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France et politique française - Page 2238

  • Impôts et cotisations en France dépassent pour la première fois les 1 000 milliards d'euros annuels

    Impôts et cotisations en France dépassent pour la première fois les 1 000 milliards d'euros annuels
    © PHILIPPE HUGUEN Source: AFP (Image d'illustration).

    C'est une première : selon un rapport parlementaire, les prélèvements obligatoires ont dépassé les 1000 milliards d’euros en France en 2017, le plus haut niveau jamais atteint. Cela représente 45% du PIB.

    Les prélèvements obligatoires ont dépassé pour la première fois la barre des 1 000 milliards d'euros en France en 2017, année de transition entre le quinquennat de François Hollande et celui d'Emmanuel Macron, selon un rapport parlementaire sur le projet de budget 2019.

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  • Sur BFM TV, Philippe de Villiers donne à Ruth Elkrief une leçon de populisme

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    Jeudi soir, sur BFM TV, Ruth Elkrief fut interloquée par les propos de Philippe de Villiers, venu présenter son dernier livre, Le Mystère Clovis. S’il s’était agi de Marine Le Pen, de Nicolas Dupont-Aignan ou de quelque autre suppôt de Satan, sans doute lui eût-elle fait une remarque désobligeante. Mais Philippe de Villiers, ce n’est pas un excité ! Il aurait même conseillé Emmanuel Macron pendant sa campagne. Eh bien, c’est fini ! La rupture est consommée.

    Philippe de Villiers n’y va pas par quatre chemins. S’il a cru, au début, à la possibilité d’un comportement gaullien chez notre Président, il a vite déchanté. Une politique de matamore en matière internationale, une inconscience devant le problème identitaire, une incapacité à le régler, à vouloir même le régler. La fête de la Musique, la photo de Saint-Martin avec le doigt d’honneur, ses « conneries », comme dit Brigitte, ont fait le reste. Ce qu’il attendait de lui, c’est qu’il respecte sa fonction, qu’il entreprenne de « remettre l’Europe d’aplomb, une Europe qui se fait avec les nations, pas contre les nations » : on en est loin !

    « Peut-être ne le faites-vous pas exprès », trouve-t-il comme excuse à la journaliste, qui ne semble pas comprendre qu’il se moque d’elle. Et il enfonce le clou. Se référant au discours de Gérard Collomb, lors de la passation de pouvoir, il lui fait remarquer que « nous avons installé deux sociétés face à face ». Il lui rappelle que, lorsqu’il a précédemment parlé de « risque de partition », elle lui a reproché d’exagérer. De plus en plus de monde le reconnaît, maintenant.

    Ce n’est pas tout ! Il revendique, horribile auditu, d’être « populiste ». Dans une allusion à la formule de « lèpre populiste », employée par Macron, il commente : « Je suis lépreux, j’ai ma petite crécelle – à BFM, c’est bien, la crécelle », s’amuse-t-il, feignant de l’agiter, avant d’asséner : « Je suis populiste et je ne me soigne pas. » Il explique que « le populisme, c’est le cri des peuples qui ne veulent pas mourir ». Quant à l’« État de droit » dont on nous rebat les oreilles, « c’est le fait des juges, de la Cour européenne des droits de l’homme, des commissaires qui pondent des normes qui sont destructrices de notre civilisation ». Il ose même dire qu’Orbán et Salvini sont « des gens sérieux, qui aiment leur pays, des patriotes » : la pauvre Ruth en a le bec cloué.

    Philippe de Villiers donne cet avertissement prémonitoire : « Il y a des gens qui ont fait sécession mentalement et qui, le jour venu, nous feront comprendre que c’est nous les étrangers. » Ruth a visiblement du mal à encaisser. Mais, sur une chaîne privée, il faut bien satisfaire un auditoire qui partage de plus en plus ces idées souverainistes. Son interlocuteur lui fait remarquer que ce n’est pas tout à fait la même chose sur les chaînes publiques. Ouf ! C’est la fin de l’interview : elle est sauvée par le gong.

    Philippe de Villiers a quand même eu le temps de prédire à Macron qu’il sera « balayé », s’il poursuit sa politique. Peu de Français s’en plaindront ! Au fait, pour les élections européennes, ne pourrait-il pas donner un coup de main au camp des « populistes » ?

