Farida Belghoul dédicacera : Papa porte un pantalon et maman porte une robe ainsi que : Georgette, le samedi 5 avril de 14h30 à 18h à la
Librairie Facta, 4, rue de Clichy Paris IXe
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Farida Belghoul dédicacera : Papa porte un pantalon et maman porte une robe ainsi que : Georgette, le samedi 5 avril de 14h30 à 18h à la
Librairie Facta, 4, rue de Clichy Paris IXe
L’inversion accusatoire est un procédé, une technique bien malhonnête souvent utilisée contre l’opposition nationale, par le microcosme politico-médiatique pour culpabiliser les Français. Les exemples abondent. Dernièrement encore, a été diffusé sur internet un court métrage visant à dénoncer la « pratique culturelle » du mariage forcée des fillettes. Pour illustrer le propos, le mari et son épouse (jouée par une certaine Julie Gayet…) que l’on voyait offrir leur petite fille en mariage à un vieux libidineux dans une mairie bien française, étaient incarnés par un couple de bourgeois très parisien que l’on subodorait catholique… Bien sûr, ce choix de mettre en scène un père et une mère de souche pour parler de cette forme de pédophilie institutionnalisée,visait à déconstruire les stéréotypes racistes a-t-il été expliqué. Un racisme qui alimente bien des mauvais fantasmes, un racisme qui est un juteux fond de commerce pour toutes les associations parasites et autres coquilles vides engraissées par nos impôts, qui vivent de sa dénonciation et de la lutte contre les mauvaises pulsions…
Il pourrait sembler a priori étrange que des millions d’immigrés, de toutes les races, de toutes les ethnies, continuent à venir s’installer en France si notre pays était ravagé par un « racisme brutal et biologisant ». Et pourtant ce sont les termes qui ont été utilisés par le dernier rapport annuel de la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH), qui a été remis mardi à Manuel Valls à Matignon par la présidente de la CNDCH, Christine Lazerges.
Interrogée par l’AFP, Mme Lazerges balaye assez rapidement les bonnes nouvelles pour s’arrêter sur les sujets fâcheux qui justifient les missions de la Commission qu’elle préside. « Sur le long terme, affirme-t-elle, le racisme en France diminue, le temps des ratonnades est révolu, mais le racisme qui se développe aujourd’hui est plus sournois et n’est plus réservé aux franges extrêmes. Il pénètre toutes les couches de la société ».
La présidente du CNDCH base son argumentation sur un sondage commandé à l’institut BVA qui a questionné un peu plus d’un millier de personnes. Comme preuve de ce « climat préoccupant », il est avancé que « davantage de Français assument d’être racistes : 9% se disent plutôt racistes (+2 points par rapport à 2012) et 26% un peu racistes (+4 points) ».
« Ils sont aussi plus nombreux à considérer que l’intégration des immigrés fonctionne mal (63%, +7 points par rapport à 2012). L’islam est la religion la moins positivement connotée et 80% des sondés estiment que le port du voile pose problème pour vivre en société. Les Roms migrants pâtissent d’une image extrêmement négative: 85% des sondés pensent qu’ils exploitent très souvent les enfants (+10 points par rapport à 2012) et 78% qu’ils vivent essentiellement de vols et de trafics (+7 points) ».
« 85% des sondés estiment que les juifs sont des Français comme les autres (contre 65% pour les musulmans). Les clichés, comme la thèse d’un rapport particulier des juifs à l’argent, restent cependant très persistants et partagés, relève l’étude ».
Nous voyons bien dans la présentation de cette enquête sur laquelle est basée ce rapport constate Bruno Gollnisch, à quel point le débat est sciemment vicié dés le départ. Il apparaît clairement que mots sont piégés et que la définition plus ou moins implicite du racisme donnée par les Grands prêtres de la religion antiraciste vise avant toute chose à culpabiliser, à stigmatiser les Français qui refusent l’immigration de peuplement.
