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lobby - Page 853

  • Urgences ? Immigration stop !

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    L'avis de Jean-François Touzé :
    Eteindre les incendies tout en laissant se développer les départs de feu sans jamais s'opposer aux pyromanes, telle est, on le sait, la doctrine nouvelle d'un Emmanuel Macron en pleine chiraquisation, doctrine à laquelle tous les acteurs de l'Exécutif sont désormais priés de se soumettre.
    Agnès Buzyn, ministre de la santé n'échappera pas à cette règle. En annonçant un plan global en faveur des hôpitaux et plus particulièrement des Urgences en crise depuis des mois, la ministre tente donc de verser du sable sur les braises pour essayer de les réduire. Avec six cent millions injectés dans le système hospitalier destinés à restructurer les services, améliorer les traitements du personnel médical, mettre fin aux fermetures de lits et peut être même en rouvrir, la ministre espère apaiser la colère et gagner quelques précieuses années de calme jusqu'à la réélection en 2022 de l'actuel locataire de l'Elysée.
    Une fois de plus, la République des illusions, des artifices et du grand camouflage est à l'œuvre.
    Le vrai problème des Urgences n'est pas seulement financier même si la santé publique est un devoir d'Etat qui impose aux gouvernants de consentir les efforts budgétaires nécessaires.
    Le vrai problème des Urgences n'est pas l'incivisme supposé de nos compatriotes qui les pousserait à consulter en service hospitalier pour tout bobo subalterne.
    Le vrai problème des Urgences a un nom, une réalité et une exponentialité : IMMIGRATION!
    Seule une politique sans faiblesse d'arrêt total de l'immigration suivie d'un vaste plan de retour au pays rendra aux Français la qualité des soins auxquels ils ont droit dans la sécurité, et l'environnement paisible retrouvés de nos hôpitaux.
  • Droit de réponse du gouvernement hongrois aux mensonges de The Economist

    Droit de réponse du gouvernement hongrois aux mensonges de The Economist

    Voici le droit de réponse du gouvernement Hongrois à un article acerbe paru dans The Economist du 31 août 2019. Cette réponse nous a été traduite de l’anglais par un lecteur que nous remercions :

    Hungry’s Governement (dans le courrier des lecteurs de The Economist du 7 septembre)

    Les réalisations de Victor Orban en tant que premier ministre de Hongrie « sont mauvaises pour la liberté des Hongrois » indique votre article en page de garde (« L’enchevêtrement des pouvoirs » 31/08). En fait, c’est l’opposé qui est vrai. Les neuf dernières années du gouvernement d’Orban ont été bonnes pour le pays. La croissance du PIB est l’une des meilleures de l’UE et le taux de chômage a atteint  son plus bas historique. L’endettement du pays est en baisse tandis que le déficit public est largement en dessous des 3%. L’investissement est en hausse, les taux d’intérêts sont bas et les salaires réels grimpent. Le nombre de mariages est en hausse de 43% tandis que le nombre de divorces décroit. Le taux d’emploi des femmes a atteint son plus haut historique tandis que les avortements ont diminués de près d’un tiers. Tout cela n’est pas vraiment caractéristique d’une démocratie en disparition, mais plutôt indicateur d’un optimisme et de la confiance d’un peuple libre.

    De plus nous n’avons pas construit « une barrière pour éloigner les migrants moyen-orientaux ». Cette barrière a été construite pour prévenir toute entrée illégale dans l’espace Schengen. En sécurisant la frontière extérieur de l’UE la Hongrie répond aux obligations du traité de l’espace Schengen. La plupart de ces tentatives d’entrée illégales n’étaient pas le fait de réfugiés.