    Philippe Kerlouan

    http://www.bvoltaire.fr/sur-bfm-tv-philippe-de-villiers-donne-a-ruth-elkrief-une-lecon-de-populisme/

  • Rappel : En images. Refuge de migrants, un lycée désaffecté devenu "ingérable"

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    "Ce lieu, il faut l'évacuer, c'est ingérable" jugent les associations et les pouvoirs publics | AFP

    Bagarres, vols, insalubrité, et même racket : 700 migrants s'entassent dans un lycée parisien désaffecté. Un "lieu qui craint" et qui devrait bientôt être évacué.
    Certes, « c'est mieux que dans la rue », souffle Mustafa, un Afghan. « Mais c'est très difficile de cohabiter avec toutes les nationalités, il y a des bagarres. Chaque communauté a son délégué et on règle cela entre nous. Nous avons fui la guerre, nous voulons être en paix », témoigne en anglais Mustafa, désigné par les siens pour les représenter.
    Des riverains apportent régulièrement des colis pour les habitants de l'ancien lycée Jean-Quarré, dans le XIXe arrondissement, occupé depuis le 31 juillet. Mais les gestes de solidarité peuvent dégénérer, dans cet environnement chaotique. Lorsque Marie arrive, les bras chargés de sacs qui sont aussitôt stockés dans la réserve commune, un attroupement se forme. Une dizaine d'hommes réclame bruyamment un partage immédiat: les sacs sont déchirés, les vêtements pris à la volée.
  • Le Samedi Politique S02E06 : Le Frexit pour s’en sortir avec Florian Philippot

    Souveraineté, démocratie, immigration, chômage, pour Florian Philippot, président des Patriotes et ancien numéro 2 du Front National, les choses sont claires : redresser la France ne peut se faire qu’en sortant de l’Union Européenne. Une position non négociable qui justifie la rupture avec le Front National après la présidentielle.

    Avec son livre Frexit, UE : En sortir pour s’en sortir, il dresse un programme clair et didactique pour expliquer comment la France peut, selon lui, reprendre son destin en main et en finir avec le diktat de Bruxelles, sous le joug allemand.

    https://www.tvlibertes.com/2018/10/13/26223/frexit-sen-sortir-florian-philippot

  • Les députés LREM estiment ne pas toucher assez pour avoir un logement

    Les députés LREM estiment ne pas toucher assez pour avoir un logement

    La macronite dans tout ce qu’elle a de répugnant :

  • Encore un effort sur la dépense publique

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    À quelques jours d'intervalle deux personnalités politiques parmi les plus en vue de la droite, ou de ce qui en tient lieu, se sont exprimées sur la question de la dépense publique.

    Leurs positions tranchaient avec la tradition du parti gaulliste depuis l'UNR (1958), l’UNR-UDT (1962), l’UD-Ve (1967), l’UDR (1968), le RPR (1976), l'UMP (2002) devenue en 2015, et jusqu’à nouvel ordre, LR. Sous ces sigles différents, la doctrine économique dominante y a toujours consisté à prétendre équilibrer les comptes publics par un taux de croissance élevé, supposé de nature à effacer le manque de recettes.

    Or, nous nous trouvons désormais en présence d'un discours nouveau. Respectivement les 25 septembre et le 9 octobre Valérie Pécresse la première, évoquait un montant, d'apparence colossal, à hauteur de 50 milliards. Elle juge politiquement possible et financièrement nécessaire de l’étaler sur 10 ans. Puis Laurent Wauquiez, moins disant, se limitait à 20 milliards. Ils ont donc relancé ainsi l'idée d'un programme, présenté invariablement pour douloureux mais nécessaire, de diminution de la dépense publique.

    Quoique sourdement opposées, ces deux locomotives de l'opposition convergent tout de même dans le cadre d'une préoccupation dont il faut se féliciter. Cette tendance, nouvelle dans l’opinion, trouve son illustration dans les travaux, très bien accueillis désormais, d’Agnès Verdier-Molinié. Présidente de l'Ifrap celle-ci focalise, d'une façon significative et qui nous la rend d'autant plus sympathique encore, le feu critique des blogs de gauche[1]. Mais son écho à droite est devenu symétriquement remarquable.

    Le pressentiment actuellement grandissant consiste à conclure qu’on ne baissera pas la pression fiscale globale sans lutter contre les besoins de financement des programmes étatiques, déficitaires par système. Fiscalisme et étatisme ne font qu'un : l'opinion populaire en a pris de plus en plus conscience. Hélas, les politiciens l'expriment un peu moins.

    Disons-le d’emblée cette idée semblait réservée, il y a encore une dizaine d’années, à quelque funeste phalange d’adversaires de notre merveilleux modèle social, inimitable et, d'ailleurs largement inimité[2].

    C'est au siège du parti Les Républicains, que Laurent Wauquiez a présenté le 9 octobre, ses "propositions de réduction de la dépense publique". Son équipe les a chiffrées à 20 milliards d'euros en un an.

    Si "certaines sont loin d'être populaires", selon le président de LR, c'est la seule solution pour ensuite "rendre cet argent aux entreprises et aux Français sous forme de baisse d'impôts et de charges".

