Sur RMC, un ancien policier témoigne dans l’émission de Jean-Jacques Bourdin: la police reçoit l’ordre de ne pas rentrer dans les cités et de ne pas y intervenir :
Un ancien policier témoigne sur la non-lutte... par dm_50929b90066d4
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Sur RMC, un ancien policier témoigne dans l’émission de Jean-Jacques Bourdin: la police reçoit l’ordre de ne pas rentrer dans les cités et de ne pas y intervenir :
Un ancien policier témoigne sur la non-lutte... par dm_50929b90066d4
Jouer avec les soit disant « extraordinaires découvertes » et l’espoir des malades pour faire cracher au bassinet les généreux donateurs, pendant que les soins « normaux » sont de moins en moins remboursés…………
Comme tous les ans, à quelques semaines du Téléthon, on a eu le droit à l’annonce d’une « grande découverte » qui n’a pour but, à la veille de la grand-messe annuelle de « télécharité », que d’inciter les heureux donateurs à mettre la main au portefeuille.
Cette fois-ci, je suis tombé sur un article intitulé « UniQure commercialisera la première thérapie génique en Europe ». Comme toujours, l’avancée se révèle être du pipeau.
Regardons un peu : on nous dit d’abord pompeusement que « l’Europe vient de donner son feu vert au premier médicament de thérapie génique », puis que « l’Europe a exigé de nouvelles études durant trois ans avant d’accepter “dans des circonstances exceptionnelles” ce produit, qui pourrait coûter 1,2 million d’euros par patient… »
Le traitement en question est donc loin d’être une réalité tant sur le plan technique (impossible à réaliser à une grande échelle : la maladie visée par le traitement en question ne concerne qu’une à deux personnes sur un million), que sur le plan financier. Qui pourra se le payer ? Donnez, donnez au Télethon, vous le paierez au centuple !
Le patient finance la recherche, paie (très cher) le traitement, et l’industrie pharmaceutique s’enrichit, le tout avec la bénédiction des Etats et de l’Europe.
On est donc, comme toujours, à des années lumières des promesses de la thérapie génique. Mais le but est de continuer à faire croire que le miracle est possible et qu’on s’en rapproche.
Une vision obsolète et simpliste du vivant
C’est exactement la même démarche qu’avec les plantes génétiquement modifiées (PGM), où on nous annonce depuis des années la fabrication de plantes qui pousseront dans le désert, qui fixeront l’azote de l’air. Tout cela relève du fantasme absolu : croire que l’on pourra surmonter des phénomènes aussi complexes, dont on ne connaît rien – ou pas grand-chose – des mécanismes intimes, en introduisant un, deux, trois, ou cinq gènes dans une plante, c’est croire au père Noël, mais c’est vendeur…
Dans les faits, la quasi-totalité des plantes génétiquement modifiées cultivées à la surface de la planète ou qui font l’objet de demandes d’autorisation, sont toujours des plantes conçues pour accumuler des pesticides (insecticides et/ou herbicides) et rien d’autre.
Ces deux technologies (thérapie génique et PGM) reposent sur une vision totalement obsolète et simpliste du vivant où les gènes tout puissants seraient des entités indépendantes, où toute la complexité des interactions géniques et du métabolisme sont niées, où tous les phénomènes épigénétiques sont ignorés.
Ce champ relativement récent de la recherche en biologie étudie notamment comment les produits de l’ADN, constitutif des gènes, peuvent avoir un rôle fondamental et spécifique en rapport avec l’environnement, indépendamment de celui de l’ADN lui-même.
Ajouter un bout d’ADN n’est pas anodin
Récemment, des prétendus scientifiques qui réagissaient à l’étude du professeur Séralini sur le maïs OGM NK603 se sont offusqués des résultats de cette étude au prétexte qu’« intuitivement, on ne puisse imaginer » ou qu’« il est scientifiquement peu vraisemblable“qu’un bout d’ADN inséré dans de l’ADN puisse donner de tels effets (tumeurs mammaires et perturbation hépatorénale sévère).
Ces scientifiques porteurs du gène de l’intuition n’ont de connaissance de la génétique que la génétique ‘ à la bourrin ‘ de Monsanto : on ajoute un bout d’ADN dans un génome et il fera ce qu’on attend de lui, sans interférer avec le reste du génome et de l’organisme…
Or, l’étude de Séralini, quoi qu’en pensent ses détracteurs – qu’il s’agisse d’experts autoproclamés ou d’agences d’évaluation juges et parties qui ne veulent pas se désavouer – montre pourtant une chute importante dans l’aliment OGM du taux de deux métabolites (acide caféique et acide férulique).
Il s’agit justement de composés secondaires de la voie métabolique dans laquelle est impliquée l’enzyme codée par le transgène introduit dans ce maïs (et dans 80% des OGM cultivés à la surface de la planète !).
