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Un homme de 31 ans qui venait de sortir du commissariat de Créteil (Val-de-Marne) a été interpellé samedi soir. Il venait de dégrader deux véhicules de police, a appris Actu17. En situation irrégulière en France et étant visé par une obligation de quitter le territoire (OQTF), le trentenaire a de nouveau été placé en garde à vue.
Macron dans son affolement, n’en finit plus de proposer un débat à Marine Le-Pen, pendant la période électorale des Européennes. Il pense sans doute que, comme il a eu le dessus sur elle au cours de deux débats de second tour des présidentielles, il pourra faire descendre le RN dans les intentions de votes. Il oublie plusieurs choses, à fonctionner comme d’habitude, dans l’instant, comme un gamin capricieux qui voit ses affaires mal s’emmancher. Il oublie que pour une raison inexplicable, mais l’intéressée nous le dira peut-être un jour, Marine Le-Pen aurait pu tranquillement le déstabiliser, les dossiers ennuyeux ne manquaient pas, entre l’affaire Alstom, le bilan financier, l’état des services publics, les mises en examen des Ministres et ainsi de suite. Curieusement elle a ménagé le président en 2022. Egalement, on se souvient que le total des voix de la candidate RN avait dégringolé en direct sur France-2, sans que ne soit donnée la moindre explication rationnelle, pour arriver au rapport de 58/42 %, un écart très significatif qui n’était pas vraiment prévu par les sondages.
Il termine son dernier mandat et n’est pas candidat aux élections européennes de juin 2024. Il a été, en Pologne, professeur d’université, auteur de différents ouvrages, ministre de l’Éducation, vice-président du Sénat et secrétaire d’État à la Chancellerie du Président de la République.
Lionel Baland l’a rencontré et interrogé pour Breizh-info à propos de la situation actuelle en Pologne.
Alors nous y voilà. Les regards des Parisiens, voire des Franciliens et même des Français sont supposés se focaliser sur la baignade de Mme Hidalgo, en maillot de bain (on pense) dans la Seine le 23 juin.
Surtout, ne pas appeler un chat un chat : le procédé est abondamment utilisé par Emmanuel Macron pour entretenir la confusion intellectuelle et la dissimulation des intentions. Platon déjà s’inquiétait de ce travers : « La perversion de la cité commence par la fraude des mots ». Dimanche, dans Le Parisien, le chef de l’Etat a ainsi récusé l’existence d’une révolte canaque et d’une guerre civile en Nouvelle Calédonie, pour préférer n’y voir que « du grand banditisme », à l’image des émeutes de juin-juillet 2023 en métropole. « A trop vite nommer les choses, on les justifie ou on les installe », a-t-il expliqué. Rien n’est moins convainquant, pourtant que ce déni d’un conflit racial et décolonial.
Entre les grenades qui explosent, les règlements de comptes par arme à feu, les viols, le deal de drogue, les coups de couteaux… grâce à de bonnes œillères sur mesure, l’État ne voit qu’un seul domaine où il faut faire régner la sécurité, c’est la route. Malgré un nombre de morts très bas, si bas qu’il faut mélanger toutes les catégories, autos, motos, piétons, cyclistes, pour atteindre un nombre de morts significatif, la terreur va régner de plus en plus sur nos routes. Et notre sécurité sert d’alibi à une spoliation avec option de surveillance de masse, ceci alors qu’il ne faut pas imaginer un seul instant qu’il pourrait y avoir zéro mort dans les déplacements, compte tenu de l’intensité du trafic. Mais la sécurité à bon dos, et à la fin, pour ne pas mourir sur la route, on ne conduira plus. Ne seront plus autorisés en automobiles personnelles que les membres d’une oligarchie triée par l’argent et encore, sous très haute surveillance.
Le centre de gravité mondial se déplace, l’Ancien Monde perd de sa pertinence, estime Andreï Souchentsov, directeur des programmes du club Valdaï.
Cet article a été initialement publié sur RT International par Andreï Souchentsov, directeur des programmes du club Valdaï.
L’Europe reste un important axe stratégique pour la Russie mais elle n’est plus au cœur de la polémique. Aujourd’hui, beaucoup la considèrent comme un «continent perdu» dont la moitié occidentale a cessé d’agir en fonction de ses propres intérêts et peine même à les définir. Des États perdent progressivement leur autonomie et cèdent à la pression de la part des États-Unis.
Dans un entretien au Parisien, ce samedi 25 mai, Emmanuel Macron a lancé, avec le sens de l’impromptu qu’on lui connaît, une nouvelle idée. « Je suis prêt à débattre maintenant avec Madame Le Pen. » Tiens, donc ! Une conversion subite. Une illumination. Une idée géniale, forcément géniale.
Dans la série « Un président ne devrait pas dire, faire ça », les épisodes semblent infinis. Inversement proportionnels au nombre de référendums accordés au peuple d'ailleurs. Et notre président a l'art de faire se télescoper ces choses qui, apparemment, n'ont rien à voir. Samedi donc, il se dit prêt à « aller au référendum » pour l'adoption définitive du texte sur la réforme du corps électoral en Nouvelle-Calédonie. A l'heure où le calme est loin d'être revenu là-bas, où l'on enterre les morts, la gravité de la situation impose un réflexe présidentiel à notre président. Et puis, dans la soirée, des vidéos tournent nous montrant le même Emmanuel Macron plus que décontracté dans un bar de Tourcoing pour la finale de la Coupe de France de foot à Lille. Pour ceux qui ne l'auraient pas compris, Gala explicite le message délivré par la propagande présidentielle : « Bière à la main et maillot floqué, Emmanuel Macron est un supporter de foot comme les autres ».