    Et oui, le parti au pouvoir a gagné trois fois de suite les élections parlementaires, ainsi que de nombreuses autres (avec une large marge). Cela nous a donné un véritable mandat populaire pour poursuivre notre politique. La presse hongroise, libre et véhémente fait un bien meilleur travail que The Economist, en se demandant pourquoi l’opposition ne parvient pas à conquérir les urnes. Vous, avec tous nos autres critiques, ne supportez pas la défense inconditionnelle de l’identité chrétienne de l’Europe par le Premier Ministre Orban. En conclusion, comme M.Orban l’a dit dans son discours de Juillet : « la démocratie libérale était capable de survivre jusqu’à ce qu’elle ait abandonné ses fondations chrétiennes ». [Ce que vous appelez] la démocratie non libérale n’est rien d’autre que « la liberté chrétienne et la protection de cette liberté ». De notre point de vue, le non libéralisme c’est essentiellement, mettre le bien commun en haut de l’échelle. Un non libéral est donc celui qui protège les frontières de son pays, qui protège la culture propre de sa nation.

    Zoltan Kovacs, Secrétaire d’Etat pour les communications internationales et les relations du Cabinet du Premier Ministre. Budapest.

    https://www.lesalonbeige.fr/droit-de-reponse-du-gouvernement-hongrois-aux-mensonges-de-the-economist/

  • Brexit : Boris Johnson seul contre tous – Journal du mardi 10 septembre 2019

     

    Brexit : Boris Johnson seul contre tous

    L’étau se referme sur Boris Johnson. Alors que le Parlement est désormais suspendu, le principe d’élections anticipées à de nouveau été rejeté. La Grande-Bretagne semble sombrer peu à peu dans la crise institutionnelle.

    Municipales : Serge Federbusch représentera le RN à Paris

    C’est officiel, le candidat d’Aimer Paris, Serge Federbusch mènera la bataille des municipales à Paris avec le soutien du Rassemblement National. TV Libertés est allé à sa rencontre.

    Urgences : un cautère sur une jambe de bois

    Le ministre de la Santé Agnès Buzyn annonce une enveloppe de 750 millions d’euros pour les urgences sur une période de quatre ans… une décision prise… dans l’urgence pour faire face à une grogne des personnels de santé qui ne devrait pas faire de miracle. Mais avant d’en arriver là, le gouvernement avait tout tenté pour minimiser la crise hospitalière. Retour sur une mesure superficielle et une manipulation qui a échoué.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/brexit-boris-johnson-seul-contre-tous-journal-du-mardi-10-septembre-2019

  • Afrique du Sud : les cocus ayant cru à la fable de la nation arc-en-ciel peuvent sortir des rangs et avancer de trois pas…

