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magouille et compagnie - Page 2083

  • APPEL SOLENNEL DE FARIDA BELGHOUL À LUDIVINE DE LA ROCHÈRE ET À OLIVIER VIAL

    C’EST LE CERCLE DE FLORE QUE, CE MERCREDI 2 AVRIL 2014, FARIDA BELGHOUL, PRÉSIDENTE DE LA LA JOURNÉE DE RETRAIT DE L’ÉCOLE, A CHOISI POUR LANCER, DEVANT UN AUDITOIRE NOMBREUX, UN APPEL SOLENNEL À L’UNITÉ D’ACTION À LUDIVINE DE LA ROCHÈRE, PRÉSIDENTE DE LA MANIF POUR TOUS ET À OLIVIER VIAL, PRÉSIDENT DE L’OBSERVATOIRE DE LA THÉORIE DU GENRE.

    Farida Belghoul lance son appel solennel

    ”Les classes populaires seront-elles seules à lutter contre l’introduction de la théorie du genre à l’école ? Les classes moyennes s’illustreront-elles par leur tiédeur ?"

    " Parce qu’il s’agit de prendre nos responsabilités pour continuer de regarder nos enfants dans les yeux..."

    Ceux qui n’ont pas eu la chance de pouvoir s’asseoir...

    Un appel auquel le Cercle de Flore et l’Action française se joignent avec détermination, parce qu’il ne saurait y avoir ni tiédeur ni division dans la lutte à mort que le pays réel mène contre les agressions d’Etat subies par nos enfants et la destruction de la société.

    UNITÉ D’ACTION ! LES ADVERSAIRES DE LA FAMILLE ET LES AGRESSEURS DE NOS ENFANTS N’ATTENDENT QUE NOS DIVISIONS ! DÉTROMPONS-LES ! PRENONS NOS RESPONSABILITÉS DEVANT L’HISTOIRE !

    La vidéo sera bientôt mise en ligne

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?APPEL-SOLENNEL-DE-FARIDA-BELGHOUL

  • Les premiers couacs de notre gouvernement « normal »…

    gouvernement-disney

    Y a-t-il un pilote dans l’avion ? Même l’homme de la rue est en droit de se poser la question. Parce que déjà, à Bercy, ça twiste.
    Gouvernement Valls ? Y a-t-il un pilote dans l’avion ? Même l’homme de la rue est en droit de se poser la question. Parce que déjà, à Bercy, ça twiste, avec Michel Sapin, Laurent Fabius, Arnaud Montebourg, Nicole Bricq (celle qui trouvait que la bouffe était « dégueulasse » à l’Élysée), sans oublier Fleur Pellerin (Fleur qui ?). Assez logiquement, Le Nouvel Observateur se pose cette même question posée par le même homme de la rue. « Mercredi 2 avril au matin. Laurent Fabius, Affaires étrangères et Développement international… Arnaud Montebourg, Économie, Redressement productif et numérique… Ce ministère, jusqu’ici sous la responsabilité de Nicole Bricq, relève-t-il de l’Économie ou du Développement ? » Ou du Quai d’Orsay ? Ou des deux ? Ou de rien ? « La question ne serait pas toujours tranchée », dit-on à Bercy.
    Bon, ben voilà… Ça sent un peu la cour de récréation. « C’est mes billes ! » « Les soldats, y sont à moi ! » « OK, mais tu ne touches pas à mes petites voitures ! »
    Lire la suite

  • Ecole : nouvelles agressions contre les enfants

    Depuis fin 2013, une exposition-atelier intitulée "des elles, des ils" est diffusée dans diverses institutions de vulgarisation scientifique de France : le Forum Départemental des Sciences de Villeneuve d'Asq fin 2013, Cap Sciences à Bordeaux du 5 avril au 31 août, et ensuite d'autres villes, selon France Info

    A destination des enfants de 3 à 6 ans, elle veut faire la promotion de "l'égalité filles-garçons", mais s'appuie en réalité très clairement sur l'idéologie du genre. Découvrez cette vidéo de présentation de l''exposition, décryptée par Vigi-gender33.

    Les organisateurs veulent y faire venir les enfants des écoles maternelles du département. Ainsi les familles n'auront pas le choix. D'autant que le document d'invitation envoyé aux enseignants est sans équivoque (cf notamment les phrases surlignées en jaune).

