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magouille et compagnie - Page 1874

  • 160 millions d’euros de subventions européennes pour le planning familial

    Suite au scandale du planning familial américain (trafic d’organes prélevés sur les bébés avortés), le député européen Marie-Christine Arnautu (FN), avec quelques collègues, avaient demandé à la Commission européenne de

    • fournir le montant exact des subventions versées à la fédération du planning familial international,
    • reconsidérer sa décision relative à l’initiative citoyenne « Un de Nous » visant à s’opposer à la recherche embryonnaire lorsqu’elle entraîne la destruction d’embryons (initiative qui avait recueilli plus de 1,7 millions de signatures)
    • expliquer les raisons pour lesquelles la Commission européenne s’autorise à financer des organisations encourageant l’avortement alors que c’est un sujet qui n’entre pas dans ses attributions.

    La réponse de M. Mimica, Commissaire européen à la Coopération internationale et au Développement, et les annexes fournies avec montrent que l’exécutif européen a versé depuis 2005 aux deux fédérations internationales du planning familial la bagatelle de 160 millions d’euros en subventions (cf. les chiffres fournies dans annexes jointes à la réponse du commissaire) :

    1. Les honorables parlementaires trouveront dans les annexes I et II des informations tirées de la base de données centrale de la Commission concernant les paiements effectués et les engagements pris, depuis 2005, en faveur des deux personnes morales[1] recensées dans cette base comme étant liées à l’organisation mentionnée dans la question.
    1. En mai 2014, la Commission a adopté la communication relative à l’initiative citoyenne européenne «Un de Nous»[2]. Cette communication contenait une appréciation des demandes formulées dans l’initiative, notamment celles portant sur le règlement financier[3] et le financement des activités de recherche, et présentait les conclusions juridiques et politiques de la Commission sur l’initiative. Le règlement (UE) n° 211/2011 relatif à l’initiative citoyenne ne prévoit aucune disposition spécifique à propos du réexamen d’une communication adoptée en réponse à une initiative citoyenne. La Commission n’a pas l’intention de procéder au réexamen de cette communication ni de ses conclusions.
    1. Les politiques en matière d’avortement relèvent de la compétence des pays partenaires bénéficiant d’un financement au titre de la coopération au développement de l’UE, comme convenu dans le programme d’action de la Conférence internationale sur la population et le développement (actions au titre de l’article 8.25)[4]. L’UE œuvre à la réalisation des objectifs de développement convenus lors des grandes conférences des Nations unies[5]. La Commission ne fait preuve d’aucune discrimination à l’encontre des entités proposant des services d’avortement dès lors que ceux-ci sont fournis conformément à la législation nationale. Pour de plus amples informations, les honorables parlementaires peuvent se référer à la communication susmentionnée et à la réponse donnée par la Commission aux questions écrites E-13157/2015, E-12709/2015 et E-11611/2015[6].

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La France de Valls et du désordre

    Les vidéos postées par les internautes sur la “toile” permettent de prendre le pouls ou la température du pays. Deux d’entre elles, filmées à quelques jours de distance, indiquent le mauvais climat politique qui s’installe en France. La première montre l’arrestation, à Calais, du général Piquemal, ancien commandant de la Légion étrangère.

