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France et politique française - Page 2236

  • Politique-Eco n°187 avec Pierre Jovanovic : Europe, faux monnayage et vol en bande organisée

    Olivier Pichon reçoit le journaliste économique Pierre Jovanovic pour évoquer la menace de faillite sur les banques européennes et le cas de la France et de l’Italie bientôt au régime grec.

    1) Les banques européennes menacées de faillite
    – Une déclaration de Mario Draghi président de la BCE
    – Depuis 2008, l’argent des contribuables a servi à renflouer les banques en pure perte
    – Les frais bancaires illégaux : un vol en bande organisée.
    – Quand les banques “bidonnent” leurs bilans
    – L’épicentre de la nouvelle crise pourrait être en Europe
    – Rien n’a changé depuis 2008
    – Les élites dans le déni de réalité, la crise pourrait venir cette fois de l’Europe

    2) La France et l’Italie au régime grec ?
    – Quand Mario Draghi vient à Paris en catimini, que craint-il ?
    – La réponse italienne au chantage de la BCE, Armageddon !
    – L’oligarchie européenne cherche à faire peur aux épargnants italiens
    – L’Italie a le choix entre le spread et le peuple !
    – Salvini versus Tsipras
    – Moscovici pathétique bonimenteur sur la Grèce
    – L’Italie, l’euro, l’Europe : une explosion en chaîne possible
    – Les retraités dépouillés en France comme en Grèce
    – Macron voleur et menteur

      https://www.tvlibertes.com/2018/10/15/26248/pierre-jovanovic-europe-faux-monnayage-vol-bande-organisee
  • Constitution de la Ve République, la seule vraie question

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    La rhétorique sur les bienfaits de cette constitution fleurit en cet anniversaire des 60 ans et, la classe jacassante (politiques et journalistes) s’en va déclinant ses mérites qui sont certains, mais dans une très grande fausseté historique et institutionnelle. 

    «  Tout le monde il est gaulliste » aujourd’hui

    Y compris ceux qui furent les opposants les plus radicaux à De Gaulle, mais c’est ainsi que s’écrit l’histoire, les historiens savent bien qu’après Waterloo les Français étaient unanimes à rejeter l’empereur et que la légende napoléonienne prit corps bien après (Béranger et Victor Hugo en furent les propagandistes). Aussi bien le meilleur de Napoléon fut-il sans doute les réformes institutionnelles et financières plus que l’empire. Mutatis mutandis, il en va de même pour De Gaulle. On a retenu que la Cinquième assura la stabilité et la continuité des pouvoirs publics à l’inverse de la Quatrième qui connut plus de gouvernements que d’années de vie. Mais l’histoire est écrite par les vainqueurs et on oublie l’œuvre économique non négligeable de cette république, c’est elle aussi qui prépara la force de frappe française (avec les Israéliens) dont De Gaulle fut le chantre. Aussi bien cette république Quatrième du nom finit ses jours sur une crise financière doublée d’une crise « coloniale » mais la Cinquième en ce domaine n’a rien à lui envier menacée comme elle l’est dans ses dettes et ses déficits, par la remontée des taux d’intérêt et par la crise migratoire queue de comète coloniale s’il en est. De Gaulle nous fit donc une constitution hybride, une monarchie élective avec l’élection du président au suffrage universel direct, un régime parlementaire corrigé de présidentialisme. C’est ainsi que les crises parlementaires n’affectent pas le pouvoir et même la cohabitation permet une relative continuité. Voilà pour la théorie.

    La constitution n’est plus dans la constitution

    Les politiques oublient, dans leur hommage empressé à la dite constitution, qu’ils ont néanmoins contribué largement à en amoindrir la portée. Le « régime des partis » triomphe, et les coups de canifs donnés au texte sont innombrables au point d’en changer l’esprit. Au premier rang, le mandat présidentiel à cinq ans une erreur majeure due « au gaulliste » Jacques Chirac, la correspondance entre législatives et présidentielle en est une autre et le Premier ministre n’est plus que le collaborateur de l’Elysée. Le Palais reste le lieu du pouvoir certes, mais un pouvoir seul dont l’appui des médias et de la finance ne suffit pas à donner une légitimité démocratique. Qui parlait de l’exercice solitaire du pouvoir ? Le référendum est désormais banni en ces temps de « populisme », une institution pourtant voulue par De Gaulle.