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    Communiqué de Bernard Lugan
    En Afrique du Sud, pays de Nelson Mandela, des Noirs massacrent d'autres Noirs.Qui plus est, des Noirs immigrés, des frères migrants venus de pays ayant jadis soutenu leur lutte contre le régime blanc...
    Comme en 2016, un peu partout, notamment au Natal et dans la région de Johannesburg, les étrangers noirs, qu'ils soient Malawites, Mozambicains, Somaliens, Zimbabwéens, Soudanais ou Nigérians, sont ainsi de nouveau pris pour cible, lynchés, brûlés vifs, cependant que leurs pauvres biens sont systématiquement pillés par des foules ayant échappé à tout contrôle policier.
    Voilà de quoi déstabiliser ces cocus idéologiques qui, croyant au mythe-guimauve de la « nation arc-en-ciel », prétendaient que les maux du pays découlant de la domination blanche, une fois la majorité noire au pouvoir, les fontaines de la démocratie laisseraient couler le lait et le miel de la fraternité...
    La réalité est évidemment autre car ces tueries xénophobes illustrent l’échec de la « Nouvelle Afrique du Sud » dont les dirigeants ont dilapidé le colossal héritage reçu de l’ancien régime blanc.
    Résultat :
    - Le revenu de la tranche la plus démunie de la population noire est inférieur de près de 50% à celui qu’il était sous le régime blanc d’avant 1994 ;
    - 17 millions de Noirs vivent essentiellement des prestations sociales et 14 millions ne survivent que grâce au versement d’une allocation (Social Grant) qui leur assure le minimum vital ;
    - Le taux réel de chômage est de près de 35%, et celui des jeunes âgés de 15 à 34 ans de plus de 50%.
    En 25 années de pouvoir, l'ANC - le parti de Nelson Mandela -, a donc transformé la prospère Afrique du Sud en un Etat du « tiers-monde » dérivant dans un océan de pénuries, de corruption, de misère sociale et de violences, réalité en partie masquée par les derniers secteurs ultraperformants encore tenus par des Blancs.
    Un naufrage économique qui tient en trois points :
    1) La production minière nécessite une énorme modernisation et donc de gros investissements ; or, la main d’œuvre noire revendiquant des salaires plombant la compétitivité, les investisseurs ont délocalisé.
    2) Les cadres blancs continuent à quitter le pays, chassés par la discrimination inversée, l’incroyable insécurité et le surfiscalisme.
    3) Le secteur agricole, le seul à être excédentaire a été littéralement assassiné par la décision de spoliation des fermiers blancs.
    Dans ce pays où un abîme s'est creusé entre une infime minorité de profiteurs noirs et des millions de chômeurs, d’assistés et de travailleurs sous-payés qui paralysent le pays avec de continuels mouvements de revendication, l’abyssal échec économique et social de l’ANC a donc débouché sur des violences xénophobes, les étrangers étant accusés de prendre le travail des plus pauvres.
    Au pied du mur, acculé par le bilan de ses détournements et de son incompétence, l’Etat-parti ANC n’a désormais plus que trois options :
    1) Chercher à redresser l’économie en empruntant une voie libérale, mais il provoquera alors une révolution.
    2) Accuser le bouc-émissaire blanc en tentant de faire croire que la situation est un héritage de l’apartheid et en nationalisant les mines et la terre.
    La « poule aux œufs d’or » sera alors définitivement tuée, comme au Zimbabwe, et le pays sombrera encore davantage dans la misère.
    3) Recourir à la « planche à billets », ce qui, comme au Zimbabwe, provoquera d’abord l’inflation, puis une hyperinflation et la ruine totale du pays.

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/09/afrique-du-sud-les-cocus-ayant-cru-la.html#more

  • Cancers dans le monde agricole : des chiffres qui ne font pas l’affaire des marchands de peur

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    Suite à différentes plaintes déposée par des maires inquiets de la santé de leur concitoyens, une polémique s’est développée sur la mise en place de limites autour des zones d’épandage agricole. Le gouvernement voudrait une limite entre 5 et 10 mètres, d’autres voudraient 150 mètres – autant dire un arrêt de l’agriculture intensive. Les reportages n’ont pas manqué, montrant des agriculteurs bio (comme par hasard) se plaindre de retrouver des résidus de pesticides sur leurs cultures. Mais quels sont exactement les risques identifiés ? Les reportages se sont montrés plus discrets à ce sujet.

    Si risques il y a, les agriculteurs traditionnels devraient être les premiers concernés car ils manipulent, respirent et sont, d’une façon générale, en contact direct avec les produits qu’ils épandent. De plus, leurs habitations sont très souvent au milieu des champs et des zones d’épandage. On pourrait donc s’attendre à ce qu’ils développent plus de cancers, de leucémies et autres maladies tant redoutées. Ce sont, bizarrement (ou pas), des informations sur lesquelles la presse traditionnelle s’est peu étendue.
    Or, il existe une étude, menée par l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM) et l’université de Caen, parue en 2014, et dont on peut facilement se procurer la synthèse sur Internet. Elle s’intitule « Enquête AGRICAN, agriculture et cancer ». On peut y lire : « La cohorte Agrican est l’une des plus grandes au monde à se pencher sur la santé du milieu agricole, et une des seules à avoir pris en considération les actifs comme les retraités, les salariés et les exploitants, les femmes aussi bien que les hommes. » Elle a été créée en 2005 et elle étudie plus de 40 cancers différents ainsi que des maladies respiratoires ou neurodégénératives. Les personnes qui en font partie sont interrogées régulièrement, ce qui permet de mesurer l’évolution des expositions.

