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magouille et compagnie - Page 1833

  • Nuire debout : une doctrine militante dénommée « le spontanéisme », qui puise ses sources dans le gauchisme et l’anarchisme

    Alors que de nouvelles violences ont émaillé le rassemblement de Nuire Debout cette nuit à Paris (1 voiture de police incendiée, affrontements et 12 interpellations - le régime est bien complaisant), Joël Hautebert analyse pour L'Homme nouveau :

    "[...] ne nous y trompons pas, les méthodes que nous voyons appliquées en ce moment place de la République et ailleurs ont été précédemment conceptualisées. Elles s’inspirent d’une tradition militante identifiée. Autant dire qu’elles n’ont rien de spontané dans leur naissance et leur conduite. Il s’agit d’une véritable doctrine militante effectivement dénommée « le spontanéisme », appliquée par exemple par les altermondialistes, qui puise ses sources dans le gauchisme et l’anarchisme. Les ouvrages publiés sur ce sujet abondent. Citons à titre d’exemples celui de Sébastien Porte et de Cyril Cavalié (Un nouvel art de militer, Éditions Alternatives, 2009), celui de Xavier Renou (Petit manuel de désobéissance civile : à l’usage de ceux qui veulent vraiment changer le monde, Syllepse, 2009), celui de Laurent Jeanneau et Sébastien Lernould, (Les nouveaux militants, Les petits matins, 2008) ainsi que de nombreux sites Internet (voir par exemple ici ou ). On y trouve toute la panoplie lexicale et idéologique du parfait activiste (spontanéité, horizontalité, subversion, transgression, désobéissance civile, non-violence, mobilité, mouvement insaisissable, etc.) et la signification déconstructiviste des gestes, des postures etc. (voir surtout le livre de Xavier Renou).

    De nouvelles méthodes

    L’ouvrage de Sébastien Porte et Cyril Cavalié (Un nouvel art de militer) explique avec une grande clarté l’évolution des méthodes de la gauche révolutionnaire. Les grèves, les grandes manifestations, l’engagement dans les syndicats et le parti ne constituent plus l’archétype du militantisme. Ces moyens classiques d’agir sont devenus routiniers et comportent tout compte fait des défauts intrinsèques du strict point de vue idéologique. De nouvelles méthodes permettent de s’adapter aux évolutions techniques et sociales ainsi et surtout qu’aux mutations internes à la gauche marxiste.

    En quoi consistent ces mutations ? Pendant des décennies le militantisme dominant visait la conquête du pouvoir politique (le grand soir !), permettant ainsi la transformation de la société par la loi en vue de la réalisation ultérieure du communisme. L’action révolutionnaire était donc finalisée. En marge de ce modèle dominant, le « gauchisme » refusait toute idée de prise du pouvoir, au nom du rejet pur et simple de ce dernier. L’anarchisme s’est toujours caractérisé par la condamnation radicale de l’autorité. Le modèle militant classique s’est progressivement étiolé depuis mai 68, avec une forte accélération consécutive à la disparition du monde soviétique. Le modèle anarchiste, quant à lui, fut réadapté aux temps postmodernes. [...]

    L’activisme révolutionnaire se définit dorénavant par la conjonction des luttes, entendue de manière purement horizontale, c’est-à-dire sans but politique dans le sens où il ne s’agit plus de prendre le pouvoir mais seulement de déconstruire toute forme d’autorité et de revendiquer la désobéissance civile, locution très à la mode, tout sauf idéologiquement neutre. Il n’est donc pas surprenant de percevoir une réelle cacophonie dans « Nuit debout », d’y constater une sorte de foire aux actions subversives, puisqu’il s’agit justement d’un conglomérat anarchique de luttes variées. [...]

    Pourtant, il n’y a pas de cité sans autorité, c’est-à-dire sans principe directeur, au même titre qu’il n’y a pas de famille sans autorité parentale. Nier cette réalité première, fondamentale, c’est nier le politique, la cité, la nature même de l’homme animal politique. La condamnation radicale et nécessaire d’un gouvernement injuste, éventuellement d’un système politique et économique, ne justifie nullement le rejet du pouvoir politique en tant que tel, puisque c’est lui qu’il faut viser, fût-ce à très long terme. Toute action est une tension vers un but. C’est bien connu, ce qui est premier dans l’ordre de l’intention est dernier dans l’ordre de l’action. Notre engagement ici et maintenant s’enracine dans l’objectif final, le rétablissement de l’ordre en toutes choses et de l’autorité politique au service du bien commun. Sans cesse présent à l’esprit, cet objectif, même lointain, anime notre manière d’agir qui doit donner une idée de ce que nous sommes et de ce que nous souhaitons. Le chaos ne peut être un objectif politique."