    Une pétition a été lancée. Après quelques heures de lancement, elle a déja réuni près de 10 000 signatures !

    Vigigender 33 exprime sa plus vive inquiétude devant cette initiative inutile, dangereuse et subversive qui cherche à prendre la place des familles, et risque de semer le trouble chez nos enfants dans l'acquisition de leur identité sexuée. De telles initiatives doivent être dénoncées et stoppées. Que l'on laisse enfin nos enfants grandir tranquilles !  

    Michel Janva

  • Procès contre Aube Dorée : un membre du gouvernement avoue l’existence d’un complot d’État

    Le gouvernement grec fait face à un énorme scandale depuis hier après des révélations du chef de cabinet du premier ministre, Antonis Samaras, selon lesquelles les arrestations et procès visant le parti nationaliste Aube Dorée a été monté intégralement par Samaras en personne.

    Des dirigeants de l’Aube Dorée sont sous le coup d’un vaste procès pour “participation à une organisation terroriste”. Le gouvernement Samaras ayant, sur demande du Congrès juif Mondial, décidé de frapper le mouvement nationaliste grec.

    Cette thèse vient de s’effondrer après la diffusion d’une vidéo dans laquelle le chef de cabinet du premier ministre grec, Panos Baltakos, donne son témoignage sur le rôle joué par le chef du gouvernement et le ministre de la Justice dans un coup monté contre l’Aube Dorée. Après la diffusion du document vidéo à la presse, Baltakos a donné sa démission.

    Ces révélations tombent on ne peut plus mal pour le pouvoir. Le jour même de ces révélations, le gouvernement de Samaras avait en effet demandé la levée de l’immunité parlementaire de cinq autres députés de l’Aube Dorée encore libres afin de les associer aux accusations formulées jusqu’à présent contre le parti. Et ainsi neutraliser ces représentants du peuple grec.

    Sans surprise, la presse française évoque l’affaire sous un angle biaisé. Ainsi Le Monde titre-t-il : “Grèce : le bras droit de Samaras soupçonné de collusion avec Aube dorée“. Ce n’est bien sûr pas ce qui créé un véritable scandale en Grèce, mais bien les révélations de Baltakos sur “l’inexistence de preuves” contre les députés arrêtés et le complot d’état orchestré par Samaras. Dans l’article du Monde, pas une ligne sur Samaras qui est pourtant au coeur de la vidéo

    Transcription de l’échange

    La vidéo ci-jointe est le document délivré à la presse. L’ancien candidat de l’Aube Dorée aux élections municipales d’Athènes et désormais chef du service de presse du parti,  Ilias Kasidiaris, y discute avec le ministre des Affaires Etrangères Panos Baltakos.

    Ilias Kasidiaris : Tout d’abord, comment a réagi Samaras (le premier ministre grec, NDLR) quand je suis sorti de prison ?

    Panos Baltakos : Il était aux USA à ce moment là.

    Kasidiaris : Oui il était aux USA mais j’ai entendu dire qu’il est devenu fou de rage.

    Baltakos : Il était choqué. Un bordel pas possible. Il ne m’a pas appelé. Je lui ai dit que ce qu’il était en train de faire… Je lui avais dit. Mais il ne voulait pas m’en parler. Il a appelé les deux autres et les a “baisé”. Athanasiou (ministre de la Justice d’alors, NDLR) et Dendias (ministre de la Sécurité Intérieure d’alors, NDLR). Il leur a dit : “Vous m’avez ridiculisé, c’est une blague ou quoi ?”. Parce que le jour précédent, il avait annoncé à la Convention du Congrès juif Mondial : “C’est fini, je les ai arrêté (les membres d’Aube Dorée), au revoir !” et le jour d’après tu étais relâché.

    Kasidiaris : Que s’est-il passé avec les enquêteurs qui nous ont laissé sortir ? Parce qu’ils ont changé d’avis après nous avoir relâché, avant qu’on avertisse les autres.

    Baltakos : Ils vous ont laissé partir pour une raison simple : il n’y avait aucune preuve.

    Kasidiaris : Oui il n’y avait rien.

    Baltakos : Et personne n’a mis la pression sur eux parce qu’ils pensaient tous que ça se passerait en douceur. Ils se disaient “Bon, de toute façon qu’est-ce que les enquêteurs feront d’autre ?”. Mais les enquêteurs n’avaient aucune preuve. Aucune.

