
Vincent Lapierre: « Ce reportage est fou. Il montre des racailles en roue libre : vol, violence, trafic, sans aucune crainte de la police ou de la justice. Pourquoi se gêner, puisque la France est faible ? »
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Vincent Lapierre: « Ce reportage est fou. Il montre des racailles en roue libre : vol, violence, trafic, sans aucune crainte de la police ou de la justice. Pourquoi se gêner, puisque la France est faible ? »
La secrétaire générale de la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (CNUCED), Rebeca Grynspan, a été contrainte de reconnaître que les États-Unis et l'Union européenne utilisent le discours sur la "transition verte" comme une excuse pour stimuler leurs propres économies aux dépens des pays en développement, en tirant parti des subventions et du protectionnisme environnemental.
Gérald Darmanin a dressé lundi à Montargis (Loiret) un bilan de la nuit de la Saint-Sylvestre en France, annonçant “380 interpellations” à 7H00, en baisse de 10% par rapport à l’an dernier, et “745 véhicules brûlés”, en baisse également de 10%. Le ministre de l’Intérieur s’est félicité de “la nuit calme” du Réveillon. “A Paris, a-t-il dit, plus d’un million de personnes étaient sur les Champs-Elysées, sans aucun incident important”.
Tout part d'un remarquable article de Johanna Luyssen dans Libération, sur la personnalité longtemps occultée d'Hélène Rytmann (HR), assassinée par son époux le philosophe Louis Althusser, dans leur appartement de l'École normale supérieure de la rue d'Ulm.
Depuis toujours, le récit philosophico-politique qui a été donné de l'histoire de cette strangulation s'est focalisé exclusivement sur l'auteur, occultant la victime. Alors que les circonstances de l'acte (HR voulant le quitter) et les événements l'ayant précédé, avec notamment la très forte tension régnant entre ces deux personnalités et la domination du mari sur l'épouse, permettent aujourd'hui de le placer sous la bannière "féminicide".
Au cœur de la vallée de Chevreuse, dans les Yvelines, la commune de Magny-les-Hameaux est secouée par une sombre affaire. Le 8 décembre, un jeune père a fui son domicile avec femme et enfants pour avoir simplement, assure-t-il, «posé des questions» sur la construction d’une mosquée dans un quartier résidentiel. Sur fond d’opacité de la communication du maire divers gauche et d’accusations de «racisme« et d’«islamophobie», les vives réactions sur les réseaux sociaux sont allées jusqu’aux menaces de mort. «Notre tract posait uniquement des questions, parce que le sujet était opaque. Le maire faisait ça dans le dos de tous les habitants», affirme Pierre-Louis Brière qui, trois semaines après son départ et face à un climat délétère, n’a toujours pas réintégré la commune.