien Viguier et Alain Soral. Le tribunal présidé par Mme Cécile Legidan assistée de Mesdames Jocelyne Palenne et Christine Huertas, Florence Gilbert étant au Parquet, a rendu son jugement ce lundi 15 avril 2019.

    Alain Soral était poursuivi à l’initiative du Parquet sur signalement de la LICRA en tant que directeur de la publication du site Égalité & Réconciliation pour la publication d’un article qui faisait le compte-rendu de l’affaire du dessin pastiche de la couverture de Charlie Hebdo « Papa où t’es ? » et reproduisait les conclusions prises par son avocat devant la Cour d’appel de Paris, conclusions qui contenaient les propos poursuivis. Alain Soral pouvait bénéficier de l’immunité journalistique et Maître Viguier de l’immunité du plaideur. Aucun des prévenus n’avait pu prendre connaissance du dossier, le 4 mars ayant été annoncé comme une formalité de fixation du calendrier de procédure. Au fond l’accusation restait très imprécise.

    Le Parquet avait requis six mois d’emprisonnement ferme pour Alain Soral et 15 000 euros d’amende pour son avocat. La LICRA, J’accuse, l’UEJF et le MRAP s’étaient portées partie civile.

    Les prévenus ont été reconnu coupable de « contestation de l’existence de crime contre l’humanité » et condamnés, pour Alain Soral à un an d’emprisonnement ferme avec mandat d’arrêt, et pour Damien Viguier à 5 000 euros d’amende.

    Les parties civiles obtiennent 6 000 euros et la publication du jugement dans la presse.

    Alain Soral et Damien Viguier ont fait appel.

    NDLR SN : on peut être ou ne pas être d'accord avec Alain Soral. Ses prises de positions sont, parfois, bien éloignées des nôtres. Quoi qu'il en soit, l'essayiste ne manque pas de talent et, même si nous ne l'avons pas attendu pour prendre conscience de certaines réalités, nous ne pouvons que nous réjouir de l'inclure dans le camp anti-mondialiste. La répression dont il est victime relève, à nos yeux, du processus de suppression de la liberté de penser en dehors des clous imposés par le Système et cela est insupportable.

    S.N

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/04/16/1-an-de-prison-ferme-et-mandat-d-arret-contre-alain-soral-6144293.html

  • Pour Rokhaya Diallo, c’est la France qui s’oppose à l’émancipation des femmes musulmanes !

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    Vous connaissez peut-être Rokhaya Diallo, qui se définit comme « une féministe intersectionnelle et décoloniale ». Si ce n’est pas le cas, vous n’y perdez pas grand-chose. Sachez, tout de même, qu’elle a publié, cette semaine, une tribune pour accuser la France d’« islamophobie », notamment à l’égard des musulmanes portant le voile. Et pas sur n’importe quel média : sur le site de TRT Word, une chaîne de télévision internationale contrôlée par le président turc Erdoğan qui, comme chacun le sait, est un grand démocrate. C’est l’hebdomadaire Marianne qui le rapporte.

    Le titre de la tribune est significatif : « L’obsession de la France à propos des femmes musulmanes relève du contrôle, pas de la libération. » Elle estime que la société française, loin de les défendre, serait obnubilée par l’idée de les « exclure » de la sphère publique. Ainsi, elle accuse la loi de 2004 sur les signes religieux dans les écoles publiques d’atteinte à la liberté : « Au nom de l’émancipation des femmes, des femmes ont été bannies de l’espace public à cause de leur voile. » Elle compare les critiques du voilement au « fantasme d’une France blanche, dans laquelle tous les citoyens avec un autre bagage culturel doivent s’assimiler ».

    À voir certains quartiers, on n’a pas le sentiment que tous les musulmans, français ou non, veuillent s’assimiler, mais notre polémiste sait utiliser toutes les ressources de la dialectique pour tenter de démontrer le contraire : ce sont les « Blancs » les coupables, ces affreux colonialistes qu’elle ne rate pas une occasion de dénoncer. Il faut dire qu’elle a un penchant pour les Indigènes de la République et avait, en 2017, soutenu l’organisation de camps d’été, dont certains ateliers étaient réservés « à toute personne qui n’est pas blanche ».

