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magouille et compagnie - Page 1839

  • Eric Zemmour : « Les Black Blocs ont rencontré les racailles »

    Sur RTL ce matin, Eric Zemmour a analysé la recrudescence des violences contre la police. « On dit souvent que l’amour est près de la haine : les policiers après d’autres pourront l’attester. Il y a dix-huit mois, on leur jetait des fleurs, les femmes leurs sautaient comme aux cous comme des libérateurs et même un vieil anarchiste comme Renaud se surprenait à embrasser un flic ! La police était Charlie et tout le monde aimait la police. Dans la rue désormais, les manifestants crient à l’unisson : “Tout le monde déteste la police !“ On leur lance des harpons de pêche ! Des boules de pétanque avec des rasoirs ! On jette des mortiers ! Des conteneurs de bouteilles en verre ! […] On veut casser du flic. Faire mal. Au risque de tuer. »

    Selon Eric Zemmour, « c’est Nuit Debout qui a tout changé. La place de la République est devenue un champ de bataille. On renoue avec la tradition des violences révolutionnaires. On brise les façades des banques, on met le feu aux voitures de luxe. A force de parodier Mai 68, il était inévitable que le mouvement redécouvre son slogan le plus inepte et le plus scandaleux : “CRS SS“. »

    Le chroniqueur rappelle que, en Mai 68, « De Gaulle avait alors lancé à son Premier ministre : “Pompidou, tirez dans les jambes !“ […] Dans sa jeunesse, on envoyait l’armée à cheval contre les manifestants. Ceux-ci n’hésitaient pas à attaquer au couteau leurs montures. Il y avait souvent des morts, comme le 6 février 1934. »

    Or « Pompidou et son préfet de police, Maurice Grimaud, avaient pris l’exact contrepied des instructions du général. Cet humanisme bienfaisant s’est retourné depuis contre l’Etat. L’humanisme est pris pour de la faiblesse. Les violences se sont enhardies. Depuis la mort de Malik Oussekine dans une manifestation contre la loi Devaquet en 1986, la hiérarchie policière et tous les gouvernements de droite comme de gauche vivent dans la hantise de la bavure. »

    Résultat : « Les forces de l’ordre sont sur la défensive. Les consignes de retenue les paralysent. La peur a changé de camp. L’Etat d’urgence ne change rien, l’état d’urgence ne sert à rien. Dans la bataille, les jeunes gauchistes ultraviolents venus de toute l’Europe côtoyent les troupes fraîches venues des banlieues : les Black Blocs rencontrent les racailles. Chacun reste dans son domaine d’excellence : les uns détruisent les symboles du capitalisme, les autres pillent et volent – font leurs courses ; les uns dénoncent la société de consommation, les autres veulent consommer à tout va. La convergence des luttes est un mythe d’intellectuel : leur seul point commun est la haine de la police. »

  • Annulation de l'élection de Dominique Reynié ?

    Dominique Reynié (LR pro-LGBT), après avoir été devancé par le Front national et le parti socialiste aux dernières régionales en Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées, pourrait bien voir son élection annulée. Le sénateur républicain de l’Hérault Jean-Pierre Grand avait déposé un recours devant le Conseil d’Etat en raison de doutes sur la domiciliation de Dominique Reynié, alors tête de liste LR dans la région.

    Ce mercredi 18 mai, une audience s’est tenue et « le rapporteur public a demandé au Conseil d’Etat d’annuler l’élection de Dominique Reynié ». L’affaire a été mise en délibéré. Cette décision devrait sans nul doute aller dans le même sens que celle préconisée par le rapporteur public. Dans ce cas, l’élection de Dominique Reynié au conseil régional devrait être annulée et son mandat lui serait retiré. Conséquence : le groupe Les Républicains du Conseil régional devra élire un nouveau président.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/05/annulation-de-l%C3%A9lection-de-dominique-reyni%C3%A9-.html

