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lobby - Page 908

  • Les évêques européens contre les « populismes »

    Les élections européennes approchent et les européistes s’affolent. Cette échéance électorale risque d’être désastreuse pour eux et de profiter aux partis souverainistes et « populistes ».

    Pour contrer une possible défaite des partis du sacro-saint « progrès », toutes les bonnes consciences ecclésiastiques viennent à leur rescousse. Après le Chemin de Croix pro-migrants du pape François, c’est au tour du président de la COMECE(Commission des Épiscopats de l’Union Européenne), Mgr Jean-Claude Hollerich, de s’engager ouvertement pour sauver une Union Européenne ouverte et pluraliste.

    L’actuel archevêque du Luxembourg, jésuite comme El papa argentin, ne supporte pas les « populismes » ni les souverainistes. Et il le dit dans un long texte publié dans le dernier numéro de la revue de la Compagnie de Jésus, La Civiltà Cattolica, dont les épreuves sont supervisées par la Secrétairerie du Vatican avant impression et dont le directeur, le père Antonio Spadaro, est un des proches conseillers du pontife actuel.

    Cette intervention de Mgr Jean-Claude Hollerich, chapeauté donc par la sphère bergoglienne, vise à orienter le vote des électeurs européens. Il ne s’agit pas d’un document rappelant la doctrine sociale de l’Église et des principes politiques intemporels mais bien d’une ingérence cléricale dans le jeu politique pour favoriser un certain courant progressiste et immigrationniste au détriment de l’autre, plus identitaire.

    Les attaques de Mgr Hollerich se caractérisent aussi par leur dureté envers les partisans du souverainisme : pour lui faire de la politique en se basant sur « les peurs » est un moyen « infâme » d’agir, les populismes d’ailleurs « écartant les problèmes réels » et minant le processus d’intégration européenne. Le président de la Comece n’hésite pas à pointer du doigt l’américain Steve Bannon et le russe Aleksandr Dugin, « prêtres de ces populismes ». Il condamne le Brexit « certainement un échec, un manque de dialogue franc et profond » et estime que l’identité européenne est « bien différente d’un passeport ». A 40 jours du vote pour le renouvellement de l’Euro-parlement, Mgr Hollerich voit dans les populismes une menace pour la démocratie :

    « Les peurs dans l’Europe de nos jours sont multiples et bien mélangées, elles conduisent, avec la montée des populismes, à une déstabilisation de nos démocraties et à un affaiblissement de l’union européenne. »

    L’évêque de Luxembourg continue son analyse des politiques nationales et familiales mises en avant par les mouvements identitaires et anti-immigration sur cette lancée simpliste et réductrice : « le sentiment de bien-être semblant avoir disparu », « certaines politiques populistes en profitent et donnent un nom aux objets de ces peurs qui peuvent ainsi se transformer en agressivité », les ennemis devenant alors « les migrants, l’islam, les juifs, etc. Un jeu infâme. »

    Et de conclure avec la ritournelle culpabilisante de l’Européen anti-immigration : l’urgence migratoire est « une honte pour l’Europe », la mer étant devenue « un mur de séparation faite d’eau » et « un immense cimentière ». Mais pire que les gouvernements qui ne veulent pas affronter ces urgences migratoires, ce sont ceux qui les agitent, accuse-t-il sans les nommer, pour construire « des identitarismes, des populismes, dans lesquels la nation devient un fantôme du passé » : ces derniers « veulent éloigner les problèmes réels, organisant des danses autour du veau d’or ».

    Pires que les politiciens francs-maçons, athées, vendus au mondialisme apatride, ce sont ces ecclésiastiques qui délaissent leur troupeau et ses intérêts pour plaire au monde et à ses œuvres, pour se soumettre à la mondanité du politiquement correct.

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/les-eveques-europeens-contre-les-populismes/107603/

  • Pâques sous le feu islamiste, donc : LE GRAND SILENCE.

