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Le président Georges Pompidou était un homme sage et surtout de bon sens, tout sentiment qui échappera à ses successeurs. Pompidou est ce président qui, à la suite de De Gaulle, a industrialisé la France. Et pour se faire, il avait pour conseiller un certain Ambroise Roux, puissant patron de la CGE. Pompidou n’hésitait pas à suivre ses avis avisés. Depuis cette date, nos gouvernants ont fait tout et n’importe quoi, laissant ces imbéciles d’énarques de Bercy prendre de malheureuses initiatives.
Elle a sifflé la fin de la récré. Après des jours d’instrumentalisation éhontée, la procureur de la République de Nîmes a tenu une conférence de presse sur l'affaire du meurtre d'Aboubakar Cissé et remis l’église au centre du village.
Pour comprendre la minute de silence des députés, inclinés devant Aboubakar, parfaitement inconnu, il faut se pencher sur le concept de dhimmitude, un mot encore inconnu du grand public et qui est développé chez les musulmans. Il consiste, dans une société régie par la charia, d’un statut de sous-citoyen réservé aux non-musulmans et qui prévoit que les musulmans aient droit de vie et de mort sur eux, mais également, par exemple que leurs femmes soient soumises, ou que toute forme de contrat commercial ou moral soit exclusivement à l’avantage du musulman. Nos députés et ministres ont observé depuis 1958, une centaine de minutes de silence à l’Assemblée, soit soixante-huit pour la mort de députés, vingt-cinq pour la mort de ministres, anciens ministres et présidents de la République, neuf pour la mort de militaires décédés en opération et d’agents de l’Etat morts en opération et dix pour de simples civils, simples mais ayant tout de même une forme de notoriété. L’hommage à Aboubakar Cissé, tué dans une mosquée par un autre « Français », lui aussi d’origine étrangère, tout aussi anonyme qui lui, on ne voit pas en quoi il a pu avoir lieu, hormis le fait que l’intéressé soit musulman et que cela lui confère le rang d’appartenance à la caste « dirigeante » devant laquelle, les députés devraient faire preuve de « dhimmitude ».
Selon les informations d’Europe 1, Ismaël Boudjekada, élu d’opposition à Grand-Charmont dans le Doubs, a été interpellé dans la matinée à l’aéroport international de Bâle-Mulhouse. Il est reproché au conseiller municipal de gauche des faits d’apologie du terrorisme après avoir tenu des propos pro-Hamas ces derniers mois.
À l’occasion de la parution de son enquête-choc, François Bousquet est l’invité de Christine Kelly dans « Face à l’info » sur CNews. Pour la première fois, une enquête documentée donne la parole aux victimes du racisme antiblanc. Un travail journalistique à hauteur d’homme, porté par un impératif de vérité.
En 1799, Joachim Murat, fidèle général de Napoléon, entra avec ses cavaliers dans la salle du Conseil des Cinq-Cents lors du coup d’État du 18 Brumaire. Face à des députés hostiles, perçus comme des obstacles à la survie de la République, il brandit son sabre et, par sa détermination, dispersa ces « aboyeurs de foire », les forçant à fuir pour laisser place à un pouvoir décidé à restaurer l’ordre et la grandeur de la France. Cette image, invoquée ici, traduit une colère face à une Assemblée qui, par les agissements de certains, trahit le peuple qu’elle prétend servir.
L'Office fédéral allemand pour la protection de la Constitution (BfV) a désigné le parti Alternative pour l'Allemagne (AfD) « organisation extrémiste de droite qui menace la démocratie et l'ordre constitutionnel ». Aux élections de février, l'AfD s'était classé deuxième, derrière les conservateurs du Cdu et devant les sociaux-démocrates du Spd. C'est-à-dire les deux partis qui ont conclu un accord pour former le nouveau gouvernement en Allemagne. Le Parlement peut même exiger la dissolution de l'AfD, comme il l'a déjà fait pour son organisation de jeunesse.
Ils ont franchi un cap. Ce 1er mai, les délicieux Black Blocs se sont jetés, non pas comme d’habitude sur des sympathisants du Rassemblement national, sur des gendarmes ou sur des policiers, mais sur… un responsable et un stand du PS. Bienvenue au club ! Le stand fixe du PS a été consciencieusement saccagé, ce 1er mai, par ces professionnels de la destruction qui sont à la démocratie ce que le feu est à l’eau, c’est-à-dire l’exact contraire.