Pour le lobby immigrationniste et mondialiste, le racisme n’est pas uniquement le sentiment d’une supériorité d’une race sur une autre , en l’occurrence le racisme des blancs, duquel découlerait des comportements vexants, discriminants, oppressifs, violents à l’encontre des races ou ethnies supposées inférieures. Sachant que celui que subissent les Français de souche, pourtant très développé et en pleine expansion, est systématiquement occulté ou minoré.
Non, le but principal des mafias antiracistes est de détruire les défenses immunitaires des peuples européens, chez lesquels la simple volonté de rester maître chez soi, de préserver son identité nationale, vœu bien légitime qui n’implique aucun mépris, ni brutalité d’aucune sorte vis-à-vis des étrangers, est criminalisée.
C’est bien le fait que leurs mensonges sont désormais démasqués par une majorité de Français, certainement un des peuples le moins raciste au monde, qui inquiète les gardiens du dogme multiculturaliste et cosmopolite.
Ainsi, est évoqué avec effroi dans cette étude l’existence d’un «indice de tolérance, calculé à partir d’une série de questions posées aux sondés, (lequel) recule pour la quatrième année consécutive. Ces résultats révèlent un refus croissant de l’autre différent mais dévoilent aussi une défiance vis-à-vis d’un antiracisme perçu comme censeur . La présidente de la CNCDH note d’ailleurs que les associations antiracistes ont beaucoup plus de peine à susciter du soutien » (sic).
Oui, l’arnaque antiraciste a fait long feu. Il s’agit donc de renforcer la répression et la propagande. Aussi la CNCDH réitère son souhait de créer un Observatoire du racisme, de l’antisémitisme et de la xénophobie sur internet. « Parmi ses recommandations, l’institution mise sur l’éducation et la formation, car les sondages montrent que plus le niveau culturel est élevé, moins on est raciste, remarque Christine Lazerges.»
Mme Lazerges tenterait-elle de nous prouver que la poignée de petits blancs lobotomisés qui défilaient encore à Paris contre le racisme le 7 décembre dernier derrière une banderole sur laquelle on pouvait lire « Nous sommes tous des noirs, des musulmans, des arabes et des Roms », sont plus éclairés, plus éduqués et moins dans la confusion intellectuelle que le reste de nos compatriotes ?
Les hypocrites des pseudopodes antiracistes, la CNCDH, ce gouvernement, la classe politico-médiatique auront fait un grand pas en avant le jour où ils comprendront que la réponse à la question du racisme doit échapper au simplisme, aux arrière-pensées clientélistes, électoralistes, et au traitement tronqué des idéologues progressistes. Le débat y gagnerait en sérénité…et en intelligence.
http://gollnisch.com/2014/04/03/antiracisme-larnaque-fait-long-feu/
On ne voit pas d’emblée pourquoi les mêmes, faisant la même politique, réussiraient mieux que précédemment.
Vite fait, ce n’est pas contestable. Bien fait ? C’est une autre histoire.
Compte tenu du caractère qu’on prête à Manuel Valls et qu’on refuse à François Hollande – on ne prête qu’aux riches –, on pouvait se demander si la formation du nouveau gouvernement obéirait à la lettre de la Constitution ou se ferait conformément à l’usage dévoyé qui en est fait depuis des années.
Dans la première hypothèse, c’est naturellement au Premier ministre, qui détermine et conduit la politique de la nation, de constituer son équipe, de la présenter pour approbation au président de la République qui l’a désigné et de solliciter sa validation par les Assemblées, que ce soit par le biais d’un vote sur sa déclaration de politique générale ou en s’exposant au dépôt d’une motion de censure. Ainsi fonctionne une démocratie parlementaire. Dans la deuxième hypothèse, c’est le chef de l’État qui impose les hommes de son choix au chef du gouvernement et à sa majorité. C’est ainsi que fonctionne la Ve République, cette monarchie tempérée par l’institution du quinquennat.