    Parce qu’il proteste publiquement contre la « jungle » et la présence de milliers de migrants en situation illégale, devant une petite foule refusant d’obéir aux ordres de dispersion lancés par les policiers, il est empoigné par un groupe de pandores qui l’entraînent vers leur fourgon, tandis que le directeur de cabinet du préfet lui court aux basques comme un cabot. Les images montrent que plusieurs autres personnes sont gazées, matraquées, brutalisées, embarquées.La deuxième vidéo ressemble à la première. Katia Lipovoï, une dangereuse terroriste de 72 ans, membre d’une redoutable ligue de protection des oiseaux et manifestant contre l’abattage de platanes dans le quartier de Beaulieu, à Poitiers, est attrapée par plusieurs policiers qui la traînent par terre, l’écrasent de leur genou et lui passent les menottes avant de l’emmener. Son crime ? Elle a renversé une barrière ! Un petit blondinet d’une dizaine d’années, qui assiste à la scène, pleure et demande s’ils vont la mettre en prison.J’ignore si Mme Lipovoï a raison ou tort de s’opposer à la coupe des arbres, le problème n’est pas là. Voilà le spectacle que donne la police de la République, qui, quelques jours plus tôt, n’a pas sévi contre les casseurs « antifascistes » qui ont mis à sac le centre-ville de Rennes. Faut-il parler de forces de l’ordre ou du désordre, lorsqu’elles obéissent à des gouvernants indignes, avec le zèle que l’on a pu constater à l’époque où la Manif pour tous lançait un million de Français dans la rue pour protester contre une loi inique ? Le fossé se creuse de plus en plus entre le peuple français et ces flics dont la tenue de combat évoque celle des troupes de Dark Vador, le cyborg commandant les forces de l’Empire dans la Guerre des étoiles. De plus en plus, à force de loi sur le renseignement, de prolongation de l’état d’urgence, et sous couvert d’assurer leur sécurité, les Français sont placés sous surveillance. On parle de contrôler internet, de déployer de nouveaux radars sur les routes, de mettre en vol des drones équipés de caméras.On m’objectera qu’au lendemain des attentats de novembre, les précautions se justifiaient.[....]

    Eric Letty

    La suite sur Monde & Vie

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-France-de-Valls-et-du-desordre

  • Une tragédie au bout de la bêtise

    «Il y a toujours une tragédie au bout de la bêtise humaine» constatait Benoist-Méchin. Il était écrit que l’ahurissante politique allemande de ces derniers mois  d’ouverture sans frein des vannes migratoires ne serait pas sans conséquences dramatiques. Outre l’explosion  de la criminalité, des violences, des agressions sexuelles contre les populations autochtones, les immigrés eux-mêmes deviennent parfois la cible du ras-le-bol des Allemands. Certes,  les sondages  enregistrent une montée sans précédent des intentions de vote pour un mouvement  anti immigration et anti bruxellois comme Alternative für Deutschland  (AFD), et  les manifestations de Pegida («Patriotes européens contre l’islamisation de l’Occident») font le plein.  Mais il est à craindre que cela ne suffise plus à canaliser la colère populaire, notamment dans les länder  de l’Est, structurellement  moins perméables  à la propagande progressiste, immigrationniste des  élites politico-médiatiques.

    Ainsi, créant  l’émoi que l’on imagine,   jeudi dans le village de Clausnitz, au sud de Dresde (Saxe),  des manifestants anti-migrants ont stoppé un bus de réfugiés pour les empêcher de s’installer et samedi, toujours en Saxe,   dans la ville  Bautzen (41 000 habitants),  le  futur centre pour réfugiés a été incendié  sous les bravos des riverains.

    «Quelque chose ne va pas en Saxe», a déclaré Aydan Özoguz, ministre fédérale chargée de l’intégration. Ce qui ne va pas en Saxe, c’est surtout la conséquence de ce qui ne va pas chezAngela Merkel, ses conseillers ou des mentors.  C’est-à-dire de croire que l’on peut tranquillement, comme le souhaite notamment un Jacques Attali ou un Daniel Cohn-Bendit, suppléer au terrible déficit démographique allemand, non pas en lançant de vigoureuses mesures en faveur d’une politique nataliste autochtone, condition de l’avenir de l’Allemagne,   mais en ayant recours  à une  immigration de peuplement extra-européenne.