  • haine anti flics, manips, laxisme : soutenons les défenseurs de la république

    La France  championne d’Europe… d’un insupportable et  contre-productif  fiscalisme confiscatoire, spoliateur,  qui décourage et annihile souvent  les meilleurs volontés, celles qui créent les conditions de la croissance et de l’emploi . Le quotidien libéral L’Opinion indique qu’en 2012, « la France était derrière le Danemark, quasiment ex aequo avec la Belgique pour le poids des prélèvements obligatoires. Quatre ans plus tard, elle est en tête. » « La Commission européenne estime que le taux de prélèvements obligatoires atteindra 45,7 % cette année. La France double ainsi le Danemark et la Finlande et devient numéro 1 en Europe. Même si les comparaisons internationales sont toujours difficiles à faire en matière de fiscalité, les nouveaux travaux de la commission rappellent que le poids de la fiscalité s’est alourdi, en France, quand il s’est allégé chez la plupart de nos partenaires.Voilà un chiffre de nature à gâcher la fête du ça va mieux  entonnée sur tous les airs par l’Elysée »… La fête n’est pas gâchée pour tout le monde car c’est grand, c’est beau, c’est généreux la France socialiste… avec l’argent des contribuables. 18 immigrés clandestins ont ou vont recevoir  leur  titre de séjour a ainsi indiqué la préfecture de Seine-Saint-Denis. Immigrés illégaux décrits par les autorités comme des victimes collatérales  de l’assaut donné par le Raid à Saint-Denis  du 18 novembre contre la planque d’Abdelhamid Abaaoud,  coordinateur présumé des attentats du 13 novembre.  Un geste expliqué par le fait  que l’immeuble où ils vivaient serait devenu inhabitable depuis l’opération antiterroriste.  L’Afp  rapporte que « la préfecture précise avoir reçu six autres demandes de titre de séjour, dont trois ont fait l’objet d’un refus, et trois sont en cours d’examen. En tout, les autorités ont recensé 44 ménages, soit 94 personnes, qui n’ont pu regagner leur logement depuis l’assaut du 18 novembre. Ils ont été hébergés en urgence dans des résidences hôtelières aux frais de l’Etat. »  La « logique »  immigrationniste et laxiste dans toute sa splendeur… 

    Un laxisme que subissent aussi de plein fouet les forces de l’ordre confrontées, depuis plusieurs semaines, aux violences  des milices d’extrême gauche lors des manifestations contre la loi El Khomry. Policiers qu clamaient hier lors d’un rassemblement à Paris - en présence de Gilbert Collard, Marion Maréchal-Le Pen, Jean-Lin Lacapelle, des conseillers régionaux franciliens… -,  leur ras le bol de cette haine anti-flics. Une haine confinée à certains milieux gaucho-anarchistes, aux sectes trotskystes, dans les faits extrêmement marginale, 91% des Français affirmant dans un tout récent  sondage paru dans Le Parisien avoir «  une haute estime de la police. »

    Mais une haine que ce gouvernement  dirigé par les matamores Valls et Cazeneuve,  pourtant chargés  de faire respecter l‘Etat de droit, laissent prospérer,  tétanisés affirment certaines analyses  par leur peur de la  « bavure »  – le syndrome Malik Oussekine et plus récemment Rémi Fraisse – en contradiction avec leurs mâles déclarations… et la proclamation-prolongation de l’Etat d’urgence.

    Tout un symbole, en marge du rassemblement policier d’hier, une contre-manifestation sauvage, aux alentours de la place de la République, a permis à des casseurs de détruire une voiture de police le long de Canal Saint-Martin;  celle-ci,  avec deux agents à l’intérieur, qui ont réussi à s’extraire, a été incendiée par un cocktail Molotov. Plusieurs jeunes ont été interpellés après l’attaque, une enquête a été ouverte pour tentative d’homicide involontaire. Le ministre de l’Intérieur  a indiqué que trois des individus placés en garde à vue, des « militants antifascistes » a-t-il cru bon de préciser, avaient « fait l’objet de la part de la préfecture de police de Paris d’une interdiction de paraître dans les manifestations » . L’un de ces arrêtés (il y a en eu 53) avait été cassé par le tribunal administratif, comme un certain nombre d’autres…

    Ancien président de l‘UEJF à Assas, syndicat étudiant dans l’orbite du PS, Me Arié Alimi, qui se veut le défenseur des jeunes, notamment ceux issus de l’immigration, qui se disent victimes de violences policières, a estimé  que les policiers « essaient de se couvrir » en demandant le soutien des Français. Il s’escrime à racialiser le débat en affirmant  qu’il y a « un véritable ciblage ethnique dans les contrôles aux faciès et dans les violences policières ». Peu ou prou le langage habituel de l’extrême gauche, y compris dans sa version mélenchoniste, pour tenter de discréditer les forces de l’ordre et légitimer, plus ou moins implicitement, les exactions des casseurs  dans les manifestations.

    Me Alimi, et il est peut être ici plus audible, affirme encore - des policiers syndiqués l’ont dit pareillement -,  que Bernard Cazeneuve « a donné des instructions pour laisser passer les casseurs dans les manifestations pour discréditer le mouvement, »  comme cela aurait été le cas, il y a deux ans, lors des rassemblements cornaqués par les écolo-gauchistes contre l’aéroport Notre-Dame des landes à Sivens (Tarn). Il est certes assez évident que l’intérêt de ce gouvernement est de marginaliser cette opposition de gauche et d’extrême gauche à sa politique, en lui collant une image émeutière, anxiogène, la coupant de tout soutien populaire. La technique n’est pas neuve et a a été utilisée, y compris sous d’autres gouvernements, contre d’autres forces politiques.

