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magouille et compagnie - Page 1275

  • Mensonges de Castaner : le renseignement intérieur et la Préfecture se rebiffent

    Mensonges de Castaner : le renseignement intérieur et la Préfecture se rebiffent

    L’enquête de Valeurs Actuelles démontre les mensonges de Castaner, qui a dit l’inverse de que ce que remontaient les forces de police et le renseignement :

    Une déclaration qui a fait vivement réagir aussi bien au sein du Service central du renseignement territorial (SCRT) qu’à la Direction du renseignement de la préfecture de police de Paris (DRPP) : « Ce n’est absolument pas le ton de ce qu’on a transmis au ministre », s’indignent plusieurs sources. Bien conscients de la manœuvre politique employée par Christophe Castaner, ce sont des policiers et des gendarmes qui ont étonnamment tiré les premiers la sonnette d’alarme en appelant leurs contacts journalistes.

    A la mi-journée samedi 24 novembre, alors que les débordements – prévisibles- n’avaient pas encore eu lieu, le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner a pointé du doigt “les séditieux” d’ultra-droite “qui ont répondu à l’appel de Marine Le Pen”.

    […] Un officier de CRS qui était présent sur les Champs-Elysées explique : « Les casseurs qu’on avait en face de nous, sont les mêmes qu’à Sivens ou à Notre-Dame-Des-Landes, dans les Zad. Incontestablement, ce sont des anarchistes qui ne se font presque jamais attraper, comme les manifestants du 1er mai. »

    L’homme nous fait remarquer que les tags inscrits sur les murs des Champs-Elysées lèvent toute ambigüité : des logos anarchistes, des inscriptions comme « Macron SS » ou encore « police partout, justice nulle part » ne peuvent être l’œuvre que de l’ultra-gauche. Les tenues des casseurs aussi : tout en noir, masques de plongée, lunettes de piscine et matériel de chantier constituent l’équipement habituel des casseurs d’extrême gauche des manifestations qui ont dégénéré ces dernières années.

    « Seule l’ultra gauche a cette capacité et ce savoir-faire », affirme un préfet qui connait bien les populations dites « extrêmes ». Et de conclure : « On voit monter cette ultra-gauche constituée de 3000 à 10 000 personnes depuis deux, trois ans, elle est aujourd’hui totalement rompue à la violence. Des néonazis et des fachos, il y en avait à la manif, mais ce n’est pas trop leur mode opératoire. »

    https://www.lesalonbeige.fr/mensonges-de-castaner-le-renseignement-interieur-et-la-prefecture-se-rebiffent/

  • Gilets jaunes : de la révolte spontanée à l’organisation politique du pays réel