    J’alertais dès hier sur l’origine islamiste des attentats au Sri-Lanka.
     Cela m’a valu une pénible tripotée de remarques de tous ordres de prudentistes et pontifiants de toute nature, pas loin de m’expliquer que l’attentat pouvait peut-être provenir de quelque bouddhiste qui aurait mal fait ses exercices de respiration zazen et en aurait conçu de l’agitation au niveau du plexus.
     J’ai préféré retirer cette publication afin qu’on ne me gâche pas mon dimanche de Pâques, cela m’ayant déjà pas mal contrariée.
    La plupart des communiqués français, lorsqu'ils émanent du camp autoproclamé "progressiste", naturellement mielleux d’indignation, évitent soigneusement de mentionner la nature radicalement anti chrétienne de ces attentats extrêmement meurtriers. 
    Tous ceux qui étaient si prompts à parler d’islamophobie voire à enfiler un foulard de soumission après l’attentat en Nouvelle-Zélande sont restés muets sur l’évidence. 
    Je rappelle donc que les chrétiens sont les pratiquants les plus persécutés au monde (4300 tués l’an dernier à raison de leur religion) et qu’ils le sont à très écrasante majorité du fait des islamistes.
     Quant aux attentats d’hier, les premières arrestations, les identités de certains des kamikazes ne font aucun doute : ce sont, comme je le mentionnais, des actes islamistes. 
    Les photos des tueurs circulent sur les chaînes étrangères, pas chez nous.
    Madame Loiseau, pourtant si prompte à convoquer la presse quant elle va à la messe et donc à instrumentaliser l’église quand ça l’arrange dans l’espoir pathétique de rameuter quelques voix de droitards égarés, au mépris des règles élémentaires de la laïcité, n’a pas été fichue (si j’ose dire) de mentionner le christianisme des victimes.
    Quant à ceux qui tournent le nez en objectant que le gouvernement sri-lankais a laissé cette menace et ces individus dangereux sur son sol et que donc c’est suspect, je ferais bien deux ou trois remarques sur nos fichés S et nos mosquées salafistes, mais en fait ce n’est pas même utile je crois, ça parle tout seul...
    Pendant ce temps, une église a été incendiée encore hier à Eyguières.
     Un soudanais s’est attaqué à une église de Munich pendant la messe pascale. 
    La routine quoi.
     Quant aux principaux médias télévisuels français, ils sont depuis de longues heures déjà passés à autre chose, le meurtre de chrétiens ne semble pas valoir autant que celui de la mal-nommée Christchurch.

  • Après les néo-nazis et autres populistes, voilà les complotistes !

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    Suite au dramatique incendie de Notre-Dame de Paris, le terme « complotiste » revient maintenant régulièrement ; pourquoi ? Parce que ces “dictateurs” de la pensée s’offusquent que l’on puisse envisager différentes hypothèses sur l’origine de l’incendie ; eh bien non, c’est interdit ! Il n’y en a qu’une seule, et puis voilà !

    Pourtant, il s’agira, comme dans toute enquête policière, de savoir si c’est un accident, un acte prémédité ou non, voire un attentat. Et seront prélevés un maximum d’indices qui amèneront à telles ou telles suppositions ; des témoignages vont venir conforter des hypothèses ; des relevés se feront, des interrogatoires auront lieu, puis décisions de justice avec écoute d’experts, plaidoiries, bref, tout un long trajet pour tenter au mieux de saisir la vérité sur le déroulement d’un fait.

    C’est ce qui se déroulera, du moins faut-il l’espérer, pour ce sinistre : je dis « faut-il l’espérer », car on sait qu’il est des accidents, des crimes ou des « suicides » qui sont restés non élucidés, ou avec leur part d’ombre ; inutile d’en évoquer ici, tout le monde en aura en tête ; je dis « faut-il l’espérer » aussi en pensant à des choses pouvant être déformées, occultées lors d’une enquête mal conduite, voire étouffées ; on en a eu aussi des exemples et certains, récents.

    D’une manière plus générale d’ailleurs, comment un chercheur, un scientifique, un philosophe fait-il pour tenter de quérir une vérité, s’il n’échafaude pas des hypothèses de travail ? C’est de la simple honnêteté intellectuelle !

    Pourquoi rappeler cela ? Parce que, ici ou là, des simples citoyens, des commentateurs, des spécialistes s’interrogent sur le fait que ne soit évoquée qu’une version quasi officielle : la thèse de l’accident ! En revanche, cette version unique, unique dès la nuit de l’incendie, ne pose nul problème à nombre de nos « politiques et journalistes » ! Non ! Le problème pour eux, c’est que l’on puisse simplement être dubitatif et envisager d’autres versions !!