    Sur RTL hier soir, le journaliste Joseph Macé-Scaron (Marianne) abondait dans le sens d’Arié Alimi, évoquant des manifs où les casseurs étaient en fait des policiers déguisés pour faire dégénérer les rassemblements. Un trompe l’œil, une erreur d’interprétation selon  les autorités, qui affirment que l’ infiltration des groupes de casseurs par de policiers reste une technique efficace, utilisée afin de procéder à des interpellations… M. Macé-Scaron indiquait  encore que cette manipulation des casseurs » n’est pas (une) volonté de Manuel Valls », mais une pratique courante dans le monde politique… à laquelle n’appartiendrait donc pas M. Valls ?

     Sur cette même antenne Élisabeth Lévy (Causeur) énonçait une évidence, souligne Bruno Gollnisch, en affirmant que si « tout le monde déteste les casseurs », les Français aiment leur police.  Ce qui est une bonne nouvelle, y compris certainement pour le journaliste Claude Askolovitvh qui, le 9 janvier dernier, dans sa chronique diffusée sur I télé, constatait que « les défenseurs de la république votent FN. » Il commentait une étude du Cevipof (Centre d’Etudes de la Vie Politique Française), expliquant que plus de la moitié des policiers et militaires voterait pour le Front National. De là à y voir la cause première de la rage des milices d’extrême gauche…

    http://gollnisch.com/2016/05/19/haine-anti-flics-manips-laxisme-soutenons-defenseurs-de-republique/

  • Les Français à François Hollande : le temps des démagogues est révolu !

    La propagande élyséenne, fille de la démagogie, présente avec cynisme un tableau idyllique du mandat présidentiel.

    Pour célébrer la date d’accession au pouvoir de François Hollande, le service de communication de l’Élysée, dont on peut se demander s’il n’est pas plutôt un service de propagande, a posté sur Internet une rétrospective des quatre premières années de son mandat. La vidéo met l’accent sur sa présence internationale, ses déplacements à l’étranger, la COP21, le mariage pour tous : qui oserait dire que la France ne va pas mieux ?

    Les Français eux-mêmes. Selon un sondage IFOP, 86 % d’entre eux pensent que ça ne va pas mieux. Même en tenant compte de la marge d’erreur (1,8 % à 3,1 %), plus de 80 % partagent cet avis : annonce d’une défaite assurée pour le locataire de l’Élysée si, d’aventure, il persistait à vouloir renouveler son bail. Si la moitié d’entre eux ne se plaignent pas de leur sort personnel, 86 % estiment que le sort de leurs concitoyens en général ne s’est pas amélioré. Beau désaveu pour François Hollande ! Il est vrai que, si l’on met en balance les aspects positifs et négatifs de son mandat, on sait de quel côté le plateau penchera inexorablement.

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  • Angela Merkel n'est pas Charlie et interdit l'humour satirique envers Erdogan

    Un pas de plus vers le totalitarisme en Europe ? Un humoriste allemand est en train de s'en rendre compte :

    "Le journaliste satirique de la chaîne de télévision publique ZDF s’est vu interdire mardi par le tribunal de grande instance d’Hambourg de déclamer à l’avenir publiquement ce poème de sa composition, lu à l’antenne le 31 mars. Seuls 6 des 24 vers ont échappé à la censure. Le poème avait eu le malheur de déplaire au président turc Recep Tayyip Erdogan, personnage principal du texte (...)

    Petit retour en arrière. L’affaire Böhmermann débute mi-mars sur une autre chaîne de la télévision publique allemande, la NDR, qui dénonce en chanson la remise en cause des libertés publiques en Turquie, sous le joug du «boss du Bosphore». Ankara tonne, convoque l’ambassadeur d’Allemagne. L’affaire prend un tour politico-diplomatique inconfortable pour Angela Merkel, qui a besoin du gouvernement turc pour se dépêtrer de la crise des réfugiés.

    Présentateur vedette de l’émission Neo-Magazine Royale, Jan Böhmermann est l’auteur de plusieurs coups d’éclat (...) En s’en prenant à Erdogan, Böhmermann assure clairement «vouloir tester les limites de la liberté d’expression» en Allemagne. Le risque est grand. La République fédérale possède en effet un instrument redoutable pour le polémiste : l’article 103 du code pénal, dit «de lèse-majesté», largement tombé en désuétude. Il permet à un chef d’Etat ou de gouvernement étranger de porter plainte en Allemagne contre des propos jugés injurieux à son égard. George Bush avait à plusieurs reprises tenté de faire jouer l’article 103 contre des humoristes ou polémistes allemands. En vain : l’article ne s’applique qu’aux pays assurant la réciprocité, ce qui n’est pas le cas avec Washington. Mais bien le cas avec Ankara.

