Don Georges Gianni justifie notamment cet arrêté par le fait que “les tenues religieuses ostentatoires peuvent être source de conflit grave”. Il évoque également le “contexte particulier justifiant le maintien de l’état d’urgence”, dans lequel “une tenue de plage manifestant une appartenance religieuse, alors que la France et les lieux de culte religieux peuvent être la cible d’actes terroristes, est de nature à créer des risques de troubles à l’ordre public (attroupements, échauffourées) qu’il est nécessaire de prévenir”. L’édile invoque par ailleurs “le principe constitutionnel de laïcité”.