    Question alors : à quoi servira cette enquête si ces journalistes et politiques connaissent déjà les conclusions, s’ils savent qu’il n’y a pas d’incendiaires, à un ou plusieurs endroits ? Que ces extra-lucides nous éclairent avant les experts et enquêteurs !! On parle, à juste titre (et pas assez d’ailleurs) de la prudence à avoir dans des jugements hâtifs formulés suite à une audition, une mise en examen, une plainte portée ; pourquoi cette prudence et sérénité recommandée et louée est-elle bafouée de la sorte par cette caste politico-médiatique en ce qui concerne cet incendie ? Le trouble naît de cette célérité du pouvoir et des médias de sembler imposer LA réponse unique, « l’accident ». Le doute grandit, alors que ces voyants médiatiques ne disposent d’aucun indice puisque l’enquête démarre ! La suspicion s’amplifie alors que ces devins vous interdisent toute interrogation que tout un chacun se pose, y compris des spécialistes, en vous méprisant !
    « Complotistes ! » crient-ils effrayés, les yeux hagards, gesticulant pour mettre en garde les gogos, comme ils crient « nationalistes !» ou « populistes ! » afin de vous mettre à l’écart, comme d’habitude, de tout débat et vous enfouir dans leur tiroir nauséabond de la « fachosphère ».

    Mais ce sont eux, les complotistes, qui nous affublent d’une façon ignoble d’une mèche, d’une moustache et de chemises brunes ! Ce sont eux qui annihilent l’interrogation et la réflexion en neutralisant la parole en nous soumettant leur diktat du prêt-à-penser !

    Loïc Mansard

    https://www.bvoltaire.fr/apres-les-neo-nazis-et-autres-populistes-voila-les-complotistes/

  • Face à la crise libyenne, la circulaire anti-ONG de Salvini

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    Alors que l’offensive du maréchal Haftar contre Tripoli lancée le 4 avril dernier fait craindre à l’Italie de nouveaux départs d’immigrants illégaux d’origine subsaharienne depuis les côtes libyennes et également une émigration libyenne depuis la Libye ou passant par la Tunisie, le ministre de l’Intérieur de la Ligue, Matteo Salvini, a émis cette semaine une nouvelle directive visant le fonctionnement des ONG qui opèrent encore en Méditerranée.

    La circulaire de Salvini vise tout particulièrement le bateau Mare Jonio battant pavillon italien puisqu’il n’est pas possible à l’Italie dans le cas de ce navire d’agir comme avec le navire Alan Kurdi (du nom de ce petit Syrien dont la mort tragique avait été – et continue d’être – exploitée à outrance par le lobby de l’immigration) de l’ONG allemande Sea-Eye : les 62 migrants récupérés le 3 avril par ce navire n’ont pu être débarqués à Malte le 13 avril qu’après que l’Allemagne, la France, le Portugal et le Luxembourg eurent accepté de prendre en charge l’ensemble ses passagers illégaux. Il y a quelques semaines, l’Italie n’avait en revanche eu d’autre choix que de permettre aux 50 immigrants illégaux du Mare Jonio de débarquer dans le port de Lampedusa (voir Présent du 23 mars), quitte à ouvrir une enquête sur les agissements de son équipage et à promettre de rapatrier rapidement tous les immigrants qui se verront refuser l’asile, ce qui n’est jamais une mince affaire avec les pays africains dont ces immigrants illégaux sont originaires.

    La directive de Matteo Salvini spécifie que le simple fait pour une ONG de faire stationner un bateau au large de la Libye doit être considéré par les autorités comme une coopération indirecte avec les passeurs et une incitation à l’immigration illégale en Italie. La circulaire souligne également le risque de présence parmi ces immigrants illégaux de terroristes et il rappelle l’obligation pour les navires des ONG de respecter les « prérogatives en matière de coordination des secours de l’autorité étrangère compétente ». Le commandant du Mare Jonio avait justement été accusé d’avoir désobéi aux consignes reçues des garde-côtes libyens.

    La directive du ministre de l’Intérieur a été envoyée au chef de la police, à la garde financière, à la marine et à la capitainerie (autorité responsable des ports), mais également à l’état-major des armées, ce qui a suscité une polémique entre le ministère de l’Intérieur et le ministère de la Défense dirigé par Elisabetta Trenta du Mouvement 5 étoiles (M5S), à propos des compétences respectives. Une polémique exacerbée par les divergences entre la Ligue et le M5S sur les questions migratoires. Pour la Ligue, les ports italiens sont définitivement fermés, et Matteo Salvini l’a redit cette semaine, tandis que pour le M5S, qui s’est exprimé par la voix de la ministre Trenta et celle du chef du M5S Luigi Di Maio, vice-premier ministre comme Salvini, la fermeture des ports est temporaire et il faudra le cas échéant accueillir les Libyens qui pourraient vouloir fuir la guerre dans leur pays. Mais pour Salvini, il n’y a pas de raison que ceux qui fuient les zones de guerre en Libye s’enfuient jusqu’en Italie.

