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La semaine qui s’ouvre marque une nouvelle étape dans le renforcement des pouvoirs du président américain Donald Trump. Et une étape supplémentaire dans l’impuissance du pouvoir en France, alors que la catastrophe migratoire et économique approche, toutes sirènes hurlantes. Le contraste parle de lui-même.
Neuf passeurs kurdes et afghans ont été condamnés, lundi 30 juin, à Lille, à sept et huit ans de prison pour un naufrage qui avait coûté la vie à huit candidats à l’exil dans la Manche en décembre 2022. Trois des prévenus, dont un Afghan en fuite jugé par défaut et désigné par les autres comme le cerveau de toute l’organisation, ont été condamnés à huit ans de prison. Les six autres ont été condamnés à sept ans de prison.
La réforme des retraites en France revient à l'ordre du jour, menaçant le gouvernement, le Parlement et le président. La conférence organisée à l'initiative du Premier ministre, François Bayrou, au cours de laquelle il était prévu de trouver une solution à ce problème, s'est terminée par une querelle entre ses participants.
Il y a des hommes politiques qui n’ont aucune vision, qui prennent des grands airs entendus de supériorité intellectuelle mais qui pourtant tombe totalement à côté de la plaque.
Lors de son retour à Paris, après la mascarade de la flottille de Gaza, une passagère, Alexandra Sojfer, racontait comme les choses s’étaient passées dans l’avion, et notamment les intimidations subies par les passagers par quatre amis arabes de Rima Hassan. Elle évoquait également le comité d’accueil pro-palestinien et les doigts d’honneur de certains journalistes à l’encontre de son drapeau israélien.
Le camp, du 17 au 24 août, est destiné aux étudiants, lycéens et jeunes professionnels de 15 à 30 ans :
• des conférences magistrales : éducation, Union européenne, ruralité, écologie, royauté, religion, hérédité, politique sociale,
• des cercles d’étude de niveau 1, pour apprendre les fondamentaux de la doctrine politique de l’Action française, et de niveau 2, pour mieux comprendre le présent et appréhender l’avenir à sa juste mesure,
L'éditorial du n°70 (été 2025) de la revue Synthèse nationale :
Lorsque deux nationalismes s'affrontent, le choix est toujours difficile. Pour trancher, le pouvoir peut toujours s’en tenir à la fameuse phrase attribuée au général De Gaulle : "La France n'a pas d'ami, ni d'ennemi, elle n'a que ses intérêts". Cette phrase a le mérite du pragmatisme, même si l'on peut penser qu’elle relève plus de l'échappatoire que d'autre chose.
C’est une loi stupide que cette loi européenne que la Commission Européenne veut imposer à la France.
De quoi s’agit-il ?
De dire que si vous tombez malade pendant vos vacances, alors, vous ne pouvez plus vous reposer et donc vos jours de congés payés doivent être « déposés » le temps de votre arrêt maladie.
Cela peut sembler « logique » a priori. Cela peut même partir d’un bon sentiment. Le repos bien mérité du gentil salarié face au méchant patron exploiteur.
Pour Guy Mollet, patron de la SFIO (Section française de l’Internationale ouvrière, ancêtre du Parti socialiste), cela ne faisait aucun doute, comme il l’avait affirmé avec force à Béthune, en 1957. Les choses ont-elles vraiment changé ?
Hier soir avait lieu la finale du TOP 14 opposant le Stade-Toulousain à l’Union-Bordeaux-Bègles. La tradition veut que le président de la République soit présent et qu’il descende sur la pelouse pour se faire présenter les équipes. C’est souvent l’occasion de tester de la popularité de l’homme qui se montre sans artifice devant plus de quatre-vingt mille personnes. Le pauvre Macron avait déjà eu, dans le passé, à subir la bronca du public, c’est donc dans les couloirs du stade que cette présentation a eu lieu, loin du regard des spectateurs, c’est-à-dire des électeurs. Le grand courageux président, celui qui ne manque jamais une occasion de nous insulter, de nous mépriser, se terre pour saluer des joueurs, se cache piteusement pour éviter les huées. Ah si seulement il avait pu faire vider le stade comme pour le 14 juillet où il avait descendu les champs Élysées débarrassés de la foule, tout en saluant les arbres pour donner l’idée au monde entier qu’il était, si ce n’est adoré, au moins respecté. Entre le discours qui veut que fort de sa légitimité électorale, il représente le peuple et la réalité qui oblige l’observateur à constater qu’il ne peut plus mettre un pied dehors sans avoir au préalable trié sur le volet ceux qui seront face à lui, il y a un gouffre.