    Auteur  en 2010 de Deutschland schäft  sich ab  (L’Allemagne court à sa perte)  l’un des plus grands succès de librairie de ces vingt dernières années en Allemagne,   Thilo Sarrazin  continue de sonner le tocsin. Il  affirmait encore, en août dernier dans Valeurs Actuelles, que  l’immigration «détruit» son pays. Une prise de conscience qui devient majoritaire Outre-Rhin et salutaire chez cet  «ancien membre de plusieurs cabinets ministériels de gauche et sénateur aux Finances du Land de Berlin (de 2002 à 2009), membre du SPD (Parti social-démocrate), démissionnaire du directoire de laBundesbank et menacé de mort par les islamistes.»

    Dans cet hebdomadaire français, M. Sarrazin déplorait l’absence dans son pays «de politique d’immigration, car nous ne pouvons pas contrôler les migrations en raison des frontières ouvertes de l’espace Schengen. Celui qui arrive en Allemagne, légalement ou pas, asile ou pas, peut rester dans 90 % des cas. »

    Un problème que connait bien la France, dont le gouvernement  étale en outre sa faiblesse criminelle, qui encourage d’autant les réseaux mafieux  de passeurs et  les candidats au départ vers l’Europe. Le Monde relatait notamment que «la perspective d’une évacuation imminente et par la force des migrants de la moitié sud de la  jungle  à Calais s’est estompée lundi, à la veille de l’expiration de l’ultimatum préfectoral, le gouvernement promettant d’agir  par la persuasion.»

    Ce gouvernement  a donc plié devant les officines  immigrationnistes:  «les associations expliquent qu’elles ne défendent pas le bidonville, mais que l’expulsion brutale des migrants (qui seront relogés dans des conteneurs  chauffés, NDLR)  constitue une violation des droits fondamentaux, qui fragilisera davantage les plus vulnérables, grossira les camps voisins et fera disparaître dans la nature des dizaines de mineurs isolés. »

    « Sentant poindre l’affrontement (…) Dans un entretien paru lundi dans La Voix du Nord, Bernard Cazeneuve a réexposé sa politique, présentant l’évacuation comme une opération humanitaire où nous proposons une solution à tous, mais aussi comme une nouvelle étape dans allègement de la pression migratoire sur la ville de Calais. Dans l’après-midi, le ministre de l’intérieur a visité le centre d’accueil pour migrants du Mans, où il a tenu un discours d’apaisement. L’évacuation de la zone sud se fera  de manière progressive, par la persuasion et dans le respect de la dignité des personnes, a-t-il promis, se disant prêt à  prendre le temps qu’il faut ».

    Bref, constate Bruno Gollnisch,  le  ministre de l’Intérieur, dont l’inertie et la mollesse sont proverbiales  au sein des forces  de l’ordre, choisi une nouvelle fois de répondre à la pression migratoire par la dispersion des camps de réfugiés sur l’ensemble du territoire. Quel triste spectacle donne la France, quel  aveu d’impuissance, quel mépris des Français !

     Et pendant ce temps Florence Jardin, maire PS de Migné-Auxances (Vienne)  vient de porter plainte contre le FN, au nom de sa commune  pour  incitation à la haine raciale.  « Il ne  faut surtout pas s’habituer à ce type de discours. Une limite a été franchie ». « Ce discours de haine renvoyant les uns contre les autres n’a aucun sens et ne fait qu’engendrer d’autres haines (…). Face à l’abject, je n’aurai aucun seuil de tolérance  » a-t-elle déclaré. L’objet de son émoi ? Une  pétition du FN «contre l’accueil des immigrés clandestins à Migné-Auxances », qui bien évidemment comme le souligne Alain Verdin, Secrétaire départemental FN de la Vienne, ne comporte « aucune incitation à la haine raciale. »

    Jugez-en plutôt, dans celle-ci il est écrit : «A Migné-Auxances, Florence Jardin et sa majorité socialiste, communiste, écologiste inscrivent la ville dans le dispositif d’accueil des réfugiés syriens, irakiens, érythréens, sans même consulter la population locale (…). Qui en subira les conséquences ? C’est vous. La criminalité explosera, l’éducation de vos enfants en souffrira, la valeur de vos biens s’effondrera. Face à un chômage à plus de 9 % à Migné-Auxances, il y a autre chose à faire pour notre ville. On constate, une fois de plus, que le système aux affaires pratique délibérément la préférence étrangère. »