    Par ailleurs l’Europe, son oligarchie non élue et ses lois ont pris le pas sur la souveraineté française, chacun ventant hypocritement la Constitution en oublie les principes fondateurs sur la souveraineté populaire. Enfin le préambule moraliste et général de la Constitution de 58 reprenant celui de 46 permet au Conseil constitutionnel de battre en brèche la défense de la souveraineté lui ôtant de fait toute légitimité. Un parlement d’amateurs, une garde rapprochée squelettique en est le reflet, ainsi voit-on la difficulté du Président à trouver un ministre de l’Intérieur. La loi sur la transparence oblige à une longue enquête sur l’impétrant ministre et paralyse l’action gouvernementale.

    La vraie question

    On nous répète à l’envie que la Constitution protège le Président mais qui protègera le peuple français contre le Président ? Là et la vraie question après le calamiteux quinquennat de Hollande avec l’invraisemblable gouvernance macronienne et ses chimères mondialistes et immigrationistes, son impuissance à sortir des ornières budgétaires, ses fantaisies sociétalistes, la vraie question est là : la stabilité et la continuité des pouvoirs publics est-elle une vertu quand elle s’exerce au détriment du peuple français de sa souveraineté, de son identité, de sa survie ? La réponse est dans la question.     

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2018/10/15/constitution-de-la-ve-republique-la-seule-vraie-question-6096928.html

  • La matinée de dimanche à la 12e Journée de Synthèse nationale (1ere partie)

    Présentation de la journée par Roland Hélie

     

    Intervention d'Hugues Bouchu, Président des

    Amis franciliens de Synthèse nationale

     

    Intervention de Jean-Claude Rolinat,

    écrivain, collaborateur à Synthèse nationale 

     

    Emmanuel Albach, auteur de Beyrouth 1976, des Français

    aux côtés des phalangistes et du Grand rembarquement

    Suite (2e partie de la matinée) dans la journée

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Jean-François Touzé : « La réinformation c’est la résistance à la bien-pensance. »

  • L'État central, les maires et les taxes

    6a00d8341c715453ef022ad398e3b5200d-320wi.jpgLe conflit s'envenime. Les pouvoirs locaux, en l'occurrence ceux des municipalités, se sentent légitimement bafoués par les oukases de l'État central. Ainsi, le 12 octobre une nouvelle protestation était publiée par l'Association des maires de France. Représentant 36 000 communes toutes tendances confondues, elle donne la mesure de l'exaspération. Les élus locaux n'acceptent plus ce qu'elles dénoncent comme une campagne de dénigrement. Car le Ministère des Finances lui-même incapable de présenter un budget équilibré juge bon d'orchestrer une campagne de désinformation

    La question des finances locales ne constitue qu'un champ de bataille dans le contexte d'un contentieux plus large et plus grave. Elle reflète de façon cruciale le sentiment éprouvé par les régions d'être tenues à l'écart de toute décision par les ministères et les bureaux parisiens.

    Ainsi, l'opinion peut-elle bel et bien mesurer le degré d'illusion qui accompagnait à l'évidence la promesse, au fond grotesque et irresponsable, de supprimer la taxe d'habitation.

    On se souvient de la démarche non moins démagogique qui avait permis à Hollande de gagner en 2012. Au moins le discours du Bourget du 22 janvier 2012 dénonçait-il, avec éloquence, la finance pour ennemie du candidat socialiste. La finance : c'est-à-dire personne en particulier.

    La fameuse taxe à 75 % sur les très hauts revenus avait été annoncée cette année-là le 27 février. Elle avait entraîné dès le 1er mars une protestation des professionnels du sport spectacle. Elle allait provoquer divers remous dans l'univers des plus gros contribuables. Mais elle séduisit sans doute les électeurs de gauche les 22 avril et 6 mai. Elle joua par conséquent beaucoup dans l'essor d'un politicien longtemps tenu, jusque-là, pour aboulique et insignifiant, surnommé Monsieur 3 %. Votée par la nouvelle majorité, elle allait cependant être censurée le 29 décembre par le méchant Conseil constitutionnel. Entre-temps Hollande avait été élu.

