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magouille et compagnie - Page 1293

  • Les Serbes (et les Français) ont aussi le droit au respect!

    14-18-konk-300x266.jpgJupiter-chef des armées posait  devant un Rafale sur le porte-avions Charles De Gaulle  pour s’entretenir hier soir avec Gilles Bouleau dans le cadre du JT de TF1. Mais un Emmanuel Macron dans la peau du  candidat en campagne,  qui a joué la carte de l’humilité, de la proximité,   de celui qui  veut  « aller au plus près du terrain », « décider différemment, pas tout à Paris. » Et qui a confessé  ses échecs :  « Je n’ai pas réussi à réconcilier le peuple français avec ses dirigeants. Ce divorce, on le voit dans toutes les démocraties occidentales, et il m’inquiète. » « Il y a de l’impatience et de la colère. Cette colère, je la partage(…). Nos concitoyens veulent qu’on les considère, qu’on les protège et qu’on leur apporte des solutions, pas des déclarations. » « J’entends la colère et c’est un droit fondamental de pouvoir l’exprimer », a-t-il dit aussi en direction des Français qui iront manifester le 17 novembre ou qui soutiennent le mouvement des gilets jaunes. Mais  « je dis méfiance, car il y a beaucoup de gens qui veulent récupérer cette colère», a-t-il assuré, dénonçant  le « poujadisme contemporain.  »

    Pour autant, comme le disait Vladimir Ilitch Oulianov, dit Lénine,  Les faits sont têtus  et au nombre de ceux-ci figure l’insupportable fiscalisme confiscatoire qui est aussi la marque de  laMacronie. Le mois  dernier c’était une dépêche de l’Afp qui  relayait  « le rapport parlementaire sur le projet de loi de finances 2019, publié (le) 12 octobre. » Il indiquait que « le taux de prélèvements obligatoires a atteint en 2017 son point le plus haut, à 45,3% du PIB, c’est-à-dire  1038 milliards d’euros » ! Soit  « 43,3 milliards de plus que le chiffre atteint en 2016 (994,7 milliards) ; 59,6 milliards de plus qu’en 2015 (978,4 milliards) et surtout 368,5 milliards de plus qu’en 2002, précise le rapport. »

    Toutes choses sur lesquelles  Emmanuel Macron a jeté un voile pudique, préférant  donner une leçon de maintien  à un  Donald Trump qui ne l’a pas menagé dans une rafale de tweets à son retour des cérémonies du 11 novembre:  «Tout cela n’a pas d’importance. Il fait de la politique américaine. (…) Moi, je ne fais pas de diplomatie ou de politique par des tweets. »   « À chaque moment de notre histoire, nous avons été des alliés. Entre alliés, on se doit le respect. »

    Un respect qui n’a pas été accordé par M. Macron  au président serbe Aleksandar Vučić qui, comme le rappelait Jean-Christophe Buisson  dans un article bien senti sur le site du Figaro, a été exclu de la tribune officielle du 11 novembre,  « alors que la Serbie, alliée de la France en 14-18, a perdu 1,2 million de ses enfants dans le conflit.» «Un pays   venu à Paris (sous les traits de son président) avec son cortège de souffrances, de douleurs et de sacrifices pour la cause alliée, que la France a choisi d’humilier le 11 novembre. Humilier: le mot n’est pas trop fort. On imagine ce que (le président serbe)  a pu ressentir en voyant, face à lui, tout sourire, assis entre Trump, Poutine et Macron, le sinistre Recep Erdogan, le sultan turc héritier de l’empire ottoman génocidaire, ou Hashim Thaçi, président d’un pays (la république fantoche du Kosovo, NDLR)  qu’il ne reconnaît pas et qui, en tout état de cause, était une région intégrée à la Serbie en 1914. »

    Invité d’Elise Blaise sur  TVL le 10 novembre, le colonel de la Légion  Jacques Hogard qui a brillamment servi la France sur divers  théâtres d’opérations, et notamment dans les Balkans,  grand ami de la Serbie, s’est offusqué  de ce que Hashim Thaçi ait été  reçu à l’Elysée. Thaçi est certes  à la tête de cette autoproclamée (en 2008)  république du Kosovo, mais elle est en réalité une province de la république de Serbie, comme le stipule «la résolution  1244 de l’ONU»,  et  en est même pour le peuple serbe « le   coeur historique, spirituel, identitaire.»