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A peine la nouvelle du nouveau gouvernement tombée et les bonnes habitudes reprennent de chaque côté. Plusieurs centaines de Veilleurs et Sentinelles se sont regroupées aux abords du Ministère de la Justice pour protester contre le maintien de Taubira. Cependant les forces de l’ordre avaient déjà bloqué la Place Vendôme si bien qu’il a été impossible d’y accéder. Les manifestants se sont donc regroupés aux abords. C’est alors qu’ils ont été évacués de manière parfois violente. L’un d’eux a même dû aller à l’hôpital et en est ressorti avec trois jours d’arrêt. Il y a eu cinq interpellations. D’autres Sentinelles se sont ensuite dirigées vers l’Assemblée Nationale où là aussi un important déploiement de forces de l’ordre les attendaient. Le message est passé. Manuel Valls a changé de ministère mais pas de méthode !
http://medias-presse.info/violence-policiere-le-nouveau-gouvernement-na-pas-change-de-methode/8272
Des membres de l'UMP demandent à faire condamner Christine Boutin pour ses propos. Florian Silnicki, délégué et membre fondateur de la Nouvelle Donne (collectif regroupant les plus jeunes secrétaires nationaux du parti) et Sébastien Chenu, secrétaire national de l’UMP en charge de l’exception culturelle et fondateur de GAYLIB, écrivent dans un communiqué :
"Nous condamnons avec la plus grande sévérité les déclarations de Christine Boutin. Rien ne saurait excuser ou légitimer ces propos. Nous souhaitons que le parquet de Paris se saisisse sans délai de ces déclarations dangereuses. Ce dérapage n'en est plus un. Ces déclarations choquantes ne sont pas une opinion mais un délit pénal. Christine Boutin doit être condamnée. La description de l'homosexualité comme "une abomination" prouve une fois de plus l'homophobie profondément enracinée au coeur de la pensée de Madame Boutin. Que Madame Boutin mesure les conséquences que ces déclarations ont sur les homosexuels et notamment les plus jeunes qui peuvent avoir du mal à faire accepter leur choix amoureux et qui subissent les fruits de ces dérapages parfaitement contrôlés. La République doit rappeler à Madame Boutin que la liberté d'expression a des limites: celle de la mise en danger d'autrui puisque son refus de l'autre comme étant son égal est désormais
clairement posé sur la place publique. Nous appelons l'UMP à condamner ces propos et à exclure définitivement Madame Boutin de toute association ou participation aux instances même consultatives."
Ces deux olibrius vont devoir poursuivre tous les catholiques, puisque l'Eglise enseigne :
"S’appuyant sur la Sainte Écriture, qui les présente comme des dépravations graves, la Tradition a toujours déclaré que " les actes d’homosexualité sont intrinsèquement désordonnés ". Ils sont contraires à la loi naturelle. Ils ferment l’acte sexuel au don de la vie. Ils ne procèdent pas d’une complémentarité affective et sexuelle véritable. Ils ne sauraient recevoir d’approbation en aucun cas."
Communiqué ironique de Bernard Antony sur le nouveau gouvernement :
"La composition du gouvernement décidé hier, 1er avril, et rendue publique ce jour, appelle les observations suivantes.
Revoici en belle position Ségolène Royal. Il ne faut certes pas dauber ici sur les questions de la vie privée – vie publique du chef de l’Etat. Comme chacun le sait ceci n’interfère pas du tout sur les choix politiques de ce dernier. On mesure cependant ici la grandeur de madame Royal acceptant avec abnégation de travailler pour la République avec le père de ses enfants, bien qu’il l’ait abandonnée jadis. On aurait apprécié que dans le même élan de pure utilisation des compétences acquises, François Hollande eut le panache d’attribuer à Valérie Trierweiler, ardente militante LGBT, par exemple le ministère de la Santé. En effet celui-ci en tant que tel n’existe plus. Il aurait pu de même rétablir pour l’actrice Julie Gayet, ancienne militante ardente de la Ligue Communiste Révolutionnaire, celui du Temps libre, jadis voulu par François Mitterrand pour le gouvernement de Pierre Mauroy. Ceci n’aurait pas déplu au camarade Mélenchon.