    Difficile d'imaginer que les mentors du candidat Macron en 2017 n'aient pas cherché une astuce de même nature. Et, certes, leur nouvelle trouvaille rencontra, du point de vue électoral, un succès analogue à celui de sa devancière.

    Malheureusement les choses ne pouvaient pas se reproduire à l'identique. Le mécanisme d'une suppression réservée à 80 % de la population a déjà commencé d'entraîner des conséquences logiques, aberrantes et inquiétantes.

    Le seul effet pratique aboutit à combiner la perte de ressources directes qui en résulte pour les communes avec la baisse de la DGF, c'est-à-dire de la dotation globale de fonctionnement reversée par l'État central, alors qu'au contraire on avait promis la compensation… Le résultat pour le plus grand nombre de communes moyennes entraîne une asphyxie financière allant très au-delà de la simple compression des dépenses.

    Perdre 5 % de ses recettes par an est gérable. Perdre, en un an, 30 % ne peut pas se gérer par un simple durcissement de la rigueur dans le contrôle.

    Soulignons aussi qu'en matière de diminution de la fiscalité locale une piste immédiate, parmi d'autres, n'a pas été envisagée, celle de la suppression d'un prélèvement totalement inutile pour les citoyens, la redevance de 139 euros au profit de ce qu'on appelle l'audiovisuel public… un bon 10 % de la taxe d'habitation…

    À un tel coup de force de l'État central, il ne pouvait être remédié que de deux manières : soit diminuer radicalement, et en une seule année, les services de toutes natures que les mairies assurent ; soit, solution adoptée par 6 000 communes françaises, augmenter la taxe, pour ceux qui la payent, l'année même où on prétendait l'abolir.

    La communication gouvernementale aggrave encore le dossier en mettant précisément les 6 000 maires en accusation, espérant dans deux ans capitaliser un courant dégagiste, comme on dit aujourd'hui, en faveur du parti macronien dont l'implantation locale actuelle est quasi nulle. Cette évidente arrière-pensée se heurtera au rejet par l'opinion du président lui-même et de son présidentialisme arrogant.

    On peut présumer même que cette erreur se payera cher.

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/

  • Près de 1 800 visiteurs à la 12e Journée de Synthèse nationale dimanche à Rungis

    Dimanche à Rungis la 12e Journée de Synthèse nationale a pulvérisé les recors d'influence puisque près de 1 800 visiteurs (à 13 h, nous avions dépassés le chiffre total de l'an passé) sont passés dans la journée assister aux différents forums et au meeting final et visiter les 80 stands installés dans les couloirs et les halls prévus à cet effet.

    Nous reviendrons tout au long de la semaine sur cette belle journée qui, malgré l'absence bien involontaire de nos deux leaders nationaux que sont Jean-Marie Le Pen et Roger Holeindre médicalement retenus, s'est parfaitement déroulée.

    Interventions filmées, reportages photographiques, compte rendus des tables-rondes se succéderont sur ce site dans les jours qui viennent.

  • Témoignage : camarade Olivier Dubuis et sa compagne, violentés par 2 maghrébins - Conversano

  • Chronique de la France Orange mécanique

    Chronique de la France Orange mécanique

    Un adolescent de 12 ans est décédé après avoir été tabassé à coups de barre de fer dans la commune des Lilas, en Seine-Saint-Denis, hier soir.

    Une bagarre, près du centre-ville, aurait opposé une bande des Lilas à une bande la ville voisine de Bagnolet, dont était originaire la victime. Les voyous étaient munis de barres de fer et de bâtons.

    Le 28 septembre, à Garges-les-Gonesses, un garçon de 17 ans avait été roué de coups par des voyous munis de crosses de hockey ou de barres de fer. Il a reçu 67 points de suture au niveau de la tête.

    Le 13 septembre à Toulouse, un individu d’origine syrienne a frappé un homme à la tête avec une barre de fer et un pied de parasol. Agée de 40 ans, la victime souffre d’une fracture du crâne, d’une fracture du fémur et de multiples fractures au visage.

    https://www.lesalonbeige.fr/chronique-de-la-france-orange-mecanique-2/

  • Burqa : la France ne doit rien céder au diktat onusien !

