
Il est exact qu’il n’y a pas d’intitulé pédagogique intitulé “islamogauchisme” ou “wokisme” avec ses enseignements et les diplômes dédiés ; pas plus que l’antisémitisme ; donc l’un et l’autre n’existent pas : CQFD.
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Il est exact qu’il n’y a pas d’intitulé pédagogique intitulé “islamogauchisme” ou “wokisme” avec ses enseignements et les diplômes dédiés ; pas plus que l’antisémitisme ; donc l’un et l’autre n’existent pas : CQFD.

par Yoann
Depuis 2022, la France s’enfonce dans un engagement militaire et financier en Ukraine toujours plus coûteux – humainement, stratégiquement, démocratiquement. Pourtant, ni le Parlement ni les citoyens n’ont été consultés, en violation flagrante des articles 35 et 53 de la Constitution. Pis : les accords franco-ukrainiens de février 2024, engageant 3 milliards d’euros et des troupes sur le terrain, n’ont même pas été ratifiés par les représentants du peuple.

INFO ACTU17. Un mineur de 17 ans, au volant d’un véhicule volé, a refusé d’obtempérer à une patrouille de la brigade anticriminalité (BAC) à Sèvres (Hauts-de-Seine), ce lundi après-midi.

Par Gérard Leclerc
« Comment maintenir une politique de prévention du suicide si l’on légalisait le suicide assisté ? » Cette question posée par Claire Fourcade dans l’entretien qu’elle a accordé à Fabrice Madouas après les déclarations de François Bayrou affirmant son souhait de scinder la future loi en deux – soins palliatifs d’un côté, suicide assisté de l’autre –, nous paraît essentielle, car elle touche au cœur même du débat sur l’euthanasie. La loi qui avait été proposée avant qu’Emmanuel Macron ne procède à la dissolution de l’Assemblée nationale impliquait une mutation radicale d’ordre anthropologique, contrairement à l’affirmation de la ministre de la Santé, Catherine Vautrin. Il s’agissait de mettre fin à l’interdit de donner la mort à des personnes en état de faiblesse, violant ainsi le serment d’Hippocrate, prêté par tous les jeunes médecins. Celui-ci dispose notamment : « Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément. »

Par Gérard Leclerc
« Comment maintenir une politique de prévention du suicide si l’on légalisait le suicide assisté ? » Cette question posée par Claire Fourcade dans l’entretien qu’elle a accordé à Fabrice Madouas après les déclarations de François Bayrou affirmant son souhait de scinder la future loi en deux – soins palliatifs d’un côté, suicide assisté de l’autre –, nous paraît essentielle, car elle touche au cœur même du débat sur l’euthanasie. La loi qui avait été proposée avant qu’Emmanuel Macron ne procède à la dissolution de l’Assemblée nationale impliquait une mutation radicale d’ordre anthropologique, contrairement à l’affirmation de la ministre de la Santé, Catherine Vautrin. Il s’agissait de mettre fin à l’interdit de donner la mort à des personnes en état de faiblesse, violant ainsi le serment d’Hippocrate, prêté par tous les jeunes médecins. Celui-ci dispose notamment : « Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément. »
Sandrine Rousseau, qui n’est que l’archétype de nos Khmers verts qui savent tout mieux que tout le monde et qui sont pétris de certitudes, ne s’étouffera même pas devant cette information scientifique, car, Sandrine Rousseau et les écolos ont toujours raison. Ils ne se trompent jamais. C’est la réalité qui a tort.
Cela fait quelques mois que l’information circule sur les effets des radiations sur le béton.
On pensait que les radiations allaient dégrader encore plus rapidement le béton et par exemple et au hasard, altérer sensiblement la durée de vie de nos centrales nucléaires.
Il faut oser. Il faut être culotté, ou totalement hors-sol, pour venir sur un plateau de CNews balancer tranquillement que « les familles qui ne travaillent pas et qui touchent 2000 euros par mois grâce aux aides sociales vivent mieux que ceux qui bossent ». C’est la petite phrase de Kevin Bossuet, journaliste de droite en quête de buzz et de reconnaissance médiatique. Une phrase lâchée comme une grenade dans le débat public, au mépris de toute décence.