    Que disait, en 2014, l’étude AGRICAN ? Eh bien, à celui de la population française dans son ensemble, le taux de mortalité par tumeur y est inférieur de 30 % chez les hommes et 24 % chez les femmes. Si l’on rentre dans le détail, les cancers des voies respiratoires y sont inférieurs de 49 % pour les hommes, 41 % pour les femmes, ceux des voies aérodigestives, de 42 % et 51 %, quant aux cancers hématologiques (leucémies, lymphomes…), les chiffres sont équivalents à ceux de la population totale pour les femmes et inférieurs de 11 % pour les hommes. Seuls les mélanomes et myélomes sont plus élevés dans le monde agricole (+26 %) du fait, probablement, de l’exposition plus fréquente au soleil.

    Même si le document de 2014 reconnaît que cette étude n’est pas parfaite, et qu’après trente années de recherche, le risque de cancer en milieu agricole n’est pas encore pleinement connu, ces chiffres parlent d’eux-mêmes : les écarts trouvés entre la population agricole et l’ensemble de la population sont significatifs et hors des zones d’incertitude des sondages. Alors, ne faudrait-il pas aussi les prendre en considération, plutôt que d’écouter aveuglément les marchands de peur ?

    Marc Le Menn

    https://www.bvoltaire.fr/cancers-dans-le-monde-agricole-des-chiffres-qui-ne-font-pas-laffaire-des-marchands-de-peur/

  • « Foulards de Creil », 30 ans après, par Franck Deletraz

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    Il est des anniversaires qui montrent à quel point le mal s’est aggravé et a répandu ses métastases dans l’ensemble de ce corps malade qu’est la France. Ainsi, le trentenaire de la fameuse affaire des « foulards de Creil » : partie de l’exclusion en septembre 1989 de trois collégiennes musulmanes qui refusaient d’ôter leur voile en classe, cette affaire – dont seuls quelques rares élus ont compris à l’époque qu’elle constituait un premier pas vers une organisation islamique des quartiers ethniques – allait susciter une vive polémique, au terme de laquelle le gouvernement socialiste, avec une pleutrerie incroyable, rejetait la responsabilité sur les chefs d’établissements d’accepter d’accueillir ou non les élèves voilées. Trente ans plus tard, et après l’adoption de multiples lois, les voiles et autres hijabsont complètement envahi l’espace public français, soulignant ainsi les progrès fulgurants de l’islamisation de notre pays.

    A l’époque déjà, les grands médias, les professionnels de l’antiracisme et autres « bonnes consciences » s’étaient bien sûr immédiatement indignés du renvoi de ces trois élèves musulmanes. Malek Boutih, alors vice-président de SOS Racisme, jugeant « scandaleux que l’on puisse au nom de la laïcité intervenir ainsi dans la vie privée des gens », avait exigé leur réintégration immédiate. Tout comme Danielle Mitterrand, qui avait appelé au… « respect des traditions » (islamiques seulement). Quant à Jospin, alors ministre de l’Education, après avoir déclaré qu’il fallait respecter « la laïcité de l’école », il s’était empressé d’ajouter que « l’école est faite pour accueillir les enfants et pas pour les exclure ». A la suite d’un « accord » avec les parents, l’établissement avait donc accepté en octobre de reprendre les trois élèves, en exigeant d’elles qu’elles cessent « tout prosélytisme religieux à l’intérieur du collège » et mettent « un frein à leur comportement agressif, notamment à l’encontre des élèves musulmans moins stricts qu’elles dans l’application de la loi coranique ». Or, dès le 19 octobre, les trois collégiennes revenaient avec leur voile en classe…

    L’instrument de conquête

    Cette affaire a été la première vraie « rébellion » contre l’autorité française d’une partie de la communauté musulmane vivant sur notre sol. Sur le modèle de Creil, les cas vont ainsi se multiplier un peu partout en France. Sans la moindre réponse ferme de la part de l’Etat. C’est ainsi qu’en novembre 1989, le Conseil d’Etat, saisi par Jospin, affirmera que tant qu’elle ne constitue pas « un acte de pression, de provocation, de prosélytisme ou de propagande » (ce qui est pourtant le cas), « l’expression des convictions religieuses ne peut être interdite à l’école ». Dans la foulée, les enseignants recevront une directive les abandonnant à leur sort et, surtout, à la pression énorme (y compris physique) des familles musulmanes…