    Alors certes a-t-il ajouté, l’exercice du jeu  diplomatique peut permettre de comprendre la présence d’Hashim Thaçi à l’Elysée… mais pas  les embrassades  et la complicité tactile entre  Macron et Thaçi   qui   apparaissent sur les photos. Et de rappeler  encore que le drapeau du Kosovo, province où les chrétiens sont désormais persécutés par les islamistes,  a été affiché  à Notre-Dame de Paris,  à côté de ceux de nos alliés pendant la  Grande Guerre!

    « Thaçi  chef mafieux et terroriste », est une   « créature »  de la très mondialiste et  sinistre Madeleine  Albright,  triste figure du parti démocrate, secrétaire d’État des États-Unis entre 1997 et 2001 dans l‘administration   Clinton.  Le colonel Hogard a souligné à bon escient que le parti de Thaçi, celui des islamo-mafieux de l’UCK, parti de la guérilla indépendantiste kosovare albanaise aujourd’hui à la tête du Kosovo, a été accusé de crimes de guerre, au terme d’une procédure  initiée par l’Union Europèenne. Mais une procédure  qui  s’est perdue dans les sables, des témoins disparaissant  au fur et à mesure, alors qu’il y avait moyen d’inculper les auteurs de toutes ses exactions.

    Nous nous étions fait l’écho sur ce blogue de l’enquête menée sur le trafic d’organes prélevés sur des Serbes par la guérilla kosovare. Notamment du rapport du parlementaire suisse Dick Marty, adopté en janvier 2011 par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, décrivant ce trafic. M. Marty évoquait les noms dirigeants de l’UCK, dont celui d‘Hashim Thaçi.

    Nous avions fait état en avril en 2008 des investigations de Carla del Ponte, ancienne présidente du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY). Dans un livre coécrit avec Chuck Sudetic, un américain d’origine croate, elle accusait les chefs Albanais du Kosovo, d’avoir fait entre autres, un trafic d’organes prélevés sur des  centaines de prisonniers serbes, dont des femmes.

     « Ces organes, indiquait Mme del Ponte, étaient ensuite envoyés depuis l’aéroport de Tirana (Albanie) vers des cliniques à l’étranger pour être implantés sur des patients qui payaient ». « Les victimes privées d’un rein étaient de nouveau enfermées dans une baraque jusqu’au moment où elles étaient tuées pour d’autres organes. »

    « Les dirigeants d’un niveau intermédiaire et élevé de l’UCK étaient au courant et étaient impliqués de manière active dans la contrebande des organes », écrivait Carla Del Ponte qui citait outre Hashim Thaçi, le tout aussi sinistre Agim Ceku, Premier Ministre du Kosovo de mars 2006 à janvier 2008. 1500 Albanais ainsi que 500 Serbes et non albanais sont toujours officiellement portés disparus.

    Une prise de conscience tardive: au lendemain de la guerre de Yougoslavie  relevait alors Bruno Gollnisch, Mme del Ponte était « une vraie passionaria dans sa traque et sa condamnation acharnée des patriotes serbes et croates alors que demeure une impunité plus que douteuse des criminels de guerre et mafieux bosniaques ou albanais. »

    Dans l’hémicycle européen, le 22 avril 2008, Bruno s’interrogeait  aussi: « Que faut-il penser quand la Commission et plusieurs de ces mêmes États membres reconnaissent aujourd’hui le Kosovo et ses dirigeants, dont certains sont impliqués personnellement dans un trafic d’organes (…). » Une illustration, une de plus, de toutes les tares de cette Europe là…