Un peu d’humilité face au vivant
C’est cette chute d’acides caféique et férulique qui pourrait expliquer (au regard d’autres études publiées précédemment) l’apparition des nombreuses tumeurs mammaires chez les femelles et des problèmes hépatiques chez les mâles.
Un effet spécifique de l’OGM avait déjà été observé il y a quelques années par Arpad Pusztai du Rowett Research Institute (Ecosse), spécialiste mondial deslectines, sur le rat consommant une pomme de terre transgénique (article paru dans The Lancet en 1999).
…/…
Tout ceci montre à quel point on ne connaît rien – ou pas grand-chose – du fonctionnement du vivant. On ne maîtrisera jamais avec un ou deux gènes manipulés dans un tube à essai ce que la nature maîtrise avec des milliers, et qu’elle a mis des centaines de millions d’années à élaborer. Mais l’humilité ne fait visiblement pas partie de la formation d’un certain nombre de scientifiques qui prétendent pouvoir ‘ maîtriser le vivant ‘ à défaut de le comprendre.
(…)
Pour lire la suite, cliquer ICI
Auteur : Christian Vélot
Source : sciencescitoyennes.org
Article relayé par : jacques http://lesmoutonsenrages.fr
Nous n'allons pas vous raconter les péripéties de cette bataille honteuse et qui n'est pas près de finir. Quelques faits paraissent avérés. Si, par une négligence venue sans doute de très haut, des voix de certains territoires n'avaient pas été oubliées, Fillon aurait gagné de 26 voix, au lieu des 98 affichées par un Jean-François Copé triomphant. Par ailleurs ces chiffres n'ont guère de signification vu les multiples fraudes dont chacun des deux compères se sont accusés avec entrain ; ces gens qui parlent avec orgueil de leurs valeurs ont pratiqué le bourrage des urnes, méthode bien connue notamment aux USA ce qui ne les empêche pas d'envoyer parfois un tapis de bombes aux peuples qui n'adhèrent pas à la démocratie.
La palinodie présente en France montre que les deux leaders n'ont aucun respect pour la démocratie ; or, celle-ci malgré des défauts bien connus a l'avantage de policer quelque peu les transmissions de pouvoir.
Copé par sa fonction avait en charge l'organisation du scrutin et c'est totalement raté. N'a-t-il aucun sens de l'organisation ? ou bien les ratages étaient-ils voulus ? Il y a là un mystère. Par sa fonction, il était et il reste assis sur le coffre où se trouve l'argent que les contribuables apportent sans rechigner. Quant aux moyens de pression multiples et variés il en tire toutes les ficelles.
Alain Juppé est entré en scène avec l'auréole d'un sage. Sage, il l'est redevenu après la fin de ses démêlés judiciaires. Pressenti pour un intérim il l'a presque accepté. Sa première tâche devrait être de chasser Copé de son magnifique bureau ! Il a envisagé de recompter les voix ; nous lui souhaitons bien du plaisir avec des bulletins proprement disparus et des procès-verbaux tronqués. Il n'est pas exclu que son intervention se dissolve ; son succès éventuel pourrait lui donner des idées pour 2017 et personne n'en a envie.
LE BUTIN DE LE REPUBLIQUE FROMAGERE (R.F.)
Nous affirmons sans ambages que ce conflit odieux est uniquement une bataille pour le butin. Pour le comprendre il faut se référer à la République Fromagère ou R..F. sigle inscrit sur tous les édifices publics. La R.F. fonctionne sur des principes qui en s'ajoutant forment un tout cohérent. L'un de ces principes s'écrit comme suit : l'accumulation du butin étatique le plus important par la force fiscale est un objectif fondamental qui doit passer avant tout autre et qui permet ensuite son partage entre les prédateurs publics de divers niveaux. C'est l'application de ce principe par les gouvernements de toutes sortes depuis des décennies qui a conduit à un pays socialisé pour 70% des activités.
Pour les personnes éventuellement sceptiques sur le couple diabolique butin-partage nous énumérons pêle-mêle : statut fabuleux des élus, statut princier des anciens présidents de la République et des anciens premiers ministres, dépenses de communication, pyramide abusive des collectivités, les deux décentralisations avec tous les doublons en conséquence, les subventions innombrables...
DES PROGRAMMES DE RUINE .
Pour que ce ne soit pas uniquement une course éperdue vers le butin, il faudrait que les deux coureurs aient des programmes différents et vraiment valables ce qui n'est pas le cas. En fait, c'est bonnet blanc et blanc bonnet. Qu'on en juge . Tous deux prévoient la fin des 35 heures dans des formules compliquées, mais pourquoi ne l'ont-ils pas fait lorsqu'ils étaient aux affaires ? A remarquer le projet d'un nouveau contrat de travail, s'ajoutant au nombre multiple des contrats existants. Une augmentation de la TVA est envisagée pour lutter contre les délocalisations : c'est inopérant car celles-ci sont dues notamment à la politique industrielle de la France. Quant à l'ISF, loin de le supprimer il y a l'idée de le faire servir au financement des PME ! Dans tout cela le mot de liberté est tragiquement absent. Les deux challengers doivent ignorer que seule une libération fiscale et sociale rapide et puissante des entreprises créerait l'ouragan de richesse capable de résoudre bien des problèmes. Faute de cette libération ce sont des programmes de ruine.
