Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 910

  • Saint-Leu-la-Forêt (95) : La préfecture refuse un projet de crèche et impose en catimini un centre d’hébergement d’urgence

    Saint-Leu-la-Forêt (95) : La préfecture refuse un projet de crèche et impose en catimini un centre d’hébergement d’urgence

    Pendant le lancement du grand débat national, l’étatisme se poursuit avec des décisions prises par les préfectures sans aucune concertation avec les élus locaux, preuve s’il en est que ce grand débat est un enfumage massif. Ce n’est pas la parole qu’il faut donner au peuple, mais le pouvoir, selon le principe de subsidiarité, bien rappelé dans le courrier ci-dessous.

    Sébastien Meurant, sénateur LR du Val d’Oise et ancien maire de Saint-Leu-la-Forêt, écrit au préfet :

  • La justice française à la pointe de la haine du Français

    Quelques récentes décisions de la Justice française engendrent quelques réflexions sur l’impartialité des juges français et leur liberté de juger face à la pensée unique…

    6 jeunes nationalistes, âgés de 20 à 27 ans, ayant revêtu le gilet jaune lors de l’acte III du 1er décembre dernier ont écopés de peines sévères après avoir été reconnus coupables de « participation à une entente en vue de commettre des violences ou des dégradations » : trois des six garçons écopent de 4 mois de prison avec sursis, avec une interdiction de se rendre à Paris pendant six mois pour les deux provinciaux. Deux sont condamnés à 6 mois de prison avec sursis et 105 heures de travaux d’intérêt général. Et le dernier, le seul à comparaître détenu, prend 3 mois de prison ferme, mais sans mandat de dépôt (ce qui signifie que son reliquat de peine pourra être aménagé par un juge).

    « Cette fois ça y est, vous avez vos fachos ! », a tonné, ironique, Me Frédéric Pichon, le conseil d’un des six prévenus au tout début des débats. « Il a une carte du Front national, une raison de plus de l’enfermer ! » a-t-il ajouté. Selon une “note blanche”, donc anonyme, rédigée par un service de renseignements spécialisé et transmise à la justice, ces jeunes nationalistes sont en effet qualifiés de “néo-fascistes”. Le qualificatif qui tue !

    La justice française est soudainement devenue inflexible et rigoriste, elle qui a plutôt l’habitude d’user d’une large clémence lorsqu’il s’agit de « jdeunes » de banlieue. Il suffit de lire France Orange mécanique de Laurent Obertone pour avoir une petite idée du laxisme judiciaire lorsqu’il s’agit de chances pour la France…

    Autre décision : le militant identitaire Boris Le Lay a été condamné à 6 mois de prison ferme pour avoir écrit « il n’y a pas de celtes noirs ». Et le rappeur noir Nick Konrad a été condamné à payer une amende de 5 000 € avec sursis pour avoir chanté « Pendez Les Blancs ».

  • L’Etat matraque les automobilistes… et pleure la fermeture de l’usine Ford

    L’Etat matraque les automobilistes… et pleure la fermeture de l’usine Ford

    Ford Motor Company (FMC) a annoncé, le 13 décembre 2018, vouloir fermer sa filiale Ford Aquitaine Industries (FAI) installée à Blanquefort dans la banlieue bordelaise. Cette fermeture est la conséquence directe du rejet par Ford de l’offre de reprise faite par le groupe belge Punch Powerglide. L’établissement, qui compte aujourd’hui 850 collaborateurs, va donc fermer en août 2019. Bien évidemment, c’est un drame pour les salariés concernés et leurs familles, et pour l’économie locale.

    Sur le plan des hauts cris, on peut dire que nous avons été servis. Le maire de la commune, Véronique Ferreira, a parlé d’une « décision incompréhensible ». Alain Juppé, le président de Bordeaux Métropole, a fait part de son « indignation ». Le président de la région Nouvelle Aquitaine, Alain Rousset, a qualifié cette décision de « totalement inadmissible ». Jean-Luc Gleyze, président du département, et Christine Bost, vice-présidente, ont écrit : « Nous sommes scandalisés par la stratégie du Groupe Ford. Une stratégie indigne au regard des 7 milliards d’euros de profits que le Groupe a dégagés en 2017 ». Quant à Bruno Le Maire, le ministre de l’économie, il a déclaré devant les députés :

