En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Pour cette nouvelle édition, "Cette année-là" replonge dans le numéro d’Éléments paru à l’issue des grandes grèves de 1995 contre le plan Juppé. À l’époque, notre revue consacrait un grand dossier à ce soulèvement social sous le titre évocateur : "L’insécurité sociale". Presque trois décennies plus tard, l’histoire semble bégayer : les manifestations massives contre la réforme des retraites en 2023 ont ravivé les mêmes colères, les mêmes fractures, avec le même soutien populaire, massif et durable. De quoi cette insécurité est-elle vraiment le nom ? D’un déclassement et d’un abandon programmé par les élites ? Analyse.
Trêve pour les 80 ans de la victoire sur les nazis: Zelensky tentera de la "saboter par tous les moyens" "L'Ukraine n'a aucune parole, aucune colonne vertébrale, aucun honneur", réagit auprès de Sputnik Afrique Cyrille De Lattre, analyste géopolitique français.
Les jérémiades des masseuses des hammams et les pleureuses professionnelles ont accouché d’une souris. Rien de nouveau n’est sorti de la machine de propagande des escrocs de la politique comme le caméléon Méluche. Il pensait attraper un gros gibier en agitant le spectre de l’islamophobie mais il est tombé sur du menu fretin. Malgré ses lamentations de dhimmi accompli et son enlacement par une musulmane frelatée, il n’a pas fait pleurer dans les chaumières.
Une peine de 8 mois de prison ferme, assortie d’une interdiction de territoire français pour 3 ans, a été prononcée à l’encontre d’Ahmed Boumaza, Algérien de 23 ans en situation irrégulière.
Ce n’est pas BV qui le dit, c’est la Cour des comptes. L’institution vient de publier un rapport savoureux sur « le verdissement des mobilités au sein des ministères économiques et financiers ». On en frémit de curiosité. Le ministère des Finances, si habile à ponctionner davantage une des populations déjà parmi les plus taxées du monde libre, est-il au moins un modèle d’écologie ? L’État macroniste, prêt à ruiner l’agriculture et l’industrie françaises pour satisfaire aux exigences de Verts de plus en plus déconnectés, donne-t-il l’exemple ? Réponse : non ! Pour la Cour des comptes, les résultats sont… « limités ». Pour ne pas dire catastrophiques.
Cet accord « commercial » sent très mauvais sur le plan militaire. Il est incompatible avec la neutralité de l’Ukraine et sa démilitarisation.
Rappelons ce qui s’est dit le 28 avril :
« La Russie pose ses conditions pour ouvrir des négociations. Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, a formulé, ce lundi 28 avril, plusieurs demandes préalables à l’ouverture de discussions pour la paix en Ukraine, notamment la reddition de l’Ukraine, sa démilitarisation, sa renonciation à rejoindre l’Otan et aussi l’assurance de garder la péninsule de Crimée, annexée en 2014, et les quatre régions ukrainiennes que Moscou a annexées en septembre 2022. »
Un homme raconte avoir trouvé, dimanche 20 avril, la maison de son défunt père, située à Conflans-Sainte-Honorine, dans les Yvelines, occupée par deux individus, originaires d’Algérie, sous l’obligation de quitter le territoire français (OQTF).
Qui sème le vent récolte la tempête. À propos de la Jeune Garde, on pourrait dire : qui sème la terreur récolte la dissolution. Le groupe antifa, qui s’était hissé jusqu’à l’Assemblée nationale par l'intermédiaire du député NFP de Vaucluse triple fiché S Raphaël Arnault (Archenaud), est désormais visé par une procédure de dissolution que le ministre de l’Intérieur a annoncée ce mardi 29 avril. Pour les collectifs militants de droite, l’annonce a été reçue comme une victoire... et un « réel soulagement ».
Ce premier mai déchire, entre ceux qui voudraient le maintenir férié et les autres, qui voudraient en faire un jour comme un autre, revendiquant le droit de travailler. Au RPF, le travail est l’une de nos valeurs fondamentales et profitons de ce jour pour dresser quelques constats. La valeur travail justement disparaît, travail au sens de « production de richesses ». Car c’est bien cette considération qu’il faut prendre en compte si nous voulons que la France retrouve à la fois du rayonnement et des finances. Il faut bien différencier ces emplois de ceux qui sont créés en masse actuellement : des gestionnaires et des contrôleurs. Nous pondons des normes, avec des gens pour les appliquer, des gens pour les contrôler, d’autres gens qui supervisent les contrôleurs, des conseilleurs pour que tout le monde se retrouve dans le fatras. Mais encore, des surveillants, puisque désormais tout est soumis à la délinquance galopante et qu’il est désormais impensable d’envisager le moindre travail sans système de contrôle des locaux, des employés, sans avoir de vigile… La charge sur le travail a augmenté sans limite, d’impôts, de normes, de taxes, de surveillance, de contrôle, fruits d’une politique qui a conduit à la perte de la conscience professionnelle et de la rigueur.
George Simion, celui qui remplace Georgescu interdit d’élections, est arrivé au premier débat présidentiel de la phase électorale avec des fleurs, et a réitéré l’illégalité de l’annulation des élections initiales et que Georgescu aurait dû être ici à sa place. Il a déclaré qu’il préférait passer du temps avec le peuple roumain plutôt que d’échanger des accusations dans un débat, puis est parti.