    Kasidiaris : Mais il (Samaras) n’avait pas de preuves non plus contre les autres.

    Baltakos : Non parce que pour eux c’était juste une histoire de coup de téléphone.

    Kasidiaris : Qui a fait ces dégâts là-bas ?

    Baltakos : Ces deux-là.

    Kasidiaris : Athanasiou et Dendias ?

    Baltakos : Qui d’autre ?

    Kasidiaris : Et que dit Samaras de ces choses ? Est-il conscient de ce qui se passe ?

    Baltakos : Non. Au début il ne s’est pas rendu compte. Mais maintenant qu’il voit les sondages d’opinion… Comme le bourgeois qu’il est, il devine que des choses terribles vont se passer. Il m’a dit : “L’Aube Dorée tombera à 2%. Je lui ai dit : “Ils monteront à 20%”. “Tu es un branleur” m’a-t-il répondu.

    Kasidiaris : Qui lui a demandé (à Samaras) de faire tout ça ?

    Baltakos : D’abord, il a peur pour lui même. Vous lui infligez des coups et Syriza (extrême-gauche) prend la tête.

    Kasidiaris : On lui prend des votes, OK.

    Baltakos : C’est logique.

    Kasidiaris : Et parce qu’on lui prend des voix, il nous met en prison ?

     Baltakos : Fils de pute… Un truc incroyable…

    Kasidiaris : Et Goutzamani, les choses qu’elle a faite, j’ai des informations comme quoi elle serait totalement à droite.

    Baltakos fait le signe de croix.

    Kasidiaris : Elle est si croyante.

    Baltakos : Oui !

    Kasidiaris : Comment a-t-elle pu faire toutes ces abominations avec Vourliotis (Procureur général de la Cour Suprême grecque) et venir avec ces allégations ?

    Baltakos : Ils l’ont convaincue que les membres d’Aube Dorée sont des païens, des idolâtres, des nazis, opposés au Christianisme.

    Kasidiaris : Qui l’a convaincue de ces choses ?

    Baltakos : Athanasiou et Dendias.

    Kasidiaris : Vous allez chez le procureur et vous lui dites qui a monté tout ce plan, qu’Athanasiou a donné des ordres à Goutzamani, que Samaras donne des ordres à Athanasiou et ils vont tous au tribunal. Si vous êtes un homme juste, c’est ce que vous devriez faire.

    Baltakos : Si je faisais ça, il y aurait une enquête préliminaire qui durerait une heure et demi et qui serait enterrée.

    Kasidiaris : Vous pensez ?

    Baltakos : Evidemment ! Je ferais ça avec Samaras au pouvoir ? Chez quel procureur irais-je ? Goutzamani est le procureur. Je vais dénoncer Goutzamani à elle-même ?

    Kasidiaris : Comment Goutzamani est-elle devenue procureur de la Cour Suprême ?

    Baltakos : Parce qu’elle est du même village.

    Kasidiaris : Donc maintenant, elle renvoie l’ascenseur ?

    Baltakos : Oui, elle est du même village. Bon d’accord, pas du même village, mais d’un village voisin. Ils ont été dans les mêmes compétitions, ils ont le même âge. Ce sont des amis, il n’y a rien d’autre à chercher que ça.

    Source

    http://www.contre-info.com/proces-contre-aube-doree-un-membre-du-gouvernement-avoue-lexistence-dun-complot-detat#more-32190

  • Combien coûte l’ enfant de François Hollande et Anne Hidalgo aux contribuables ?

    « Dans un entretien accordé au site internet suisse lesobservateurs.ch, Xavier Kemlin s’interroge sur le coût de l’enfant de François Hollande et Anne Hidalgo pour les contribuables français.
    Xavier Kemlin s’était déjà illustré pour avoir porté plainte contre François Hollande dans le cadre de différentes affaires, notamment celle du statut de l’ex-compagne présidentielle Valérie Trierweiler. Xavier Kemlin souligne aujourd’hui le grand silence de la presse française concernant le coût pour les contribuables de l’enfant que François Hollande a eu avec Anne Hidalgo, notamment le coût de sa protection. Il pointe également du doigt tout le système de copinage et de passe-droits mis en place par François Hollande, allant même jusqu’à parler d’une oligarchie. »

