Connaissez-vous Patrick Cohen ?
Nul doute qu’en matière de journalisme dégénéré, il représente l’un des plus tristes spécimens d’une profession naguère noble, aujourd’hui gangrenée par l’idéologie subversive et les errements d’une modernité délétère. Aveuglé par les dogmes du progressisme niveleur, il érige en vertu ce qui n’est que l’expression d’un sectarisme étroit, maniant avec une adresse perverse l’intolérance la plus odieuse et la perfidie la plus insigne. Ce triste personnage s’inscrit dans la longue lignée des fossoyeurs du bon sens national, préférant aux règles élémentaires du métier cette infâme déviation qui confond information et propagande.