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/04/nuire-debout-une-doctrine-militante-d%C3%A9nomm%C3%A9e-le-spontan%C3%A9isme-qui-puise-ses-sources-dans-le-gauchisme.html

  • La révolution culturelle politique annoncée par Sens commun n’a pas encore commencé

    Extrait de la tribune de Pascal Gannat, président du groupe FN au conseil régional des Pays de Loire :

    "Au lendemain des élections, Madeleine de Jessey, porte-parole de Sens commun, se félicitait d’avoir appuyé Bruno Retailleau, présenté comme un homme de convictions, attaché à l’identité nationale, ainsi qu’à la famille traditionnelle.

    Or, Bruno Retailleau avait préféré favoriser sur sa liste les candidatures UDI et MoDem, les mêmes qui appelaient à voter PS en 2012, plutôt que des candidats Sens commun. Sur 54 candidats éligibles, seulement 3 places pour Sens commun, contre 19 pour les centristes, une seule pour le PCD (...)
    À la suite du premier vote du budget primitif, un constat s’impose : reconduction à 100 % des politiques culturelles et sociales de la gauche. Financements maintenus ET votés par Sens commun pour :
    AIDES, associations LGBT communautariste,
    – l’AFEV, association gauchiste étudiante anti-FN, gavée de subventions régionales, 
    le Planning familial du tout-IVG et politisé,
    le Pass contraception, qui délivre des pilules abortives aux mineures hors autorité parentale.

    En bref, tout l’édifice culturel, des « solidarités » et du « social » le plus politisé et communautariste, ou idéologisé et artificiel. Aucune mesure en faveur des familles et des femmes qui travaillent en éduquant leurs enfants, aucune proposition culturelle rompant avec le mainstream de la gauche…

    Sébastien Pilard, fondateur de Sens commun, Roch Brancour et Maxence de Rugy, élus Sens commun des Pays de la Loire, doivent l’admettre : la révolution culturelle politique tant annoncée par Sens commun n’a pas encore commencé. Aucun d’entre eux n’ayant, d’ailleurs, osé s’exprimer contre la théorie du gender lors du débat obligatoire sur l’égalité homme-femme, tandis qu’une élue centriste se réjouissait dans l’hémicycle de ce que la politique de la gauche, surtout en faveur de « toutes les formes de famille », ait été reconduite.
    Le mouvement Sens commun éditorialise dans Le Figaro pour expliquer qu’il incarne une droite décomplexée qui « ne lâche rien », puis passe des compromis qui deviennent abandons, que ce soit en Île-de-France, en Auvergne-Rhône-Alpes ou dans les Pays de la Loire (...)"

    Philippe Carhon

  • Liberté pour la dissidence !

