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magouille et compagnie - Page 1617

  • Le parcours trouble du Premier ministre Edouard Philippe

    (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Le nouveau Premier ministre Edouard Philippe a un parcours plutôt trouble. En effet, suite à sa prise de poste en tant que nouveau Premier ministre d’Emmanuel Macron, plusieurs histoires ont ressurgi à son propos. Son parcours, à la fois en tant qu’élu et en tant qu’employé dans le privé, comporte des zones d’ombre.

    Edouard Philippe est un compagnon de route d’Areva. Juppéiste convaincu, Edouard Philippe participera à sa demande à la fondation de l’UMP en 2002. Il devient par la suite conseiller régional de Haute‑Normandie jusqu’en 2008 et il rejoint Areva en tant que directeur de la communication et directeur des affaires publiques, en 2007, après le départ d’Alain Juppé du gouvernement Fillon. Ce poste est essentiellement un poste de lobbying pour le compte d’Areva qui l’amènera à développer des relations privilégiées avec des parlementaires sensibles aux questions atomiques.

    Un travail qui l’amènera à travailler de près sur les questions africaines. C’est à ce moment-là qu’il entretient un contact rapproché avec le président du groupe d’amitié France‑Niger à l’Assemblée nationale. Au même moment, en janvier 2008, un accord est signé entre Areva et le gouvernement du Niger concernant l’exploitation de l’uranium. Cet accord est immédiatement contesté par les rebelles touaregs.

    En effet, selon l’ONG l’Observatoire du nucléaire, citant des enquêtes deCharlie Hebdo et de Mediapart, l’uranium étant extrait de leurs zones de vie et serait supposément sous-payé par Areva grâce à ces accords et ne bénéficierait donc en rien aux populations locales, ce qui aurait contribué à la paupérisation des Touaregs, au développement du djihadisme et à la déstabilisation de la région. Toujours selon cette ONG, les entremises d’Edouard Philippe pour le compte d’Areva pourraient donc bien être responsables de la situation actuelle au Niger et au Mali.

    Ce poste soulève également des questions de conflit d’intérêts . Entre 2007 et 2010, Edouard Philippe a cumulé sans aucun problème son poste chez Areva et son poste d’adjoint au maire du Havre. Il devient maire en 2010 suite à la démission de son prédécesseur. Ayant quitté Areva la même année, il reste un pont direct entre l’entreprise et la municipalité du Havre, où il s’empresse aussitôt d’approuver un projet d’usines éoliennes offshore piloté par Areva, projet qui n’aboutira jamais. S’il est intéressant de voir que le Premier ministre a été un acteur de la société civile et comprend les enjeux d’une entreprise stratégique comme Areva, la question des conflits d’intérêts potentiels reste entière.

    Sa participation à la réunion du groupe Bilderberg en 2016 et son refus d’être transparent sur son patrimoine constituent également d’autres parts d’ombre importantes chez Edouard Philippe.

    https://fr.novopress.info/

  • Selon que vous serez enseignante franc-maçonne ou enseignante catholique…

    Le mercredi 31 mai, dans les locaux du Grand Orient de France rue Cadet, la franc-maçonnerie organise la 4ème journée de la jeunesse et de l’école sur le thème « Pour une culture humaniste, une école républicaine ». Sont notamment prévues des interventions de Florence SAUTEREAU, Professeure des écoles, École élémentaire, rue de Marseille, Paris 10e ; Sébastien CLERC, Professeur, Lycée professionnel Hélène Boucher Tremblay-en-France (93) ; Christiane FERRER, Principale, Collège Édouard Vaillant (REP) Gennevilliers (92) ; Sophie MAZET, Professeure au Lycée Auguste Blanqui Saint-Ouen (93), et Alain SEKSIG, Inspecteur de l’Éducation Nationale Académie de Paris.

    Après cette brochette de l’éducation nationale, les conclusions seront prononcées par Philippe FOUSSIER, Grand Maître Adjoint du Grand Orient de France.

    Que ces enseignants et cet inspecteur de l’éducation nationale interviennent au titre de leur activité professionnelle lors d’un colloque organisé par la secte maçonnique, voilà qui n’émeut aucun média du système.

