INTERNATIONAL (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
Alors que la pandémie provoquée par le Covid-19 continue, avec plus de 160 000 décès dans le monde, le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine en 2008 pour sa codécouverte du sida, nous apporte une information intéressante : selon lui le virus responsable de la crise sanitaire proviendrait d’une manipulation humaine et serait sorti par erreur. En effet des analyses auraient montré la présence de séquences du VIH dans le Covid-19.
magouille et compagnie - Page 1071
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Coronavirus : le sida aurait-il un lien avec l’origine du virus ?
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Philippe Vardon : « Tout est prétexte à l’émeute, à l’embrasement et aux attaques contre les forces de l’ordre »
Philippe Vardon réagit à la multiplication des scènes d’émeute dans les cités.
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Nicole et Gérard Delépine : La médecine est prise en otage par des technocrates ! (EDLQ #4)
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Pourquoi l’Ordre des médecins s’oppose à une réouverture précoce des écoles
Pour le Dr Patrick Bouet, président du Conseil national de l’ordre des médecins, « il n’y a pas d’explication médicale à déconfiner dans le milieu scolaire en premier ».
LE FIGARO. – Pourquoi déconfiner les écoles à partir du 11 mai est une mauvaise idée?
Dr Patrick BOUET. – Ce choix révèle un manque absolu de logique. Nous ne comprenons pas cette annonce. La première décision a été de fermer les écoles, lycées et universités. Pour deux raisons. D’une part, parce qu’on sait que les enfants sont des vecteurs potentiels sans développer eux-mêmes l’infection, sauf à de rares exceptions. D’autre part, parce qu’il est très difficile en milieu scolaire de faire respecter les gestes barrières. Et maintenant le premier milieu que le Président veut déconfiner est le milieu scolaire! Comment ne porterait-il plus les mêmes risques ? Il faut qu’il y ait une logique entre les affirmations du gouvernement et celles des scientifiques. En revanche, le Président de la République a indiqué que jusqu’au 11 mai, on ne changeait rien au confinement. C’est un acte fort, et une bonne mesure.
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Du discrédit de la parole publique
Alors que l'Allemagne entreprend aujourd'hui, méthodiquement et franchement, son déconfinement, les représentants du meilleur système du monde, celui de l'Hexagone, s'exprimaient hier sur les ondes du service public. La longueur de leur communication n'a d'égal que le nombre de questions sans véritables réponses.
Humainement, on peut les plaindre de leur douleur, visible en ce moment, dans leur rôle de ministres, c'est-à-dire serviteurs, d'un État aussi lourd, aussi centralisé, aussi coûteux et en même temps aussi impuissant, hésitant et cafouilleux.
Mais, autant nous souffrons tous de cet étatisme, autant nos bons esprits faiseurs d'opinion suggèrent d'en guérir les maux par un surcroît d'étatisme.
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De leur «inutilité» à une possible obligation… la volte-face de l’exécutif sur les masques
En l’espace d’un mois, l’exécutif a donné des consignes contradictoires au sujet du port du masque. De quoi mettre à mal sa capacité à gérer l’épidémie.
C’est un virage à 180 degrés dont les effets risquent de se faire sentir bien après la crise. Depuis l’arrivée du coronavirus en France, l’exécutif a radicalement changé de discours sur la question des masques. De leur inefficacité, martelée au début, le gouvernement envisage désormais le port obligatoire «dans certaines situations», dont les transports en commun. Ces propos contradictoires en quelques semaines ont semé l’indignation. Beaucoup y ont vu une stratégie de l’exécutif pour camoufler une pénurie non anticipée. Début avril, selon un sondage Odoxa, trois Français sur quatre (76%) pensaient même que le gouvernement leur avait «caché la vérité». Au sommet de l’État, on se défend en rappelant que chaque prise de position a été fondée sur des avis scientifiques. Le Figaro revient sur cette volte-face.
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Covid-19 : Alain Bauer recadre Apolline de Malherbe sur les mensonges du gouvernement
Sur BFMTV, Alain Bauer a recadré Apolline de Malherbe au sujet des nombreux mensonges du gouvernement dans la gestion de la crise sanitaire qui touche le pays.
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Le confinement, solution à l’incurie de nos instances sanitaires
Le bruit court dans la presse, ces jours-ci, que le virus du Covid-19 pourrait être lié à une manipulation génétique et s’être échappé d’un laboratoire de recherche biologique, normalement hautement sécurisé, situé à Wuhan. Le professeur Montagnier, découvreur du virus du SIDA et prix Nobel de médecine, interrogé par la presse médicale ne repousse pas l’hypothèse d’une manipulation génétique peut-être destinée à trouver un vaccin contre le SIDA car, d’après lui, des biologistes indiens auraient découvert dans le génome de ce coronavirus des éléments génétiques appartenant au virus du SIDA.
Quelle que soit l’origine de ce virus, manipulation génétique ou mutation et passage de l’animal à l’homme, il s’est répandu comme une traînée de poudre dans le monde entier, nous a pris totalement au dépourvu et a révélé nos graves insuffisances dans bien des domaines.
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Le petit Alan Kurdi, otage médiatique : de l’image choc à l’arrière-plan
Le 2 septembre 2015, en pleine crise des migrants, la publication d’une photo d’un enfant de 3 ans dénommé Alan Kurdi, échoué mort sur la plage turque de Bodrum, a changé le cours des événements. À l‘occasion du récent épilogue judiciaire de cette affaire intervenue le 13 mars 2020, le recul permet de passer du gros plan sensationnaliste à un arrière-plan plus complexe.
La photo bouleversante en gros plan d’un enfant mort sur une plage a été reprise à l’époque dans de nombreux médias. Elle a été un élément majeur dans l’ouverture des frontières de plusieurs pays européens à l’immigration clandestine. Une ouverture amorcée par l’annonce un peu plus tôt de la chancelière Angela Merkel de son souhait d’accueillir jusqu’à 800 000 migrants en Allemagne. Depuis cette date, si la route des Balkans vers l’Europe de l’ouest est plus difficile à emprunter, ce sont néanmoins des millions de migrants extra-européens qui se sont installés en Europe. Le temps a permis d’en savoir plus sur les circonstances de ce drame excessivement médiatisé.
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Le petit virus, grand pédagogue ? (III) – La mort de l’exception française ?, par Christian Vanneste.
La plus grande des illusions françaises tient dans un paradoxe : alors que l’identité française est submergée par la mondialisation des produits et des comportements, mondialisation tronquée d’ailleurs, car si les produits sont souvent chinois, les comportements sont toujours américains, avec une invasion du « globish » dans notre langue, comme si une idée était plus claire et plus forte « in English », les discours officiels, eux, continuent à souligner l’exemplarité française, l’exception française que le monde entier nous envie, éperdu d’admiration pour le pays des droits de l’homme. Ainsi, en était-il de notre système de santé ! Le Covid-19 nous a réveillés au beau milieu de ce vieux rêve.