    Boris Le Lay, animateur du site Breizatao.com, vient d’être condamné par la justice à deux années de prison ferme pour incitation à la haine raciale, pour un article visant le vice-procureur du tribunal de Quimper.
    Un mandat d’arrêt a été émis à son encontre et fait suite à une condamnation, l’an passé, à 6 mois de prison ferme pour avoir écrit qu’il n’existait pas de « Celtes noirs ».
    Boris Le Lay a été jugé en son absence, sans même pouvoir être représenté par un avocat. Il est, en effet, exilé à l’étranger afin de fuir la répression politique qui s’abat sur lui.
    Quelle que soit la teneur des propos tenus par ce blogueur important de la dissidence, cette décision d’enfermer, deux années durant, un homme pour des écrits est ahurissante .
    Le pire étant, bien entendu, le silence de toutes les belles âmes qui se proclamaient Charlie, crayon ou autre Bataclan et qui se répandaient en donneurs de leçons garants de la liberté d’expression.
    Certains d’entre eux se félicitent même. On pense à l’élue d’extrême gauche brestoise, Julie Le Goïc, qui se fend sur Twitter d’un « Oh Yeaahh » à l’annonce des deux ans ferme.
    Étonnantes réactions, venant d’une gauche qui a passé ces dernières années à tout faire pour que les délinquants de droit commun échappent le plus possible aux lourdes peines de prison.
    Étonnant message que celui de la justice adressé aux Français, une justice qui relâche un violeur récidiviste pour une erreur administrative ou une faute de frappe dans une procédure, mais qui veut enfermer un blogueur pour un écrit dissident.
    Car en condamnant Boris Le Lay à deux années de prison ferme avec mandat d’arrêt, le message est clair : cassez, volez, agressez, violez, tuez même. Si vous n’êtes pas dissident, si vous n’êtes pas suspecté du crime ultime de pensée raciste (c’est-à-dire, en réalité, de défense des siens avant les autres), la justice française trouvera toujours le moyen de vous faire sortir rapidement de prison, et nos belles âmes vous trouveront toutes les excuses et les possibilités de réinsertion possibles .
    Si, en revanche, il vous venait à l’esprit d’être dissident, d’écrire, de mobiliser, de militer contre ce régime autoritaire qui s’est installé en France, alors préparez-vous aux foudres impitoyables de la justice, au lynchage médiatique, et n’attendez aucune rédemption possible.
    Qu’on partage ou pas les analyses de Boris Le Lay, la dissidence se doit de le soutenir. Car demain, à moins de rentrer dans le rang, ça sera moi et ça sera vous, ce seront tous les dissidents politiques qui seront embastillés pour avoir simplement dénoncé les fléaux qui ravagent la société dans laquelle nous vivons aujourd’hui.
    Liberté pour Boris Le Lay ! Et que crève cette dictature de la pensée unique !

    Yann Vallerie Boulevard Voltaire :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuyEuZVZuuqaPXYdVe.shtml

  • Le coût de l’accueil des réfugiés : les vrais chiffres

    Le coût de l’accueil des réfugiés est littéralement astronomique.

    Vous vous souvenez, à l’été 2015, ceux qui osaient parler du coût de l’accueil d’une nouvelle vague de réfugiés étaient systématiquement rabroués, et pour cause : en Europe, et singulièrement dans les médias français, qu’on se le dise, l’immigration est une chance.

    Mais demandez combien rapporte un immigré ? Vous ne le saurez jamais. Combien coûte-t-il, alors ? Vous ne le saurez pas plus… en France, du moins. Heureusement, dans d’autres pays européens, on a encore le souci de dire (parfois) la vérité aux électeurs ; c’est justement le cas en Suède.

    À l’automne dernier, lors du débat budgétaire, le gouvernement (centre gauche) avait prévu une enveloppe de 15 milliards de couronnes (environ 1,6 milliard d’euros) à renouveler chaque année jusqu’en 2020.

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  • Le pouvoir part à la dérive

    L’Élysée et Matignon multiplient les plans pour acheter la paix dans leur camp. En vain. La gauche ne cesse de décrocher.

    La distribution des lots s’accélère avec de l’argent que le gouvernement n’a pas. Quelle importance ? L’annonce, c’est maintenant, la facture, c’est pour plus tard. Le plus bel exemple en a été fourni lundi à Matignon. Après avoir passé en revue le système devenu absurde des revenus des minima sociaux, le premier ministre déclarait qu’il fallait simplifier tous ces dispositifs (ce qui est justifié) mais il ajoutait qu’il en profiterait pour généraliser un revenu minimal unique étendu « aux jeunes précaires » à partir de 18 ans au lieu de 25 (quelle incitation à l’apprentissage et à chercher du travail !), sans même avoir chiffré la mesure… Il précisait alors que la mise en oeuvre rapide de cette décision prendrait tout de même de dix-huit mois à deux ans. C’est-à-dire après les élections de 2017… Voilà ce que M. Hollande veut dire quand il prétend vouloir « réformer jusqu’au terme de son mandat ».

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  • Aidez les femmes enceintes en vous connectant sur IVG.net

    Les lecteurs de notre blog sont invités à se connecter régulièrement (si possible une fois par jour pendant au moins trois minutes) sur le site ivg.net en simulant  systématiquement une recherche Google sur le mot clé “ivg” afin de maintenir ce site N°1  sur ce moteur de recherche et avant celui du gouvernement.