    Rokhaya Diallo cherche à retourner les situations à son avantage. Si des femmes musulmanes n’arrivent pas à s’émanciper, ce n’est pas la faute de leur culture, c’est la faute de la culture qu’on veut leur imposer. À propos du hijab de Décathlon®, elle estime que dans un mouvement choquant d’unanimité, les politiciens de tout le spectre politique ont fermement condamné le marketing du vêtement mis en œuvre par la marque française, disant qu’il offensait les soi-disant “valeurs françaises” ». Jugement bien approximatif, car l’affaire a provoqué des controverses jusque dans le parti majoritaire.

    Quand on considère que le sectarisme est l’expression de la liberté et le communautarisme une chimère du nationalisme, tout devient possible, même le plus aberrant. « À chaque fois qu’une femme musulmane réclame des droits et prouve qu’elle n’est pas soumise, on lui rappelle qu’elle doit rester invisible », prétend cette féministe. C’est au nom de leur liberté, bien sûr, que des femmes se promènent avec un voile intégral, pourtant interdit par la loi du 11 octobre 2010, qui dispose que « nul ne peut, dans l’espace public, porter une tenue destinée à dissimuler son visage ». La pression intellectuelle est telle que cette interdiction a été prononcée non pas au nom de la laïcité mais pour des raisons d’ordre et de sécurité publics.

    Rokhaya Diallo accuse les politiciens de « [faire] de leur mieux pour empêcher [les femmes musulmanes] de faire quoi que ce soit en dehors de leurs maisons ». Jusqu’à reprocher à Macron d’avoir déclaré que le hijab n’était « pas conforme à la civilité dans notre pays ». Ironie de l’Histoire, elle juge que notre Président ne serait pas assez multiculturaliste. Dieu sait, pourtant, s’il fait des efforts ! Mais ce n’est pas encore, à ses yeux, suffisant. Comme si elle ne voyait de liberté que dans la soumission.

    Philippe Kerlouan

    Tribune reprise deBoulevard Voltaire

  • Les aides à la presse pour les grands groupes aux ordres !

    Les coups de pouce sous la forme d’aides à la presse ne parviennent pas forcément aux journaux qui en ont le plus besoin : quatre titres de presse accaparent en effet 30 % de ces subventions publiques.

    Entretien avec Éric Verhaeghe

    Source: RT France

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • À Saint-Denis : SUD organise un stage anti-Blanc… Un « jeune » tire sur un professeur

    Un ami, face aux agressions et aux violences qui sont le lot quotidien de la vie des habitants dans le 93, me déclarait avec ironie : « Heureusement que la Seine-Saint-Denis n’est pas en France ! »

    Cet humour destructeur cachait une rage difficilement contenue face à une délinquance journalière qui s’étend chaque jour un peu plus.

    C’est ainsi que le 11 avril s’est déroulée une scène particulièrement choquante dans un établissement scolaire de Saint-Denis en Seine-Saint-Denis.

    Un professeur du collège Elsa-Triolet a été braqué par un adolescent avec un pistolet à billes, lequel a tiré sur la jeune femme de 26 ans. L’auteur de l’agression, un ancien élève exclu il y a deux ans, a été arrêté peu après les faits.