Le résultat de ce cirque est que nous n'avons pas d'opposition valable aux entreprises destructrices de la majorité. N'oublions pas en terminant de mentionner que tous ces prédateurs sont financés par des impôts ou de l'endettement public ce qui est directement contraire à la prospérité générale.
Michel de Poncins http://libeco.net
Obama réélu, l’Amérique est foutue. Une question s’impose. Et si nous les Blancs étions devenus les indiens de quelqu’un ? De quelqu’un de plus fort et plus luciférien que nous ? Lisez Tocqueville, qui expliquait comment on déconstruit le comportement civilisé d’une nation pour en exterminer la population :
« En affaiblissant parmi les Indiens de l’Amérique du Nord le sentiment de la patrie, en dispersant leurs familles, en obscurcissant leurs traditions, en interrompant la chaîne des souvenirs, en changeant toutes leurs habitudes, et en accroissant outre mesure leurs besoins, la tyrannie européenne les a rendus plus désordonnés et moins civilisés qu’ils n’étaient déjà. »
Consumérisme, destruction de la famille et du patriotisme, cela ne vous rappelle rien ? La liquidation par l’armada socialiste de tous les déterminismes ? Il faut censurer Tocqueville décidément !
On ne sait jusqu’où peut descendre l’Amérique blanche. Elle en est au niveau de l’Europe, quoiqu’en pensent certains. Et on n’a pas encore élu et réélu d’Obama en Europe ! Pour financer ses guerres pitoyables et impitoyables, pour financer sa politique sociale qui est aussi une politique raciale, Barack Obama ne cesse avec l’aide complaisante et irresponsable du banquier central Bernanke d’endetter son pays, dont la dette aura triplé depuis l’an 2000. Le XXIe siècle, c’est pour l’instant l’odyssée en espèces, en attendant la catastrophe finale qui sonnera le glas pour l’occident tout entier et ce qui restera de la vieille race blanche.
Une certaine propagande pro-américaine plus pernicieuse que tout nous a fait croire pendant des années, je dirai même des décennies, que les immigrés clandestins et tiers-mondistes travaillaient en Amérique alors qu’ils ne foutaient rien en Europe. C’est le même qui nous faisait croire que nos travailleurs ne voulaient plus bosser. C’est bien sûr totalement faux, les Blancs ne voulaient pas non plus de cette immigration imposée depuis Johnson en Amérique, et les Latinos, éternels espérés des candidats républicains, les Blacks, les Africains entrés, les Asiatiques aussi, tous ont voté Obama, comme le montre le professeur Kevin McDonald sur son site indispensable pour comprendre ce qui se passe (<theoccidentalobserver.com>), et ils viennent aux Etats-Unis pour s’y faire entretenir comme les autres en France. Le Blanc est une cow to milk, le Blanc est une vache à traire.
En Californie, un des états les plus sinistrés de ce point de vue, on est passé en quarante ans de huit actifs pour un inactif à deux actifs pour un inactif. En Amérique, on récolte avec cinquante ans de temps de réponse le suicide programmé par la Big Society du maudit Lyndon B. Johnson.
J’ai parlé de la Californie et cela permet d’insister sur le point essentiel : quels états vont faire faillite les premiers, et même quels états rednecks, les états blancs, réacs et cons, pour reprendre l’exquise prose des médias, vont faire sécession les premiers ? Car il n’y a qu’à lire les réactions et les commentaires, pas les journaux eux-mêmes bien sûr, les Blancs n’en peuvent plus ou bien constatent qu’ils n’en peuvent mais, constatant qu’ils ont été trahis par des élites hostiles, pour reprendre l’expression de Kevin McDonald.
Nous avons les mêmes élites en Europe qu’en Amérique, formées par l’idéologie antiraciste et mondialiste, formatées par les écoles de commerce et de gestion anglo-saxonnes, fanatisées dans le projet de destruction de la civilisation helléno-chrétienne, pour reprendre l’expression de JMLP dans une interview accordée à un journal russe via l’auteur de ces lignes. Les Blancs dis-je se réveillent en Amérique et rêvent d’une sécession pour échapper à des élites devenues folles et à un Etat-providence tentaculaire et totalitaire. C’est tout. On verra comment tout cela se passera dans le futur, mais au rythme de notre vieillissement, de leur immigration et de notre endettement à tous, je vous garantis que cela ne va pas se passer très bien.
