
Dans les années 60, des ingénieurs français et anglais ont conçu le Concorde, pour une petite centaine de passagers, qui volaient à plus de Mach 2, soit plus vite que pas mal d’avions de combat, en tout confort, toute sécurité et en buvant du Champagne. 50 ans plus tard, aux Etats-Unis, aidés de l’informatique, d’autres ingénieurs peinent à mettre au point un avion de ligne supersonique pour quelques dizaines de personnes à Mach1,7 et c’est loin d’être gagné. Qu’on ne viennent pas nous dire qu’il n’y a pas de marché, les vols suborbitaux s’arrachent.