    Lors de la   guerre livrée par l’Otan à la Serbie en 1999, le FN avait été bien isolé dans sa dénonciation de cette agression atlantiste et de ses conséquences. Une fois encore, nous ne nous étions pas trompés.  Les 120 000 serbes du Kosovo ont été  victimes d’une véritable politique de nettoyage ethnique,  soumis aux violences, intimidations et autres vexations de la majorité de la population devenue musulmane et albanaise par le biais de l’immigration albanophone… Là aussi un exemple que devrait méditer M. Macron au lieu d’embrasser chaleureusement un Hashim Thaçi… et de maintenir sur notre sol les pompes aspirantes de l’immigration de peuplement. L’avertissement de Bruno Gollnisch énoncé au pied de la basilique Saint-Denis il y a plus de huit ans  garde toute sa terrible actualité : « La Seine-Saint-Denis ne doit pas devenir pour la France ce que fut le Kosovo pour la Serbie : berceau de l’Histoire nationale progressivement submergé, puis amputé par les forces d’une coalition étrangère ! ».

     https://gollnisch.com/2018/11/15/les-serbes-et-les-francais-ont-aussi-le-droit-au-respect/

  • Marine Le Pen défend la suppression de l'AME réservée aux clandestins !

  • Gilets jaunes : À l’approche des manifestations du 17 novembre, le gouvernement revoit sa copie

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Samedi prochain, 17 novembre, sont prévus partout en France des opérations de blocage en signe de manifestation contre la hausse des prix du carburants. En effet dans un pays où 70% de la population a besoin de sa voiture pour travailler, une telle hausse pèse lourd sur le budget des ménages. Sans compter que, rappelons-le, cette hausse concerne également le fioul. Le mouvement dénonce donc en premier lieu le racket des Français mais également la grande hypocrisie d’un gouvernement prétendant justifier ces taxations par la transition écologique alors que la seule et unique raison et de rapporter plus.

    Qu’est-ce que ce mouvement des gilets jaunes a de particulier ?

    Il n’a pas d’étiquette ! En effet, à l’instar du mouvement des bonnets rouges, aucun parti d’opposition n’a pris l’initiative du mouvement. À ceci près que cette fois, le mouvement touche la France entière. On entend même parler de « jacquerie ». Certaines grandes enseignes médiatiques comme le Monde ou Libération ont bien essayé d’y apposer une étiquette d’extrême droite mais sans succès : Macron se voit piégé devant le vrai peuple, impossible pour lui de diaboliser un opposant. Sa seule réaction jusqu’à aujourd’hui ? Il dit « assumer » ces mesures. Une déclaration largement interprétée comme suit : « je fais fi de vos revendications ». Il s’exprimera ce soir à 20h sur TF1.

    Quelles mesures propose le gouvernement pour calmer la grogne populaire ?

    Des aides multiples dont la nature varie aux gré des déclarations : Chèque énergie, prime à la conversion étendue, programmes d’accompagnement dans la transition etc. Pour ce qui est de la prime à la conversion, qui désigne des aides de l’Etat aux ménages pour faire évoluer le parc automobiles vers des véhicules moins polluants, cette mesure peine à trouver de la crédibilité devant les difficultés de mise en place de mesures plus anciennes telles que la prime à la casse. De plus, beaucoup y voient un prétexte à la consommation en faveur de l’automobile. Enfin, le mythe de la voiture électrique qui ne pollue pas s’ébranle. Nul n’ignore que leur production, beaucoup plus polluante qu’un véhicule classique, ainsi que le besoin accru d’électricité induit, contrebalancent totalement leur absence d’émission.

    https://fr.novopress.info/

  • Censure : Macron se soumet aux géants du Web pour instaurer une surveillance du Web

    Censure : Macron se soumet aux géants du Web pour instaurer une surveillance du Web

    Lu sur La Quadrature du Net :

    Il y a deux mois, la Commission européenne a publié sa proposition de règlement « censure antiterroriste ». Nous le dénoncions, expliquant que ce projet aura pour effet de détruire l’ensemble du Web décentralisé. Depuis, nous avons rencontré les ministères français en charge du dossier : nos craintes se sont amplifiées. La France, avec le soutien de l’Allemagne et du Parlement européen, va tout faire pour empêcher un débat démocratique sur ce texte : le gouvernement n’en parle pas dans la presse, veut forcer son adoption urgente et invoque le secret-défense pour empêcher tout débat factuel.