    Olivier Bault

    Article paru dans Présent  daté du 18 avril 2019

    https://fr.novopress.info/

  • « Espérance banlieues » : une illusion devant la prise en main de la banlieue par les islamistes, en se donnant bonne conscience

    « Espérance banlieues » : une illusion devant la prise en main de la banlieue par les islamistes, en se donnant bonne conscience

    Bonne synthèse de Polémia sur la fuite en avant du projet Espérance banlieue, séduisant au premier abord, mais qui soulève, dans la durée, un certain nombre de problèmes de fond, que nous avions soulevés :

    Depuis quelques semaines, la Fondation Espérance banlieues défraie la chronique. Fondée en 2012 et abritée par la Fondation pour l’école (qui défend la liberté scolaire et une éducation de qualité en France), l’organisme qui gère 16 écoles dans des banlieues, a été l’objet d’un audit indépendant et de plusieurs articles de presse dénonçant de graves dysfonctionnements (abus de confiance, conflit d’intérêt et rémunération illégale du Président Eric Mestrallet).

    Le Conseil d’Administration de la Fondation pour l'école a décidé, le 9 avril dernier, de dissoudre sa fondation abritée, la Fondation Espérance banlieues. Persistera cependant une autre structure l’AREB (Association du Réseau Espérance banlieues), née en 2017, qui sera détachée de la Fondation pour l’école et continuera à gérer le réseau des 16 écoles labellisées « Espérance banlieues ». Amputée d’une de ses structures qui permettait de défiscaliser grassement l’Impôt sur la Fortune, « Espérance banlieues » survivra grâce à ses très grands donateurs (au premier rang desquels la Fondation Bettencourt-Schueller).

    Il est certain que le fait de soutenir « Espérance banlieues » permet aux bourgeois effrayés devant la prise en main de la banlieue par les islamistes de se donner bonne conscience à peu de frais. Mais que vaut vraiment Espérance banlieues ?

    De l’espérance au désespoir

    L’idée était singulière et attrayante : créer un nouveau modèle d’écoles hors contrat en banlieues, où l’on apprend aux jeunes générations actuelles, fils et filles d’immigrés, à « aimer la France » à travers sa langue et son histoire.

    Puisqu’il faut donner des gages au système, les écoles « Espérance banlieues » ne sont pas en reste. Melissa Theuriau et Jamel Debbouze sont mobilisés au chevet d’Espérance banlieues. Elles sont devenues des parangons de l’école de la diversité heureuse.

    La mission civilisatrice sauce « Espérance banlieues » se résume désormais au lever du drapeau tricolore le matin, une fois par semaine, quand ça se passe bien… Certaines écoles ont déjà convenu de ne pas le faire aussi régulièrement qu’affiché pour ne pas « froisser le voisinage »… L’uniforme est quant à lui « adapté » aux jeunes de banlieues : un « super sweat à capuche ». En mode « banlieues »… Et les enfants de l’école pilote Espérance banlieues prennent maitre Gims comme un modèle !

    Par ailleurs, la religion qui « ne doit pas être un problème » dans ces écoles, on l’évoque sans crispation aucune. A tel point que le jour de l’Aïd, les équipes enseignantes se posent la question de faire une journée pédagogique, pour éviter que les cours aient lieu ! Le modèle veut même que l’on aille plus loin dans l’expression des opinions personnelles des uns et des autres, mais à quel prix ? Celui de la finalité des écoles « Espérance banlieues » qui était d’assimiler. Rien que ça ! On préfère donc l’expression des singularités qui fait le terreau du communautarisme à la nécessité de la concorde nationale…

    Le mythe de l’assimilation

    Le projet d’Esperance banlieues n’est pas seulement de se substituer à l’Ecole de Jules Ferry là où elle a échoué, mais aussi de se substituer aux populations immigrées pour s’emparer de leur destin, à des fins d’assimilation. Toute école hors contrat est censée être une émanation de la société civile (tout citoyen peut en créer une dans le cadre de la loi). Ce type d’école est de surcroît choisi et non subi par les parents, premiers éducateurs de leurs enfants. Or les écoles « Espérance banlieues » sont fondées par des personnes extérieures aux quartiers où elles s’implantent. Les parents, en très grande majorité d’origine immigrée musulmane, y voient une école privée accessible (75 € par mois) qui protégera leurs enfants des miasmes de l’école publique impersonnelle, anti-religieuse et progressiste (théorie du genre, écriture inclusive…). C’est au fond le meilleur parti pour éduquer les enfants des musulmans les plus conservateurs…