    Par contre, voilà déjà quinze jours que le canard boîteux Nord Littoral et l’extrême gauche locale se déchaînent quasi quotidiennement contre une enseignante nommée Marie-Jeanne VINCENT parce qu’elle est, à titre privé, candidate Civitas à Calais pour les élections législatives. Des ayatollahs de la laïcité ont même saisi – sans succès – le rectorat pour tenter de faire virer cette enseignante sous prétexte qu’elle serait candidate d’un parti « catho-intégriste ». Raté car elle est considérée comme une « enseignante exemplaire » s’abstenant de faire part de ses opinions politiques et religieuses devant ses élèves.

    http://www.medias-presse.info/selon-que-vous-serez-enseignante-franc-maconne-ou-enseignante-catholique/74355/

  • Les Républicains En Marche ! | Législatives 2017

  • Le patron du PS, Jean-Christophe Cambadélis, arrache le micro d’une journaliste

    On imagine le tollé si un membre du FN avait fait cela :

    "Mécontent d’être suivi dans sa campagne électorale dans la 16e circonscription de Paris (une partie du 19e arrondissement), le premier secrétaire du Parti socialiste a arraché le micro siglé LCP – La chaîne parlementaire – des mains de la journaliste qui tentait de l’interviewer.

    « Il fait un début de campagne loin des caméras, raconte la voix off du reportage. Alors quand on s’approche d’un peu trop près… » Le député de Paris, qui brigue un 5e mandat, sort les griffes, se jette sur le micro, annonce les dents serrées « Vous allez me fermer ça ! » et pose le micro sur le capot de sa voiture. « On a dit à votre chaîne qu’on ne voulait pas d’images. On a dit : “Non !”», martèle Jean-Christophe Cambadélis qui peine à contenir sa colère. Le journaliste lui répond que ses équipes lui ont dit où il était, boulevard Macdonald.

    Député sortant, le premier secrétaire du PS a vu sa circonscription bouder Benoît Hamon à la présidentielle. Jean-Luc Mélenchon, Emmanuel Macron et François Fillon l’ont devancé le 23 avril. Et Jean-Christophe Cambadélis a 23 concurrents pour le poste de député dont des candidats EELV, France insoumise, PCF, LO ou La République en marche."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Macron et Philippe feignent de découvrir le mauvais bilan laissé par… Macron

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    Le président Macron va découvrir la mauvaise gestion du conseiller et du ministre de l’Économie qu’il fut.

    Parmi les petits jouets de sa panoplie « et de droite et de gauche », Macron cherche surtout, en cette campagne des législatives destinée à faire exploser la pauvre droite « baroiniste », des outils « de droite », ce qui veut dire, dans le langage de nos énarques, gestion sérieuse. D’où Philippe, Le Maire et Darmanin. Des ambitieux, sans grande réussite à leur actif, et qui auront l’immense avantage pour Macron de discréditer la droite deux fois : aujourd’hui donc, avec leur profil de carriéristes traîtres à leur camp, mais aussi dans quelques mois, quand leur échec sera patent et qu’ils serviront de fusibles au Président.

    Mais il emprunte aussi des dispositifs que la droite aurait mis en œuvre s’il y avait eu une véritable alternance après un quinquennat de gauche calamiteux sur tous les plans : l’audit des finances publiques, comme M. Philippe l’a annoncé dans son entretien au JDD.

    L’audit est, d’abord et avant tout, un excellent outil de communication pour faire passer, chiffres catastrophiques à l’appui, des mesures douloureuses : hausses d’impôts, etc. Et l’on sait que M. Macron a prévu une augmentation de la CSG qui, comme son nom l’indique, est bien un impôt « généralisé » ! La pratique de l’audit est de bonne guerre en cas d’alternance véritable et de situation économique et financière dégradée.