    Le 15 avril, Angela Merkel fait savoir que son gouvernement donnera suite à la demande de la Turquie de poursuivre au pénal l’humoriste Böhmermann, qui risque donc trois ans de prison (...) Le débat est vif en Allemagne. Angela Merkel a-t-elle sacrifié la liberté de la presse à la gestion de la crise des réfugiés, comme le lui reproche l’opposition ? Et quid de la sacro-sainte indépendance de la justice ?"

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • François Hollande et Nicolas Sarkozy ont tous les deux promis d'inverser la courbe du chômage

    La campagne électorale de 2017 risque d'être difficile pour François Hollande et Nicolas Sarkozy avec de telles traces vidéos rassemblées par Marianne :

    "Inverser la courbe du chômage, la promesse est devenue emblématique de son quinquennat. Et pourtant, voici ce que dit aujourd'hui à ce sujet François Hollande, qui était l'invité ce mardi 17 mai de la matinale d'Europe 1 :

    "(...) moi je ne vais pas faire des prophéties, c'est une bataille, c'est un combat (...) La bataille n'est pas gagnée, elle ne le sera que lorsqu'on aura sur plusieurs mois une baisse continue du chômage et ça serait tout à fait téméraire, prétentieux et presque mensonger de dire : 'Ecoutez, on a presque 1,5% de croissance au maximum en 2016 et on va pouvoir diminuer massivement le chômage'. Non, ce sera une bataille".

    AH BON ? Il serait donc mensonger d'affirmer qu'avec "seulement" 1,5% de croissance (prévue en 2016, soit la meilleure perspective depuis 2012), une diminution massive du chômage est exclue ?! Pourtant, la prévision de croissance pour 2013 n'était que de 1,2% quand le président Hollande avait lâché cette phrase sur TF1 le 9 septembre 2012 : "Je pense que nous devons inverser la courbe du chômage d'ici un an". Un objectif qu'il avait maintenu en mai 2013, comme le rappelle notre vidéo ci-dessous.

    Quant aux "prophéties" dont il se garde aujourd'hui, il avait lui-même lâché celle-ci le 24 avril 2012, dans la dernière ligne droite avant la présidentielle au 20 heures de TF1 : "Moi je dis que la courbe du chômage s'inversera"… Mais ces archives, le candidat qui a de plus en plus de mal à se cacher aimerait sans doute les voir disparaître avant 2017 - tout comme un certain rival…


    Quand Sarkozy et Hollande promettaient de... by Marianne2fr

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/05/fran%C3%A7ois-hollande-et-nicolas-sarkozy-ont-tous-les-deux-promis-dinverser-la-courbe-du-ch%C3%B4mage.html

  • « Ordre moral nauséabond »…

    L’événement a frappé les esprits, c’était un magistral coup de communication, une manifestation de force tranquille, une affirmation d’appartenance à une civilisation face à la barbarie. Nous parlons bien sûr du concert de musique classique  voulu par Vladimir Poutine et Bachar el Assad, qui s’est déroulé le 5 mai dans la ville antique de Palmyre, libérée fin mars de l’occupation sanglante des brigades internationales djihadistes. Valéri Guerguiev, ami du président russe, mais surtout chef  d’orchestre mondialement (re)connu, directeur du théâtre Mariinski, qui a souvent organisé des concerts dans des lieux ravagés par la guerre ou  sinistrés par des catastrophes naturelles  était à la baguette. La lumière de Bach, Chtchedrine, Prokofiev comme antidote à l’hiver islamiste, à la nuit mondialiste…

    Russie qui est pourtant toujours dans le collimateur des progressistes qui lui reproche (aussi) sa défense et son respect des valeurs patriotiques et qu’ils ont voulu punir à travers le concours de l’Eurovision. Il a été  remporté samedi par l’Ukraine, via la chanteuse Jamala, et sa chanson « 1944″. La  jeune femme,  une musulmane de Crimée, appartenant à l’ethnie turcophone Tatar,  y évoque les persécutions (bien réelles)  subies par les Tatars sous Staline, déportés en Asie centrale car accusés de collaboration avec l’envahisseur allemand. Une Crimée rattachée arbitrairement, par  un décret de Khrouchtchev, à l’Ukraine en 1954  mais revenue comme le voulait l’écrasante  majorité de ses habitants – ils  l’ont dit par référendum– dans le giron de la Russie en 2014.