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    « L’ONU veut imposer la Burqa en France »« L’ONU se prononce contre l’interdiction de la burqa »« L’ONU considère que cette loi porte atteinte à la liberté religieuse » : depuis quelques jours, l’ONU apparaît, pour un Français ordinaire, comme une organisation dépassant complètement son rôle initial. Cela n’est guère étonnant, tout d’abord parce que l’information fut très mal relayée par la presse « mainstream ».

    En effet, la décision onusienne n’obéit pas à une décision de l’Assemblée générale des Nations unies, et encore moins à une résolution du Conseil de sécurité, mais bel et bien à un de ses organes appartenant à une de ses agences spécialisées, en l’occurrence le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme. C’est seulement l’organe de surveillance de ce dernier, le fameux Comité des droits de l’homme de l’ONU, qui est à l’origine de la décision dite « Baby Loup » du 10 août 2018, concernant le licenciement, en 2008, d’une employée voilée. C’est toujours ce fameux organe qui devrait condamner prochainement la loi sur l’interdiction de la burqa, estimant qu’il s’agit d’une discrimination religieuse.

    Mais que signifie donc cette dernière ? Si l’on se réfère à la base juridique qui a servi à la condamnation de la France pour la décision Baby Loup, c’est précisément le pacte de 1966 relatif aux libertés civiles et politiques, et ratifié par 168 États, et qui mentionne à son article 18 la liberté religieuse. Après le volet juridique, il sera question d’analyser le volet politique. Tout d’abord, il faut souligner le poids, à l’ONU, de l’OCI : cette dernière, avec l’Arabie saoudite, le Pakistan, l’Égypte et la Turquie, s’est faite le fer de lance de la lutte contre « l’islamophobie » et la « diffamation des religions ». Il est à rappeler, au passage, que deux des quatre pays cités pénalisent le blasphème de la peine capitale (l’affaire Asia Bibi le rappelant tristement).

    C’est en s’appuyant sur ces concepts parfaitement flous que le Conseil des droits de l’homme condamna l’initiative populaire suisse sur les minarets, puis adopta, en 2011, en raison de la passivité de l’administration Obama et de l’Union européenne, la fameuse résolution 16/18 condamnant la diffamation des religions (en réalité l’islam). Les pays musulmans et l’OCI pratiquant depuis des années une stratégie d’entrisme au sein des institutions onusiennes, les récents verdicts deviennent moins surprenants.

    Il reste donc à la France de ne pas céder à ce diktat insupportable. Le vrai danger réside dans un revirement de jurisprudence de la Cour de cassation : celui-ci aboutirait à une solution totalement contradictoire avec celles qui avaient été prises ces dernières années. En effet, d’autres juridictions internationales avaient emboîté le pas de la France, la Cour de justice de l’Union européenne dans ses arrêts Achbita et Bougnaoui de 2017 (admettant qu’une règle interne prohibant le port de signes religieux peut être justifiée par un objectif légitime). Même la gardienne du politiquement correct (pas franchement réputée pour ses prises de position identitaires), la Cour européenne des droits de l’homme, n’a pas jugé contraire à l’article 9 de la Convention européenne des droits de l’homme la loi du 15 mars 2004 interdisant les signes religieux dans l’enseignement secondaire (Dogru c. France 2008 ; Aktas c. France 2009).

    Un revirement serait un signal désastreux par rapport au sacro-saint principe de laïcité, mais surtout sur le plan civilisationnel, où cela serait perçu comme une véritable capitulation. C’est pourquoi le pouvoir politique ne doit rien laisser passer ; sinon, ce qui constituait encore un morceau de notre fierté française s’évaporera. La prochaine étape serait un retour du voile à l’école puis dans les administrations, achevant encore plus notre identité, faisant basculer notre pays dans les bras du multiculturalisme avant peut-être l’islamisation, qui pourrait bien être irréversible et achever 1.500 ans d’Histoire.

    Pierre Louis

    http://www.bvoltaire.fr/burqa-la-france-ne-doit-rien-ceder-au-diktat-onusien/