Madame Taubira, contrairement à ce que nous avions imprudemment anticipé, est maintenue à la Justice. En fait Manuel Valls qui a fait un beau tandem avec elle dans la mise en œuvre de la loi de dénaturation du mariage et de répression policière de ses opposants, n’était, sur d’autres plans, qu’en apparent désaccord avec elle. Ils étaient dans un jeu de rôle : Manuel jouait celui du méchant flic et Christiane celui de la gentille juge... pour les malfrats. Nul doute que l’entente de Manuel Valls et de Christiane Taubira sera désormais visiblement sans nuage. Madame la ministre de la Justice qui est, comme nul ne saurait en douter, titulaire de plusieurs authentiques doctorats, continuera à apporter au gouvernement les fruits de son expérience et de sa vaste culture.
Quant à Manuel Valls on ne peut que comprendre le choix du chef de l’Etat quand on considère les grandes œuvres qu’il a accomplis comme ministre de l’Intérieur. Il a en effet, sans faiblir, courageusement dissout deux ou trois groupuscules d’extrême-droite qui mettaient la République en danger. Et il a combattu avec le courage des héroïques combattants de « No pasaran » l’effroyable menace des conjurés de la « quenelle »."
Voici quelques techniques courantes utilisées par différents organes de pouvoir – publics ou privés – cherchant à occulter des vérités qui dérangent. Il est utile de garder ces concepts à l’esprit lors de la lecture d’informations relatives à des sujets controversés (ils sont nombreux)… Pour autant, règle n°1, que vous sachiez même qu’ils le sont. Faites le test. Vous serez sans doute surpris de constater à quel point ces procédés percolent au travers de nombre de propos tenus par des instances officielles, des “experts” et par extension de nombreux médias.
Ne pas écouter la controverse, ne pas la voir, ne pas en parler. Si elle n’est pas rapportée, elle n’existe pas et il n’y a pas lieu de s’en occuper.
N’aborder la controverse qu’en périphérie, sur des points mineurs voire pittoresques. Éviter soigneusement les points clés de l’argumentation.
Rejeter le sujet de façon indignée (“jamais une chose pareille ne serait possible”). Jouer sur le sentiment d’incrédulité (“il y aurait eu des fuites”, “ça se saurait”, …)
Considérer la controverse comme une rumeur de plus, sans fondements, quels que soient les arguments présentés.
Présenter la position de son adversaire de façon volontairement erronée, en sélectionnant son argument le plus faible, en amplifiant sa portée puis en le détruisant.
Décrédibiliser le porteur du message. Par extension, associer les opposants à des dénominations impopulaires telles que “excentrique”, “extrême-droite”, “gauchiste”, “terroriste”, “conspirationniste”, “radical”, “fanatique”, ou même “blonde” etc…
Très appréciée et souvent utilisée. Quitter l’objet de la querelle (indéfendable) et diriger les attaques sur la personne de l’opposant en tenant des propos désobligeants, blessants ou grossiers à son égard. C’est un appel des facultés de l’esprit à celles du corps ou à l’animalité.
Exacerber tous les faits qui pourraient donner à penser que l’opposant opère en dissimulant ses véritables intentions ou est sujet à tout autre forme de biais.
Quelque soit le niveau de la polémique mais sans y faire référence, confirmer la thèse officielle par un communiqué laconique sur une nouvelle étude favorable et rassurante.
S’associer à l’autorité (organismes internationaux etc.) et présenter ses arguments avec suffisamment de jargon, de détails techniques et de sources pour les crédibiliser.
Faire l’innocent. Quelle que soit la solidité des arguments de l’opposant, éviter la discussion en leur contestant toute crédibilité, toute existence de preuves, toute logique ou tout sens. Mélanger le tout pour un maximum d’efficacité.
Associer les charges de l’opposant à des charges farfelues facilement réfutables, qu’elles soient antérieures ou le fait d’autres opposants. En y étant associées, les charges subséquentes, quelle que soit leur validité, sont alors beaucoup plus facilement discréditées.