Il était impossible en 2008 comme en 2012 de choisir un bon candidat républicain. Le dernier bon candidat fut Reagan. Depuis pour être républicain, il faut être un milliardaire pro-immigration et être fanatiquement du lobby belliciste au Moyen-Orient et de l’ordre nouveau mondialisé. Sinon on est mort, demandez au libertarien Ron Paul !
Pour être sincère je n’aurais pas voté pour le mormon cette fois-ci pas plus que je n’aurais voté pour l’homme à la joue qui tombe la dernière fois : il ne manquerait plus qu’un échange de bombes atomiques avec Moscou et le tour serait joué, la race blanche effacée, alors que les Russes ne font que nous tendre la main pour construire l’Europe du Général de l’Atlantique à l’Oural et même, a dit JMLP, de Brest à Vladivostok !
Cela étant Romney a fait 60 % chez les Blancs, plus encore chez les hommes, mais pas mal non plus chez les femmes !
Je me demande d’ailleurs quel genre (sic) de Blanc il faut être pour voter pour Obama. Mais si Romney avec toute sa nullité, ses incohérences et son néant quantique (comme disait le NYT, journal pour une fois bien inspiré), a fait 60 %, cela montre bien que quelque chose ne marche plus très bien au royaume de l’oncle Sam et de la mondialisation siphonnée... Tout va se braquer là-bas, et je me demande jusqu’où cela ira au pays de John Wayne et de la gâchette facile. Comme dit Debord, le destin du spectacle (IE de la démocratie moderne) n’est pas de finir en despotisme éclairé.
Une chose encore : j’ai parlé de minorité blanche, c’est fait au niveau des bébés. Les Blancs à la grande satisfaction de nos médiatiques abrutis sont minoritaires dans leur propre pays (c’est vrai, c’était celui des Indiens !), et grâce aux efforts de tous ! Ceci dit... Ceci dit... Dans notre monde moderne, on sait que ce sont toujours les minorités raciales et religieuses qui par chantage, terrorisme, harcèlement moral et autres, exercent le pouvoir. Et bien les Blancs arrivent comme des grands devant leur destin de minoritaires. Et ils devront prendre leur destin en main, ne pas le laisser entre les mains de l’Etat pauvre évidence qui a décidé de les décimer jusqu’au dernier.
Donnons-nous du plaisir, replantons du Tocqueville avant qu’on ne l’expurge :
« Le plus redoutable de tous les maux qui menacent l’avenir des Etats-Unis naît de la présence des Noirs sur leur sol. Lorsqu’on cherche la cause des embarras présents et des dangers futurs de l’Union, on arrive presque toujours à ce premier fait, de quelque point qu’on parte. »
Et aussi :
« L’homme blanc des Etats-Unis est fier de sa race et fier de lui-même. »
On censure, et on ferme.
Nicolas Bonnal http://www.france-courtoise.info
Ainsi, l’aéroport du Grand Ouest annoncé par M. Ayrault pour les années prochaines voit sa construction retardée d’au moins six mois, « le temps de calmer les esprits » aux dires d’un gouvernement fort peu à l’aise sur ce dossier mal ficelé par son actuel premier ministre et ses amis, socialistes et vincistes de Loire-Atlantique…
En fait, ce n’est évidemment pas M. Ayrault (« Grisemine » pour les intimes) qui a pris cette décision d’arrêter les frais et de créer une « commission de dialogue », mais bien M. Hollande, furieux des images politiquement dévastatrices de canon à eau contre la manifestation nantaise, manifestation très « familiale » et ayant peu en commun, dans le style, avec les échauffourées de Notre-Dame-des-Landes : le président a compris que son gouvernement avait perdu la bataille de la communication et sans doute se dit-il que, désormais, il a un bien encombrant premier ministre ! Notre-Dame-des-Landes devient, et sans jeu de mots facile, un véritable calvaire pour un Pouvoir déjà débordé de tous les côtés par les mauvaises nouvelles, qu’elles soient économiques ou sociales, et ce malgré l’absence d’opposition crédible et organisée à sa politique.
Dans ce naufrage, une autre victime : Delphine Batho, ministre de l’écologie et apologiste acharnée de la construction d’un aéroport pourtant si destructeur de l’environnement et si dangereux pour la qualité des eaux de toute la région nantaise, celle-là même qui, quelques heures avant la reculade, sans doute provisoire mais bien réelle, du Pouvoir socialiste signait une tribune pro-aéroport qui, au regard des tristes arguments avancés, la déconsidère à tout jamais aux yeux des défenseurs de l’environnement… Il va lui être difficile désormais d’apparaître comme une interlocutrice valable pour les associations écologistes ou environnementalistes alors que s’ouvrent ces jours prochains les discussions sur « la transition énergétique » ! Son image est durablement ternie et il est peu probable qu’elle puisse retrouver crédit près de l’opinion publique qui attendait d’elle, sans doute, un autre discours ou, au moins, une volonté de dialogue dont elle n’a guère fait montre en cette affaire. D’ailleurs, elle est aujourd’hui totalement ignorée des adversaires de l’aéroport et son ministère n’a aucune crédibilité ni visibilité aux yeux des Français.