    N'hésitez pas à le faire savoir autour de vous et à visionner à nouveau cette excellente vidéo.

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Nuit Debout : viols et agressions sexuelles en pleine place publique

    Nuit Debout est ce mouvement de gauchistes bien élevés qui génère violences et saccages. Une inimitié de la bien-pensance le menace depuis qu’Alain Finkielkraut s’en est fait exclure, une telle exclusion ne pouvant être considérée par les ligues de vertu que comme de l’antisémitisme

    On apprend maintenant, en plus de tout cela, que des viols et agressions sexuelles ont eu lieu en pleine place publique dans le cadre de ces rassemblements. Rien de nouveau dans les mouvements gauchistes…

    Madame Taubira a-t-elle changé d’avis, elle qui affirmait il y a quelques semaines :

    «Je regarde avec une très grande tendresse ce mouvement. Je ne sais pas vers quoi il va déboucher mais, quel que soit son aboutissement, c’est une expérience collective, c’est une expérience citoyenne»

    En terme d’expérience collective, le succès semble être au rendez-vous ! Avec tendresse, naturellement !

    http://www.medias-presse.info/nuit-debout-viols-et-agressions-sexuelles-en-pleine-place-publique/53313

  • Au nom de l’intérêt public !

    Dr Bernard Plouvier

    C’est en se référant à cette noble formulation, qu’un juge de notre vertueuse République exige l’ouverture d’un centre pour réfugiés-immigrés dans l’un des quartiers de France où la vie est la plus chère : le XVIe arrondissement de Paris !

    Après tout, ces réfugiés-immigrés vivant de la charité publique (via le détournement d’une partie de nos impôts, redistribuée en allocations & subventions qu’ils obtiennent sans travail de leur part) ne sont que modérément sensibles à la cherté de la vie, puisqu’ils se comportent en parfaits parasites.

    De même, la pollution du Bois de Boulogne n’est guère plus préjudiciable à la France que celle des alentours de Calais et de Grande-Synthe, ou de villages bretons ou poitevins… d’autant que ledit bois est bien connu pour ses trafics de stupéfiants et ses passes de prostitué(e)s en tous genres, y compris les plus improbables. Donc, allons-y pour la jolie formulation : « Au nom de l’intérêt public » !

    Mais, quel intérêt est-il en cause ? De quelle communauté parle-t-on dans cette affaire « d’intérêt public » ? Exclusivement de la clientèle des partis « de gauche », actuellement en pleine déconfiture, et qui ont impérativement besoin de se refaire une santé par la naturalisation en masse de ces immigrés-réfugiés, associée – bien entendu - à une reprise en force de la démagogie tiers-mondiste la plus flamboyante.

    Parce que si l’on parle de l’intérêt de la Nation française, qui représente le seul public légitime - étant le seul souverain de l’État -, dans ce cas, personne et surtout pas un magistrat de la République ne peut se prévaloir de dire ce qu’est son intérêt. Pour l’excellente raison que nul n’a demandé l’avis de ce « souverain » depuis qu’en 1976 (par le décret funeste de regroupement familial), des politiciens ont imposé une immigration de masse, aggravée de façon exponentielle depuis le milieu des années 1980.

    L’intérêt de la Nation française commande-t-il une immigration extra-européenne massive ? Bien évidemment ! Avec plus de 5 millions de chômeurs, l’intérêt national commande d’importer encore et toujours plus d’Africains, de Moyen et de Proches-orientaux, dont une majorité n’a aucune qualification et dont les rares techniciens ont souvent besoin de la célèbre « discrimination positive » pour se faire embaucher.

    Il est également évident que, dans un pays où existent déjà environ 8 à 10 millions de musulmans, l’intérêt national commande, et d’urgence, d’en importer encore quelques millions de plus, de façon à voir pulluler davantage encore les mosquées et les boucheries hallal, de façon à voir circuler davantage d’individus en djellaba et nantis de ce voile islamique prôné ouvertement à l’école des sciences politiques de Paris ces derniers jours.          