    Pourquoi tant de secret ? Probablement parce que ce texte, écrit en collaboration avec Google et Facebook, aura pour effet de soumettre l’ensemble du Web à ces derniers, à qui l’État abandonne tout son rôle de lutte contre les contenus terroristes. La collaboration annoncée lundi par Macron entre l’État et Facebook n’en est que le prémice, aussi sournois que révélateur.

    Pour rappel, le texte, poussé par la France et l’Allemagne, utilise le prétexte de la lutte contre le terrorisme pour soumettre l’ensemble des hébergeurs (et pas seulement les grandes plateformes) à des obligations extrêmement strictes :

    • retrait en une heure de contenus qualifiés de terroristes par une autorité nationale (en France, ce sera l’OCLCTIC, le service de la police chargé de la cybercriminalité) ;
    • la mise en place d’un « point de contact » disponible 24h/24 et 7j/7 ;
    • l’instauration de « mesures proactives » pour censurer les contenus avant même leur signalement ; si ces mesures sont jugées insatisfaisantes par les États, ces derniers peuvent imposer des mesures spécifiques telles que la surveillance généralisée de tous les contenus.

    D’un point de vue humain, technique et économique, seules les grandes plateformes qui appliquent déjà ces mesures depuis qu’elles collaborent avec les polices européennes seront capables de respecter ces obligations : Google, Facebook et Twitter en tête. Les autres acteurs n’auront d’autres choix que de cesser leur activité d’hébergement ou (moins probable, mais tout aussi grave) de sous-traiter aux géants l’exécution de leurs obligations.

    Ce texte consacre l’abandon de pouvoirs régaliens (surveillance et censure) à une poignée d’acteurs privés hégémoniques. Pourtant, la Commission et les États membres, en 146 pages d’analyse d’impact, ne parviennent même pas à expliquer en quoi ces obligations pourraient réellement être efficaces dans la lutte contre le terrorisme. […]

    Quand nous avons dit aux ministères que leur texte détruirait l’ensemble du Web décentralisé, ne laissant qu’une poignée de géants en maîtres, on nous a laissé comprendre que, oui, justement, c’était bien le but.

    Tranquillement, nos interlocuteurs nous ont expliqué que Google-Youtube et d’autres multinationales numériques avaient convaincu le gouvernement que la radicalisation terroriste était facilitée par les petites et moyennes plateformes, et qu’il fallait donc laisser la régulation du Web aux seuls géants prétendument capables de la gérer. Où sont les preuves de cette radicalisation plus facile en dehors de leurs plateformes ? Nulle part. Sans aucune honte, le gouvernement s’est même permis de sortir l’argument du secret défense, complètement hors sujet, pour masquer son manque de preuve et afficher son irrespect de toute idée de débat démocratique. C’est comme ça : Google l’a dit, ne discutez pas.

    Que ce soit clair : les arguments de Google et de Facebook visent simplement à détruire leurs concurrents. De fait, ce texte vise à faire disparaître les petites et moyennes plateformes, et à sous-traiter aux géants une censure massive et automatisée. […]

    Dans ce dossier, la menace terroriste est instrumentalisée pour transformer le Web en GAFAMinitel, pour acter la fusion de l’État et des géants du Net, et ainsi consacrer la surveillance généralisée et la censure automatisée de nos échanges en ligne. Tout ça pour quoi ? Pour lutter contre une auto-radicalisation fantasmée dont la preuve serait secret-défense (la bonne affaire !), et alors que les enquêtes sérieuses sur la question montrent que les terroristes ne se sont pas radicalisés sur Internet. […]

    https://www.lesalonbeige.fr/censure-macron-se-soumet-aux-geants-du-web-pour-instaurer-une-surveillance-du-web/

  • Le Bastion social mobilise pour samedi prochain

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    Un communiqué du Bastion social :

    Après avoir incité les Français pendant des années à s'équiper de moteurs diesels, le gouvernement prévoit de nouvelles augmentations successives des taxes sur le carburant dont plus de 60% du prix est déjà constitué de taxes.