    Voilà ce que Mme Jardin, à son petit niveau, et plus largement, ses amis politiques  du gouvernement et de la gauche immigrationniste appellent un discours de haine!  C’est-à-dire  un souhait de priorité nationale dans une France frappée par la crise,  qui compte six millions  de chômeurs,  huit millions de pauvres  et autres mal-logés.  Définitivement oui, «il y a toujours une tragédie au bout de la bêtise humaine.»

    http://gollnisch.com/2016/02/23/une-tragedie-au-bout-de-la-betise/

  • Sécurité rentière : deux nouveaux dispositifs pour piéger les automobilistes

    C’est bien connu, la République veut toujours d’argent dans les caisses. Pour que la collecte soit bonne, deux nouveaux pièges seront progressivement installés dans les années à venir sur les routes de France.

    Le leurre par panneau

    Ils ont la forme d’un radar, les effets dissuasifs d’un radar, mais ce ne sont que des leurres. La première zone de radars leurres en France a été installée, mardi 9 février, sur une portion d’une route départementale dans le Pas-de-Calais, entre Aubigny-en-Artois et Le Parcq.

    Principe de ce nouveau dispositif appelé « leurre par panneau » ? Onze panneaux de signalisation « Pour votre sécurité, contrôles radars fréquents » ont été placés le long de la départementale 939. Mais il n’y aura en réalité qu’un seul radar, caché derrière l’un de ces panneaux, et qui sera régulièrement déplacé.

    Lire la suite sur lemonde.fr

    Radar de « Stop »

    Le dernier né, qui en fait n’en est pas un à proprement parler, est composé d’une caméra vidéo et d’un système de lecture automatique des plaques d’immatriculations. Sa cible? Les panneaux « stop ». Si un automobiliste s’approche de la zone en question à trop vive allure, alors le dispositif considère que le conducteur ne compte pas marquer l’arrêt et déclenche l’enregistrement vidéo ainsi que le relevé d’immatriculation. Ensuite, un policier installé dans un centre de contrôle peut constater l’infraction éventuelle et rédiger un PV électronique.

    Lire la suite sur BFMTV

    http://www.contre-info.com/securite-rentiere-deux-nouveaux-dispositifs-pour-pieger-les-automobilistes

  • Immigration illégale : le gouvernement ouvre grand les vannes

    L’État, toujours moins exigeant avec les nouveaux arrivés, illégaux et toujours plus nombreux, s'acheminerait vers la dissolution du peuple français qu'il ne s'y prendrait pas autrement.

    « Nous ne pouvons pas accueillir plus de réfugiés », affirmait, martial, Manuel Valls, en Allemagne, le 13 février 2016. Cinq jours plus tard, l’Assemblée nationale votait une loi qui rend définitivement illusoire la maîtrise de l’immigration… illégale.

    Ainsi, pendant que les médias bramaient à l’unisson, nous intoxiquant avec la déchéance de la nationalité, et que Manuel Valls faisait diversion devant Angela Merkel, son gouvernement, en cachette, s’appliquait à transformer l’actuel système de l’immigration, déjà guère dissuasif pour les immigrés entrés illégalement sur notre territoire, en un système toujours plus laxiste renforçant leurs droits.

    Adoptée, la carte de séjour pluriannuelle de quatre ans, obtenue au bout d’un an de présence, à la place de celle d’un an renouvelable cinq ans, jugée trop contraignante. Obliger les étrangers à montrer leur volonté d’intégration, quel vilain message enverrait donc la France, n’est-ce pas ?