    Certes, la France laissée par M. Hollande coche bien la seconde condition. Mais la première ? M. Macron a réussi à être élu Président en faisant oublier qu’il était l’inspirateur de la politique économique de Hollande de 2012 à 2014, puis son ministre de l’Économie et des Finances jusqu’en août dernier. Certes, une campagne électorale est le moment de toutes les manipulations et de toutes les illusions. Un grand carnaval, cela est connu. Et celle-ci a été particulièrement réussie à ce niveau. 

    Mais un audit des finances publiques ? Celui-ci sera-t-il « et de droite et de gauche » ? Proposant aux Français une vision mi-chèvre mi-chou : oui, les déficits sont abyssaux, mais il y a eu quelques efforts ? Un nouveau rapport de la Cour des comptes ? Oublié dès que publié ?

    En tout cas, le président Macron va découvrir la mauvaise gestion du conseiller et du ministre de l’Économie qu’il fut. Ou plutôt, ce sont ses ministres. Et, du coup, les cris d’horreur vont surgir « et de gauche et de droite » ! Ce serait cocasse, si cela n’était pas très grave.

    Première à dégainer ? Muriel Pénicaud, nouveau ministre du Travail, qui hérite d’un chômage massif difficilement contenu par toutes sortes de rustines, de manipulations des chiffres (catégories A, B, C), et les incontournables « emplois aidés ».

    Or, selon Le Monde, le nouveau ministre vient de découvrir qu’en quatre mois seulement, son prédécesseur avait déjà consommé plus de 60 % des crédits destinés à ces « emplois aidés » qui permettent de faire sortir artificiellement des dizaines de milliers de chômeurs des statistiques ! Et, si elle n’intervient pas rapidement, ce sont près de 62.000 « nouveaux » chômeurs qui vont venir, déjà, grever le bilan de Macron au second semestre 2017.

    Vous me direz, il pourra toujours prétendre que c’est la faute de l’héritage Hollande.

    http://www.bvoltaire.fr/macron-philippe-feignent-de-decouvrir-mauvais-bilan-laisse-macron/

  • Un nouveau gouvernement fort peu nouveau, fort peu crédible : ceux qui ont voté Macron, ne venez pas vous plaindre !

    De quoi accouche la montagne de « promesses Macron » ? De rien de bien spécial, de bien particulier, de bien nouveau. En fait, d'une minuscule et ridicule petite souris. D'un gouvernement improbable de dosage / équilibre / combinazione : tout ce dont les Français ne veulent plus et que Macron avait promis d'abolir !

    - L'ingérable / imprévisible / intenable Hulot à l'écologie : la bonne nouvelle c'est qu'on est quasiment certain que Notre-Dame-des-Landes ne se fera pas !

    - Incompréhensible : Le Drian seul vrai bon ministre de Hollande / seul vendeur de Rafales viré des Armées. L'efficacité à la Macron ? On tremble !

    - Loufoque : le dernier des caïmans (Bayrou) et sa comparse Sarnez ministres ! Macron avait promis de renouveler et rajeunir : chapeau l'artiste !

    Comme le disaient déjà les Romains : « Parturiunt montes : nascetur ridiculus mus ! » 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/index-1.html

  • Avant de partir, Hollande et Myriam El Khomri ont vidé les caisses de l'Etat

    Mauvaise surprise pour Muriel Pénicaud :

    "L’enveloppe annuelle allouée aux contrats aidés, ces postes pour lesquels l’employeur public ou privé bénéficie d’aides et de subventions, a déjà été en très grande partie consommée par le gouvernement sortant, laissant très peu de latitude à la nouvelle équipe pour finir l’année. Selon une note adressée à Manuel Bougeard, directeur de cabinet de Myriam El Khomri, ancienne ministre de l’emploi, que Le Monde s’est procurée, les équipes précédentes anticipent une baisse de l’ordre de 120 000 contrats aidés sur les six derniers mois de l’année.

    Un phénomène qui aurait pour impact, entre autres, l’arrivée de 62 000 nouveaux demandeurs d’emploi sur le marché. Car, si une bonne partie des bénéficiaires sont embauchés pour de bon ou renouvelés à l’issue du dispositif, certains ne le sont pas forcément.