    Comment ne pas s'indigner de cet énième matraquage fiscal quand, dans le même temps, le budget alloué en 2019 à l'asile et l'immigration augmente de 14% et quand les propositions d'ordre écologique du gouvernement se cantonnent à rançonner un peu plus les maigres économies des Français ?

    Insurgeons-nous contre ce gouvernement anti-national. Le 17 novembre, le Bastion Social soutiendra toutes initiatives citoyennes visant à exprimer le mécontentement du peuple et, descendra, lui aussi, dans la rue.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • BRISONS LES TABOUS, BRULONS LES TOTEMS !

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    Pieter Kerstens 

    Après avoir été anesthésiées durant 70 ans par les gourous euro mondialistes, il est savoureux de voir que du Nord au Sud de l’Europe, les nations sortent lentement de leur léthargie.

    Les laquais du Nouvel Ordre mondial et les banksters de Wall Street nous ont imposé leurs idéologies multiculturelles et pluriethniques, ainsi que leurs dogmes égalitaristes, hédonistes, libéralistes et immigrationistes.

    Ces grands prêtres de la Religion Droits de l’Hommiste ignorent la réalité et l’Histoire des nations. Fort de leur influence, ils réécrivent le passé glorieux de nos aïeux pour le détourner à des fins partisanes. Ainsi nous avons entendu, au final du carnaval du centenaire de l’armistice du 11.11.1918, le docteur Micron nous dire que le patriotisme était l’exact opposé du nationalisme.

    Quelques jours auparavant, l’Elyséen avait déjà craché sur les valeureux poilus, en refusant d’honorer les mérites et la gloire du plus méritant d’entre eux : Philippe Pétain, Maréchal de France, le vainqueur de Verdun.

    Faire preuve de tant de bassesse et de mesquinerie, un siècle plus tard, démontre la suffisance et l’arrogance du docteur Micron.

    Parce que le devoir de mémoire nous rappelle que c’est bien la grande majorité de l’Assemblée Nationale, le Président du Conseil en tête, qui avait imploré l’aide du Maréchal quand la France était dans la panade en 1940 ; ces mêmes jocrisses lui ayant accordé les pleins pouvoirs !

    Depuis des décennies, le capital apatride et l’oligarchie cosmopolite ont accaparé les leviers du pouvoir, les administrations, les organisations internationales et bien évidemment la Commission Européenne à Bruxelles et la Cour de Justice à Strasbourg.

    Ainsi, les nations d’Europe ont bien été encadrées et privées de tout libre arbitre, comme en URSS de 1917 à 1989. Ces charlatans de l’Europe à tout prix et sans limites (à l’exemple de Jacques Delors) nous ont conduits au chaos et à la décadence, car ce sont bien eux les vrais responsables de :

    • Une immigration incontrôlée de millions de clandestins.
    • La fermeture de nos fleurons industriels, miniers, sidérurgiques ou textiles.
    • La désertification de nos campagnes et du bétonnage à outrance sans discernement.
    • La hausse permanente des taxes et des impôts.
    • Lois liberticides interdisant la liberté de conviction, d’expression ou de réunion.
    • Règlements plus absurdes les uns que les autres, pénalisants les entrepreneurs.
    • L’existence d’une Police de la Pensée et l’obligation du Politiquement Correct.
    • Dettes publiques faramineuses condamnant nos enfants et petits-enfants.
    • L’enseignement dans les écoles, lycées et universités, fabriques de réels crétins.
    • L’insécurité généralisée, de Copenhague à Catane et de Brest à Bucarest.