    Les Tatars (injustement traités par Moscou  selon  le Parlement européen et les Etats-Unis…) ne partagent pas le sentiment pro-russe des  habitants de la Crimée et la récompense donnée à Jamala est bien évidemment un message politique. Le site Sputnik l’assure, dans les faits c’est le chanteur représentant  la Russie, « Sergueï Lazarev, qui était d’ailleurs le favori annoncé du concours », qui a « (remporté) le vote du public européen. Mais le vote du jury, si on peut parler de jury (fut) tout autre. Au final, c’est la représentante ukrainienne qui (a remporté)  le concours alors qu’elle n’a pas gagnée ni au niveau du public, ni même au niveau de ce fameux jury (deuxième dans les deux cas) avec une chanson ouvertement politisée (…). Les organisateurs de l’Eurovision ont donc violé une autre règle du concours: celle qui interdit toutes chansons politiquement engagées. »

    « Une victoire donc tirée par les cheveux et arrangée vraisemblablement par le clan des désireux de récompenser les élites ukrainiennes pour leur bon travail dans l’intégration atlantiste. » En terme d’intégration –à la pensée dominante, au politiquement correct- le ministre de  la Culture,  Audrey Azoulay  n’est pas la dernière.  Samedi, lors de son passage au Festival de  Cannes,  elle a dénoncé   « un ordre moral nauséabond »,  responsable de  l’annulation d’un concert du rappeur Black M, en marge de  la cérémonie de commémoration de la bataille de Verdun (voir notre article publié hier).

    « N’acceptons jamais cela. Ce n’est pas la première fois que l’autocensure succède à ces coups de forces inacceptables. » « Les démocraties en Europe sont confrontées à la violence, à la montée de l’extrême droite, à la radicalisation d’une partie de leurs enfants, à la radicalisation aussi du débat public (…). Il est important, ici à Cannes, de réaffirmer nos valeurs et de défendre la liberté de création » a affirmé Mme Azoulay devant un parterre de professionnels du cinéma.

    Valeurs au nombre desquelles figurent bien évidemment le respect dû aux femmes, la lutte contre les violences dont elles sont victimes, et plus encore,  la dénonciation de  la pédophilie,  valeurs cardinales de la gauche ( ?), mais qui  sont mises sous le boisseau quand les circonstances l’exigent.  La semaine dernière, le  maître  de  cérémonie  lors de l’ouverture du festival,  l’acteur de la Comédie française Laurent Lafitte, a fait  scandale par cette pique  prononcée en présence et à l’intention  de   Woody Allen:  « Ça fait plaisir que vous soyez en France parce que ces dernières années vous avez beaucoup tourné en Europe, alors que vous n’êtes même pas condamné pour viol aux Etats-Unis. »

    Une allusion directe à deux affaires sordides qui collent aux basques de deux chouchous dumicrocosme.  A savoir le binational franco-américain  Roman Polanski,  accusé en 1977 de crime sexuel sur une mineure de 13 ans,  Samantha Geiger, préalablement droguée. Incarcéré pendant un mois et demi, libéré sous caution avant son jugement aux Etats-Unis, le cinéaste  s’était  réfugié en France qui a refusé de l’extrader. M. Polanski avait accepté de plaider  coupable pour rapports sexuels illégaux avec une mineure  contre l’abandon des charges  de viol, de sodomie, de fourniture d’alcool et de drogue.

    Quant à Woody Allen (M. Lafitte a dit ensuite qu’il n’était pas au courant…) c’est l’actrice Mia Farrow, qui a partagé  la vie du cinéaste  jusqu’en 1992,  qui a  affirmé que  sa  fille adoptive,  Soon-Yi Previn,  avait eu des relations sexuelles  avec ce dernier, lequel  a fini par l’épouser en 1997 malgré leur 35 ans de différence d’âge.  Surtout, l’autre  fille adoptive du couple, Dylan Farrow,  a dénoncé  en 1992, 21 ans après les faits,  les abus sexuels dont elle aurait  été  victime de la part de Woody Allen, qui l’aurait violé  quand elle avait  sept ans.  Le Bulletin d’André Noël rapporte  les propos de  Dylan Farrow: Il y aura des conférences de presse, et un tapis rouge que mon père va fouler avec sa femme (ma sœur) (Soon-Yi Previn). Il va avoir ses stars à ses côtés (…). Ils peuvent faire confiance à la presse pour ne pas leur poser de questions dérangeantes. Ce n’est pas le moment, ce n’est pas l’endroit, ça ne se fait pas. »

    « Quelle fut la réaction de l’auditoire à Cannes en présence du nouveau ministre de la culture? Lafitte fut sifflé et quelques jours plus tard, il a dû s’excuser pour avoir rappelé des faits connus, mais dont on ne doit pas parler, comme le dit le fils de Woody Allen. » « La notoriété et le talent de ceux qui les commettent leur assurant l’immunité et la bienveillance du pouvoir politique et médiatique. »  « Parmi ceux qui ont hué Laurent Lafitte, il y avait des politiques et des journalistes qui demandent qu’on en finisse avec le harcèlement sexuel et exigent que toute la lumière  soit faite sur leurs agissements, tout comme ils condamnent la pédophilie. Tartuffe pas mort. »