    « Je suis écœuré. Je suis révolté par cette décision qui ne se justifie que par la volonté de Ford de faire monter son cours de Bourse. Je veux dénoncer la lâcheté de Ford à qui je demande de parler depuis trois jours et qui n’a même pas eu le courage de prendre le ministre de l’Économie et des Finances au téléphone. Je veux dénoncer le mensonge de Ford qui dit dans son communiqué que l’offre de Punch n’est pas crédible. […] Je veux dénoncer la trahison de Ford vis-à-vis des plus de 800 salariés du site de Blanquefort à qui je veux rendre hommage. Parce qu’ils avaient accepté de réduire leurs salaires, de réduire leurs RTT, de faire des efforts considérables » (…) Ils ont été trahis par Ford. Les salariés, les syndicats, Philippe Poutou ont été à la hauteur de leurs responsabilités, là où Ford ne l’a pas été ».

    Il n’aura pas échappé au lecteur attentif que le ministre de l’économie a jeté des fleurs à Philippe Poutou. L’ancien candidat du Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) aux élections présidentielles de 2012 (1,15 % des voix) et 2017 (1,09 %), passablement oublié depuis, a en effet envahi les médias à cette occasion au titre de représentant CGT du personnel de l’usine. Mais peut-on vraiment accorder un quelconque crédit en matière de gestion d’entreprise à Philippe Poutou et à ses collègues de la CGT ?

    Bien sûr, Emmanuel Macron aussi y est allé de son couplet. Il a déclaré :

    « Je crois à une économie sociale de marché, mais je ne crois pas au cynisme et je considère que le geste fait par Ford est un geste hostile et inacceptable ».

    […] Les pouvoirs publics, qui distribuent des subventions d’une main, contraignent les automobilistes de l’autre main : taxes multiples et importantes, limitations de vitesse, contrôles techniques toujours plus sévères… Sans compter la politique visant à exclure l’automobile des villes et à créer des bouchons. Faut-il vraiment s’étonner que les Français roulent moins et achètent moins de voitures ? Et l’offre toujours plus abondante de véhicules en location ou en partage, tout comme le transport partagé (Blablacar par exemple), n’arrangent rien.

    Par ailleurs, si la croissance du secteur est ailleurs qu’en Europe, il paraît évident que celle des usines automobiles est alors plutôt principalement située en Asie. Bref, le marché automobile est en mutation. Il est donc normal que des centres de production ferment pendant que d’autres ouvrent ailleurs.

    L’usine de Blanquefort fabrique des boîtes de vitesse automatiques et la maison-mère a décidé de s’en séparer car elle se trouve aujourd’hui en surcapacité. En effet, la demande de boîtes automatiques, si elle progresse de manière continue en Europe, est tout de même moins élevée que prévue. Par exemple, pour la Ford Fiesta qui est sans doute le véhicule le plus vendu de la marque, les boîtes automatiques ne représentent que 6 % des ventes. Ensuite, le marché évolue toujours davantage vers l’électrique qui ne demande pas de transmissions automatiques traditionnelles. C’est une autre technologie qui est mise en œuvre.

    Ainsi Ford n’a pas vraiment d’autres choix que de fermer une usine parmi les trois que possède le constructeur américain. Malheureusement, le choix est vite fait puisque les autres usines sont implantées aux États-Unis (marché-roi de l’automatique) et en Asie (marché en pleine expansion). Produire à Bordeaux pour livrer Chicago, Kansas City, Haiduong (Vietnam) ou Chennai (Inde) n’aurait pas grand sens économique, pas plus que logistique ou écologique.

    Ford détient toujours en partie l’autre usine de Blanquefort, qui fabrique des boîtes de vitesse manuelles. Une partie du capital a été cédée en 2000 au groupe allemand Getrag (qui appartient désormais au groupe canadien Magna). Mais les boîtes de vitesse manuelles ne sont pas vraiment menacées en Europe puisque les trois quarts des voitures en sont équipées.

    D’une manière générale, Ford n’est pas en bonne santé en Europe. Sa part de marché est passée de 11 % en 2000 à 6,4 % en 2018. L’entreprise a ainsi annoncé le 10 janvier une réorganisation de ses activités avec, à la clé, des suppressions d’emplois. Par exemple, la production des monospaces va être arrêtée en Allemagne, et le sort de la co-entreprise Ford Sollers en Russie est en suspens.

