
Selon actu Lyon, un homme d’une trentaine d’années a été violemment poignardé ce mardi 13 mai vers 15h30 devant la bibliothèque et la gare Lyon Part-Dieu, à hauteur de l’arrêt de bus C9 sur le boulevard Vivier-Merle.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Selon actu Lyon, un homme d’une trentaine d’années a été violemment poignardé ce mardi 13 mai vers 15h30 devant la bibliothèque et la gare Lyon Part-Dieu, à hauteur de l’arrêt de bus C9 sur le boulevard Vivier-Merle.
CHEZ LES MATAMORES
On veut faire la guerre à Poutine et on est incapable de régler le problème des rodéos urbains, où des barbares tuent les quelques Français qui, abandonnés, essaient de redresser la tête et de résister. Mais il va encore parler dans le poste, ce mardi soir, pour faire semblant d’exister.
13/05/2025
INFO LE FIGARO – Suite à une pétition lancée par l’UNI, le président de l’Université Grenoble Alpes a demandé le retrait de plusieurs inscriptions artistiques qui dénoncent les «mâles blancs» et insinuent que seuls les Blancs sont coupables de racisme.
Combat royaliste 73
Par Philippe Germain
Depuis un siècle passé, l’école d’Action française produit desrevues laboratoire d’idées. Ce furent la fondatrice Revue d’Action française dite « grise », puis les mythiques Cahiers du Cercle Proudhon, vint la célèbre Revue Universelle, suivie du prospectif Ordre Français, le très stratégique Débat Royaliste et, enfin, la brillante et littéraire Réaction. Depuis 2005, la relève est assurée par la Nouvelle Revue Universelle.Dans son premier numéro le bainvillien rédacteur en chef,Gilles Varange, s’interrogea sur les phases historiques (temps court), comme clef de compréhension des relations internationales, et sur les cycles historiques (temps long),comme marqueur civilisationnel.
12/05/2025
Triste moment à la fin de la première journée du procès de la fusillade mortelle aux Aubiers, qui s’est ouvert ce lundi 12 mai devant la cour d’assises de la Gironde, à Bordeaux. À 19 heures, alors que l’audience venait d’être suspendue pour ne reprendre que mardi matin, une bagarre générale a éclaté, opposant des jeunes hommes du quartier Chantecrit/Saint-Louis à d’autres du quartier des Aubiers. (…)
La loi Garot, le dernier clou du cercueil de la médecine généraliste se plante dans l’indifférence des parlementaires, qui, en boudant l’hémicycle, se font les complices actifs du désastre final. Pour lutter contre les déserts médicaux, le législateur macroniste moderne n’a rien trouvé de mieux que de redéfinir subrepticement la notion de désert médical. Simple, efficace, démoniaque. La volonté est d’interdire aux nouveaux arrivants de s’installer, ou de reprendre une clientèle d’un praticien qui prendrait sa retraite et de reconsidérer le territoire selon des critères qui excluent de facto des villes pourtant en déficit de présence de généralistes. Ainsi dans des villes de 15 à 20 000 habitants qui ont pour beaucoup vu partir, ces dernières années, plus du tiers de leurs médecins, elles ne pourront prétendre trouver des remplaçants ! C’est de la même logique que la méthode Juppé, pour dépenser moins il fallait raréfier les thérapeutes, là c’est sous-entendu ce vers quoi nous allons. Cette fois c’est pour inciter les médecins à s’installer là où il n’y a plus personne. Le problème est pris à l’envers, comme toujours. Un jeune médecin ne pourra plus s’installer que dans les zones autorisées, ou justement il n’y a plus assez de patients pour vivre de son métier. Pour les contraindre à s’installer là où il n’y a plus personne, on va d’abord vider les endroits où il en reste encore, et dans quelques années on s’étonnera que la population soit encore moins bien suivie, tout en se demandant ce qu’il faut faire !
Dans son style toujours aussi toxique, Macron dit vouloir la paix. Mais il menace déjà la Russie si celle-ci ne se soumet pas à son ordre d’une trêve de 30 jours. Notre Max la Menace va avec ses petits camarades officialiser son soutien indéfectible à l’Ukraine. C’est dans ce contexte qu’il veut obtenir son cessez-le-feu. Mais la menace est immédiate : nous sanctionnerons encore durement les Russes s’ils n’obéissent pas.