    Selon France Inter, l’enseignante donnait un cours dans une salle située au rez-de-chaussée de l’établissement lorsque trois individus d’une quinzaine d’années, se trouvant dans la rue, ont commencé à interpeller les élèves de sa classe. Le professeur est alors sorti pour leur demander d’arrêter. Après l’avoir insulté, les délinquants ont lancé un pavé dans la vitre de la salle de classe, avant que l’un d’eux, escaladant la clôture, pénètre à l’intérieur. Il a alors crié : « C’est un attentat !», pointant un pistolet à billes vers la jeune femme. Puis il a tiré trois fois dans sa direction. La victime est parvenue à se protéger avec sa main. Elle n’a pas été blessée. Les deux autres jeunes n’ont pas été identifiés. L’enseignante traumatisée a indiqué à France Info : « J’étais dans la sidération parce que je ne connaissais pas l’individu. » En conclusion elle a expliqué : « Ce n’est pas un événement ponctuel. L’incident est d’une extrême gravité mais les violences, c’est tout le temps. »

    Le plus surprenant à la suite de cet attentat est le communiqué de SUD Education 93. Celui-ci titre en effet : « Encore un braquage d’une enseignante dans un collège ! A Saint-Denis comme ailleurs ça suffit ! #Pas de vagues. » Il indique ensuite que les personnels du collège Elsa-Triolet de Saint-Denis s’étaient mis en grève le lendemain après cette violente intrusion.

    Or ce même syndicat propose les 15 et 16 avril prochains un stage de formation pour les enseignants, sobrement intitulé « Comment entrer en pédagogie antiraciste ? ». Il est signifié dans l’introduction du programme : « Le traitement différentiel des populations non-blanches par l’institution scolaire apparaît comme de plus en plus décomplexé : il semble ainsi d’autant plus urgent d’y résister. » Ce même syndicat avait déjà prévu à la mi-décembre 2017 un stage intitulé « Au croisement des oppressions : où en est-on de l’antiracisme à l’école ? », proposant aux enseignants intéressés d’assister à deux ateliers en « non-mixité raciale », c’est-à-dire réservés aux personnes « racisées » ou, pour faire simple et sans langue de bois, aux non-Blancs.

    Ce colloque avait créé la polémique et le ministre de l’Education, Jean-Michel Blanquer, avait jugé « inconstitutionnelle et inacceptable » l’organisation de réunions réservées aux « racisés » lors d’un stage syndical.

    Comment s’étonner quand on observe ce type de soutien que des « jeunes » en arrivent à tirer (même avec un pistolet à billes) sur leur professeur ?

    « Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes », disait Bossuet. Aujourd’hui ce syndicat d’extrême gauche devrait battre sa coulpe face à sa responsabilité dans cette attaque.

    Guillaume Bernadac

    Article paru dans Présent daté du 15 avril 2019

    https://fr.novopress.info/

  • Le Sénat : un paradis fiscal pour des parlementaires fantômes

    Le Sénat : un paradis fiscal pour des parlementaires fantômes

    Les éditions du Rocher et Yvan Stefanovitch avaient publié Le Sénat : un paradis fiscal pour des parlementaires fantômes, et avaient été attaqués en justice.

    Le sénateur Hubert Falco avait essuyé un premier revers en perdant son procès contre le livre en 2016. C’est au tour de l’institution sénatoriale, entraînée par son président, d’être désavouée récemment par la Justice.  Cette décision adresse un message fort aux journalistes d’investigation : leur travail contribue à faire la lumière sur ce qui est caché aux citoyens.

    Oui il est possible d’écrire que le Sénat est opaque, confère des avantages injustifiés à ses membres, est coupable d’un absentéisme inconsidéré, de pratiques de vote en marge de la Constitution et comporte dans ses rangs des élus non qualifiés voire tricheurs alors que d’autres sénateurs sont exemplaires : présents et travailleurs, et méritent qu’on le dise.

    Débouté par la Justice, le Sénat qui a perdu le procès qu’il a lancé va désormais chercher à sauver la face au travers d’un exercice de communication dont il a le secret.

    Yvan Stefanovitch révèle dans cet ouvrage les privilèges fiscaux que se sont octroyés légalement ces princes de la République et le vaste système de triche qui permet à une partie d’entre eux, les « intouchables », de ne rien faire ou presque… Chaque sénateur paie l’impôt sur le revenu, non pas sur son indemnité totale mensuelle (11 350 euros nets), mais uniquement sur ses indemnités de base et de résidence (soit 4 140 euros nets). Il reçoit donc chaque mois, sur son compte bancaire, 7 210 euros au black, le plus légalement du monde !