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    Jean-François Touzé
    délégué national du Parti de la France
    Ce samedi, le gouvernement a joué sa carte : celle de la manipulation, de l'infiltration et de la provocation. Avec l'aide complice de la gauche radicale et de quelques irresponsables.
    La tentative du gouvernement de discréditer tout au long de la semaine passée le mouvement des Gilets jaunes en le désignant comme coupable de violences, de dégradations et d'atteintes à la bonne marche de l'économie française avait largement échoué : les Français savent pertinemment qui sont ceux qui cassent, pillent, saccagent et enfreignent la loi à longueur d'année. Ceux-là ne sont pas revêtus de gilets jaunes, mais de survêts gris à cagoules noires.
    Ils n'ignorent pas non plus que les atteintes à leur pouvoir d'achat, la détérioration de leurs conditions de vie, les entraves à la compétitivité de nos entreprises et de nos commerces ne viennent pas des blocages mais du fiscalisme totalitaire que dénoncent justement les Gilets jaunes devenus porte-voix du pays réel.
    Ils ont noté que plus de dix milliards d'euros ont été, en un an, subtilisés aux classes moyennes pour être donnés aux très riches et pour subventionner l'accueil des migrants.
    Ils ont depuis longtemps compris les mensonges du Système et appris à discerner la désinformation du pouvoir.
    Le soutien de 77% de nos compatriotes au mouvement n'était donc pas surprenant. D'autant moins que les Français sont dans leur ensemble puissamment saisis d'un ras-le-bol global dont le non-consentement à l'impôt n'est qu'un des aspects.
    Le rassemblement raté car non suffisamment préparé et largement infiltré de ce samedi à Paris pourrait pourtant inverser les choses, cela pour deux raisons :
    • La faible mobilisation de ce samedi (même si Paris ne doit pas être l'arbre capital qui cache la forêt nationale) et le caractère aléatoire, volontaire mais inencadré, du mouvement laissant place à toutes les manœuvres de l'Élysée et du ministère de l'Intérieur rend la perspective d'un succès d'autant plus incertaine que les buts à atteindre ne sont pas fixés. Macron fera sans doute quelques propositions cosmétiques lors de l’opération réunion/récupération/division qu'il organise mardi. La vie des Français – et surtout des Français les plus défavorisés - n'en sera pas améliorée mais, pour les moins déterminés, les plus perméables à la négociation et les plus systémo-compatibles, elles pourraient constituer une base de discussion et entrouvrir une porte de sortie par une évolution « syndicaliste » de type Grenelle.
    • Surtout, l’inorganisation du mouvement malgré l’émergence de quelques porte-parole qui tentent de se concerter au niveau national est apparue en pleine lumière avec pour conséquence la fuite en avant orchestrée par quelques provocateurs n’hésitant pas à caillasser les forces de l’ordre, l'irruption de groupes d’extrême gauche, la présence forte et visible sauf pour Castaner d'anarchistes et de black blocs (responsables du harcèlement contre les CRS et gendarmes en fin de soirée, des dégradations du matériel urbain, de la destruction de plusieurs vitrines et de l'incendie de nombreuses motos ou scooters, même si, en l'absence pour le moment de la racaille, il n’y eut pas de pillages), ainsi que de quelques excités venus d’on ne sait où, véritables idiots utiles du Système. Le recours à la manifestation « physique » peut parfois avoir un sens. Encore faut-il qu'elle s'inscrive dans une stratégie politique globale. En son absence elle est vouée à l’échec et est totalement contre-productive. Un militant n'est pas un casseur.
    Tout cela ne pourra pas ne pas avoir à moyen terme d'incidence sur l'opinion publique aussi remontée soit elle contre Macron, sa politique anti populaire et son arrogance de caste. L'avenir dira si l’action des agitateurs manipulés aura suffi à discréditer les Gilets jaunes avec la complicité du pouvoir qui a sciemment, délibérément et volontairement laissé les provocateurs, accéder aux Champs Élysées, ce qui aura permis au ministre de l’intérieur de stigmatiser « l'extrême droite ».
    La révolte des Français est légitime. La démonstration de la colère nationale nécessaire et vitale qui peut déboucher sur une solution « nationale ». Mais pour que cette révolte se transforme en « autre chose », il faudra bien plus que des bonnes intentions et dépasser le cadre de l’incantation et du spontanéisme. L'action politique reste l'ultima ratio et exige stratégie, planification, organisation, structures et définition des « objectifs de guerre ».
    Elle suppose aussi des chefs, un encadrement et une avant-garde militante.
    Faute de quoi, de lassitude des blocages, en crainte des événements et inquiétude de possibles pénuries en période de Noël, le soutien du peuple viendra à manquer avec au bout du compte, en même temps que des débordements ponctuels, la démobilisation majoritaire et le désengagement amer du peuple français.
    Lénine dont la pensée criminelle fut à l'opposé absolu de ce que sont nos idéaux mais dont l’action révolutionnaire mérite l'attention, écrivait : « Il faut se méfier de l'humeur des masses. Elle est changeante ». Souhaitons qu'il n'en soit rien. Faisons en sorte qu'il en soit autrement.
    Derrière son Président, Carl Lang, le Parti de la France, lui, tient un cap et un seul : le relèvement de la France par le réveil national dans l’action politique.
    Soutien sans aucun esprit de récupération des Gilets jaunes, il demande au gouvernement de sortir de son entêtement en procédant, dans un premier temps, à l’annulation pure et simple de la hausse des taxes sur le carburant au 1er janvier puis, dans les délais les plus brefs, à une baisse significative de la pression fiscale en contrepartie d'un recul effectif des dépenses publiques.
    Il appelle enfin chacun à la responsabilité dans le maintien de la mobilisation, pour que se créent au plus vite les conditions d'un vaste rassemblement politique de la France réelle.
  • Édition spéciale Gilets Jaunes – Journal du lundi 26 novembre 2018

    1) Gilets Jaunes : La détermination face au mépris
    2) Gilets Jaunes : L’exécutif “boutefeu”
    3) Gilets Jaunes : L’opposition entre soutien et retenue

    La mobilisation des gilets jaunes se poursuit. Après une participation importante pour l’acte II samedi et un exécutif qui fait toujours la sourde oreille, le mouvement ne compte pas en rester là. En attendant, le gouvernement méprise toujours les revendications et poursuit son entreprise de diabolisation par tous les moyens…