    Depuis, l’Etat a bien sûr multiplié les lois : circulaire « Bayrou » de 1994, loi de 2004 proscrivant les signes religieux ostensibles dans les établissements scolaires, loi de 2010 interdisant de se « dissimuler le visage » dans les lieux publics, Charte de la laïcité à l’école de 2013… Avec une inefficacité totale, et largement prévisible puisque, à aucun moment lors de l’élaboration de ces textes, l’Etat n’aura eu le courage de désigner l’ennemi.

    Franck Deletraz

    Article paru dans Présent daté du 9 septembre 2019

    https://fr.novopress.info/215421/foulards-de-creil-30-ans-apres-par-franck-deletraz/

  • Le Rassemblement National est opposé à l’extension de la PMA

    Le Rassemblement National est opposé à l’extension de la PMA

    C’est la position officielle du mouvement selon Nicolas Bay :

  • Immigration : comment « la carpe et le lapin » est devenu « le loup dans la bergerie »

    Quand la France avait ouvert les vannes migratoires aux Nord-Africains dans les années 60, elle avait surtout le souci de répondre aux besoins en main d’oeuvre de ses capitaines de l’industrie, du bâtiment et des travaux publics, mais sans jamais se poser la question : « et si cette migration du travail censée être limitée dans le temps allait se transformer en migration durable ? »

    Une véritable politique migratoire est d’anticiper les problèmes que des populations qui sont le produit d’une culture à l’antithèse de la sienne, comme si l’on cherchait à marier la carpe et le lapin, allaient forcément induire alors qu’elle ne pouvait dire qu’elle n’en savait rien au regard de son passé colonial dans leurs pays d’origine.

    Elle avait ouvert la porte de sa bergerie, imprudente, insouciante et inconsciente du danger auquel elle exposait les siens.

    Les accueillant comme si c’était les Espagnols fuyant la guerre civile ou les Polonais et les Yougoslaves pour travailler dans les mines.

    Elle croyait que les musulmans allaient se faire leur place dans sa société sans imaginer un seul instant que partout où ils s’installent ils veulent islamiser leur nouveau milieu d’accueil. Tous les pays conquis par les musulmans ne ressemblent plus à rien et sont des cimetières pour des morts-vivants.

    Elle feignait de le savoir, elle était toute heureuse d’approvisionner ses entreprises grosses consommatrices de main d’ouvre non-qualifiée, alors qu’elle aurait dû inciter ses industriels à les robotiser.

    Après avoir concédé à leurs pays leur droit à l’indépendance elle avait le souci de les soulager de leur surplus démographique, devenue « la poubelle de l’Algérie » selon l’expression consacrée dans les années 70.

     La France prise dans la frénésie des trente glorieuses avait failli au principe de précaution dont elle paye le prix fort présentement et comme elle n’était pas à une bavure près elle s’était mise à galvauder sa nationalité en en fabriquant des Français de papier. Il ne suffit pas d’être né sur son sol pour devenir français. De même qu’elle aurait dû en finir avec cette schizophrénie juridique de bi-nationalité. Français ou rien. Elle n’a mis en place aucun garde-fou pour se prémunir contre le danger migrationniste musulman et son corollaire le terrorisme devenu le lot quotidien de ses concitoyens depuis la marche des Beurs sous le  premier quinquennat de François Mitterrand.

    Elle s’est tirée elle-même une balle dans la tête au grand dam de ses enfants.