    L’ouvrage publie l’identité restée secrète des 14 sénateurs sanctionnés au dernier trimestre 2015, pour absentéisme, par une simple amende de 2 130 euros prélevée, une fois pour toutes, sur leur indemnité parlementaire.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-senat-un-paradis-fiscal-pour-des-parlementaires-fantomes/

  • Défense des Identitaires, par Roland Dubois

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    On n’a pas encore entendu parler de dissoudre une seule des diverses officines gauchistes et anarchistes qui organisent et exécutent la casse et l’agression des forces de l’ordre dans toutes les manifestations d’une certaine importance.

    Mais le gouvernement estime urgent de mettre fin à l’existence de «Génération Identitaire».

    Il faut dire que les militants identitaires exagèrent. Ils s’affichent hostiles à l’islam et à l’immigration massive que nous subissons. Impardonnable en effet!

    Parmi leurs exploits récents? L’occupation symbolique d’un chantier de construction d’une mosquée à Poitiers; la mise en place, symbolique aussi, d’un barrage anti-migrants à la frontière italienne; et, il y a quelques jours, la mise en place sur le bâtiment de la CAF de Bobigny en Seine-Saint-Denis d’une banderole réclamant que l’argent des Français aille aux Français et pas aux étrangers.

    Le lecteur appréciera la dangerosité de ces énergumènes.

    Tous les adjectifs en «phobe» existants leur sont applicables.

    La presse nous informe que «les dix-neuf personnes interpellées vendredi après l’action anti-immigration du mouvement d’ultra-droite Génération Identitaire sur le toit de la caisse d’allocations familiales (CAF) de Bobigny seront jugées le 14 novembre pour entrave à la liberté du travail».

    Oui! Vous avez bien lu: «entrave à la liberté du travail».

    Cet État, qui tolère presque toujours depuis longtemps, les piquets de grève syndicaux, les blocages de dépôts pétroliers, les blocages de circulation par tout ce qui roule, les multiples grèves des transports publics, les casses de commerces, les quartiers interdits, sans se préoccuper du sort de ceux qui voudraient seulement travailler, cet État donc s’émeut soudain du scandale causé par ces dangereux fascistes.

    Il faut ajouter que le directeur de la CAF lui-même a dit que cet affichage a inquiété certains riverains qui ont cru à la réalité de la mesure et à la fin de l’état de grâce pour eux. On mesure l’émotion causée. On peut les rassurer. Il ferait beau voir que les Français aient priorité en France. Les élections européennes approchent. Électeurs, souvenez-vous!

    Roland Dubois

    Tribune reprise de les4verites.com

    https://fr.novopress.info/

  • Le péril vert

    3921802041.pngGeorges Feltin-Tracol

    Les observateurs politiques ont la fâcheuse habitude de se focaliser sur les résultats, parfois élevés, de l’« extrême droite ». Ils oublient de signaler que les Verts connaissent eux aussi de grands succès électoraux dans plusieurs États européens. Il est même possible aux prochaines européennes, la liste Verte conduite en France par le sortant Yannick Jadot dépasse l’estimation des 8 % prévue par les sondages.

    Les élections communales et provinciales d’octobre dernier en Belgique ont vu la percée des Verts, remportant trois bourgmestres dans la région de Bruxelles-Capitale au lieu d’un seul. Aux législatives de l’automne 2018 chez le voisin luxembourgeois, ils prennent cinq points, soit 15,13 %, et renforcent leur influence au sein de l’alliance ministérielle tripartite avec les socialistes et les libéraux. Le gouvernement du Grand-Duché compte dorénavant trois ministres et un secrétaire d’État Verts.

    Toujours en automne dernier, les élections régionales en Allemagne confirment leur succès : 17,5 % (+ 8,9 points) dans la très conservatrice Bavière, et 19,8 % (+ 8,7 points) en Hesse. En cas de législatives anticipées outre-Rhin, les Grünen deviendraient la deuxième force politique du pays aux dépens de la sociale-démocratie et pourraient s’entendre avec la CDU pour une coalition gouvernementale.