    Et contrairement à ce qui a été affirmé, ce ne sont pas les nationalistes ou les identitaires, attachés aux valeurs ancestrales qui ont fait la grandeur de nos peuples au travers des siècles et par-delà les océans, qui représentent un danger d’une quelconque nouvelle guerre.

    NON, depuis 1945, le Monde et l’Europe ont été en proie à de nombreux conflits, que ce soit en Afrique, en Amérique du Sud, en Asie, à Chypre, en Yougoslavie, en Ukraine, en Irak, ou en Syrie, sans oublier les « Révolutions de Jasmin »…

    Guerres fomentées par qui ? Dans quel but ? Avec quels résultats ? Pour le bien commun et dans l’intérêt général ?

    Et ce ne sont pas non plus les nationalistes ou les identitaires à l’origine des crises sociales, économiques ou financières depuis 1945 en Europe. La faute des crises financières de Chypre, de la Grèce, du Portugal, de l’Espagne et bientôt de l’Italie est entièrement imputable aux copains et aux coquins des divers gouvernements ayant dirigé les pays d’Europe ces 40 dernières années dans le laxisme le plus absolu avec une incompétence extraordinaire.

    Et depuis cette période récente, le secteur bancaire et financier n’a jamais cessé ses pratiques douteuses, à tel point que les bilans des grandes enseignes est toujours plombé par des actifs pourris. Une prochaine tornade va à nouveau dévaster les finances européennes avec des répercussions sur votre niveau de vie, bien plus catastrophiques qu’en 2008.

    Ce n’est qu’une question de temps.

    Selon Christine Lagarde, présidente du FMI, le niveau mondial de la dette globale s’élevait à 182.000 milliards de dollars en octobre 2018, soit plus 60% de ce qu’il était il y a seulement 10 ans. D’après elle, « les élites n’ont pas conscience de ce qui se passe. » (les Echos 9.11.2018).

    Allo docteur Micron ? Les nationalistes répandraient la lèpre ?

    Mais vous-même, et vos adeptes macronariens, nous conduisez à nouveau vers les heures les plus sombres de notre Histoire !

  • Une ONG enseigne aux immigrés à se faire passer pour des chrétiens d’Orient persécutés (enquête en caméra cachée)

    La journaliste dissidente Lauren Southern le révèle :

    « La directrice d’une importante ONG européenne explique à notre équipe d’infiltrés comment elle enseigne aux migrants à mentir et à faire semblant d’être des chrétiens persécutés à la police des frontières. L’année dernière, ils ont travaillé avec 15.000 migrants. L’ONU a répondu à notre enquête en la qualifiant d’alarmante. »

  • Pourquoi Macron n’est pas un homme de paix, par Ivan Rioufol

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    Une mascarade de plus : Emmanuel Macron, grimé en promoteur du camp de la paix. C’est cette image avantageuse que le chef de l’Etat a voulu se donner dimanche, en détournant à son profit les commémorations du centième anniversaire de l’armistice du 11 novembre. Cependant, le général d’armée Pierre de Villiers relève la contradiction, tout en se gardant de désigner Macron. Dans son livre (1), le militaire, rendu célèbre par sa démission de chef d’état-major des armées en juillet 2017, écrit : “La paix commence par soi-même. Si vous êtes agressif, polémique, si vous confondez le volontarisme du chef avec l’agressivité et la pression, vous n’êtes pas un homme de paix“. Macron, au contraire de ce qu’il veut faire croire, n’est pas un homme de paix. Au contraire. Et la raison en est simple : il ne cesse de désigner des ennemis chez ses propres compatriotes, tout en ménageant la menace islamiste qu’il n’ose nommer. Certes, il a évoqué, hier, “des idéologies nouvelles (qui) manipulent des religions, prônent un obscurantisme contagieux“.

