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Un agent de sécurité du centre commercial Atlantis, à Saint-Herblain, près de Nantes, a été condamné à six mois de prison avec sursis, vendredi 24 janvier 2025. Après le viol d’un homme vulnérable dans les toilettes du centre, en novembre 2024, il avait fait fuiter les images de vidéosurveillance sur les réseaux sociaux. Un élément clé de l’enquête criminelle. (…)
Comme c’est étonnant, le Sénat vient d’adopter le budget de François Bayrou, c’est-à-dire la nouvelle copie de feu celui Barnier. Confortablement, ils ont validé les hausses d’impôts et taxes, sans remettre en cause les gabegies sur les agences d’État, comités Théodule et autres machins où pantouflent leurs amis, véritables cimetières de tocards et d’indigents, non pas, comme l’écrivait Pagnol des bons à rien, qui ont tout loupé, sauf en gros leur enrichissement personnel, mais des mauvais à tout. Ils ont également décidé de ne pas s’attaquer, ni aux fraudes ni aux largesses inutiles.
Ministre de la « fermeté ». Quatre mois après son installation à Beauvau, Bruno Retailleau tente d’imprimer sa marque avec une mesure forte : enterrer la circulaire Valls, largement dépassée et dévoyée. Ce 24 janvier, à Versailles, le ministre de l’Intérieur est venu détailler les contours de sa nouvelle circulaire, signée la veille. Objectif : arrêter de « régulariser à tour de bras » et endiguer les filières d’immigration irrégulière. En d’autres termes, « être dissuasif ». Plus concrètement, le locataire de la Place Beauvau souhaite encadrer les conditions d’octroi d'admission exceptionnelle au séjour (AES) pour les étrangers clandestins.
Alors que Sékou* rentre du travail, il découvre sa conjointe, Awa, en train de regarder une vidéo tiktok traitant de l’égalité des sexes, créant une tension dans le couple qui évoluera en violence. L’affaire était présentée au tribunal correctionnel d’Albertville le 20 janvier 2025.
« Je demande pardon à tout le monde. Je ne suis pas quelqu’un qui crée des problèmes. » Ismaël Omar, 22 ans, se confond en excuses, jeudi, dans le box du tribunal correctionnel. Le policier, qu’il a frappé lundi, est absent à l’audience. Son avocat dresse son bilan de santé : « En plus d’un important hématome à l’œil, il souffre de trois à quatre fractures de l’orbite, précise Me Frédéric Birrien. On ne connaît pas encore l’évolution de ces lésions qui, potentiellement, peuvent laisser des séquelles. L’incapacité totale de travail de mon client sera, au minimum, de 30 à 60 jours. »
Dans une enquête publiée lundi 20 Janvier et intitulée « Certification halal : la petite cuisine de la grande mosquée de Paris », le quotidien l’Opinion révèle un montage financier très... opaque.
Un Tunisien qui venait de dégrader une quinzaine de voitures, pour en voler le contenu, sur un parking de Saint-Cyr-l’Ecole, a été interpellé ce lundi. Son audition, d’une honnêteté désarmante, en dit long sur les failles migratoires et le mode de vie adopté par certains de ces clandestins, faute de ressources. (…)
Le cas du Havre évoqué sur une radio d’information. La ville d’Edouard Philippe est devenue la porte d’entrée de la drogue en Europe, avec des pratiques qui confinent à celles d’un pays en voie de développement : intimidation et meurtre de dockers, pression sur des témoins à charge en plein tribunal. Et la cadre de la lutte, quand on lui demande le profil des contrevenants, se perd en paraphrases : « Le profil habituel », « des profils importants pour les services de police et de justice »… mais encore. On n’a pas le droit. Et Piolle, le maire de Grenoble, l’un des premiers concernés, enchaîne sur le même sujet, alors que sa ville est devenue un genre de Chicago, où il ne maîtrise plus trop la situation. Il paraphrase lui-aussi : il peut encore aller partout, mais le dialogue est devenu difficiles dans certains endroits, où justement, sévissent les dealers. Mais selon Piolle, il n’y a pas de coupable, il n’y a que des jeunes « fracassés », des familles « éplorées », des services sociaux qui n’ont pas fait leur travail, ou qui peinent, faute de subsides… ben voyons. Des coupables ? Oui, les grands cartels de la drogue, en fait personne donc, c’est loin, c’est impalpable, un cartel international. Que propose-t-il ? La légalisation. Ben voyons, encore une fois. Pendant qu’il y est il peut aussi proposer la légalisation du viol et du meurtre, ça évitera que les services de maintien de l’ordre se cassent la tête. Lui non plus ne nomme pas, parce que c’est impossible légalement, même si tout le monde a compris de qui on parlait. On mesure à quel point l’État s’est donné tout seul des contraintes destinées à éviter que l’on nomme les gens, les coupables… et cela profite largement aux voyous, qui savent qu’on ne les nommera pas et que leur faute sera répartie sur l’ensemble de la population, par correction politique.
Une fonctionnaire du service de l’admission des étrangers de Nancy (Meurthe-et-Moselle) est soupçonnée d’avoir régularisé des dossiers de séjours d’étrangers contre de l’argent, rapporte ce jeudi “ici Sud Lorraine(Nouvelle fenêtre)” (ex-France Bleu). Elle a été déferrée devant le parquet de Nancy ce jeudi. Au total, une quinzaine de dossiers sont concernés par cette fraude.
La Cinquième République est en crise : ce constat est d’une terrible banalité, mais il n’enlève rien à sa réalité et à ses dangers pour notre pays. Non que la République soit défendable, loin de là et bien au contraire, mais cette situation du cadre institutionnel actuel de notre nation française (cadre qui régit les services publics, décide des politiques économiques et sociales, indique des directions et se doit d’assurer la tranquillité des populations et des territoires) fragilise notre rapport au monde et notre crédit aux yeux d’autrui, et démontre à l’envi la justesse des analyses royalistes d’une faiblesse structurelle de l’État central (quand beaucoup pensaient et pensent encore qu’elle n’est que conjoncturelle) et de ses vices qui, malgré la parenthèse gaullienne (elle-même loin d’être totalement satisfaisante…), sont inhérents à tout régime qui laisse la démocratie s’emparer de la magistrature suprême de l’État, dans une erreur de positionnement que l’histoire juge souvent sévèrement et, parfois, cruellement (1).