    À l’évidence encore, il est de l’intérêt public bien compris d’importer toujours plus de jeunes musulmans célibataires pour voir se multiplier les viols de « petits culs blancs », de préférence en « tournantes » (c’est plus pittoresque), et, bien sûr, pour favoriser ces attentats qui mettent du piment dans la vie par trop monotone de la Nation… ces attentats qui devraient ne reprendre avec force qu’une fois passées les prochaines présidentielles : les maîtres du vrai Pouvoir vont probablement en freiner le rythme jusqu’à cette échéance électorale, ne souhaitant pas favoriser un sursaut patriotique.

    Maintenant si l’on veut réellement analyser, monsieur le magistrat de la République, le véritable INTÉRÊT PUBLIC, soit celui de la NATION, seul SOUVERAIN LÉGITIME de l’ÉTAT FRANÇAIS (on utilise les majuscules, de façon à ce que même le plus malvoyant des juges puisse lire), les mesures qui s’imposent et d’urgence ne sont, certes pas, de multiplier les « centres d’hébergement de réfugiés-immigrés ».

    Non ! Il s’agit de respecter les fondements de la démocratie. Or, la Démocratie repose sur deux piliers : l’égalité de tous devant la Loi et la prise des grandes décisions par la Nation.

    Les mesures qui s’imposent – et d’urgence – sont donc de demander à la Nation sa décision souveraine en matières : d’immigration d’origine extra-européenne ; d’opportunité ou de dangerosité extrême d’engager des musulmans dans les forces armées, les forces de police et de gardiennage de prisons, sachant que la totalité des terroristes sont des musulmans ; de la nécessité de se séparer des DOM-TOM, boulets économiques, riches de seules charges budgétaires ; de rétablir la peine de mort dans des cas bien précis ; de maintenir ou de supprimer la légalité de l’avortement de complaisance, qui réalise chaque année un génocide d’environ 220 000 à 250 000 Français de souche européenne ; de statuer en matière de fourniture d’énergie ; de chasser du territoire national tous les chômeurs inutilement importés et de renvoyer dans leurs continents d’origine les millions d’extra-européens pour qu’ils mettent en valeur leurs pays, de façon à multiplier les centres de production et à stimuler le commerce international. Tels sont les choix stratégiques actuels.

    Car on se moque absolument de l’avis sur ces questions de notre plantureux Président, d’ailleurs en voyage exotique perpétuel, de l’avis de notre distingué premier ministre, toujours entre deux cures (nécessaires) de relaxation, ou de celui du frétillant ministre de l’économie « En Marche » vers Matignon et l’Élysée.

    Tant que l’on n’aura pas demandé son avis au seul souverain légitime de l’État, soit la Nation, nul – pas même un digne magistrat de la République – ne pourra argumenter : « Au nom de l’intérêt public ».

    La Démocratie a ses exigences. On aurait presque honte de le rappeler, tant la chose est évidente… hélas, elle ne semble pas évidente pout tout le monde.  

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Condamné à deux ans de prison pour avoir appelé à résister à l'islamisation

  • À Bruxelles, on va parler turc !

    On assiste à l’ottomanisation insidieuse de l’Europe dans le dos des Européens.

    Et voilà ! C’est l’Europe comme on l’aime, l’Europe démocratique, généreuse, attentive aux souhaits de ses 500 millions de nationaux.

    Cette Europe vient de faire une stupéfiante proposition. Chypre – que je connais bien pour y avoir vécu deux ans – est un pays aimable, direct, nature, sympa. Les Chypriotes sont naturellement accueillants et amicaux. Par malchance, ils sont en guerre ! Depuis 1974 et la honteuse invasion de la partie nord de l’île par les troupes turques, le régime appliqué est celui du cessez-le-feu sous contrôle des Casques bleus de l’ONU. Le pays est sectionné par une sinistre balafre, la « green line » ou « ligne verte », qui isole un gros tiers de l’île : au sud, la République de Chypre, État indépendant depuis 1960 ; au nord, la RTCN – République turque de Chypre du Nord – faux État fondé sur la brutalité militaire, reconnu par aucun pays au monde, à l’exception de la Turquie. On a cru « régler » la question chypriote en faisant entrer Chypre dans l’Europe et en lui faisant accepter l’euro : quelle erreur !

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