Diviser pour mieux régner et par extension mettre l’accent sur les différences entre les différents courants des opposants et l’impression de chaos que cela procure.
Présenter la version de l’opposant en premier lieu puis démentir par une succession de déclarations issues de sources faisant apparemment autorité.
Admettre avec candeur que des manquements (mineurs) ont été identifiés et que des solutions ont été apportées. Les opposants cependant en ont tiré parti pour gonfler la controverse et tenter de démontrer ce qui n’existe pas.
Utiliser des termes techniques sans contenu émotif pour décrire le problème.
Les énigmes n’ont pas de solution. Étant donné la multitude des paramètres, des intervenants et de leurs interactions, le sujet est bien trop complexe pour ne pouvoir être jamais résolu. Une technique couramment utilisée pour décourager ceux qui cherchent à suivre…
Éviter le problème en exigeant de l’opposant qu’il fournisse une solution complète à la résolution de la controverse.
Omettre des preuves, des publications ou des témoignages contraires. S’ils n’existent pas, ce ne sont pas des faits, et le sujet ne doit pas être couvert.
Amener l’opposant à argumenter dans une position difficile et jouer sur sa perte de sang froid pour le décrédibiliser.
“You don’t bite de hand that feeds you”, disent les Anglais (vous ne mordez pas la main qui vous nourrit). Créer son propre groupe d’experts et le financer directement ou indirectement.
Ignorer les preuves présentées par l’opposant comme étant non pertinentes et lui demander des preuves inaccessibles, que ce soit matériellement (non disponibles ou soustraites au regard du public), techniquement (années de recherche) ou financièrement.
Dénier toute crédibilité ou être extrêmement critique vis à vis de publications, de témoignages ou même de propos officiels d’organes de pouvoir, en les désignant comme des “sources non valides” ou “des éléments sortis de leur contexte”.
Introduire des éléments contradictoires par rapport à l’argument de l’opposant, au besoin en fabriquant de fausses preuves, par exemple sous la forme d’études scientifiques au protocole particulièrement étudié.
Organiser un grand jury ou des états généraux avec tous les atours de la consultation la plus large et la plus ouverte qui soient. Neutraliser ensuite les sujets qui fâchent et présenter le rapport final comme étant l’état du consensus général.
Créer l’événement ailleurs pour distraire et écarter l’attention du public.
http://fortune.fdesouche.com/334849-de-la-desinformation#more-334849
À force de descendre vers des abîmes d’impopularité toujours plus profonds, François Hollande prendra-t-il enfin acte du rejet massif des Français à son égard ?
Mais pourquoi donc les écolos quittent-ils le navire ? Parce que la soupe du gouvernement ne serait plus assez bonne ? Parce que, tout compte fait, les maroquins, bof ? Parce qu’ils seraient définitivement allergiques à Valls qui leur donnerait des boutons ?
Laissez-moi rire… Les écolos se sont toujours accommodés de Valls, lequel, en réalité, leur a permis à peu de frais, alors qu’ils faisaient mine de le combattre férocement et le brocardaient chaque fois qu’ils le pouvaient, de se mettre en valeur à l’intérieur du gouvernement Ayrault. Quant aux maroquins ministériels, loin d’en être blasés, ils en sont extrêmement friands puisque, à chaque négociation avec le Parti socialiste, ils en réclament toujours plus. Les écolos ne sont en effet jamais les derniers quand il s’agit d’aller à la soupe : on l’a bien vu en mai 2012 où ils ont demandé et obtenu deux portefeuilles malgré le score ridicule de leur candidat au premier tour des présidentielles (Eva Joly : 2,31 %).
Alors, pourquoi ? Mais parce que les élections européennes sont dans deux mois ! Pour eux, en effet, il ne s’agit nullement d’une rupture stratégique fondamentale, d’un divorce définitif avec leurs protecteurs socialistes, mais seulement d’un retrait tactique momentané.
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