    Quatre "ruptures structurelles" sont dès lors avancées : 1° le temps de travail des fonctionnaires serait rétabli à 39 heures hebdomadaires, idée développée par Guillaume Arrivé, qui plaide aussi pour la réduction du train de vie de l'État, notamment des administrations centrales et des collectivités ; 2° Éric Woerth réclame la suppression de tous les régimes spéciaux de retraite et une convergence public-privé qu'il faut terminer. On se souviendra pourtant qu'il a conduit la réforme de 2010 ; 3° LR avance aussi l'idée de mettre en place "une seule prestation sociale unique plafonnée à 75 % du SMIC"; 4° LR suggère désormais de conditionner l'accès au système social pour les étrangers à au moins trois ans de cotisation.

    En apparence Mme Pécresse, présidente de la région Ile-de-France, s'exprimant 15 jours plus tôt, semble disposée à aller plus loin.

    "50 milliards d'euros de baisse de dépense publique, dit-elle, c'est atteignable. Pas en cinq minutes, pas d'un coup de baguette magique. Mais atteignable avec un plan sur dix ans où, résolument, tous les ans, on remet sur le métier les politiques". Et de nous servir la fameuse tirade : "Nous sommes un pays qui a fait le choix depuis des décennies du chômage de masse, parce que nous n'avons pas eu le courage de baisser la dépense et les impôts". Quand et par qui a été effectué ce choix ? Le mystère reste entier. Elle calcule que reporter à 65 ans de l'âge de départ à la retraite produira 30 milliards d'économie par an et même "une nouvelle journée de solidarité rapporterait 3,5 milliards d'euros chaque année".

    De telles propositions ne s'écartent guère de celles de Laurent Wauquiez.

    Pas une seconde hélas tous ces experts ne semblent envisager l'idée de diminuer le périmètre de l'État. Pas une seconde n'est fait allusion aux parents pauvres des budgets publics qui correspondent pourtant aux fonctions régaliennes de l'État, police, justice, défense.

    Allons, chefs de file de la droite, candidats au pouvoir, encore un effort.

    JG Malliarakis  

    Vous pouvez soutenir L'Insolent en cliquant sur ce lien.

    Apostilles

    [1] On pourrait citer une ribambelle d'exemples, faciles hélas à retrouver sur la toile. L'un des plus emblématiques me semble "L'Ifrap d'Agnès Verdier-Molinié : faux institut de recherche et vrai lobby ultra-libéral" où il est est reproché à l'Ifrap de ne pas être inféodé à l'État…
    [2] Soyons justes : le modèle des services publics à la française a quelques admirateurs avoués comme Ziouganov chef du parti communiste russe reconstitué. Les gens du PASOK en Grèce, dont beaucoup avaient vécu en exil à Paris entre 1967 et 1974, arrivés eux-mêmes au pouvoir en 1981, l'année où Mitterrand fut élu président de la république en France, se sont beaucoup inspirés du modèle français. Avec le succès que l'on sait.

    http://www.insolent.fr/

  • Pour Louis Aliot, “l’Aquarius doit rester à quai” même s’il retrouve un pavillon

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    Orientales était l’invité de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC.

    Il est revenu sur la polémique autour de l’action de navire humanitaire l’Aquarius en Méditerranée.

    https://fr.novopress.info/212274/pour-louis-aliot-laquarius-doit-rester-a-quai-meme-si-il-retrouve-un-pavillon/

  • « Mimi » plus fort que Benalla : le livre qui pourrait faire tomber Emmanuel Macron ?

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    Emmanuel Macron – c’était louable – entendait renouer avec la verticalité du pouvoir, malgré son jeune âge. D’ailleurs, Louis XIV, au début de son règne, n’était pas non plus le faisan de l’année. Avec l’affaire Michèle Marchand se profilant à l’horizon, ce serait plutôt le retour à l’horizontalité des pratiques d’antan, personnalité de cette nouvelle Athénaïs de Montespan oblige.

    En effet, après l’affaire Benalla, Mimi, titre du livre éponyme, signé Marc Leplongeon et Jean-Michel Décugis, respectivement journalistes au Point et au Parisien, annoncé pour le 17 octobre prochain, le temps pourrait durablement se couvrir au Château. Mais qui est « Mimi », dame de 71 ans, qui gère la communication présidentielle depuis plus d’un an ?

    À en croire Le Point« Michèle Marchand, fille de coiffeurs de Vincennes, a été gérante d’un garage du VIIIe arrondissement parisien, femme de voyou et directrice d’un magazine pour amateurs d’armes. En 1986, elle est condamnée à quatre mois de prison avec sursis pour émission de chèques sans provision. Au début des années 1990, elle tient des boîtes de nuit lesbiennes rue de Ponthieu ou porte Maillot, où l’on croise Muriel Robin et Pierre Palmade, des malfrats et des flics dont elle est l’indic. » Il est un fait qu’à ce palmarès comparé, Alexandre Benalla, c’est un peu Bernard Menez, l’imparable caïd des films de Pascal Thomas.