    Soucieuses de terminer sur le bilan le plus positif qui soit, les équipes de la ministre sortante ont, selon nos informations, consommé plus de 60 % de l’enveloppe qui était allouée à ce dispositif pour 2017. Elles ont donc engrangé nombre de nouveaux contrats aidés et ont renouvelé le stock de ceux qui arrivaient à échéance avant le 1er juillet."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Notre peuple est en face de menaces définitives : Remplacement culturel, destruction territoriale.

  • Najat Vallaud-Belkacem réinvente l’eau tiède !

    Soyons indulgents : le français est une langue très compliquée.

    On savait l’ancien ministre de l’Éducation nationale un peu fâché avec l’orthographe. Qu’elle salue les « equipes » de la gendarmerie de Tulle pour leur « professionalisme », félicite le PSG d’avoir « fait rêvé notre jeunesse » ou méprise le « gros rouge qui tâche », il arrive plus souvent qu’à son tour à Mme Vallaud-Belkacem de dépasser allègrement les bornes autorisées par la réforme de 1990.

    Eh oui, malgré qu’on en ait, et n’en déplaise aux détracteurs de l’ex-locataire de la rue de Grenelle, cette réforme date bien de 1990. Aussi, à ceux qui prétendent la lui imputer, Mme Vallaud-Belkacem pourrait-elle rétorquer, tel l’innocent agneau de la fable : « Comment l’aurais-je fait si je n’étais pas né[e] ?/ […] je tette encor ma mère. » Mais sans doute goûte-t-elle plus l’agneau en méchoui que le charme suranné des vers de La Fontaine. Pour répondre à Vanessa Burggraf, qui lui reprochait, sur le plateau d’« On n’est pas couché », d’avoir mené cette tristement fameuse réforme, elle a préféré s’esclaffer bêtement, d’un rire de gorge forcé, avant de crier à la « fake news ! »

    Mme Vallaud-Belkacem, visiblement, manie un peu mieux le franglais que la langue de Molière : « C’est incroyable, poursuit-elle, cela fait trois ans que je suis sujette à toutes les insanités de la Terre. » On se gratte la tête… On attrape le Larousse pour vérifier… Mais oui ! C’est bien cela ! Si l’on essaie de traduire ce français approximatif, la candidate aux législatives (donnée battue par un sondage IFOP-Fiducial pour le JDD et Sud Radio), est tout bonnement en train de dire qu’elle est « naturellement encline » à proférer toutes les âneries possibles. Ce n’est certes pas précisément un scoop mais, dans une bouche aussi arrogante, un tel aveu, même involontaire, fait rudement plaisir à entendre !

    Soyons toutefois indulgents : le français est une langue très compliquée. Ce n’est pas Jean-François Copé, qui n’entretient pourtant pas avec Najat Vallaud-Belkacem des relations franchement cordiales, qui lui jettera la première pierre. Lui-même n’avait-il pas écrit dans un tweet : « Ma mission c’est de tout faire pour que notre famille politique reconquérisse le cœur des Français aux prochaines élections » ? Les mathématiques aussi, il faut l’avouer, sont bien difficiles. Et si M. Copé excelle à multiplier les pains au chocolat à 15 centimes, Mme Vallaud-Belkacem, elle, n’a jamais fait mystère de ses difficultés dans cette discipline. À une époque où tant de politiques s’inventent de faux diplômes, on ne peut qu’être touché de cette franchise.

    Malheureusement, elle semble également assez hermétique à la physique, même la plus élémentaire. Selon L’Express, pour nous faire comprendre « que la stratégie d’Emmanuel Macron de placer des personnalités de gauche comme de droite dans le même gouvernement, ne peut fonctionner », elle aurait eu recours à cette étonnante analogie :

    « Ce n’est pas parce qu’on mélange de l’eau froide et de l’eau chaude que ça donne de l’eau tiède. »

    Quand on n’a pas inventé l’eau tiède, on peut toujours, pour donner l’illusion de brasser de grandes idées, essayer de la réinventer !

    http://www.bvoltaire.fr/najat-vallaud-belkacem-reinvente-leau-tiede/