Dans la rame de métro qui me ramenait à Boulogne-Billancourt l’autre jour, une affichette parlait de « crash démocratique » à propos de « l’Ayrault-port » : à côté, une main facétieuse mais amie, avait inscrit « Notre-Dame-des-Landes, criez pour nous » et signé d’un sacré-cœur chouan cette formule originale… Il est vrai que, quand on voit les images du bocage promis à la destruction, on comprend mieux comment les Vendéens et les chouans de Bretagne et Mayenne ont pu livrer une guerre de partisans contre l’Etat républicain, ceux que l’on nommait alors « les Bleus », avec un certain succès même s’il ne fut que temporaire.
La contestation actuelle, si elle se pare souvent – mais pas seulement, heureusement - des couleurs de l’anarchie ou d’une certaine extrême-gauche, se rapporte plus, néanmoins, à cette guérilla initiée par Charrette et par Cathelineau, ceux-là mêmes qui osèrent s’opposer à une République qui, aujourd’hui encore, n’a pas renoncé à se faire répressive pour arriver ses fins, fussent-elles économiquement et écologiquement absurdes ! Le bocage nantais reste bien risqué pour un gouvernement de la République, semble-t-il… et c’est tant mieux !
FPI-Le Gaulois - « Menacer de nationaliser le site ArcelorMittal de Florange comme le fait le gouvernement si le groupe refuse de le céder est scandaleux », a déclaré jeudi la présidente du Medef, Laurence Parisot, dans une logique ultra-libérale totalement étrangère à l’intérêt national et à celui des ouvriers.
Pendant qu’Israel écrasait les Palestiniens sous les bombes à Gaza, certains groupes mènaient une lutte idéologique à Paris et en Cisjordanie.
Mai 68 vient d'avoir lieu. Michel Pinton, polytechnicien, rencontre Valéry Giscard d'Estaing. Le trentenaire voit en l'ancien ministre des Finances une « forme rajeunie du gaullisme » (1). En 1974, il sera de ceux qui le porteront à l'Elysée. A la création de l'UDF, en 1978, il en devient le secrétaire général. Michel Pinton, qui a aussi été député européen, est aujourd'hui maire de Felletin (Creuse). Ce conservateur souverainiste et catholique, qui n'est pas sans rappeler Jean Jaurès, se bat contre les effets de la mondialisation et contre « l'idéologie européiste » (2).
☟Le Choc du mois: A la suite de quels désaccords vous êtes-vous séparé de Valéry Giscard d'Estaing ?
☝ Michel Pinton : Ce qui a provoqué la rupture entre nous, c'est la différence croissante de nos visions du monde après la chute du mur de Berlin et la signature du traité de Maastricht. Pour vite résumer les choses, je dirais que Giscard a tiré de l'effondrement du communisme et de la marche vers la monnaie unique une idée principale, à savoir qu'il fallait que l'Europe s'unisse, et même, plus encore, qu'elle « s'approfondisse », comme on disait à l'époque. Il mettait toute sa foi dans une sorte de fusion entre la France et l'Allemagne et la création d'une fédération supranationale entre ces deux pays, ce qui me semblait une mauvaise analyse de la situation mondiale et européenne. Je pensais que la chute du mur de Berlin démontrait au contraire que cet élargissement de l'Europe devait aller de pair avec la diversité des choix, et que si l'on cherchait à mettre de force tous les peuples dans le même carcan, cela ne marcherait pas.
Notre rupture pratique est donc venue au moment du traité de Maastricht et de nos divergences sur ce que devait être le devenir de l'Europe : il était naturellement un chaud partisan de l'euro, dans lequel il voyait un instrument essentiel pour faire de l'Europe une unité solide et prospère ; moi j'en avais une vision exactement inverse : celle d'un moule monétaire. Nous nous sommes donc séparés à ce moment-là, et en dépit d'une amitié qui demeure, sans aucun doute, vivace entre nous, nos avis sont désormais trop éloignés pour que nous puissions à nouveau travailler ensemble. L'âge qu'il a aujourd'hui, de toute façon, fait que cela n'a plus grande importance.
« Le pouvoir est ailleurs que dans la volonté du peuple français »
☟ Pour quelles raisons êtes-vous si attaché à la souveraineté nationale ?
