Le climat, vous en conviendrez, est un système complexe. Très complexe. Contrairement à ce que certains semblent croire, nos connaissances à ce sujet ne sont ni complètes ni figées. La science va progresser, comprendre toujours mieux et toujours plus de phénomènes et leurs interactions. Volcans, activité sous-marines, rôle du plancton, fonte du permafrost, ou ralentissement des courants marins en raison de la fonte des glaces et de l’apport en eau douce, sans oublier les cycles solaires et l’activité de votre étoile autour de laquelle nous tournons, oui, le système terre est complexe.
France et politique française - Page 105
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Electricité… ils polluent tous, sauf nous !
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Stop au mythe des immigrés dévoués et des Français fainéants !
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Le souffle glacé d’une terreur sans nom…
Ce billet d’Henry Montaigu nous semble une judicieuse lecture en ces temps de souvenir royal… qui donne matière à réflexion.
Par Henry Montaigu
Place de la Révolution. 21 janvier 1793. Le souffle glacé d’une terreur sans nom et presque sans visage a figé le peuple le plus gai du monde, le plus policé de l’Europe – le plus civilisé, croyait-il encore il y a quatre ans – mais surtout le moins propre à se laisser dominer par la peur, l’illusion, le mensonge préludant aux vastes infamies collectives de notre XXe siècle. Avec les principes inversés, les croyances foulées, les conditions abolies, les biens spoliés, les symboles détruits jusqu’aux propres idéaux qui avaient été à la genèse du phénomène (dont l’abolition de la peine de mort), ce peuple avait lui-même abdiqué son état d’être le plus constant depuis plus de mille ans d’histoire, et qui était, qui demeure encore, on veut le croire, saugrenu, frivole ou salvateur mais toujours nécessaire, l’esprit de contradiction. Hébété par un événement qui le dépasse et qu’il ne pouvait souhaiter, Paris assiste sans broncher, sans même pousser d’atroces clameurs nocturnes de délivrance, à cette grand-messe de la terreur qui va partager en deux l’histoire du monde.
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Travailler 7h gratuitement par an ou l’art de prendre les Français pour des cons
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Et si en France on commençait par faire des économies à la Trump ?
Depuis son entrée fracassante en politique, et particulièrement son retour à la Maison-Blanche, les avis sur Donald Trump se partagent entre idolâtrie et anathème, en France. Cependant, sans en faire un messie ou un démon, il faut reconnaître au Président américain son sens du tranchant. Or, dans nos sociétés gangrenées par le droit quasi absolu pour les uns et l’interdit, tout aussi quasi absolu, pour les autres – comprendre tous ceux qui ne prient pas à la grand-messe progressiste –, il est bon de trancher précisément.
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Où es notre Trump ?
Thomas Joly
Président du Parti de la France
Aux États-Unis, ils ont Donald Trump. Un chef qui a compris que la politique, c’est d’abord une question de volonté et de puissance. Trump est en train de secouer l’Amérique (et même le monde entier), il a réveillé les oubliés, les humbles, ceux qu’on appelle là-bas la « Rust Belt ». Il a dit non à la fatalité du déclin, non à la soumission aux modes du temps. Il a osé parler de frontières, d’immigration, de grandeur nationale, là où nos dirigeants balbutient des slogans creux et démissionnaires.
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Blocage à Rennes 2 : les assos de gauche sèment (encore) le chaos
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« La théorie du cheval mort pour comprendre ce qui arrive à nos élites ! ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
La théorie du cheval mort est une petite histoire qui semble venir d’un conte des Indiens d’Amérique semble-t-il du Dakota, ne m’en demandez pas plus je n’ai pas de grosses connaissances en Indiens d’Amérique.
Bref, la légende dit assez justement d’ailleurs, que quand le cheval que tu montes est mort, il vaut mieux en descendre… Logique.
Cette histoire permet en réalité d’évoquer ceux qui ne veulent pas reconnaître que le cheval est mort… ce que l’on appelle le déni.
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Jean-Noël Barrot, petit père de nos épargnes…
Jean-Noël Barrot, le fils de, Ministre des affaires étranges, vient de nous livrer un discours hallucinant qui démontre que nos gouvernants n’ont qu’un but, qu’une idée fixe, baser leur politique sur un totalitarisme absolu. C’est cette engeance qui a trouvé grâce aux yeux du PS et du RN, qui ont laissé passer la motion de censure contre Bayrou. Il n’y a rien à attendre d’eux et les 11 millions d’électeurs doivent se sentir bernés et orphelins. Auront ils le dégoût modérés pour leur faire quand même confiance une nouvelle fois, où chercheront ils une autre voie, plus saine et plus sûre ? Barrot n’est rien d’autre qu’une synthèse qui prend ses racines dans la Terreur de Robespierre et dans l’administration des libertés telles qu’organisées par les bolcheviques. Le tout arrangé à la sauce des gourous de Davos.
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“Il est capital que la France retrouve le courage de défendre la vie, de promouvoir la maternité”
De Christine Kelly dans le JDD :
La France, longtemps considérée comme un modèle de politique familiale, est aujourd’hui confrontée à une chute alarmante de sa natalité. […]
La maternité était célébrée comme un aboutissement naturel de la vie. Aujourd’hui, elle est souvent perçue comme un fardeau. De nombreuses femmes, après des années consacrées à l’éducation, à la carrière et aux plaisirs personnels, se trouvent face à un dilemme. Les messages véhiculés par notre société, tel un conditionnement social, incitent à différer ou à renoncer à la maternité.