    http://www.contre-info.com/

  • Taubira au secours de la mafia ? Tribune libre

    04/04/2014 – PARIS (NOVOpress) – Tribune libre - Depuis l’arrivée de Christiane Taubira à la tête du ministère de la Justice, les Français ont le privilège, douteux, de constater l’amour immodéré de celle-ci pour les petites frappes, dealers, et autres racailles qui font régner la loi et la terreur dans nombre de nos rues : suppression des peines plancher, élargissement des possibilités d’esquiver la prison pour les délinquants – alors même que les peines inférieures à deux ans d’emprisonnement ne sont déjà pas exécutées -, multiplication de la paperasse à remplir pour les policiers, qui sont aujourd’hui trop occupés à faire de la procédure pour pouvoir prendre le temps d’assurer la sécurité des Français… Quand dans le même temps, les opposants politiques sont allègrements matraqués, gazés, jetés en prison immédiatement à l’issue de leur procès.

    Nous nous étions habitués à ce deux poids, deux mesures, à voir la France normale piétinée par les services répressifs tandis que racailles et trafiquants de drogue ressortaient triomphant des tribunaux ; nous avions cessé de nous étonner de voir les nervis de l’État socialiste récompensés pour avoir allègrement violé les droits des citoyens, tandis que des enquêteurs dévoués voyaient des mois de travail anéantis sous prétexte d’une quelconque faute de procédure imaginaire.

    Sans doute un peu naïvement, nous pensions que la politique de Christiane Taubira exprimait un simple gauchisme primaire, que la Garde des Sceaux voyait dans le pauvre (bénéficiaire d’aides sociales très généreuses), l’étranger (accueilli à bras ouverts par l’État), le dominé (soutenu par toutes les associations anti-racistes) quelqu’un qu’il faut aider, et dont les dérapages éventuels ne sont qu’une réaction à l’oppression dont il est nécessairement la victime.

    Oubliant au passage les pères de famille assassinés par la racaille, les femmes violées parce qu’elles sont blanches, ou les familles contraintes de baisser la tête en rentrant chez elles parce que leur hall d’immeuble est squatté par des dealers.
    Bref, nous imaginions que Christiane Taubira n’était qu’une soixante-huitarde arriérée, une idéologue de la haine de la France, une fanatique libérale-libertaire. Las ! C’est pire encore !

    C’est un article du Figaro daté du 26 mars qui nous l’a appris. Non contente de réduire les possibilités d’action de la police contre la racaille, Christiane Taubira s’apprête désormais à réduire les possibilités d’action de la police et de la douane contre les criminels en col blanc, en supprimant la possibilité de garde-à-vue de 96 heures pour les affaires d’escroqueries en bande organisée. Et l’escroquerie en bande organisée, ce n’est pas rien. Ce sont des fraudes coûtant des milliards d’euros à l’État. Ce sont des dossiers permettant de s’en prendre aux mafias et groupes criminels internationaux. L’escroquerie en bande organisée, ce n’est un pauvre petit jeune de banlieue discriminé victime de contrôles au faciès et de la méchanceté de la société qui est vraiment trop injuste. L’escroquerie en bande organisée, ce sont des criminels, des truands, des politiciens véreux. Ce sont des gens qui brassent des milliards d’euros, qui enrichissent les paradis fiscaux, et qui assassinent impunément, à Naples ou à Paris.

    Nous savions que Christiane Taubira était la ministre des racailles et des dealers, nous découvrons qu’elle est également la ministre des criminels internationaux et des corrompus. Avec Taubira, c’est la mafia ! La Garde des Sceaux n’introduit pas ce changement dans le cadre d’un projet mûrement réfléchi, d’une évolution savamment pensée, d’une évolution globale et concertée. Ce projet de loi est passé au Sénat le 24 février dernier en procédure accéléré, dans la plus grande discrétion.