☝ La souveraineté nationale, pour moi, c'est une évidence : s'il n'y a pas de souveraineté politique, il n'y a pas de nation. La souveraineté a été le fondement de la politique française depuis plus de mille ans. Par conséquent, si elle disparaît, il n'y a plus de France, tout simplement. Or, on essaie précisément aujourd'hui de nous mener vers cette voie, consistant à partager notre souveraineté avec d'autres pays voisins. En réalité, on ne partage rien : on ne fait que donner le pouvoir à une technocratie irresponsable. Il ne faut pas s'étonner que cela ne soit pas populaire. Le peuple français voit bien, depuis quinze ans, que ses votes ne servent plus à grand-chose et que le pouvoir est ailleurs que dans sa propre volonté.
☟ Vous avez intimement connu Jacques Chirac. Quelles impressions vous a-t-il laissées ?
☝ Je l'ai connu en 1968, en même temps que Giscard. Nos rapports personnels ont été bons jusqu'à ce que, comme secrétaire général de l'UDF, je sois conduit à prendre parfois position contre le RPR, ce qui bien sûr ne lui a pas plu. C'est un homme qui a adopté avec l'âge des positions idéologiques qu'il n'avait pas quand il était plus jeune. Il était très sensible, à l'époque, à une certaine forme de réalisme politique, même si par ailleurs son opportunisme n'avait rien de méchant ou d'agressif. Il faisait avant tout ce qu'il fallait pour plaire à l'opinion et être élu. Je ne l'ai jamais connu animé par les préoccupations ultérieures de ses deux mandats présidentiels, lorsque, une fois président, il s'est fait le champion des droits de l'homme, des minorités et de la repentance anti-vichyste. Dans les années 70-80, ces questions ne l'intéressaient même pas.
☟ Peut-on considérer que vous êtes un dissident à l'intérieur de la droite française ?
☝ Sur certains points, oui, mais il faut savoir exactement ce que l'on entend par la droite. Il y a une droite avec laquelle je ne me suis jamais senti à l'aise, celle qui est européiste, atlantiste, mondialiste, et qui, à mon avis, a renié ses propres racines. Cette droite-là n'a jamais été la mienne. Car c'est aussi une droite qui n'aime pas regarder en face ses propres carences et ses erreurs, et je pense qu'il faut toujours avoir le courage de regarder ses erreurs en face. Par contre, je me sens proche d'une droite qui est avant tout une fibre populaire et une manière de sentir la France.
« On enferme les peuples européens dans un carcan »
☟ Quelles ont été pour vous les fautes politiques principales de Giscard et de Chirac ?
☝ La principale faute de Giscard, c'est de ne pas avoir compris - ou plutôt de ne pas avoir voulu comprendre, car il était assez intelligent pour le faire - qu'ayant été élu en 1974 contre Jacques Chaban-Delmas par un électorat populaire de droite, il ne pouvait ensuite passer une bonne partie de son temps à essayer de séduire des partis de gauche en prenant des mesures que son électorat ne demandait absolument pas. Son européisme, notamment, qui était très fort, ne correspondait pas du tout aux attentes de ceux qui l'avaient élu. Sa défaite a été pour lui une grande surprise, car il était persuadé que ce qu'il faisait répondait aux désirs des Français, ce qui n'était pas vrai.
En ce qui concerne Chirac, c'est un peu la même aventure : il a été élu lui aussi par des votes populaires, qui manifestaient une grande méfiance envers l'Union européenne. Il a été élu en 1995, à l'époque de la préparation de l'euro, et il avait promis lors de sa campagne qu'il y aurait un nouveau référendum après celui de 1992 pour l'application de la monnaie unique ; du reste, sa promesse centrale de réduire la fracture sociale impliquait forcément que l'on ne fît pas l'euro. Or, à peine élu, Chirac s'est dépêché de trahir cet électorat et de mener une politique favorable aux intérêts de Bruxelles, ce qu'il a payé très cher, en décembre 1995. en 1997 et en 2005.
Les deux hommes, en fait, ont commis l'erreur de vouloir s'affranchir de leur électorat. de ne pas tenir les promesses implicites qu'ils lui avaient faites, et de se laisser ainsi attirer par le mirage du centre ou du centre-gauche, qui n'est jamais qu'un faux consensus exalté par une presse en trompe-l'œil.
☟ Y a-t-il un centre politique en France, et quel sens donniez-vous à ce mot lorsque vous dirigiez l'UDF ?
☝ L'UDF, pour moi, c'était le centre-droit. Le RPR, à mes yeux, devait occuper une place tout à fait à droite : je voyais la vocation de Chirac comme étant en fait proche de ce qui serait ensuite celle de Le Pen. Or, Chirac a déplacé le RPR vers le centre et donc a fait surgir, par contrecoup, le Front national. Mais cette évolution n'était pas écrite à l'avance, loin de là, et la bataille entre le RPR et l'UDF, telle que je la voyais dans les années 80, était une bataille pour la possession de la droite populaire. Je ne pensais, pas non plus que l'UDF pût s'élargir depuis le centre-droit vers le centre-gauche. Cela a du reste été impossible : Giscard s'est heurté à l'union de la gauche. Il y a bien un électorat centriste en France, mais il est minoritaire : vous le retrouvez aujourd'hui dans les 7 % de François Bayrou en 2002 et au premier tour des dernières législatives.