  • En Europe, la chasse aux anti-migrants a commencé

    Immigration, islamisation ? On ne pourra peut-être bientôt plus rien écrire de non élogieux sur le sujet. Dans aucun pays d’Europe.

    C’est un Écossais de l’île de Bute, 7.000 habitants et bientôt 1.000 migrants (neuf familles déjà sur place), qui vient d’en faire les frais. Le motif de son arrestation ? Avoir posté sur Facebook « des commentaires jugés offensifs » à propos de leur arrivée prochaine. L’inspecteur de la police de Dunoon assume pleinement sa décision et « espère que l’arrestation de cet individu va résonner comme un message clair : la police écossaise ne tolérera aucune forme d’activité qui pourrait inciter à la haine […] ». Menaces, intimidations, interdiction de tout esprit dissident : si cela ne signifie pas l’entrée en régime totalitaire…

    Aux Pays-Bas, un porte-parole de la police nationale a révélé l’existence de dix unités de « détectives digitaux en charge de la surveillance, en temps réel, de Facebook et de Twitter diffusant des messages qui vont trop loin ». Par exemple ? Les tweets d’un jeune Hollandais tel celui sur « la proposition du conseil municipal de Sliedrecht de prendre 250 réfugiés au cours des deux prochaines années : quelle mauvaise idée ! »Mark a reçu la visite de policiers à son travail, lui intimant l’ordre de « surveiller [son] ton », semblables propos étant jugés « séditieux ».

    Lire la suite

  • Un haut fonctionnaire dénonce le fonctionnement du ministère de la santé

    Thomas Dietrich vient de démissionner de son poste de responsable du secrétariat général de la Conférence nationale de santé, de mars 2015 à février 2016. A sa lettre de démission adressée au Directeur général de la Santé, il a joint une contribution de 28 pages destinée à l’Inspection générale des affaires sociales. Il s'agit d'un véritable brûlot contre le ministère de la Santé. Ce dernier ne porterait en fait que très peu d’intérêt à ce que pense le public sur des grands sujets de santé comme la vaccination, la fin de vie ou encore l’e-santé. Selon Thomas Dietrich, « la démocratie dans le domaine de la santé n’est qu’une vaste mascarade montée par les politiques».

    La Conférence nationale de santé, créée par une loi de 2004 (à ne pas confondre avec la Grande conférence de santé qui s’est tenue jeudi dernier), est constituée de 120 membres, représentants l’ensemble du paysage de la santé : usagers, professionnels du soin, élus, chercheurs, assureurs, laboratoires… Sa mission est de rendre des avis indépendants pour éclairer, notamment les parlementaires et le ministère. Cette instance est assujettie à la Direction générale de la Santé, elle-même dépendant du ministre, Marisol Touraine. Or, selon Dietrich, le ministère ne supporterait pas certaines prises de positions. Son avis sur la « Loi fin de vie », qui n’allait pas assez loin, fut le début de l’entrée en disgrâce de la CNA. Le coup de grâce vint lorsque sa présidente, Bernadette Devictor, afficha sa volonté de piloter un débat national sur la vaccination. Des pressions commencèrent à s’exercer.

    « il fut exigé que je fasse relire les avis ou contributions de la CNA par le cabinet de la ministre ».

    Plus tard, le fonctionnaire fut convoqué par sa hiérarchie qui s’opposait à la diffusion d’une lettre d’information de la CNS. « La volonté affichée d’organiser un grand débat sur la vaccination avait effrayé ». Finalement, le ministre demanda un rapport sur la vaccination à un député socialiste, Sandrine Hurel, et lancé un débat national dont l’organisation a été confiée au Pr Alain Fisher, «membre éminent du comité de campagne de Martine Aubry, lors des primaires de 2011 », rappelle encore l’auteur.

    Le ministère a créé une nouvelle structure, « l’institut pour la démocratie en Santé », dont la secrétaire générale était jusque-là conseillère de Marisol Touraine.