    Ford ne veut pas céder l’usine

    Ford a déjà cédé FAI en 2009 au groupe HZ Holding. Mais ce dernier n’a pas réussi à développer la production dans l’éolien comme prévu et a connu alors des difficultés financières importantes. Résultat des courses : Ford a racheté son usine en 2011. Le constructeur anticipait alors un sursaut du marché russe et a même investi 160 millions d’euros pour développer l’outil de production.

    Chat échaudé craignant l’eau froide, on comprend que le géant américain soit très prudent vis-à-vis de l’offre de Punch Powerglide. Ford estime, en effet, que le groupe belge n’offre pas suffisamment de garanties et que ses projets de développement sont financièrement mal assurés. Il pense, par conséquent, qu’il est préférable de fermer l’usine et de mettre en place un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) en bonne et due forme. En effet, s’il vendait son usine à un repreneur qui faisait faillite dans les 18 mois suivants, Ford pourrait être condamné par les tribunaux français à reprendre tout ou partie du passif de l’entreprise !

    Nous pourrions ajouter que Ford, dont la production de boîtes de vitesse automatiques est en surcapacité, n’a aucun intérêt à voir son usine partir dans les mains d’un concurrent avec le risque de voir se dégrader la situation de ses autres usines. […]

    Ce qui est étonnant dans cette histoire, c’est bien la persévérance crasse des politiques dans l’erreur. L’exécutif girondin, par la bouche de Jean-Luc Gleyze et Christine Bost, déjà cités, ont souligné que « le constructeur a bénéficié il y a cinq ans de 26 millions d’euros de subventions publiques » et ont ajouté « Bien entendu, nous exigerons de Ford le remboursement des aides perçues ». D’autres élus ont entonné le même refrain.

    Il convient tout de même de préciser que dans ces 26 millions d’euros figurent 13,5 millions au titre du chômage partiel. FAI en a bénéficié comme n’importe quel employeur en faisant la demande et répondant aux critères définis dans la loi. Demander le remboursement de cette somme au seul Ford serait curieux.

    Quant aux 12,5 millions d’euros restants, ils ont été octroyés à FAI après signature d’un contrat-cadre qui a fixé des objectifs notamment en termes de maintien des emplois. La convention signée en mai 2013 pour 5 ans prévoyait le maintien de 1 000 emplois. Les aides étaient allouées au prorata du nombre d’emplois maintenus. Quand le bilan du contrat-cadre a été fait en mai 2018, FAI comptait environ 980 emplois sur le site. L’entreprise était donc éligible pour percevoir non pas 100 % des 12,5 millions, mais 98 % de ceux-ci.

    Ford, a priori, a donc rempli ses obligations. Ce que les élus girondins savent parfaitement. Leurs demandes sont, par conséquent, illégitimes et complètement démagogiques.

    Ce qui est formidable ici, c’est que ces politiques sont prêts à recommencer. La région et la métropole voulaient apporter 12,5 millions d’euros d’aide au projet de Punch Powerglide, et l’État 5 millions d’euros. Pour quoi faire ? Pour pousser de nouveau des hauts cris dans cinq ans quand le repreneur mettra la clé sous la porte ? Ces aides montrent d’ailleurs que le projet de Punch Powerglide n’était pas si sûr que cela. On comprend mieux les réserves de Ford. Les subventions aux entreprises en difficulté ne servent à rien. Le cas de FAI en est un bon exemple, parmi tant d’autres.

    Au lieu de distribuer des subventions en pure perte, les collectivités locales et l’État feraient mieux de baisser la fiscalité sur les entreprises. Celles-ci seraient alors plus compétitives, elles pourraient investir puis embaucher. Et si les pouvoirs publics veulent vraiment dépenser de l’argent qu’ils le fassent pour développer les infrastructures nécessaires au développement économique, comme les routes, assurer la sécurité et la libre circulation des biens et des personnes, plutôt que de laisser la voie libre aux casseurs ou laisser perdurer le blocage des ronds-points.

    https://www.lesalonbeige.fr/letat-matraque-les-automobilistes-et-pleure-la-fermeture-de-lusine-ford/