  • Les revendications des Gilets Jaunes

    Une « délégation » de Gilets Jaunes a été crée, comprenant huit « communicants officiels », pour « engager une prise de contact sérieuse et nécessaire avec les représentants de l’Etat et de son gouvernement », selon un communiqué publié lundi. Après une consultation sur Facebook, la délégation de Gilets Jaunes a adressé « deux propositions principales » au gouvernement: « revoir à la baisse toutes les taxes » et la « création d’une assemblée citoyenne » afin de discuter de la transition écologique, la « prise en compte de la voix des citoyens », l’amélioration du pouvoir d’achat, etc.

    https://www.tvlibertes.com/actus/les-revendications-des-gilets-jaunes

  • Abandon de la réforme des institutions : une victoire pour les gilets jaunes

    Abandon de la réforme des institutions : une victoire pour les gilets jaunes

    Lu dans Le Parisien :

    Selon nos informations, une grande partie des sénateurs, de droite, du centre et de la gauche, tous dans l’opposition à Emmanuel Macron, milite pour que ce projet phare du président soit repoussé sine die. […] Baisse du nombre des parlementaires, limitation du cumul des mandats dans le temps, dose de proportionnelle… Déjà reportée en juillet pour cause d’affaire Benalla, cette réforme reste inscrite à l’agenda parlementaire, dès le 19 janvier, à l’Assemblée nationale où il n’est pas question de la reporter – La République en Marche et le MoDem y sont majoritaires -, puis en mars à la Haute assemblée.

    Dans l’entourage du président LR du Sénat, Gérard Larcher, pourtant très opposé à cette réforme, on déclare « être prêt. » Et pourtant, cette posture officielle camoufle chez le sénateur des Yvelines, une profonde inquiétude. Dégradation du climat politique, défiance croissante vis-à-vis des représentants de la République… Une accumulation de nuages qui incite Gérard Larcher à prêter une oreille attentive aux sénateurs. Et notamment aux avertissements des centristes, indispensables aux Républicains pour constituer une majorité.

    Hervé Marseille mais aussi Patrick Kanner, forts des relais MoDem et ex-PS à l’Assemblée et au gouvernement, ne manquent d’ailleurs pas de distiller leurs mises en garde. Marc Fesneau, ministre MoDem en charge des Relations avec le Parlement, depuis un mois et demi, a déjà fait le tour de tous les présidents de groupe du Sénat. « Il a bien entendu nos réticences », insiste un sénateur centriste. Des hésitations répercutées aussi au plus près des parlementaires de la majorité et des cabinets ministériels.

    Le gouvernement voudra-t-il reporter une nouvelle fois cette réforme présentée comme majeure par le candidat Macron ? C’est l’exécutif qui reste le maître de l’ordre du jour parlementaire. Le Sénat n’aurait comme moyen d’action, que l’obstruction – multiplication des amendements… -, ce à quoi se refusent les sénateurs. Ne leur resterait alors, pour exprimer leur opposition, que le refus de voter les mesures pour lesquelles leur accord est constitutionnellement indispensable (procédure parlementaire ou réduction du nombre de sénateurs). « À charge pour l’exécutif de lancer un référendum », lance Bruno Retailleau. Comme un défi.

    https://www.lesalonbeige.fr/abandon-de-la-reforme-des-institutions-une-victoire-pour-les-gilets-jaunes/

  • Des « policiers en colère » appellent leurs collègues à enfiler un gilet jaune

    Ce dimanche, le « Collectif autonome des policiers d’Île-de-France », né après le mouvement des « Policiers en colère », appellent les agents des forces de l’ordre à se mêler aux gilets jaunes. Dans une publication Facebook effectuée dimanche, ils demandent en effet à leurs collègues d’enfiler le fameux accessoire des manifestants et de se prendre en photo de dos, sur leurs lieux de travail ou auprès de leur véhicule.

    http://www.fdesouche.com/1113267-des-policiers-en-colere-appellent-leurs-collegues-a-enfiler-un-gilet-jaune

  • Politique & Eco n° 193 avec Pierre Jovanovic : Gilets jaunes, dette publique, pouvoir des banques

    1. Révolution ou guerre civile : le résultat de la crise financière ?

    – La République du mensonge
    – Le pouvoir exorbitant des banques
    – Le prix du gasoil un prétexte
    – Pourquoi les Français paieraient-ils pour « sauver la planète » ?
    – Non pas la transition écologique mais la dette
    – Une victoire des réseaux alternatifs face à la destruction du territoire
    – Le pire est à venir, augmentations de janvier, prélèvement à la source, hausse des péages
    – L’écologie une très bonne idée fiscale
    – Le quatrième pouvoir n’existe plus !