    « Il lui fallait s’assurer que la démocratie en santé serait à sa botte ».

    Thomas Dietrich assume :

    « Je démissionne parce que je n’ai rien à perdre, je suis libre. Je sais que je risque des sanctions en tant que fonctionnaire, mais je ne pouvais pas continuer comme ça ».

    Michel Janva

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  • Pourquoi il faut lire Dialogues désaccordés

    Le livre d’Alain Soral et Éric Naulleau ne sera plus disponible à la vente à partir du 11 mars 2016. L’association IDPolitiques, « la tribune des jeunes esprits libres », explique pourquoi il est urgent de le lire.

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  • Viols de Cologne : la désinformation continue

    Source : OJIM
    Un mois et demi après les agressions sexuelles de masse commises à Cologne et dans d’autres villes d’Allemagne le soir du Nouvel An, la désinformation continue.

    Dernièrement, une information erronée a circulé dans les médias belges et même outre-Manche. Se basant sur un article de l’Allemand Die Welt, qui rapportait les propos d’Ulrich Bremer, porte-parole du procureur de Cologne, ces médias ont indiqué que seuls trois réfugiés (sur 73 personnes interpellées) figuraient parmi les agresseurs de la Saint-Sylvestre.

    En Belgique, la RTBF et RTL TVi ont tous deux rapporté que « les chiffres qui avaient circulé sur le nombre supposé de migrants ayant pris part aux agressions de la nuit de la Saint-Sylvestre à Cologne ne sont pas corrects. Il n’y aurait que 3 migrants récents parmi les agresseurs ». En Angleterre, c’est The Independant qui, plus tôt dans la journée, citait le même article de Die Welt pour affirmer que, d’après Ulrich Bremer, il n’y aurait que trois demandeurs d’asile parmi les accusés.

    D’où vient ce chiffre ? De nulle part ! En effet, dans l’article source de Die Welt, aucun chiffre ne permet de savoir le nombre de réfugiés parmi les individus faisant l’objet d’une enquête. Aussi, le même jour, dans un entretien au journal allemand The Local, Ulrich Bremer assurait qu’il ne pouvait pas communiquer leur nombre. De son côté, Associated Press rapportait même que M. Bremer leur avait indiqué que la majorité des suspects interpellés (au nombre de 73) étaient des demandeurs d’asile.

    Dans le même temps, dans un autre quotidien, le Frankfurter Algemeine (FAZ), le porte-parole du procureur de Cologne indiquait que ces 73 interpellations concernaient « des personnes sous statut de demandeurs d’asile, de personnes en cours de procédure ou de personnes présentes illégalement sur le territoire allemand ». Et d’ajouter que la majorité d’entre eux étaient originaires du Maroc et de l’Algérie.

    À partir de là, comment en est-on arrivé à affirmer, en Belgique comme au Royaume-Uni, que « seuls 3 des suspects interpellés sont des réfugiés » ? Difficile de le savoir, car quand bien même ce chiffre de 3 ressort dans certains papiers, c’est justement pour expliquer que seules 3 personnes de (double ?) nationalité allemande figurent parmi les agresseurs présumés…

    Lundi, Ulrich Bremer a donc démenti les affirmations et les conclusions qui ont été tirées de ses propos, assurant à nouveau que « la très grande majorité de ceux qui ont été arrêtés est à classer dans la catégorie des réfugiés. Certains sont entrés en Allemagne en disant qu’ils voulaient introduire une demande d’asile (sans la faire) et d’autres ont effectivement fait cette demande ».

    Rappelons que 1 054 plaintes ont été déposées suite à ces événements sans précédent. Parmi elles, 453 agressions sexuelles et 527 atteintes aux biens sont toujours sans auteur… En Allemagne, 600 000 « réfugiés » ont disparu des radars de l’immigration depuis leur arrivée sur le territoire.

    http://fr.novopress.info/198532/viols-cologne-desinformation-continue/#more-198532