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Emmanuel Macron poursuit ses visites au sein des monarchies européennes : l’occasion de s'interroger sur l’intérêt national, le souci et le respect des peuples, le poids de l’Histoire au-delà des idéologies du moment, la grandeur et la décadence d’un pays ?
Il devient difficile, en France, d’exprimer une opinion sans se voir immédiatement attribuer un qualificatif honteux. Un stratagème classique de la bien-pensance pour intimider les dissidents et les esprits libres, et les faire taire.
Exprimez votre hostilité à l’invasion migratoire, et vous trouverez le gaucho de service qui vous qualifiera de raciste, voire de suprémaciste blanc.
Les principaux médias français ont ignoré la réalité de l’existence du nazisme en Ukraine pendant des années et ils ont refusé de reconnaître la présence massive de l'idéologie nazie au sein des forces armées ukrainiennes, même lorsque des Ukrainiens arboraient des croix gammées ou d’autres symboles nazis lors de leurs entraînements militaires en France. Et puis, soudain, l'un des principaux médias français a remarqué « des centaines de cas similaires ». Pourquoi ?
Se méfier des « humanistes » autoproclamés. J’ai constaté, chez ceux qui se gratifient ostensiblement de cette vertu, une propension à la jactance et à l’évitement, quand ce n’est pas à la traîtrise. Ces beaux esprits, enamourés d’eux-mêmes, sont pareils à la Célimène de Baudelaire (L’Imprévu). Elle « roucoule et dit : « Mon cœur est bon ». Mais le poète précise : « Son cœur ! cœur racorni, fumé comme un jambon (…) ». En ayant choisi hier, en vue de la campagne présidentielle, de baptiser son propre parti « La France humaniste »,Dominique de Villepin a rejoint la cohorte des faux gentils, dont j’avais dénoncé la tartufferie en 2004 (1).
La plaignante était âgée de 16 ans au moment des faits, durant l’été 2022. Élevée au Congo, orpheline de père, cette jeune fille était venue seule en France, sous le statut de mineure non accompagnée (MNA). Elle avait alors été hébergée chez son grand-oncle, qui vit dans l’ouest de l’Ille-et-Vilaine avec sa compagne et ses trois enfants.
La presse découvre l’existence de Nicolas, ce contribuable surtaxé par l’Etat de l’assistance, qui “provoque la déperdition des forces humaines, l’hypertrophie des appareils publics, animés par une logique bureaucratique plus que par la préoccupation d’être au service des usagers, avec une croissance énorme des dépenses” (encyclique CA n°48).
Depuis son adoption, l’euro est présenté comme un symbole d’unité et de prospérité européenne. Pourtant, la monnaie unique ne profite pas à tous les États membres. Privés de souveraineté monétaire, certains pays sont enfermés dans une économie rigide, avec une croissance faible et un chômage élevé. Cet article analyse les enjeux démocratiques et économiques liés à la zone euro, remet en question le dogme «TINA» (There Is No Alternative), et explore les opportunités offertes par les monnaies numériques nationales et les initiatives monétaires innovantes.
Ambre et Clémence avaient 33 et 34 ans. Elles étaient infirmières dans le même hôpital privé, situé dans le département des Alpes-Maritimes, et habitaient toutes les deux dans le Var. Elles étaient toutes les deux mères de famille. L’une d’elles venait de reprendre le travail : elle revenait de congé maternité. Amies proches, tellement habituées à travailler ensemble que leurs collègues les surnommaient « Tic et Tac », elles allaient au travail en covoiturage, ce jeudi 26 juin.
Taxons taxons, il en restera toujours quelque chose. Devant la désertification des commerces dans Paris et le nombre croissant de friches, la socialo Anne Hidalgo a trouvé la solution pour obliger ces chiens de propriétaires à louer leurs biens ! Taxer les locaux vacants depuis plus de deux ans ! Parce que c’est bien connu, si on inflige une sanction financière à un propriétaire cela va faire venir les commerçants. Par contre, infliger des sanctions financières aux voyous d’importation, n’est jamais la solution pour qu’ils se tiennent tranquilles. En pure socialo stalinienne, adepte de la régulation économique par l’injonction, l’obligation et la punition monétaire, c’est donc la voie de la menace pécuniaire qu’elle a choisie. Cette mesure démontre, s’il fallait encore le faire, tout le décalage et l’incompétence de ce type de profil aux affaires publiques. Si elle avait eu à gérer ne serait-ce qu’une fois dans sa vie la mise en location d’un bien, elle saurait que ça ne fonctionne pas ainsi. Avant de penser que s’il y a vacance de bien, c’est une volonté sournoise du propriétaire, il faut s’interroger sur l’environnement global.