    Quid de la France, de son histoire et du meilleur de sa culture ? Ils sont réduits au statut de « codes du pays d’accueil » (la France, sic). Entre l’ambition de faire de ces enfants des Français et la réalité, il y a un gouffre. Au fond, Espérance banlieues était une promesse d’assimilation à la France. C’est devenu la promesse de l’insertion professionnelle. Car les parents et enfants d’immigrés ont bien conscience des difficultés de leurs quartiers, des lacunes des écoles publiques, et du mal à trouver un emploi quand on parle mal le Français. C’est beau de prétendre donner un avenir aux jeunes. Mais Eric Mestrallet se félicite de ce que les « grands frères » protègent même les écoles Espérance banlieues … Pourquoi ? Surveiller, rappeler qui domine le territoire, bien perdu de la République. Alors croire qu’il est possible d’assimiler tout une banlieue qui vit depuis des décennies dans le rejet de tout ce qui s’apparente à la France, avec le degré de pression sociale qui y règne (islam, voile, drogue, tontine, etc.) relève au mieux du fantasme, au pire de l’aveuglement.

    Une gestion désintéressée ?

    Les récentes révélations publiques sur la gestion d’Espérance banlieues interrogent sur les raisons réelles de son expansion. Qui y trouve son compte ? Assurément le Président de la Fondation Espérance banlieues, Eric Mestrallet, qui touchait près de 5 000 euros par mois en se présentant partout comme un entrepreneur venant se pencher généreusement sur le sort des enfants de banlieues. Il est par ailleurs très révélateur que cette rémunération ait été demandée expressément par « des bienfaiteurs de premier plan », dont fait partie la Fondation Bettencourt-Schueller, de l’Oréal.

    Qui paie, commande, et le modèle « Espérance banlieues » s’étendra grâce à l’argent public qu’il cherche à obtenir, grâce au soutien des grandes fortunes mondialisées… Au fond, nous sommes face, à une triple soumission : soumission aux codes du système, soumission au Grand-remplaçant, et soumission aux multinationales friquées. Le projet qui fête ses 6 ans est mort-né de ses compromissions.

    https://www.lesalonbeige.fr/esperance-banlieues-une-illusion-devant-la-prise-en-main-de-la-banlieue-par-les-islamistes-en-se-donnant-bonne-conscience/

  • Eric Zemmour : “L’islam est en train de coloniser l’Europe chrétienne”

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    C’est sur la chaîne israélienne I24news qu’Eric Zemmour a déclaré : “L’islam est en train de coloniser l’Europe chrétienne“.

    Reprenant l’expression titre d’un de ses anciens ouvrages, Eric Zemmour craint que le « suicide français » ne s’accélère sous l’effet d’une islamisation galopante, le plus souvent tolérée par les Occidentaux.

    Nous ne serions alors pas loin de la « partition » évoquée naguère par François Hollande.

    https://fr.novopress.info/214313/eric-zemmour-lislam-est-en-train-de-coloniser-leurope-chretienne/
  • Incendie de Notre-Dame : les islamistes applaudissent, les gauchistes en rient, les anarchistes encouragent

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    En reprenant l’histoire de Notre-Dame, on réalise à quel point ce vaisseau de pierre, chéri par les Français et même bien au-delà, considéré comme un élément essentiel du patrimoine universel, a aussi suscité à toutes les époques, mais spécialement à l’époque moderne, la haine destructrice d’une petite minorité.

    Il n’est donc pas surprenant que des voix s’élèvent aussi – surtout sur internet – pour se réjouir de l’incendie. La plupart de ces tweets, la plupart de ces messages de haine, proviennent d’extrémistes musulmans, qui applaudissent cette « punition d’Allah ». Messages d’autant plus grotesques que si Notre-Dame de Paris est un symbole d’abord religieux pour les chrétiens – les catholiques en premier chef –, elle est sans doute surtout un marqueur de l’identité parisienne et française, pour beaucoup de nos concitoyens, au même titre que la tour Eiffel et l’Arc de Triomphe. Et elle est, pour le monde entier, un élément du patrimoine universel, comme les pyramides d’Egypte, par exemple, qui, pour le coup, sont les témoignages d’un culte mort. Aussi la joie de certains fidèles d’Allah est-elle totalement incompréhensible aux yeux du plus grand nombre.