  • Selon le magistrat Charles Prats : 1,8 millions de faux numéros de sécurité sociale, 80% des faux documents sont d’origine algérienne, marocaine, congolaise, et malienne. Estimation : 20 milliards d’euros de fraude par an (MàJ : vidéo)

    15/01/2019

    Charles Prats détaille les faits sur France 5

    20/12/2018

    La journaliste Géraldine Woessner contredit les affirmations de Charles Prats qui lui répond

    Charles Prats :

    Ex-magistrat de la délégation nationale à la lutte contre la fraude (DNLF) au ministère du budget, ancien juge d’instruction, ancien inspecteur des douanes à la direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières (DNRED). Toujours magistrat du siège (dans une cour d’appel), toujours membre du conseil scientifique du CSFRS (le conseil supérieur de la formation et de la recherche stratégique)

    Lire la suite ici

  • Qu'est-ce qui est plus crétin qu'un Manuel Valls ? Une bande de gauchistes catalans qui le prennent pour un "fasciste"...

    310x190_manuel-valls-24-mars-2018-lors-match-stade-jean-bouin.jpg

    Source cliquez ici

    La campagne de Manuel Valls pour la mairie de Barcelone est décidément bien compliquée.

    Alors que les sondages semblent ne pas lui être favorables, sa sortie dans un quartier de la capitale catalane a été perturbé, mardi 4 décembre par quelques dizaines de militants d’extrême-gauche ou indépendantistes. 

    Certains, munis de drapeaux antifascistes et de banderoles prônant la liberté d’expression n’ont pas hésité à le qualifier de fasciste, raciste et lui intimant de rentrer en France.

    Manuel Valls n’a pas pu prononcer son discours jusqu’au bout dans les rue de Barcelone.

    Il a dû finir par quitter le quartier, escorté par des forces de l’ordre jusqu’au métro.

    NDLR SN : trop drôle... mais surtout, gardez-le et arrêtez d'insulter le fascisme !

  • Shutdown américain : pour Trump, ça passe ou ça casse !

    trump-560x374.jpg

    Ainsi le récent « shutdown » budgétaire devient le plus long de l’histoire américaine. Et alors?

    D’abord, pendant que les caisses des fonctionnaires se vident, celles des partis se remplissent. Trump a utilisé son intervention télévisée de mardi dernier pour organiser une massive campagne de financement. Les leaders démocrates utilisent la crise de leur côté pour financer le parti avant le débarquement du président.

    Mais, plus profondément, il s’agit pour Trump de faire en sorte qu’il y ait simplement une future campagne, en desserrant l’étau de ce coup d’État qui l’enserre comme un boa depuis janvier 2017, afin effectivement de prendre enfin le pouvoir – qu’il n’a toujours pas – pour préparer l’élection de 2020. L’année 2019 sera donc celle de l’élimination immédiate de Trump ou celle de sa victoire définitive.

    Car il semble que, par-delà les joutes partisanes, se profile une solution du 3e type pour l’über-classe mondiale : faire élire un « ticket » non partisan « pour soigner la patrie de ses blessures politiciennes », et revenir au libéralisme des frontières ouvertes, donc aux changements de régime. C’est ainsi que se profile à profondeur périscopique le tandem Michael Bloomberg-James Comey, qui rassemble le pouvoir de l’argent, la force des services d’espionnage et de police, et les establishments de partis et médias qui sont complètement dépassés par leurs « vénézuéliens » (la jeune gauche démocrate) et leurs « descamisados » (les trumpiens).

    C’est cette coalition qui avait engendré internationalement le « dossier Steele » à partir duquel l’appareil d’État a illégalement été utilisé pour priver Trump de sa présidence dès ses premiers jours en faisant tomber le général Flynn, puis en castrant Jeff Sessions, son ministre de la Justice, récusé de la plupart de ses prérogatives. De là sont parties les enquêtes sur la collusion Trump-Russie, puis sur les affaires personnelles de Trump (pressenties comme un nid à inculpations possibles). Le tout en complicité avec les médias, chargés de distribuer les fuites.