    Mais il aurait été plus clair de parler de l’islam politique et totalitaire. En revanche, le chef de l’Etat n’a eu de cesse de fustiger le “nationalisme”, qui serait coupable de “trahison” face au patriotisme. Alors que partout, y compris en France, les peuples se réveillent et se retrouvent dans leur volonté de préserver les nations de la mondialisation, Macron se comporte comme un incendiaire. “En disant : “nos intérêts d’abord et qu’importent les autres !”, on gomme ce qu’une nation a de plus précieux, ce qui la fait vivre : ses valeurs morales”, a-t-il déclaré dimanche. Mais ce moralisme culpabilisant, qui rend suspect le désir élémentaire de s’attacher à une nation protectrice, ne peut être compris que comme une agression par ceux qui ne font pas de distinguo entre patriotisme et nationalisme.

    Ce que Macron ne comprend pas, c’est que sa haine du nationalisme aboutit à la détestation de la nation. C’est d’ailleurs ce qu’il confirme lorsqu’il défend une “souveraineté européenne” plutôt qu’une souveraineté nationale. Comment prétendre être patriote quand, dans le même temps, la nation est remisée au nom de la lutte contre le “populisme” ? Faudrait-il craindre une Assemblée “nationale” ? Une Education “nationale”? Ce ne sont pas les nations démocratiques qui sont porteuses de guerre, comme le radotent les perroquets de la Macronie et ses idées toutes faites. Ceux qui dénoncent le retour aux années 30 sont eux-mêmes de possibles dangers, à cause de leur pacifisme qui conduisit à l’époque une partie de la gauche à la Collaboration avec l’Allemagne nazie. Aujourd’hui, les conflits sont dans les plis des sociétés multiculturelles, ouvertes à la mondialisation et à la conquête islamique. Le parti des médias, toujours lourdingue, a désigné Donald Trump comme étant l’intrus des cérémonies d’hier.

    En réalité, le président américain a raison de vouloir donner la préférence à son pays : c’est ce que demande son peuple. Personne en revanche ne s’est ému de la présence de Recep Erdogan et de son épouse voilée. Or voici un responsable islamiste dont le pays, la Turquie, menace la Grèce, occupe une partie de Chypre, massacre les Kurdes, ne reconnait pas le génocide arménien, soutient la conquête coranique en Europe. Mais pour Macron, rien n’est plus urgent que de chercher noise à ses compatriotes attachés à leur nation. Cette trahison le condamne.

    (1) Qu’est-ce qu’un chef ? Fayard

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 12 novembre 2018 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/212562/pourquoi-macron-nest-pas-un-homme-de-paix-par-ivan-rioufol/

  • Les gilets jaunes inquiètent Macron – Journal du mercredi 14 novembre 2018

    Politique / Les gilets jaunes inquiètent Macron
    Le samedi 17 novembre s’annonce mal pour l’exécutif. De plus en plus de Français entendent manifester leur hostilité à l’égard de la politique d’Emmanuel Macron mettant un coup d’arrêt au pouvoir d’achat. Le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, multiplie les déclarations pour décourager la mobilisation.

    International / Macron – Trump : guerre ouverte 
    Le torchon brûle entre Donald Trump et Emmanuel Macron. Après une ambiance tendue entre les deux chefs d’état lors des commémorations du 11 novembre, le ton est monté d’un cran.

    Politique / Salon du Made In France, un rendez-vous prisé des politiques

    Serveur TVL

    Lien dailymotion

  • Alexandre Langlois : « C’est dramatique d’en arriver à de telles extrémités pour faire réfléchir les gens ! »

    Lundi soir, Maggy Biskupski, policière à la brigade anticriminalité des Yvelines mettait fin à ses jours

    Lundi soir, Maggy Biskupski, policière à la brigade anticriminalité des Yvelines, mettait fin à ses jours. Cette présidente d’association de policiers en colère était visée par une procédure de l’IGPN. À cette heure, on ignore encore les causes de son suicide. Alexandre Langlois, secrétaire général du syndicat VIGI, réagit au micro de Boulevard Voltaire.