    Pour aider racailles, dealers, et autres délinquants de cité, Christiane Taubira le revendique, le fait au grand jour. Par contre, pour venir en aide aux criminels en col blanc et aux politiciens corrompus, elle le fait dans en silence, espérant sans doute que cette discrétion perdurera jusqu’à l’examen du projet de loi par l’Assemblée en avril. Mais Christiane Taubira n’est pas seule dans cette entreprise. Le projet de loi a été voté avec le soutien de nombreux sénateurs, de gauche certes, mais aussi de droite. Ces sénateurs étaient-ils motivés par l’intérêt général, par la volonté de leurs électeurs ? Quand les politiciens rendent plus compliqué de lutter contre la corruption politique, il est permis d’en douter…

    Il est particulièrement inquiétant de voir qu’autant de parlementaires, de tous les bords politiques, se sentent menacés par les enquêtes contre les escroqueries, et nous ne pouvons que craindre que les affaires actuelles qui éclaboussent la classe politique (Guérini, Dassault…) ne soient que la partie émergée de l’iceberg.

    Anthony Florent

    http://fr.novopress.info/161636/taubira-au-secours-mafia-tribune-libre/#more-161636

  • Proposition de loi sur le faux-parent

    Une proposition de loi PS-écologistes concernant "l'autorité parentale et l'intérêt de l'enfant" a été déposée à l'Assemblée nationale (n°1856, pas encore consultable).

    Organisée en quatre volets (renforcement de l'exercice conjoint de l'autorité parentale, place du beau-parent, etc.), la proposition de loi est signée, notamment, par le président du groupe Bruno Le Roux et les députés Erwann Binet et Marie-Anne Chapdelaine et, côté écologiste, par Barbara Pompili et François de Rugy, ainsi que par Véronique Massoneau.

    Faisant valoir que "le droit de la famille doit s'adapter aux nouvelles configurations familiales", la proposition de loi entend

    "apporter des réponses pragmatiques et les outils juridiques pour garantir l'intérêt de l'enfant dans les situations du quotidien comme en cas d'accident de la vie".

    Le report de la loi famille n'était donc qu'un mirage, comme cela avait été perçu.

    La proposition de loi est à lire ici.

    Michel Janva

  • Civitas dénonce Manuel Valls, « l’homme du CRIF », et son « gouvernement sous emprise maçonnique »

    La présentation du nouveau gouvernement ne cesse de provoquer des réactions. Voici le communiqué de Civitas qui dénonce rudement Manuel Valls, « l’homme du CRIF », et son « gouvernement sous emprise maçonnique » :

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    François Hollande n’a rien compris

    La raclée des élections municipales n’a pas suffi. Le PS a perdu 155 grandes villes mais il n’a toujours rien compris. L’occupant de l’Elysée est forcé d’avaler une terrible défaite mais il n’en tire aucune leçon.

    Valls le rouge, l’homme du CRIF

    Au soir du second tour, Jean-Marc Ayrault a été sacrifié en gage de prise en compte du mécontentement général. Mais en le remplaçant par Manuel Valls, François Hollande prouve qu’il n’a toujours pas perçu les raisons de la colère des Français. La façon dont Manuel Valls s’est comporté en tant que ministre de l’Intérieur était précisément l’une des raisons de cette colère.

    Valls le partisan de la gestation pour autrui (GPA). Valls qui censure les spectacles de Dieudonné mais qui applaudit le spectacle blasphématoire « Golgota Picnic ». Valls le rouge, Valls le sectaire, viscéralement antichrétien et qui considère le « fait religieux » comme un danger en soi.

    Incapable de rétablir l’ordre à Marseille mais déterminé à transformer les forces de l’ordre en police politique chargée de réprimer ceux qui défendent la Famille ou ceux qui ont l’humour politiquement incorrect. Valls qui, ridicule, fait de la « quenelle » une affaire d’Etat.

    Valls méritait une sanction. Hollande lui offre une promotion.

    Le nouveau locataire de Matignon n’aime pas la France mais la République. Ce qui n’est pas la même chose. Il est un héritier des guillotineurs de 1789 et des macabres républicains de la guerre civile espagnole.

    Insensible à la France de Clovis et de Saint-Louis, Manuel Valls se dit par contre « lié de manière éternelle à la communauté juive et à Israël ». C’est le CRIF qui doit applaudir le choix de François Holande…

    Un gouvernement sous emprise maçonnique

    Quant au remaniement gouvernemental, c’est plutôt un lifting raté. Bien sûr, Civitas se réjouit du départ du laïciste obsessionnel Vincent Peillon et du fait que Najat Vallaud-Belkacem ne sera plus porte-parole du gouvernement. Mais c’est avant tout la théorie du genre qui doit être expulsée de l’éducation nationale et l’expérimentation des ABCD de l’Egalité qui doit cesser immédiatement si ce gouvernement veut donner un signe positif aux parents.