    2. La Ploutocratie règne en maître

    – Paul Volker, ancien conseiller de Reagan : »la ploutocratie s’est emparée du monde »
    – Madoff, le retour via Groupama et Orange Bank
    – JPMorgan et le stock d’or de la Banque de France
    – Madame Goulard, éphémère ministre de la Défense, architecte du rapprochement JPMorgan / Banque de France
    – JPMorgan et la manipulation des cours, JPMorgan et le don au 93
    – La banque Rothschild se sépare de sa « blanchisseuse »
    – Les stress tests de la BCE défavorables pour les 12 principales banques européennes
    – La Grèce vend ses monuments
    – Blackrock, l’institution financière la plus puissante (et la plus méconnue) du monde
    – France : l’Enarchie en question

    Pierre Jovanovic, « nous sommes à l’aube d’une nouvelle révolution 2.0 »

    https://www.tvlibertes.com/pierre-jovanovic-gilets-jaunes-dette-publique-pouvoir-des-banques
  • Gilets Jaunes Acte 3 : appel à une nouvelle mobilisation samedi sur les Champs-Elysées

    Gilets Jaunes Acte 3 : appel à une nouvelle mobilisation samedi sur les Champs-Elysées

    C’est ici.

    Le régime semble dépassé, même s’il a fait dans la provocation. Christophe Castaner a déclaré samedi soir :

    “nous avons l’habitude de gérer des manifestations de plusieurs centaines de milliers de personnes” et “nous avions prévu les débordements sur les Champs Élysées “.

    Alors, gérer une manifestation de 8 000 personnes, même sur les Champs ?

    Les Champs-Elysées sur lesquels le million de manifestants de La Manif Pour Tous n’avait pas pu pénétrer en 2013… Dès 10 heures, 5000 personnes ont pénétré sur l’avenue malgré l’interdiction de la préfecture. Jusqu’au milieu de l’après-midi, plusieurs feux ont été allumés aux abords de l’Arc de Triomphe. La police a répliqué à plusieurs reprises avec des jets de grenades lacrymogènes et en déclenchant son canon à eau pour disperser la foule, sans succès.

    Devant l’une des barricades près de l’Arc de Triomphe, faite de barrières métalliques de travaux, un «gilet jaune» fait résonner la chanson Les Champs Elysées de Joe Dassin dans son sac, en partie couverte par les bourdonnements incessants de l’hélicoptère de la préfecture de police.

    A 16 heures, malgré l’interpellation de 19 personnes, la mobilisation des gilets jaunes dans la capitale ne semblait pas s’éteindre. Tout autour des Champs Elysées, des barricades improvisées se montent, entassement de barrières métalliques très vite enflammées. En difficulté face à ces groupuscules très nombreux et mobiles, les forces de l’ordre peinent à reprendre le contrôle de la situation.

    Voici Jupiter s’adressant à un lépreux :

  • Manif des Gilets Jaunes : D’Ornellas dit avoir vu «de ses propres yeux» les forces de l’ordre laisser passer des groupes clairement identifiables comme casseurs

    Charlotte d’Ornellas sur la manifestation des Gilets Jaunes aux Champs Elysées : « J’ai vu arriver des groupes qui étaient clairement identifiables comme des groupes qui venaient casser, tout de noir vêtus, avec un foulard sous les yeux. Ils passaient, il n’y avait que nous qui les voyions apparemment. On les a clairement laissés passer ! Des canons à eau étaient braqués sur les manifestants, les feux partaient juste à côté, personne n’intervenait sur les départs de feux. Je l’ai vu de mes yeux. Donc il y a eu un laisser-aller sur cette question de la violence, et ça c’est une certitude parce que je l’ai vu de mes yeux. »
    – BFM TV, 25 novembre 2018, 19h14

     http://www.fdesouche.com/1112743-manif-des-gilets-jaunes-dornellas-declare-avoir-vu-de-ses-propres-yeux-les-forces-de-lordre-laisser-passer-des-groupes-clairement-identifiables-comme-casseurs?fbclid=IwAR09xAyuKTQyteNsEGb3wsXT7BQo_TbaSWVko-IWoaz3qXlQzMIz9anERBE

  • Gilets Jaunes : "C'est le peuple trahi qui se révolte !"