    Un pays qui n’est pas dans le respect de ses propres lois ne peut pas attendre à ce que ces populations qu’il veut greffer sur la sienne le fasse

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.

    https://www.dreuz.info/2019/09/10/immigration-comment-la-carpe-et-le-lapin-est-devenu-le-loup-dans-la-bergerie/

  • Appel à la mobilisation sur les routes de France

    Appel à la mobilisation sur les routes de France
    La Manif pour Tous92@manifpourtous92

    Grosse ambiance sur les autoroutes franciliennes ce soir.
    Les automobilistes apprécient la défense de la paternité.
    Un avant goût de la forte mobilisation qui s'annonce

    Vidéo intégrée
    147 personnes parlent à ce sujet
  • De Panurge au Sheeple : l’espoir d’une Renaissance occidentale ?

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    Bernard Plouvier

    Au début de notre nouvelle ère globalo-mondialiste, des résistants nord-américains ont forgé un néologisme, celui de Sheeple : le peuple de moutons, asservi à la désinformation des chaînes télévisées et devenus dépendants de la nouvelle drogue, les réseaux sociaux.

    De fait, une majorité d’adolescent(e)s luttent contre leur angoisse existentielle en étant rivé(e)s, vissé(e)s, « scotché(e)s » à leur tablette Net ou à leur téléphone-microordinateur portable.

    Quant aux adultes, ils sont devenus des consommateurs béats de l’opium télévisuel, qui leur apporte des images (remaniées), des informations triées, voire « reforgées » par des orfèvres en manipulation.

    On comprend fort bien que l’ordinateur ou un téléphone portable branchés sur le Net distribuent l’information de façon quasi-instantanée et aseptisée. On élimine ce qu’il peut y avoir d’offensant pour la vue ou l’odorat dans les contacts humains pour n’en retenir que l’échange d’idées, le ping-pong des réactions, dans l’ambiance parfois survoltée, mais si délicieusement primaire du commentaire incisif, enthousiaste ou indigné.

    L’on assiste presque partout, du moins dans les zones couvertes par les satellites de télécommunications, au triomphe de la pensée réflexe, de l’automatisme idéatoire, résultat du formidable bourrage de crânes, du formatage de la pensée des moutons, dominés, bernés, dirigés par des loups.

    C’est ainsi que l’on en vient – grâce à un exemple, à peine semestriel, de tuerie perpétrée par un psychotique blanc, alors que l’on cache les milliers de meurtres effectués quotidiennement par des Noirs, des Maghrébins, des Latino-Américains, des Moyen-Orientaux – à exiger des Européens ou des Nord-Américains blancs qu’ils se dessaisissent de leurs armes  – « Turn in your guns » signifie : livrez vos armes à feu à la police… alors que l’exemple de l’Afrique du Sud démontre les risques évidents pour les Blancs de leur désarmement, face aux hordes noires surarmées.

    Certes, l’exemple cité n’est pas bon : « L’Afrique aux Africains » est un slogan légitime. Mais un jour, en Europe ou en Amérique du Nord, les populations de race européenne seront confrontées chez elles à la même stupidité : on aura désarmé la race civilisatrice, alors que l’islamo-pétrodollar et l’argent des trafics de drogue alimente d’énormes ventes d’armes aux à ceux venus d'ailleurs.

    Lorsque le prêtre (atypique) et médecin François Rabelais fixait pour la postérité l’image des « moutons de Panurge », l’Europe était bien installée dans sa Grande Renaissance, qui fit des Européens la race civilisatrice par excellence, non sans ratés c’est évident : rien de ce qui est humain ne peut prétendre à l’approche de la perfection.

    Le mouvement Sheeple, né au début du XXIsiècle aux USA, est l’avatar nord-américain des mouvements populistes, nés en Europe occidentale au contact des aspects les plus sordides et les plus dangereux pour notre avenir de l’imposition de l’American way of life.

    Il faut combattre le Mal par tous les moyens : des idées pour l’élite ; des slogans et des images pour la masse et c’est ce que fait le mouvement Sheeple et sa lutte « for Freedom ».

    Dans tous les cas, le but est de « désabrutir »… un néologisme vaut parfois mieux que cent discours.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/09/02/de-panurge-au-sheeple%C2%A0-l-espoir-d-une-renaissance%C2%A0occidental-6173345.html