Invité par Sonia Mabrouk, le 30 septembre, sur Europe 1, Michel Onfray a déploré l’impossibilité de reconnaître, dans certains médias, le mal-être actuel de la société. Il a notamment fustigé le « climat de terreur intellectuelle » qui règne, selon lui, chez France Inter.
France et politique française - Page 1039
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Michel Onfray : à France Inter règne un « climat de terreur intellectuelle »
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À la Journée du conservatisme, Zemmour étrille LR et ébauche un programme
Vu sur BoulevardVoltaire par Marc Baudriller
Pour la première fois, lors de la Journée du conservatisme à Asnières, ce dimanche 26 septembre, Éric Zemmour a évoqué une ébauche de ce qui pourrait être un programme politique.
Accueilli comme une rock star, l’ancien chroniqueur de « Face à l’info », sur CNews, a d’abord attaqué vigoureusement les dirigeants de LR qui refusent sa participation aux primaires du parti. « J’ai connu Pierre Messmer, Alain Peyrefitte, Pierre Mazaud, Édouard Balladur, Jacques Chirac, Charles Pasqua, Philippe Séguin et Mme Marie-France Garaud, a énuméré Éric Zemmour. Où sont-ils passés ? Qu’êtes-vous devenus ? Qu’est-ce que c’est, que cette famille ? Qu’est-ce qui la soude ? De quelles valeurs parlez-vous lorsque vous parlez des valeurs de la droite ? J’ai le sentiment, moi, de rester fidèle aux valeurs de la droite que j’ai connue. Qui, parmi eux, les respecte encore ? Qui les connaît, d’ailleurs ? »
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Qu’est devenue la droite ?
Mathieu Bock-Côté évoque la droite qui se cherche et qui empêche Eric Zemmour de venir perturber sa primaire, Eugénie Bastié revient sur la nouvelle commission d’Emmanuel Macron, préfiguration d’un ministère de la vérité, puis Charlotte d’Ornellas analyse la condamnation de Nicolas Sarkozy :
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Ce n'est qu'un début, continuons le débat !
« Il y a plusieurs chapelles dans la maison du roi » : derrière la formule bien connue des royalistes, il y a une réalité politique qui n’est d’ailleurs pas réductible aux seuls cercles et mouvements royalistes, et qui montre la pluralité du royalisme français, au point de parler parfois « des » royalismes français : quoi de commun, en effet, entre des légitimistes attachés au drapeau blanc et qui dénoncent à longueur de colloques « le nationalisme », et des militants maurrassiens qui se définissent d’abord comme nationalistes ; entre des royalistes sociaux prônant une justice sociale dont la formule même a été « inventée » par le roi Louis XVI et ceux des monarchistes qui ne jurent que par la liberté économique défendue par son ministre Turgot ; entre des partisans de la décroissance inspirés par Bernanos et Tolkien, et des « e-royalistes » qui espèrent que la Monarchie sera technophile et moderniste, voire scientiste ? Une enquête jadis menée par le groupe Sylm et dont les résultats furent publiés en 2009 avait déjà montré la très grand diversité politique des royalistes et de leurs choix sociaux et idéologiques, au risque (heureux, d’ailleurs) d’en finir avec les préjugés et les raccourcis trop faciles pour être crédibles…
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EN IMMERSION - avec Queen Sandrine Rousseau
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Excellente prestation de Jordan Bardella sur France Inter.
Il était aujourd’hui, mardi 28 septembre, l’invité du grand entretien de la matinale de la radio d’Etat France Inter. Vous pourrez entendre sa prestation grâce au lien suivant :
Précisons cependant qu’il a mis en évidence, en particulier, deux faits d’importance :
1/ « Notre adversaire, ce n’est pas Éric Zemmour, c’est Emmanuel Macron » et
2/ « Un tiers des immigrés, aujourd’hui 31%, occupent des logements sociaux« .
Dont acte et… Bravo !
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Eric Zemmour, une bombe à fragmentation
Le billet de Patrick Parment
Face à l’état de la France et à sa haute dose d’insécurité liée à une immigration de plus en plus insupportable par les Français, la possible candidature d’Eric Zemmour arrive à point nommé. Et cette possible et souhaitable candidature cache en réalité une bombe politique à fragmentation. En l’état actuel du paysage politique, ni la gauche et ses multiples engeances – des Verts à Mélenchon en passant par le PC – pas plus que cette droite qui n’en est pas et qui va des Républicains aux foireux centristes, ne sont en mesure d’accéder au pouvoir. Cette fragmentation où se dévoilent surtout les ambitions personnelles des uns et des autres sur des programmes inexistants ne peut que favoriser la réélection d’un Emmanuel Macron.
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Hidalgo s'la joue l'Amour est dans le prés
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Batailles pour les libertés
Avant même la crise du Covid, on pouvait s'inquiéter à juste titre du stupéfiant progrès de ce qu'on appelle le contrôle social dans la Chine de Xi Jinping. Il semble en effet que ce tournant ait commencé à être pensé par les dirigeants communistes de Pékin dès 2012. Les premières expérimentations remontent à 2014, autrement dit à l'époque où le prince rouge Xi prend le contrôle de l'appareil du Parti, de la commission militaire, et du gouvernement de l'État.
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L’épouse d’un conseiller de Zemmour licenciée par la cheffe LR de la Creuse