    Outre la formidable complaisance du système médiatique, les Verts qui sont souvent des écologistes de pacotille bénéficient du mécontentement latent présent dans l’ensemble des classes sociales. Les électeurs centristes, sociaux-libéraux et progressistes se détournent de leurs formations politiques habituelles, mais ils ne veulent voter ni pour la gauche radicale, ni pour les forces nationales-populaires. Restent les Verts considérés comme une forme convenable de protestation populiste.

    Cet engouement extravagant profite par ailleurs des grotesques « grèves scolaires » déclenchées par une adolescente suédoise qui ne cache pas de manger de la malbouffe industrielle… Ces rassemblements contre les dérèglements climatique font penser à cette manifestation organisée, il y a plus de trente ans, par le groupe Jalons à la station de métro Glacière contre le froid. Les participants criaient : « Hiver assassin ! Mitterrand complice ! ». Lycéens et écoliers se donnent une bonne conscience facile et continuent à fumer régulièrement des pétards sans se soucier du gaz carbonique ainsi rejeté. Pauvres jeunes crétins qui sèchent des cours certes idiots au nom de la lutte contre le réchauffement climatique…

    Politiquement schizophrènes (pour les souverainetés énergétique et alimentaire et contre les frontières), les Verts, cosmopolites et multiculturalistes, constituent donc une véritable menace pour l’avenir autochtone de la civilisation albo-européenne. Leur montée en puissance confirme en tout cas l’ouverture d’un nouveau cycle politique. Souhaitons que cette imposture soit vite révélée pour que s’affirme enfin un mouvement identitaire enraciné, tenant d’une écologie armée authentique, communautaire et organique.

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°120, mise en ligne sur TVLibertés, le 8 avril 2019.

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  • La vérité est ailleurs et Assange en prison

    lallegorie_de_la_simulation_musee_des_beaux-arts_angers_14932303058-236x300.jpgLe ministre des Armées, Florence Parly affirmait le 20 janvier dernier  sur France Inter: « Je n’ai pas connaissance du fait que des armes (françaises) soient utilisées directement au Yémen». Un mensonge gros comme ça, le même qui veut que les armes que nous vendons ne soient jamais utilisées que pour des actions défensives et non offensives pouvant mettre en danger les populations. Au Yémen, théâtre d’un conflit très meurtrier, notamment pour les civils, dans lequel l’Arabie saoudite entend mater les Houtis chiites soutenus par l’Iran, «les armes françaises» (avions, hélicoptères, frégates,  blindés,  canons, missiles…)  souligne francetvinfo, «sont présentes sur terre, sur mer et dans les airs, si l’on en croit un rapport de 15 pages classé confidentiel Défense de la Direction du renseignement militaire (DRM), daté du 25 septembre 2018, révélé par Disclose et la cellule investigation de Radio France.» Alors oui, Mme Parly, les armes sont faites pour dissuader mais aussi pour tuer et c’est également pour cela que notre (remarquable) industrie d’armement a des acheteurs dans le monde entier, y compris chez les grands humanistes que sont nos alliés (?) saoudiens. Il n’est pas nécessaire de prendre les Français pour des imbéciles pour essayer de les convaincre du contraire. C’est aussi stupide que les campagnes publicitaires lancées il y a quelques années pour recruter dans nos armées ou il était donné l’impression que le métier de soldat consistait à être un employé d’une ONG humanitaire chargé de la promotion des droits de l’homme. La tonalité des campagnes de pub en question n’est certes plus exactement la même aujourd’hui, les attentats islamistes de 2015 sont passés par là…