    Le maintien de Christiane Taubira à la Justice est insensé. Et, de façon générale, ce gouvernement est celui de la franc-maçonnerie. Le Grand Orient de France est comblé par la désignation de François Rebsamen au poste de Ministre de l’Emploi. Les initiés sont très majoritaires. Le fossé entre pays réel et pays légal est encore accentué.

    Il faudra leur infliger une nouvelle bérézina

    Le message des élections municipales n’a pas été entendu. Et mercredi soir, place Vendôme à Paris, la dictature socialiste a une fois de plus fait usage de la violence contre les Français. L’objectif à court terme des forces de résistance est donc clair : contraindre Manuel Valls à quitter Matignon au plus tard au lendemain des élections européennes qui doivent être la prochaine bérézina d’un système pourri jusqu’à la moelle.

    Alain Escada, président de Civitas

  • Taubira maintenue au ministère de la Justice : manifestation spontanée hier

    Après que Christiane Taubira a été reconduite au poste de garde des Sceaux, plus d’une centaine de manifestants réunis à l’appel de la Manif pour Tous se sont regroupés mercredi soir aux abords du ministère de la Justice, pour dénoncer cette provocation contre la famille.

    Elles ont été brutalement évacuées par la flicaille.

    Cinq personnes ont été interpellées.


    Place Vendôme : violente expulsion des Sentinelles par actuclip

    http://www.contre-info.com/

  • La « Valls illusion » n’aura duré qu’un jour

    Lu ici :

    "[...] Nos dirigeants ont une culture politique strictement machiavélienne. Ce qui signifie qu’ils réduisent la politique à une technique de pouvoir, de la prise de celui-ci à sa conservation. Toute approche morale de la question est donc hors de propos, et l’on ne saurait invoquer un quelconque bien commun. Il s’agit seulement de maintenir un équilibre entre les différentes forces qui s’exercent sur la présidence, afin de sauvegarder celle-ci et son cortège de privilèges. Une fois donc satisfait le rite de l’adresse au peuple, que l’on a forcément compris, on passera aux choses sérieuses et on satisfera ainsi un électorat dorénavant en attente d’un certain ordre, en nommant à Matignon celui qui à gauche peut répondre le mieux à cette attente. Puis on satisfera les professeurs de l’école publique, en même temps que la gauche du parti, en nommant à l’Education Nationale M. Hamon, sans doute la copie idéologique la plus conforme à M. Peillon que l’on pouvait trouver. Puis les radicaux de gauche en gardant Mme Taubira à la justice – c’est que, si électoralement les radicaux sont quantité négligeable, dans les loges ils comptent. Et ainsi de suite.

    Il n’y a là rien de nouveau, c’est vrai. Ce qu’apporte Hollande toutefois, c’est qu’une fois de plus, les circonstances aidant, il dévoile les ficelles du métier, et de façon un peu trop visible. Les habits du premier secrétaire du parti, et de la synthèse, lui collent décidément trop à la peau. Tant et si bien que jamais sans doute on avait eu l’impression si forte d’avoir un chef de parti à la tête du pays. Régressant de manière encore plus visible à une Quatrième République dans laquelle le président aurait eu du pouvoir, et même presque tout le pouvoir, mais dans la dépendance vis-à-vis de ceux qui, réellement, l’ont fait élire, Hollande joue la logique d’appareil sans tenir compte du peuple de la manière la plus ouverte. Il contribue ainsi à saper encore un peu plus les institutions de la Cinquième, qui suppose le rapport du président au peuple, et donc à précipiter le pays dans une aventure qui devient chaque jour plus évidente, chaque jour plus proche.

    La « Valls illusion » n’aura duré qu’un jour, un faux jour d’espoir peut-être pour certains. Il est assuré que rien de bon ne saurait surgir de ce remaniement. Seulement, le roi est plus nu que jamais, et ce n’est pas forcément une mauvaise nouvelle. Mais au-delà des personnes, il faudra bien parvenir à accepter que si nous voulons un renouveau, ce sont les principes mêmes de la politique qu’il faut changer, en acceptant de déposer Machiavel du trône."

    Michel Janva