☟ Pour quelles raisons êtes-vous devenu, vous le fondateur d'un parti qui se veut européiste, un adversaire déterminé de la construction européenne ?
☝ Je précise que je ne me suis jamais considéré comme un adversaire de l'Europe, mais je suis devenu effectivement un adversaire de l'idéologie européiste à partir du moment où elle a commencé à devenir ce qu'elle est aujourd'hui, c'est-à-dire à partir de 1986 et l'arrivée de Jacques Delors à la tête de la Commission.
Ma vraie hostilité toutefois ne s'est manifestée qu'avec le traité de Maastricht, en 1992. Le projet d'arrimage du franc au mark qui a abouti à l'euro m'a semblé et me semble toujours néfaste, parce que c'est une contrainte qu'on impose aux peuples de l'Europe. On les enferme clans ce que j'ai appelé un carcan, à partir duquel tout découle : on fait de la monnaie unique le point d'ancrage des politiques économiques. Cela me paraît à la fois une hérésie sur le plan de la doctrine économique et une contrainte très forte appliquée à la vie des peuples.
Désormais, à cause de cette politique, il n'y a plus d'ajustement possible que par la pression sur les salaires et sur l'emploi.
C'est une manière de faire que je trouve inhumaine, et qui n'est absolument pas indispensable. Je sais bien qu'elle fait partie des modes actuelles, qui viennent pour l'essentiel des Etats-Unis, mais elle est appliquée avec une rigueur implacable par Bruxelles et par ceux qui nous gouvernent, sans que cela soit justifié par rien de sérieux.
La nécessité d'un « dialogue fécond entre le temporel et le religieux »
☟Vous êtes également très attaché à une certaine forme de collaboration entre l'Etat national et l'Eglise catholique romaine. Pour quelles raisons ?
☝ J'ai surtout réfléchi à la signification profonde de la laïcité. Elle existe dans toutes les nations occidentales, en Europe et aux Etats-Unis : partout, il y a séparation entre l'Eglise et l'Etat. Mais il ne faut pas s'illusionner sur le sens de cette séparation : aujourd'hui, beaucoup veulent faire croire qu'elle signifie coupure. On pense couramment que les convictions religieuses sont seulement une affaire de choix personnel, qui n'ont rien à voir avec la vie publique, laquelle est censée être avant tout dans l'Etat.
J'ai essayé de montrer que c'est faux : en réalité, la séparation entre l'Eglise et l'Etat signifie qu'il doit y avoir un dialogue permanent entre deux puissances qui ont besoin l'une de l'autre, même si leurs domaines d'activité respectifs sont tout à fait différents. Renvoyer les références religieuses au seul domaine privé est une idée dangereuse parce qu'elle nous conduit à des malentendus voire à des crises. D'autant que la voie vers laquelle nous entraînent la mondialisation et le libéralisme économique est quelque chose qui rend la vie des hommes de plus en plus insupportable : on étouffe dans ce système inhumain et mécanique. il bouscule les hommes, détruit les emplois, met de plus en plus de gens au chômage ou les contraint à une vie trépidante.
Nous avons ainsi toute une partie de nous-même qui est atrophiée à l'intérieur de ce système ; dès lors le seul moyen que nous avons de vivre comme des êtres humains, c'est d'avoir une ouverture spiritualiste vers autre chose. Les doctrines purement matérialistes du libéralisme ou du communisme ne peuvent pas suffire à diriger un peuple. Cela aboutit à des phénomènes qui nous troublent, et qui sont en effet troublants, parce qu'indices de déséquilibre.
Je crois donc qu'on ne peut pas comprendre ce qu'est l'homme moderne si l'on ne comprend pas le danger de cette césure entre la vie politico-économique et la vie religieuse. Les deux sont nécessaires. Il ne s'agit pas bien sûr de revenir à une alliance entre l'Eglise et l'Etat, qui doivent restés séparés ; mais il faut parvenir à trouver un équilibre qui corresponde au besoin de liberté de l'époque actuelle par un dialogue constructif entre les deux puissances. L'histoire de France d'ailleurs nous apprend que les périodes durant lesquelles la nation est à la fois la plus rayonnante et la plus ordonnée sont celles où il y a ce dialogue fécond entre le temporel et le religieux. A l'inverse, quand les deux puissances se tournent le dos ou se combattent, progressivement, la nation se déchire et entre en déclin.
« La centralisation administrative est allée beaucoup trop loin »
☟ Est-ce au nom de ces convictions que vous avez pris la tête du mouvement qui s'est opposé à l'adoption du Pacs ?