     On le voit, poursuit cet article, évoquant l’affaire Baupin, Sapin, les 17 anciennes ministres qui  ont signé une tribune dans le JDD pour dénoncer le harcèlement sexuel, « ce sont-là des faits autrement graves que le harcèlement sexuel, baisers volés et mains baladeuses, dont des femmes adultes sont victimes, ce qui est évidemment condamnable (…). Mais il n’est pas question de ces femmes qui, dans le monde politique et journalistique, ont usé et usent de leurs charmes pour obtenir tel ou tel poste ou autre… prébende : elles sont connues, pour la plupart d’entre elles, de la classe politico-médiatique. Cela, certes, ne dédouane pas pour autant les hommes harceleurs mais rappelle simplement que le vice n’est pas l’apanage des hommes et la vertu le monopole des femmes. »

    Une évidence, de même que  le vice, les harcèlements, les comportements de prédateurs ne sont  pas  le  monopole  de certains grand bourgeois,  politiciens,  ou stars du septième art. C’est aussi en substance ce que rappelait Florian Philippot lundi sur I télé,  en évoquant le cas du fondamentalisme islamique. Il ne s’agit pas d’affirmer stupidement que tous les musulmans, les immigrés non européens ont un comportement déplacé,  non respectueux, répréhensible avec les femmes européennes. Mais il est évident que l’islamisme radical est une menace particulièrement directe, en Europe même, sur la liberté des femmes. De même, plus largement constate Bruno Gollnischl’immigration massive impose dans certains quartiers,  notamment aux jeunes Françaises,  certains codes vestimentaires, une  limitation de leur liberté de circulation, un couvre-feuImmigration-invasion qui est aussi responsable  d’une explosion des  violences faites aux femmes. Encore un sujet  tabou qu’au nom de son idéologie du vivre-ensemble, multiculturaliste  et immigrationniste, l’ordre moral nauséabond du Système (s’) interdit d’évoquer.

    http://gollnisch.com/2016/05/18/ordre-moral-nauseabond/

  • Jusqu’où faudra-t-il descendre dans l’abjection ?

    Dr Bernard Plouvier

    Il y a quelques années, un premier ministre de la VeRépublique, le socialiste Lionel Jospin faisait l’apologie des mutins de 1917, sans trop réfléchir aux conséquences des actes de ces nobles consciences si le mouvement s’était généralisé, en un moment où l’armée allemande était encore puissante et fort motivée. On peut comprendre que la tradition pacifiste et antimilitariste des Jospin s’exprime de façon privée. Le faire publiquement, lorsqu’on est aux affaires demande à la fois plus de subtilité, davantage de connaissances historiques et sociologiques, en un mot : de réflexion.

    On pouvait préférer un Mitterrand qui, en dépit de ses innombrables tares, refusait de souiller l’État dont il avait la charge en lui reconnaissant la moindre responsabilité dans la Shoah… il fallut attendre Chirac pour que l’on assiste à cette ignominieuse repentance.

    L’ennui avec une descente aux enfers, c’est qu’elle induit une surenchère perpétuelle dans l’ignominie. En 2016, on imagine de faire venir à Verdun un rappeur musulman très engagé dans l’islam conquérant et la haine anti-Blancs, pour… au fait dans quel but ?

    On comprend bien qu’à une année d’élections qui vont remettre en question l’attribution d’une grande partie des sinécures dorées de la Ripoublique, les socialistes au bilan catastrophique ratissent au plus large et ne veulent laisser passer aucune voix musulmane.

    Un autre but, pour nos féaux de la globalo-mondialisation, serait de prôner plus que jamais le pacifisme & l’antimilitarisme, en ridiculisant les anciens combattants, de Verdun et d’ailleurs, de 14-18 et de toutes les guerres… et vas-y que je te désinforme un peu plus sur la Guerre d’Algérie et la repentance pour la colonisation. Il y a un public de gogos pour ces âneries qui, en dépit de leur fausseté historique, font toujours recette. Item, donc, des voix de bobos à engranger.

    D’autant que Môaaa Président d’un État surendetté n’a rien trouvé de mieux que de donner son accord pour financer un Musée de l’esclavage… où l’on omettra probablement d’insister sur les fournisseurs, ces « rois nègres » qui vendaient des Noirs aux marchands d’esclaves musulmans et/ou juifs, qui les revendaient à des exportateurs juifs ou chrétiens (vers l’Ouest : la Traite transatlantique) ou des exportateurs juifs et surtout musulmans (pour la Traite vers l’Est : péninsules arabique et indienne, Moyen-Orient, Insulinde etc.). Item : les voix des DOM-TOM entrent en urnes.

