Emmanuel Macron est le Président de tous les records. Records de l’impopularité, de l’insécurité, de la dette publique, du déficit commercial, de la chute au classement PISA Ses contre-performances sont exceptionnelles. Mais c’est avant tout dans le domaine de l’immigration que le plus jeune président de la Ve République surpasse tous ses prédécesseurs. La France a ainsi délivré un nombre record de premiers titres de séjour l'an dernier : quelque 323.260 précieux sésames - soit deux fois plus qu’il y a 20 ans - dont les premiers bénéficiaires étaient, ô surprise, les ressortissants du Maroc, de l'Algérie et de la Tunisie. Le nombre de demandes d'asile a également continué d'augmenter en France, en 2023, pour atteindre le chiffre de 142.500, le plus haut jamais enregistré, selon l'Office français de protection des réfugiés et apatrides.
magouille et compagnie - Page 194
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Régularisation de clandestins : l’autre record d’Emmanuel Macron
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Virginie Joron - Vaccin, Agriculture : contre Davos et ses lobbys
La révolte des agriculteurs est la démonstration des maux de l’époque. Alors que c’est un secteur incontournable pour la survie du pays et de la population, les agriculteurs sont perfusés par des subventions qui les contraignent à rompre avec la tradition de leur métier. Des normes surréalistes entravent leur quotidien, une concurrence déloyale organisée par les mondialistes grève leur compétitivité et bien sûr, sape leur moral. Les paysans se meurent et se tuent pendant que Bruxelles plaide pour la viande artificielle et les insectes dans votre nourriture à votre insu.
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Les mauvais comptes de la communication à outrance
Le premier ministre s’est rendu sur un barrage dans le Sud-Ouest et il a engagé un échange avec les initiateurs de la fronde des agriculteurs. Son principal mérite, à l’inverse d’Edouard Philippe face aux mouvement des GJ? Son principal mérite ? C’est d’avoir cédé tout de suite aux revendications concernant la fiscalité du gasoil, sans attendre, sans faire semblant de vouloir tenir ou de résister, même quelques heures quelques jours. Tout de suite… Son anté-anté-prédécesseur avait joué les gros bras et la fermeté, pendant plusieurs semaines sur la taxe carbone, avant de reculer, céder sur toute la ligne… Sans pour autant arrêter le mouvement. M. Attal a tenu compte de l’expérience en cédant immédiatement. Il a même déclaré : l‘agriculture passe avant toute chose. Donc, avant l’écologie ? Avant la « souveraineté européenne » chère au président Macron ? Avant le « déplacement des migrants en milieu rural », nouveau dogme et avant même les JO de Paris ?
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[Chronique] Ursula von der Leyen : une femme inquiétante
Ursula von der Leyen s’est exprimée, comme il se doit, au dernier forum de Davos, rendez-vous annuel des oligarques mondiaux. Dans l’hiver suisse, les dirigeants des grandes firmes internationales côtoient des politiciens flattés de se trouver là et affinent leur travail d’influence. La connivence feutrée est la loi du genre et le discours de la présidente de la Commission n’y échappe pas : cher Klaus par-ci, cher Klaus par-là. À 85 ans, Klaus Schwab, l’homme de « la grande réinitialisation » (Covid-19 : La Grande Réinitialisation, Forum Publishing 2020), reste le maître des lieux, même s’il ne préside plus le Forum économique mondial.
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Compagne de Rayan Nezzar, la cheffe du service politique du Monde contrainte de quitter son poste. Ce conseiller de Gabriel Attal avait traité Marine Le Pen de “pute” et s’était inventé des origines populaires alors qu’il est fils de médecin
Pour certains, cela ne pouvait pas durer. La cheffe du service politique du journal Le Monde, Ivanne Trippenbach, a annoncé samedi qu’elle quittait cette fonction et changeait de service devant « l’émoi suscité » par le fait que son conjoint soit un conseiller du Premier ministre Gabriel Attal.
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Vendée : le Rassemblement vendéen soutient les agriculteurs en lutte
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"Vous êtes des salauds, le peuple est derrière nous !" : le cri du cœur d'un agriculteur
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TIERS-MONDISATION. LES JEUNES FRANÇAIS, BIENTÔT TOUS ILLETTRÉS ?
Rien de nouveau sous le soleil hexagonal : le système scolaire français se porte mal. Au mois de décembre 2023, le dernier classement PISA, publié par l’OCDE, révèlait une baisse significative du niveau scolaire en France, notamment en mathématiques et compréhension de l’écrit. L’occasion pour certains de s’affranchir du politiquement correct en abordant le tabou de l’immigration et son impact sur les résultats des élèves.
En ce début d’année 2024, c’est cette fois un rapport parlementaire présenté mercredi 24 janvier par la mission d’information sur l’apprentissage de la lecture à la commission des affaires culturelles qui dresse un état des lieux plus que préoccupant.
Le document met ainsi en exergue les difficultés rencontrées par les enfants dans l’apprentissage de la lecture à l’école primaire. Lecture qui est présentée par le rapport comme étant un « savoir fondamental », dont la transmission est contrariée par des « difficultés structurelles que rencontre l’école » en France.
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Anne Hidalgo ouvre les portes de la mairie ce samedi contre la loi Immigration (MàJ : elle les referme brutalement suite à l’irruption de dizaines de migrants qui réclament un logement)
Toujours farouchement opposée à la loi immigration adoptée fin décembre, la Ville de Paris entend bien continuer à le faire savoir. Alors que le Conseil constitutionnel a décidé jeudi de censurer largement le texte, la municipalité parisienne a annoncé dans le même temps ouvrir les portes de l’Hôtel de Ville aux Parisiens ce samedi 27 janvier, de 13h45 à 17 heures. Se présentant comme la mairie d’une « ville d’accueil et d’intégration » par opposition aux défenseurs de cette loi.
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Quand la Constitution se retourne contre la nation
Mathieu Bock-Côté
Ce qui devait arriver arriva : le Conseil constitutionnel a censuré jeudi l’essentiel de la loi immigration. Certes, et c’est la petite musique du jour, on explique que le Conseil constitutionnel, pour l’essentiel, n’aurait pas touché le fond du texte, et viserait essentiellement ses vices de forme – c’est la question des fameux cavaliers législatifs. On ne se laissera pas bluffer : ce pointillisme juridique témoigne surtout de la mise sous tutelle du Parlement par les juges, qui lui contestent désormais le droit élémentaire d’amender un texte de loi.