    Quelques exemples de messages ? « C’est le plus beau jour de ma vie. Je suis très très content » (Samir Bouafia) ; « dommage y avait pas de juifs à l’intérieur. On aurait pu faire un bon coup » (Majunali75) etc. Une déferlante ? En tout cas, plusieurs centaines de messages de ce genre ont envahi la toile. Et il continue à en tomber.

    « Délire de petits blancs »

    Mais plus grave encore, si l’on peut dire : des dirigeants de l’Unef, le syndicat étudiant de gauche, subventionné, marchepied des carrières politiques au PS ou à la France insoumise, ont envoyé des messages qui laissent sans voix, par leur stupidité, leur méchanceté, leur haine de la France et leur racisme : « Je m’en fiche de Notre-Dame de Paris comme je me fiche de l’histoire de France. Jsp quoi, allez-y mentionnez-moi jusque les gens ils vont pleurer pour des bouts de bois. Wallah vs aimez trop l’identité française alors qu’on s’en balek objectivement. C’est votre délire de petits blancs » (Hafsa Askar). La direction de l’Unef a apporté son soutien (un peu gêné, tout de même) à ces dérapages immondes. L’avocat William Goldnadel annonce pour sa part qu’il va porter plainte. Il y a donc les islamistes qui se réjouissent, et les gauchistes qui se moquent du chagrin des défenseurs du patrimoine universel.

    Mais voici la cohorte de ceux qui encouragent les incendies d’églises, les anarcho-communistes, les black blocs. Depuis quelques heures, un tee-shirt se vend comme des petits pains sur les sites anarchistes. Il porte le slogan suivant : « la seule église qui illumine est celle qui brûle ». Il s’agit d’une citation de l’un des pires tueurs anarchistes de la guerre d’Espagne, le dénommé Buenaventura Durruti. Le professeur de faculté Thierry Lodé, habitué de France Culture, admirateur de Durruti, et bien d’autres de ses congénères, ont contribué à propager ce genre d’ineptie, au nom de l’anarchie. Le problème étant qu’ils s’expriment en toute liberté dans nos établissements d’enseignement et sur les radios d’Etat, véritables gourous des black blocs et autres tueurs en puissance. Cet incendie, qui présente les apparences d’un accident, risque de susciter des vocations de pyromanes chez ces gens-là.

    Francis Bergeron

    Article paru dans Présent daté du 17 avril 2019

    https://fr.novopress.info/

  • La tempête se prépare


    Par Jose Espinosa 

    L'acte 23 s'achève dans les fumées des lacrymos et des tirs de LBD (armes condamnées par l'ONU, par les défenseurs des droits de l'homme).Une fois encore, Macron préfère le chaos au dialogue républicain. 
    Adossé à son ministre de l'intérieur qui a annoncé la veille que les casseurs seraient présents ce qui s'est vérifié à croire que Castaner les a appelé en renforts pour discréditer la manifestation. 
    Macron joue son va-tout en misant sur la répression et la violence. 
    Plutôt que de répondre aux revendications de la population, il s'arc-boute sur son cap. 
    Il a utilisé l'incendie de Notre-Dame pour tenter une factice unité nationale mais Notre-Dame a livré sa révélation: l'argent ne manque pas en France et il est concentré dans les mains des privilégiés milliardaires. 
    En un clic, un milliard est apparu. 
    Les gilets jaunes et ceux qui n'ont pas de gilet exigent plusieurs clics pour satisfaire les besoins de la majorité du peuple. 
    Or Macron refuse de rétablir l'impôt sur la fortune qui rapporterait 3 milliards et demi. 
    Il refuse d'arrêter le versement du CICE ( 40 milliards) aux entreprises de Bernard Arnaut, de Niel, de Pinault et des autres privilégiés qui préfèrent licencier, brader l'emploi, délocaliser, spéculer contre notre nation.
    Ce soir, l'évènement saute aux yeux: les couches moyennes et populaires entrent en insurrection pacifique. 
    Le soutien de la population demeure, les gens souhaitent une autre politique sociale, fiscale, environnementale et démocratique que Macron s'obstine à refuser. 
    Ce qui monte dans le pays c'est une colère contenue, générale, capable de ressouder le peuple français. 
    Tous les regards se tournent vers les annonces que Macron fera jeudi. 
    Va-t-il changer de cap? 
    Je ne le pense pas. 
    Son intervention va rallumer les rancoeurs, les divisions et le désordre qu'il a créé depuis ses 20 mois de présidence. 
    Pourtant la seule solution politique envisageable pour sortir de la crise, c'est le retour devant les électeurs par la dissolution de l'assemblée nationale. 
    Nouveau refus de Macron.
    Ce soir les commentateurs se déchaînent. Sur LCI, la présentatrice nous parle de gilets ultra jaunes. Que ne vont-ils pas chercher pour nous salir, nous amalgamer, nous diviser? 
    Ils osent traiter Jérôme Rodrigues de fasciste parce qu'il a affirmé comprendre la radicalité du mouvement. 
    Incroyable et délirant! 
    Certains journalistes ne se contrôlent plus. 
    Leur discours et leurs images évitent de montrer l'importance des manifestations qui ont lieu dans tout le pays et le nombre de participants en nette remontée. 
    Et rien sur les revendications qui sont à la base du mouvement. 
     Je me demande si ces journaleux ne souhaitent pas attiser les braises croyant que la violence va aider Macron à grimper dans les sondages électoraux. 
    Calcul politicien voué à l'échec. 
    Jeudi, la responsabilité du président est engagée. 
    S'il veut baisser la tension sociale, il le peut en proposant un changement d'orientation politique. 
    S'il refuse, ce qui est probable, il prendra la responsabilité de l'élargissement des luttes qui ne manqueront pas de grandir. 
    Le 1er mai devient un moment de rassemblement et de convergence très attendu et espéré.
    source