    L’arrestation jeudi à Londres, du fondateur de WikileaksJulian Assange – déféré devant un tribunal de la capitale britannique, Washington a annoncé son inculpation officielle pour « piratage informatique »- a été aussi l’occasion d’un festival d’hypocrisie, de silence gêné ou de propos délirants. Plusieurs Gilets Jaunes, en marge de l’Acte XXII de cette mobilisation, se sont d’ailleurs rendus samedi devant le siège journal Le Monde. Comme l’a relevé Meriem Laribi pour RT France, l’organisateur de ce rassemblement symbolique, Viktor Dedaj (responsable du journal d’ultra gauche Le grand soir) a vivement reproché au quotidien « d’avoir lâché le lanceur d’alerte (Assange, NDLR) après avoir largement utilisé les informations révélées par WikiLeaks. »

    Le Monde justement, a relayé  les propos du président équatorien, Lenin Moreno,  entré en fonction en 2017. Celui-ci affirme dans le Guardian  (mais qui peut sérieusement le croire?) «que Julian Assange a tenté de créer un  centre d’espionnage  dans l’ambassade d’Equateur à Londres, et a regretté (…) que le précédent gouvernement de son pays ait fourni des équipements dans l’ambassade qui ont permis d’interférer dans les affaires d’autres Etats ».

    « Nous ne pouvons pas permettre à notre maison, la maison qui a ouvert ses portes, de devenir un centre d’espionnage, a déclaré Lenin Moreno.  Cette activité viole les conditions d’asile , a-t-il ajouté, assurant que la décision de retirer l’asile à M. Assange  n’est pas arbitraire, mais repose sur le droit international Le président équatorien a aussi dénoncé l’attitude  absolument répréhensible et scandaleuse  de Julian Assange dans l’ambassade et son « comportement inapproprié en matière d’hygiène. Selon Quito, M. Assange aurait notamment souillé les murs avec ses excréments.» (Moreno) Lenin a donc dit et fait ce que Washington attendait de lui, mais la pression était à l’évidence trop forte pour un petit pays comme l’Equateur… et la grande Europe a été toute aussi pusillanime et même encore plus lâche.

    Julian Assange est donc maintenant décrit comme un aliéné, un fou.  Voilà qui complètera sa panoplie satanique, lui qui fut accusé un temps, par le biais d’une procédure odieuse et ridicule intentée contre lui en Suède, d’être un violeur et comme de bien entendu d’être un agent russe. Pour compléter ce portrait il a tenu des propos réactionnaires qui suffisent à justifier qu’il finisse dans un cul de basse-fosse. Mediapart, rapporte le site d’E&R soulignait ainsi dans le portait antipathique consacré au fondateur de Wikileaks que « Julian Assange (a multiplié) les prises de position polémiques, voire parfois difficilement compréhensibles. En septembre 2017, il affirme par exemple, chiffres à l’appui, que le capitalisme, l’athéisme et le féminisme sont responsables de la stérilité de nos sociétés qui, elle-même, est la cause de l’immigration. »

    Une déclaration qui n’est certes pas le meilleur moyen d’obtenir le compassion de l’Europe de Bruxelles dont la lâcheté devant l’Oncle Sam est devenue hélas proverbiale. Pourtant, comme l’écrivait Bruno Gollnisch en février 2016, la réclusion forcée de Julian Assange dans l’ambassade d’Equateur avait été condamnée par l’ONU et le député RN avait défendu son cas plusieurs fois au Parlement européen, y compris devant Mme Merkel et M. Hollande.

    «Julian Assange doit être accueilli sur le territoire de l’Union européenne, n’en déplaise au Big Brother  de Washington ajoutait-il.  Il est particulièrement scandaleux qu’une Europe qui laisse entrer sur son territoire des centaines de milliers voir des millions de personnes hâtivement qualifiées de  réfugiés politiques », refuse ce statut et l’asile à l’homme qui lui a révélé l’ampleur de l’espionnage de  l’allié  américain à notre détriment