    En attendant, Trump a été cornaqué par l’establishment, qui contrôle sa politique étrangère, contrecarre sa politique économique internationale, et tire les ficelles de la Maison-Blanche, non sans la complicité de sa fille Ivanka et de son gendre Jared Kushner. Ainsi, depuis deux ans, avec deux chambres républicaines, Trump n’a pu qu’exécuter le programme de l’establishment républicain (déréglementations, baisses d’impôts pour les entreprises, mise à mort de l’Obamacare). On lui a cependant « laissé » (pour un an seulement !) les baisses d’impôts aux particuliers. Il a pris un missile chaque fois qu’il a voulu voler de ses propres ailes (mur et immigration, infrastructures, sa rencontre avec Poutine, et maintenant Syrie).

    Trump aurait pu penser « qu’on allait le lâcher ». Il réalise maintenant que le « commando » Mueller gère son entreprise de nettoyage tel un implacable projectile guidé. Il lui fallait jusqu’ici créer des crises factices pour changer de sujet. Cela ne suffira plus désormais. Alors, avec le « shutdown », Trump s’engage vers le « saut qualitatif » de la crise constitutionnelle : osera-t-il l’état d’urgence sur les migrations de masse, avec financement du mur sur le budget des armées ? Colère des généraux qui songent au pétrole syrien. Déjà sa fille et son gendre le font reculer. Une guerre avec l’Iran serait, certes, un meilleur moyen de garder son job…

    André Archimbaud

    http://www.bvoltaire.fr/shutdown-americain-pour-trump-ca-passe-ou-ca-casse/

  • L’agence Frontex annonce une très forte hausse d’arrivées de migrants pour 2019, qu’a donc prévu Macron ? Rien

    macron-migrants-régulariser.jpg

    Depuis 5 ans nous nous inquiétons, nous mettons en garde, nous prévenons, et toujours en vain et aujourd’hui c’est l’Union Européenne, cette « union » qui sciemment, volontairement, a mis en place cette invasion, qui s’émeut devant la certitude, à présent, que des millions d’Africains et de Maghrébins se préparent à fuir massivement leur continent pour rejoindre l’Europe.

    L’appel au secours de FRONTEX, l’agence européenne de surveillance des frontières, prouve que l’Europe commence à paniquer réellement devant l’arrivée de plus en plus massive de migrants clandestins en provenance du Maroc et de l’Algérie, dont 40% passent par l’Espagne.

    Lire suite sur Lagauchematuer

  • Immigration : L’Espagne empêche le bateau de l’ONG Open Arms de prendre la mer

    L’ONG de sauvetage de migrants Proactiva Open Arms a affirmé ce lundi que l’État espagnol empêchait son bateau Open Arms de prendre la mer pour aller secourir des migrants en Méditerranée.

    «De nouveau bloqués au port. La capitainerie de Barcelone (dépendant du ministère espagnol de l’Équipement, ndlr) refuse à l’Open Arms l’autorisation de partir vers la Méditerranée», a tweeté ce lundi matin l’ONG qui a son siège près de Barcelone.

    Open Arms
     
    @openarms_fund

    Bloqueados de nuevo en puerto.
    Capitanía Marítima deniega permiso para zarpar central.
    Motivo: Si los Estados incumplen sus obligaciones de salvamento nosotros tampoco debemos proteger sus vidas.
    Acabar con testigos para esconder sus muertos sin pudor. 

    1 273 personnes parlent à ce sujet

    «Nous empêcher de sauver des vies est irresponsable et cruel. De lâches politiciens mettent en marche le compteur de morts», a dénoncé le fondateur de l’ONG, Oscar Camps.

    […]

    La Voix Du Nord

    http://www.fdesouche.com/1141061-immigration-lespagne-empeche-le-bateau-de-long-open-arms-de-prendre-la-mer

  • Politique & Eco n°198 – UE : des origines viciées dès le départ ?

    A quatre mois des élections européennes, retour sur une construction hybride.

    1) Les origines : viciées dès le départ ? L’Europe est une civilisation, pas une nation.
    2) Les trois pouvoirs selon Montesquieu : qui est l’exécutif européen ?
    3) Maastricht, l’euro et la Commission de Bruxelles pour enchaîner les peuples et les Etats.

    https://www.tvlibertes.com/politique-eco-n198-ue-des-origines-viciees-des-le-depart

  • LES 5 JOURNALISTES LES PLUS MENTEURS DE FRANCE !