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/04/20-avr.html#more

  • Triste anniversaire de la loi Taubira

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    Triste anniversaire : Le 23 avril 2013 était votée la loi Taubira ouvrant aux personnes de même sexe la possibilité de se marier entre elles et d’adopter. Les circonstances qui ont entouré le vote de cette loi n’ont pas fait honneur à la démocratie de notre pays. En plus de la divergence anthropologique, le mépris, la violence, les oukases, les barbouzeries et l’injustice dont ont abusé un pouvoir pervers laissent des traces douloureuses dans la société. Des années après, la fracture n’est toujours pas réduite, comme en témoigne la mobilisation lors des Etats-Généraux de la Bioéthique et le déni de ceux qui rêvent d’une société libérale-libertaire.

    Le 23 avril à partir de 20:00, des Sentinelles de Paris veilleront place Vendôme pour redire silencieusement leur refus de voir bradée une anthropologie respectueuse de la dignité de l’homme pour laisser la place à une seule logique de marché. Elle témoignerons ainsi de leur détermination à demander, sans jamais se lasser, l’abrogation de cette loi scélérate.

    Elle se tiendront debout, silencieuses, éloignées les unes des autres, pacifiques, sans slogan ni signe distinctif et elles respecteront l’ordre public. Comme toujours. Vous pouvez les rejoindre pour vous aussi veiller, que ce soit 10 minutes, une heure ou plus si le coeur vous en dit.

    Vous êtes les bienvenus.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Vous y croyez encore?

    agora.jpgLe Monde  indiquait hier que les promesses de Brexit trahies par Theresa May  devraient déboucher sur une déroute électorale de son parti  aux élections européennes auxquelles seront conviés les électeurs britanniques. A moins que «  le  deal avec les Vingt-Sept soit ratifié avant le 22 mai »,  « mais cette perspective s’éloigne. » Dans ces conditions « tous les sondages annoncent un désastre pour le Parti conservateur, qui ne recueillerait que 16 % des voix (contre 23,1 % lors du scrutin européen de 2014 », «  au profit des deux formations d’extrême droite (…) le Parti pour l’indépendance du Royaume-Uni (UKIP) »,  « aujourd’hui ouvertement xénophobe et anti-islam »   « et le Parti du Brexit que vient de fonder Nigel Farage, ancien dirigeant du UKIP. Les derniers sondages créditent au total leurs deux formations de 25 % à 29 % des voix. » De promesses aussi , Emmanuel Macron  n’a pas été avare. L’annonce officielle des conclusions pratiques,  politiques qu’il entend tirer de la fronde populaire et sociale de ces derniers mois,  que le pouvoir a tenté de canaliser par le pseudo Grand débat , a cependant été reportée. Mais le drame de lundi en a fait surgir une nouvelle , de l’ordre du symbole.

