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L’annulation des résultats du premier tour de l’élection présidentielle roumaine, où Călin Georgescu, le candidat nationaliste antisystème, était arrivé en tête, est un véritable séisme politique. Cette décision de la Cour constitutionnelle soulève une fois de plus des doutes sur la neutralité des institutions roumaines et européennes.
Censure. Le jour d'après. Ou plutôt LES jours d'après, tellement l'onde de choc risque d'être puissante. Trois enseignements immédiats peuvent en être tirés.
D'abord, c'est Marine Le Pen qui a créé l'événement, c'est elle qui a - pour parler comme Emmanuel Macron - dégoupillé la grenade en refusant de cautionner, sous couvert d'une quête incessante de respectabilité, un budget qui accroît les prélèvements sans tailler dans les dépenses ni s'attaquer à l'immigration. Le vieil observateur de la vie politique française qu'est Gérard Carreyrou ne s'y est pas trompé. Selon lui, « elle a gagné sur tous les tableaux » : non seulement elle a gagné la censure, mais elle s'est trumpisée, dans une véritable stratégie de rupture. Et le trumpisme de rupture est une valeur en hausse.
La réalisatrice Agnès Jaoui, nous a offert un beau morceau d’idéologie gauchisante avec une tirade d’anthologie, alors qu’elle répondait à un « journaliste », soucieux comme elle de défendre la nécessité d’une immigration arabo-africaine : « Et puis j’aimerais rappeler à l’ultra-droite que, s’il n’y avait pas l’immigration, nos parents n’auraient personne pour s’occuper d’eux, beaucoup de gens n’auraient plus de femme de ménage, les restaurants ne fonctionneraient plus, tout ce qui est nettoyage ne fonctionnerait plus… Enfin, bref, il y a toute une économie qui vit – mis à part le vivre ensemble, etc., l’idée de l’accueil –, il y a toute une économie qui vit grâce à l’immigration ».
Parce que les prix du gaz sont plus élevés en Europe que sur d’autres marchés, les compagnies énergétiques américaines concentrent leurs efforts sur le Vieux Continent pour y vendre leur gaz naturel liquéfié (GNL). En lieu et place du gaz bon marché acheminé par pipeline depuis la Russie, l’Europe reçoit désormais du gaz de schiste américain, livré par méthanier à des prix exorbitants.
Source: Nieuwsbrief Knooppunt Delta, n°194, novembre 2024
Le problème de la censure, c'est qu'elle n'est pas aussi aveugle qu'elle est censée l'être. Comme nous l'avons vu, Meta a l'habitude de censurer des publications qui ne sont pas du tout violentes ou criminelles. Meta s'en prend souvent aux publications qui ne sont pas conformes à l'idéologie dominante. Par exemple, l'entreprise a mené une opération de censure en France vers la fin de l'été 2024 qui a touché plusieurs sites influents de droite.
Se tromper est humain. S’enferrer dans l’erreur, en sachant qu’on se trompe, pour tromper les autres, est diabolique.
Un gaz bienfaisant qui pue l’œuf pourri
Greta la mongolienne du Grand Nord affirmait sentir et voir le CO2, invisible, incolore, inodore et sans saveur. Un gaz indispensable pour la végétation qui, sans cet apport combiné avec l’eau et le rayonnement solaire, périrait. Avec la biosphère qu’elle abrite.
L'esclavage, on le sait, est un crime contre l'humanité. Mais quand on parle d'esclavage, on pense souvent à la traite atlantique et à son abolition au XIXe siècle. Or, bien avant que les Européens ne s'embarquent dans ce commerce infâme, les Arabes et les musulmans avaient déjà mis en place un système esclavagiste d'une ampleur sans précédent. Pendant quatorze siècles, des millions d'Africains ont été arrachés à leur terre, vendus comme des bêtes, et réduits à la condition d'esclaves. Un génocide oublié qui continue de marquer la mémoire de nombreuses sociétés africaines.
C’est pas moi, c’est pas ma faute, d’ailleurs j’étais même pas là… Voilà en résumé l’allocution de notre cher Président. Du Macron dans toute son immaturité et son déni de la réalité. Sa faculté à s’exonérer de toute responsabilité est devenue sa signature, sa marque de fabrique. Il n’est jamais responsable de rien, fait toujours retomber la faute sur les autres, alors qu’il n’écoute personne et qu’il décide de tout, tout seul. Et c’est cet homme qui selon Bardella devrait rester en place, puisqu’il s’est précipité pour annoncer qu’il n’exigeait pas sa démission. Incompréhensible. Le RN fait tomber son gouvernement et dans la foulée devrait suivre l’avis de 60% des Français qui souhaitent sa démission. Au lieu de cela, Bardella lui fait une presque déclaration d’amour. On se demande s’il ne regrette pas le mauvais tour qu’il vient de lui jouer en censurant Barnier. Macron s’est montré une fois de plus agressif et méprisant, inversant systématiquement les accusations, calomniant même les oppositions puisqu’il s’est permis d’affirmer que ce vote revenait à un acte anti républicain. On croit rêver, il considère la possibilité offerte par notre constitution de virer un Premier ministre comme non républicaine.
Selon Le Parisien, l’affaire de corruption à la prison de Meaux implique une greffière, Melilla, accusée d’avoir modifié et dissimulé des actes judiciaires pour favoriser la libération de trafiquants, notamment Firat C., un important trafiquant de cocaïne. Sous pression et menacée, elle aurait agi pour leur compte en échange d’argent qu’elle affirme ne jamais avoir accepté.