☝ Au moment du débat sur le Pacs, j'ai pris la tête d'un mouvement des maires, qui a d'ailleurs été une réussite puisque le gouvernement Jospin a dû renoncer à l'enregistrement des Pacs en mairie. Je l'ai fait au nom de convictions personnelles et républicaines. Mais je me sentais d'autant plus fort que j'avais aussi pour moi à la fois la raison et l'appui des différentes religions qui existent en France, dans la mesure où précisément le dialogue dont je vous parle sur ces matières était clair et aboutissait à une conclusion irréfutable.
Je pense de même que la perspective du mariage homosexuel vise à introduire un conflit grave entre les deux puissances, dont nous aurons du mal à sortir. La conscience française sera déchirée, ce qui se traduit toujours chez nous par des oppositions politiques, des troubles sociaux, des conflits de toute sorte.
Le malaise, d'ailleurs, est déjà là et croît de façon perceptible.
☟ Vous avez été successivement consultant privé à l'étranger et maire de votre ville natale dans le Limousin, Felletin. Ces deux expériences à l'opposé l'une de l'autre vous ont-elles enseigné des vérités différentes ?
☝ Elles m'ont surtout montré les deux faces apparemment contradictoires de notre époque. La carrière privée de consultant que j'ai menée en Europe et aux Etats-Unis m'a montré la face heureuse de la mondialisation, dont j'ai profité : celle des vastes sujets d'envergure internationale, de l'argent gagné facilement, des contacts multiples avec des gens de tous les pays. Mais, j'en ai vu aussi les limites : les échanges entre personnes s'y bornent à des rapports superficiels.
Mon expérience publique dans le limousin, elle, m'a montré l'autre face de la mondialisation : celle des tout petits qui sont écrasés par le système, qui subissent la précarité, les bas salaires, la chute des petites entreprises traditionnelles. A Felletin, j'ai dû agir avec les pouvoirs limités du maire, qui n'ont rien à voir avec ceux d'un législateur ou d'un chef d'Etat, mais j'y ai appris qu'il était faux de croire que le meilleur barrage protecteur aux excès de la mondialisation soit l'Etat. Cette croyance est une erreur grave, dont témoigne par exemple l'évolution du Royaume-Uni, où Margaret Thatcher a ouvert le pays aux grands vents de la mondialisation avant que Tony Blair poursuive cette politique en tentant de l'équilibrer par un usage beaucoup plus important du rôle de l'Etat. Or, toutes les statistiques montrent que son succès est très limité. Si en France nous faisons la même chose et continuons à mettre tout notre espoir dans l'Etat, comme le fait notre classe dirigeante depuis vingt ans, nous subirons les mêmes déconvenues parce que cela ne fonctionne pas.
En réalité, l'Etat et la mondialisation marchent main dans la main, au détriment de l'homme et de sa liberté. L'Etat place les individus détruits par le système sous sa tutelle, au moyen d'innombrables subventions qui les privent de toute responsabilité et donc de leur vraie dignité.
Mon expérience limousine locale m'a prouvé au contraire que la solution se trouve dans la reconstitution de ce que j'appellerais des sociétés intermédiaires, bien compromises aujourd'hui. La commune et la région sont deux d'entre elles, et j'ai essayé de voir comment, même avec des moyens très faibles comme ceux dont dispose ma ville de Felletin, on pouvait très concrètement, sur le plan économique, écologique et social, résister au laminoir de la mondialisation. Et après douze ans d'exercice et de combats quotidiens, je peux dire que la réponse est positive,
Encore faut-il que l'on puisse quelque peu se dégager de cet engrenage terrible dans lequel nous broie la puissance conjuguée de l'Etat et de la mondialisation. C'est d'abord une question de volonté de la part de nos dirigeants. Or, nos gouvernements sont très velléitaires, et les moindres ébauches de décentralisation sont toujours compensées par des mesures allant en sens inverse.
☟ La plupart des fédéralistes sont européistes et la plupart des souverainistes partisans de la centralisation. Y aurait-il donc un paradoxe Pinton ?
☝ Je crois qu'il s'agit d'un faux paradoxe, dans la mesure où la centralisation politique me paraît pour un pays comme la France, quelque chose de nécessaire : c'est la raison pour laquelle je suis un partisan farouche des institutions de la Ve République, et je suis sévère pour notre classe politique qui les a déviées et polluées. Mais la centralisation administrative, elle, est allée beaucoup trop loin et a abouti à cette double dictature de l'Etat et du marché qui n'est pas une bonne chose pour la société française.
On a trop tendance à les confondre toutes les deux, ce qui rend le débat politique en France impossible.
Philippe Marsay le Choc du Mois Juillet 2007
1. « Je voyais sans doute à l'époque le giscardisme avec une certaine naïveté », nous confie-t-il aujourd'hui, ajoutant : « Les faits ont démontré qu'il y avait là une part d'illusion. »
2. Michel Pinton vient de publier Le Maire et la Mondialisation, éditions François-Xavier de Guibert, 224 pages, 19 euros.