    Nous voulons parler bien sûr  de la promesse du chef de l’Etat de rebâtir de Notre-Dame en 5 ans, sous la supervision du général Jean-Louis Georgelin  nommé «représentant spécial» en charge de  «veiller à l’avancement des procédures et des travaux. » Un  délai  sujet à polémique puisqu’il  peut conditionner la nature même de ladite reconstruction, des choix techniques , esthétiques,  qui seront opérés pour la mener à bien… Selon les experts, il faudrait envisager de 5 à 20 ans de travaux,  le tout pour un coût qui devrait avoisiner le milliard d’euros… Ce qui est certain c’est  que le chantier pour effacer les ravages de l’incendie de Notre-Dame de Paris sera hors-norme, mais qu’il  peut être parfaitement mené à bien. Accordons à Donald Tusk, président du Conseil européen de dire le vrai quand il a dit implicitement que cette tâche était à la hauteur du génie français  rappelant,  « en tant que citoyen de Gdansk, que cette ville a été détruite et brûlée à 90% et a été reconstruite… »

    Mardi, dans son éditorial de L’Opinion,  Nicolas Beitout a dénoncé  les rumeurs d’attentat, « le complotisme le plus crétin » sur les réseaux sociaux autour de ce drame. Il a aussi fustigé  les attaques contre les grands groupes accusés de mener une opération de communication en mettant qui la main à la poche pour à la reconstruction de Notre-Dame. Un effet d’aubaine dénoncé par certains, avec la déduction fiscale, annoncée par Edouard Philippe,  de 66 % au-delà de 1000 euros pour les dons des particuliers en faveur de la reconstruction pour laquelle, prévient un longue analyse de l’Afp , «  les contribuables risquent de payer-deux fois.  » « Pour autant, François-Henri Pinault a annoncé que sa famille ne ferait pas valoir l’avantage fiscal auquel pouvait prétendre son don de 100 millions d’euros. La famille Pinault considère en effet qu’il n’est pas question d’en faire porter la charge aux contribuables français indique dans un communiqué le président de la holding familiale et PDG du groupe de luxe Kering

    Mais « pas de trêve, non plus, pour la haine » se désole M. Beitout, «  celle qui s’est déversée par dizaines et dizaines de milliers de messages sur les réseaux sociaux contre  les-milliardaires-qui-préfèrent-donner-pour-des-vieilles-pierres-plutôt-que-pour-les-pauvres . Pas de pause dans le combat viscéral contre ces très riches Français : ils offrent, ce n’est pas assez ; ils donnent, c’est la preuve qu’on pouvait leur prendre. Dans les caisses vides d’un Etat surendetté, cet argent a beau être une aubaine et la seule condition d’une reconstruction rapide de Notre-Dame, la jalousie ne fait jamais relâche.Partout dans le monde, on applaudit ceux qui donnent pour les arts, qui financent la culture ou sauvent un pan d’histoire. Partout, les mécènes sont remerciés pour leur générosité. Rares sont les sociétés où on les déteste. Ce sont des pays tristes. »

    Pays triste la France et dont le complotisme serait un symptôme de ce mal-être ? Pays inquiet assurément pour son avenir et avec de bonnes raisons de l’être. Inquiétude fondée qui, chez beaucoup de nos compatriotes,  n’a rien à voir avec un quelconque ressentiment contre les riches. Il s’agit plus précisément d’une colère plus ou moins sourde contre une caste jugée responsable de la montée en puissance ces dernières décennies , par impuissance, incapacité, rapacité ou idéologie de toutes les insécurités sociale, économique, culturelle, identitaire.

    Est-ce se complaire dans la pensée complotiste que de le dire ? Le mois dernier dans Valeurs actuellesPierre-André Taguieff notait que  « si un complot se définit comme une action planifiée en secret par un petit groupe d’individus visant à s’emparer du pouvoir, à le conserver ou à l’influencer, on doit reconnaître que l’histoire universelle est remplie de complots réels, qui ont abouti ou échoué. Mais l’histoire universelle est aussi pleine de complots imaginaires, objets de croyances collectives. Et, dans de nombreux cas, l’existence de complots réels s’accompagne d’une profusion de complots chimériques, qui peuvent cacher des complots réels ou en susciter. » Une grille de lecture qui correspond peu ou prou à celle que Bruno Gollnisch s’était évertué à exposer, dans l’hostilité générale il y a quatre ans maintenant, invité d’une émission du service public alors animée  par Franz-Olivier Giesbert…

    La réflexion de Charles Baudelaire est célèbre,  «  La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il n’existe pas.» Pareillement,  le discours de certains  réseaux discrets ou occultes consiste aussi à affirmer que celui qui estime envisageable une action planifiée en secret par un petit groupe d’individus pour s’emparer du pouvoir, le conserver ou l’influencer est un dangereux paranoïaque animé par de mauvais instincts. Vous y croyez encore?

    https://gollnisch.com/2019/04/18/vous-y-croyez-encore/