    Les médias n’ont pas manqué non plus de décrypter le message lancé par M Assange au moment de son arrestation, par le biais du livre qu’il tient alors à la main. Il s’agit d’un ouvrage du romancier, essayiste (et parfait francophone) Gore Vidal, décédé en 2012 à l’âge de 83 ans, History of The  National Security State (L’Histoire de la sécurité nationale. Ancien député démocrate, mais assumant des positions libertariennes,  Gore Vidal ne craignait pas l’étiquette de populiste et les propos sulfureux. Il dénonçait dans ce livre d’entretiens, paru après sa mort sur internet en 2014, les guerres d’agression de Washington au Moyen-Orient, en Irak mais aussi les atteintes aux libertés des citoyens américains. M Vidal est aussi connu pour ses déclarations  très polémiques sur les attentats du 11 septembre 2001. Il doutait fortement de la version officielle de ce drame donnée par l’administration américaine

    Il estimait ainsi que George W. Bush, Dick Cheney, l’Etat profond US étaient au courant des projets d’attentats d’al-Qaïda sur le sol américain mais qu’ils ont laissé faire. Une divine surprise qui aurait permis de mettre en application les vues du géopoliticien et conseiller des présidents américains ( de Carter à Obama) Zbigniew Brzezinski. A la fin des années 90, ce dernier insistait sur la nécessité de contrôler les ressources énergétiques du Moyen-Orient, de renforcer la présence et la pression yankee en Asie centrale et en Eurasie. Le 11 septembre 2001 aurait donc été le prétexte pour intervenir militairement en Afghanistan, puis après pour liquider l’Etat laïque et nationaliste irakien (souvenons -nous des bobards sur les armes de destruction massive de Saddam Hussein) dans le cadre d’une vaste opération de remodelage de la région. Guerres que le peuple américain, affirmait M. Vidal, n’aurait pas cautionné sans l’immense choc psychologique généré par l’attaque contre les twin towers. On a vu depuis les catastrophiques résultats de cet interventionnisme US et du chaos sanglant qu’il a généré, sans parler de ses chocs en retour en Syrie comme en Libye…

    Nous sommes certes là avec l’analyse de Gore Vidal, en plein complotisme, et il parait extravagant pour le commun des mortels  qu’un gouvernement d’une grande nation démocratique ait pu sciemment sacrifier des milliers de ses citoyens en laissant se perpétrer un attentat. Mais les mensonges répétés, la propagande grossière dont nous sommes abreuvés et souvent les victimes apportent aussi de l’eau au moulin à ceux qui pensent, de manière délirante ou fondée, à tort ou à raison, que la vérité est ailleurs. Et pour le coup, Julian Assange en a aussi apporté des preuves concrètes via Wikileaks et ses révélations en cascade. C’est bien ce qu’on ne lui pardonne pas aujourd’hui et qu’on entend lui faire payer très cher.

    https://gollnisch.com/2019/04/15/la-verite-est-ailleurs-et-assange-en-prison/

  • Marine Le Pen : "Les migrants, c'est comme les éoliennes"

    marine-le-pen.jpgLa présidente du Rassemblement national explique que "tout le monde est d'accord pour qu'il y ait des migrants, mais personne ne veut que ce soit à coté de chez lui".
    "je considère avec Matteo Salvini, qu'il faut arrêter l'immigration". Cette phrase est signée Marine Le Pen.
    Invitée lors du Grand Jury RTL, Le Figaro, LCI dimanche 14 avril, la présidente du Rassemblement national a déclaré : 

    "Les migrants, c'est comme les éoliennes. Tout le monde est d'accord pour qu'il y en ait, mais personne ne veut que ce soit à coté de chez lui". 

    Marine Le Pen a pris l'exemple de la politique migratoire appliquée par Matteo Salvini en Italie. 

    "Depuis qu'il n'accepte plus le nombre de migrants en Italie, le nombre de débarquements a chuté de manière spectaculaire (...) Il a réussi à obtenir quelque chose qui devrait réjouir tous les humanistes : la baisse du nombre de morts en Méditerranée au large de l'Italie".[...]
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  • «Un mal français, sa pseudo élite» (André Gandillon) #Mars2019 #GiletsJaunes