    De la même façon, nul ne réagit à l’organisation, au sein de la contestation potacho-estudiantine, de cellules racistes, c’est-à-dire strictement réservées aux extra-européens de souche. Cela se passe en France, l’An 2016, où divers clowns ministériels distribuent en permanence des leçons fort stéréotypées (et en un français parfois approximatif) sur la tolérance, le « vivre ensemble », l’intégration-assimilation et – suprême confiserie - : les sacro-saints Doits de l’homme… dont la déclaration fut rédigée, en 1776, par le richissime planteur virginien Thomas Jefferson, qui était un esclavagiste, qui jamais ne reconnut son bâtard mulâtre. L’étude historique est une perpétuelle source de petites joies. Ohé, les fêtards de gauche, c’est encore un grand anniversaire à mettre en scène : 240 années de désinformation !

    Que les socialistes de salon, alliés aux écologistes bobos et aux dinosaures marxistes, fassent dans la pire démagogie, cela n’étonnera personne : ils jouent dans leur cour et restent fidèles à leur registre. N’en subissant eux-mêmes, ni par leurs proches, aucune conséquence directe, ils se moquent des incendies de voitures, du vandalisme des biens publics et privés, des vols, viols et assassinats perpétrés de façon pluri-hebdomadaire par des « jeunes », fruits pourris de cette immigration d’origine extra-européenne qu’ils favorisent ouvertement et dont ils assurent la promotion par la très antidémocratique « discrimination positive ».

    En revanche, si la majorité de la Nation autochtone, c’est-à-dire de souche européenne, ne réagit pas très vigoureusement par une sanction d’élimination aux scrutins de 2017, la France passera, une fois de plus, à la traîne de la Grande-Bretagne, et nul ne pourra s’étonner si un musulman devient maire d’une grande ville. La veulerie se paie très cher.

    Il est inutile d’hurler : « Au secours Jeanne ! ». Il suffit de se souvenir de notre plus grand fabuliste : « Aides-toi et le ciel t’aidera ».

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/05/17/jusqu-ou-faudra-t-il-descendre-dans-l-abjection-5802971.html

  • ORLEANS : LE KIDNAPING DE JEANNE PAR MACRON

    Le Bloc notes de Jean-Claude Rolinat

    Il est jeune, a fière allure, porte beau le costume classique. Véritable gravure de mode sacralisée par les médias à la botte du système, Emmanuel Macron est le portrait type du jeune homme que les bonnes familles voudraient avoir comme gendre. Trop tard, le monsieur est déjà marié à une dame plus âgée qui s’est confessée dans les pages glamour de « Paris Match ». Quelle idée lui a traversé l’esprit lorsqu’il accepta l’invitation du maire « Les Républicains » d’Orléans, de présider les fêtes johanniques ? Et qui a soufflé à ce dernier d’inviter le ministre ?

