François Bayrou sera-t-il l’homme des premières coupes claires dans le fonctionnement de l’Etat ? Ses précédentes alertes sur l’endettement public offrent au Premier ministre l’occasion de passer à l’acte. Lui-même a d’ailleurs admis, mardi devant l’Assemblée nationale, qu’ « il n’y aura pas de redressement sans faire des économies ». Toutefois, son idée saugrenue, lundi soir, d’utiliser un Falcon de la République pour aller présider dans un aller-retour le conseil municipal de Pau n’a pas donné l’exemple de la tempérance budgétaire ni de la lucidité sur les priorités. C’est à Mayotte, dévastée par les ouragans, que l’hôte de Matignon, en quête de proximité avec les gens, aurait été sans doute plus utile.
magouille et compagnie - Page 97
-
Le libéralisme, au secours de l’Etat surendetté
-
La double-vie de Paloma Moritz : journaliste gauchiste écolo en public, richissime héritière liée à des pétromonarchies en privé
Paloma Moritz, née en 1991, est l’arrière-petite-fille du fondateur de Treca, fabricant de matelas de luxe. L’entreprise a été vendue en 1990 au groupe japonais Sumimoto pour 200 millions de dollars, avant sa naissance. Elle a grandi dans un cadre confortable et privilégié.
-
Réflexion sur la manipulation des peuples
-
Un maître de chœur pédophile accusé d’avoir conduit des enfants dans sa loge maçonnique
Lors des travaux de la commission d’enquête relative aux violences commises dans les secteurs du cinéma, de l’audiovisuel, du spectacle vivant, de la mode et de la publicité à l’Assemblée nationale, la séance du 16 décembre était consacrée à l’audition de victimes ayant subi des violences au sein de chœurs d’enfants. La présidente Sandrine Rousseau donne le mot de la fin à Nicolas Simeha, fondateur du collectif Chœurs brisés Agir. Dans les deux dernières minutes des auditions, que vous pouvez entendre ici, Nicolas Simeha déclare :
-
“Aujourd’hui, on avorte à peu près l’équivalent de la ville de Lille tous les ans en France”
Marie-Estelle Dupont, psychologue clinicienne, psychothérapeute et écrivain, a été interrogée sur Sud Radio sur les raisons de la crise démographique :
-
C’est aux politiciens de payer pour leurs fautes, pas au peuple !
Pour une fois je diverge grave des féministes dites « d’estrèèèème drouââte »
En effet, elles voudraient que « toutes les victimes de violences causées par des individus sous OQTF soient indemnisées par l’Etat car ces actes sont le fruit d’une défaillance, la loi n‘est pas appliquée ».
J’ai déjà expliqué pourquoi dans ce genre de situations je m’oppose aux plaintes et actions judiciaires financières contre l’État qui devraient être plus équitablement engagées nominalement contre ceux-là mêmes qui dirigent les services défaillants de l’État :
-
La gabegie de la “solidarité” dévoyée à la française… 16 millions d’euros en escape games…
Encore une fois la solidarité doit être juste et calibrée.
La solidarité ce n’est pas le droit à la paresse et ce n’est certainement pas financer les parties de laser games ou d’escape games.
A force de dévoyer des notions comme l’égalité, ou la solidarité, notre pays a perdu tout bon sens économique et social.
Ne pas laisser tomber les gens, ce n’est pas les assister.
Vous me direz 16 millions c’est rien et vous aurez raison. Le problème c’est qu’à tous les niveaux nous faisons n’importe quoi avec les finances publiques.
-
Quand les Français payent aussi les gabegies de l’Union européenne
-
2007 : Quand Sarkozy faisait voter la loi Dalo (Droit au logement opposable), une pompe aspirante qui eut pour conséquence de contraindre l’État à fournir un logement aux migrants au détriment des Français modestes
La loi DALO (Droit au logement opposable), adoptée en 2007 sous Nicolas Sarkozy, a parfois été critiquée comme un “appel d’air” pour les flux migratoires. Ces critiques, souvent émises par des opposants politiques ou des analystes, reposent sur l’idée que la loi, en garantissant un logement décent à toute personne en difficulté (y compris les migrants en situation régulière), pourrait inciter davantage de migrants à venir en France.
-
Toulouse : le chauffeur de bus insulté par un fraudeur, bientôt licencié ?