    OBJECTIF L’ELYSEE

    Ambitieux, fondateur d’un mouvement dont le sigle est composé de ses initiales , « EM » », comme « En Marche », en marge d’un gouvernement dont le chef n’hésite même plus à le réprimander en plein hémicycle, Emmanuel Macron a commencé, probablement, l’escalade des flancs escarpés de la montagne qui devrait le conduire, pense-t-il, à L’Elysée. Et beaucoup d’autres, membres de ces loges et autres clubs confidentiels pensent pour lui, comme lui. Pourtant, bien que d’aspect sympathique, l’homme n’a pas un charisme exceptionnel et ses états de service à Bercy ne brillent pas au firmament des réussites gouvernementales, si ce n’est par l’ingéniosité mise en actes pour tondre le contribuable. Venu des milieux bancaires il rassure un certain patronat cupide – ne représentant pas, heureusement, tout le monde des affaires - et qui ne pense qu’à ses intérêts, toujours la même courte vue sur le devenir de la société française. Etiqueté social-démocrate, européiste, mondialiste, Macron a été mis initialement sur orbite par François Hollande pour contrer les ambitions d’un Manuel Valls colérique, ne voyant plus l’objectif présidentiel que comme une ligne d’horizon. (Laquelle, comme chacun le sait, est inaccessible plus on s’en rapproche !). Alors, pourquoi fêter la Sainte de la patrie traditionnellement honorée par Jean-Marie Le Pen chaque premier mai tandis que l’Action française défile le 8 au matin et que le PDF, le CNC, le Renouveau français et l’association Véritas, eux, se rassemblent autour de sa statue équestre place Saint Augustin, à Paris ? C’est que l’homme, ne se voulant ni de droite ni de gauche, au-dessus des partis donc, une sorte de « gaullisme soft », a besoin de se confronter au public, d’enluminer son image, de se donner une stature de rassembleur à la mesure de son ambition. Ira-t-il sous ses couleurs dans la course de 2017 si, d’aventure, le Corrézien n’y va pas ? La gauche modérée a besoin d’un bon poulain et une partie du monde des affaires trouve Emmanuel Macron compatible avec le capitalisme mondialisé. Venu du sérail bancaire, il connait les ficelles du métier. Mais, pour gagner à « la Grande élection », il faut plus d’atouts. Honorer Jeanne d’Arc est une bonne occasion de renouer avec l’Histoire de France. Ce n’est pas pour rien que dans son discours prononcé devant le parvis de la cathédrale, il a fait référence à de grandes figures de notre roman national, citant Charles Péguy, Michelet ou Gambetta avant de tenter de raccrocher son destin au parcours de l’héroïne du jour : - « Jeanne (…) a su rassembler la France pour la défendre, dans un mouvement que rien n’imposait. Tant d’autres s’étaient habitués à cette guerre qu’ils avaient toujours connue. Elle a rassemblé des soldats de toutes origines. Et alors même que la France n’y croyait pas, se divisait contre elle-même, elle a eu l’intuition de son unité, de son rassemblement »… Si cela ne ressemble pas à un discours de présidentiable, je veux bien être transformé en portier du PS rue de Solferino ! Son allocution était attendue et les observateurs politiques ont scruté le moindre indice pouvant prouver les ambitions du locataire de Bercy qui aspire à changer… d’arrondissement ! Les hommes de l’ombre qui mettent le jeune homme sur orbite ont réussi un beau coup médiatique. Même si dans ce monde surinformé une info chasse l’autre, l’image du ministre de l’Economie serrant la main d’une jeune fille, à cheval, incarnant Jeanne, restera dans les mémoires, alors que celle d’un Hollande seul dans sa voiture, escorté de la garde républicaine remontant des Champs Elysées presque déserts, passera aux oubliettes de l’Histoire. Pour qui se passionne pour l’actualité, pour la vie de la « chose publique », les mois qui viennent vont être fertiles en évènements, trahisons, ralliements, éliminations, coups fourrés et coups de poignards, chausse trappes et autres coups tordus… Mais la France dans tout cela, qui s’en soucie ?

    QUID DE LA DROITE NATIONALE ?

    Il y a, c’est certain, des hommes et des femmes de bonne volonté dans tous les rangs de ce que l’on appelle, au sens large du terme, la « Droite nationale ».( Que nos adversaires et nos ennemis s’évertuent à qualifier « d’extrême-droite » !). La difficulté, pour une irruption sur la scène du pouvoir, réside d’abord dans leur dispersion. Et, surtout, dans l’imposture actuelle que représente le courant majoritaire du principal mouvement se réclamant – à peine ! – de cette mouvance. La tentative du Maire de Béziers de rassembler des personnalités de notre sensibilité pour une large confrontation de leurs idées est-elle « la » solution miracle ? Nous, qui avons pris le « parti de la France » qui, comme le dirait un vulgaire Juppé, « sommes droits dans nos bottes », nous attendons de pied ferme Mr Macron ou tout « ersatz » de social-mondialisme : cet homme et ceux qui l’accompagnent n’incarnent pas nos valeurs, et ce n’est pas le hold-up de notre héroïne nationale qui nous convaincra du contraire. Si certains voient en Emmanuel Macron le sauveur de la patrie, une sorte de « Kennedy à la française », grand bien leur fasse. Nous ne tomberons pas dans le piège de la « Macronmania ».

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Scandaleux : Jacques Toubon traite les pieds-noirs d’immigrés !

    Rapport-Toubon-300x248.jpgL’information figure dans le numéro deMinute daté d’aujourd’hui : le défenseur des droits Jacques Toubon traite les pieds-noirs d’immigrés ! Pages 7 et 8 de son ahurissant rapport sur « Les droits des étrangers en France », Toubon (ancien cadre du RPR et ministre juppéiste) écrit en effet :

    « Aucune période de l’histoire de l’immigration, aussi intense soit-elle, n’a modifié le socle des valeurs républicains communes. Ni le million de rapatriés et harkis au début des années 60, pas plus que tous les Portugais, Espagnols, Italiens, Algériens, Marocains, Tunisiens, venus – pour travailler – dans les années 60 et 70. Ni les immigrés sub-sahariens que l’indépendance des Etats africains a conduits en Europe. »

    Vous ne rêvez pas, le million de Français obligés de revenir sur le sol de LEUR patrie après l’abandon de l’Algérie est mis sur le même pied que les immigrés de toutes les couleurs…

    Source

    http://www.contre-info.com/