    La carrière de Michèle Marchand ne s’arrête évidemment pas là. Toujours selon les mêmes sources : « Après un retour à la case prison en 1994 pour trafic de cannabis, elle entre à Voici et, déjà grand-mère, y fait une OPA. Virée pour avoir inventé une interview d’un garde du corps de Lady Di, elle reste rédactrice en chef officieuse, tant elle est indispensable. » Mieux que Voici, nous y voilà. Michèle Marchand, à la tête de Bestimage, la société qu’elle fonde dans la foulée, est alors l’une des pipelettes les mieux informées de France. Mais comment expliquer, ensuite, son voisinage de plus en plus intime avec la sphère politique ? Tout simplement parce que les grands de ce monde sont les plus avides des commérages du demi-monde. Qui couche avec qui ? Tel homme est-il véritablement porté sur les femmes, malgré les apparences ? À l’instar des rois de jadis, nos Présidents aiment savoir ce genre de choses ; surtout quand elles peuvent les toucher de près.

    Et c’est ainsi que « Mimi » désamorce les rumeurs parfaitement infondées et relatives à l’homosexualité présumée d’Emmanuel Macron. C’est encore la même qui, sachant tout des liens unissant François Hollande et Julie Gayet, ne fait rien pour empêcher la révélation de cette affaire. Interrogé par les auteurs de ce livre, le prédécesseur de Macron reconnaît : « Vous ne pouvez pas avoir à l’Élysée quelqu’un dont le métier est de faire de la révélation privée. » Étrange mélange des genres, donc. Mais qui s’explique aussi par l’antédiluvienne propension des gens de pouvoir à fricoter avec des personnages qui ne sont pas toujours des enfants de chœur.

    François Mitterrand et Bernard Tapie, Dominique de Villepin et Alexandre Djouri, Valéry Giscard d’Estaing et Michel Poniatowski, Napoléon et Fouché, Nicolas Sarkozy et Patrick Balkany, quoi de commun ? Si ce n’est l’odeur un peu soufrée de la transgression et de l’encanaillement.

    Dans le registre, Michèle Marchand est d’autant plus imbattable que rusée comme un régiment de fouines. Elle sait d’où vient le souffle dominant et, surtout, jusqu’où il peut la porter. D’où des amitiés politico-médiatiques soigneusement mises en scène. Cyril Hanouna, toujours à en croire Le Point, l’appelle sa « deuxième maman », tandis que « Marc-Olivier Fogiel, qui vient de publier un livre sur ses deux filles nées d’une GPA, la remercie pour avoir veillé à ce que son intimité ne devienne pas publique ». Comme madame Mado, la mère-maquerelle des Tontons flingueurs, madame Mimi sait protéger ses arrières.

    On ne lui en voudra pas, tant tout cela relève de « l’ancien monde ». Le problème, c’est qu’un certain Emmanuel Macron s’est hissé à la plus haute marche du podium en voulant abattre ce dernier et en proposer un « nouveau ». Il fallait être aussi naïf qu’un Philippe de Villiers ou la quasi-majorité du troupeau de l’électorat conservateur pour ne pas voir que notre Saint Louis en devenir était, par nature, programmé pour finir comme Paul Deschanel.

    Nicolas Gauthier

    http://www.bvoltaire.fr/mimi-plus-fort-que-benalla-le-livre-qui-pourrait-faire-tomber-emmanuel-macron/

  • I-Média n°219 : Ne faites pas d’enfants, sauvez la planète !

    Ne faites pas d’enfants, sauvez la planète !
    L’AFP publie des solutions pour réduire le réchauffement climatique. Comment diminuer son empreinte carbone ? En changeant ses ampoules ou en ayant un enfant de moins ?

    Le zapping d’I-Média
    L’ « humoriste » Yassine Belattar connu pour sa proximité avec Emmanuel Macron fait dans la menace et le chantage. « Si le prochain ministre de l’Intérieur ne fait pas le lien entre les gens des quartiers et la police, il y aura une émeute. Ce n’est pas une menace, c’est une promesse »

    La science vous le dit, il n’y a pas de racisme anti blanc.
    Le racisme anti blanc serait une fake news, une désinformation. Mercredi 10 octobre, France culture et France info affirmaient dans l’émission « les idées claires » que le « racisme anti blanc n’existe pas pour les sciences sociales ». Etre traité de « sale blanc » relèverait de « l’agression pas du racisme ».

    Les tweets de la semaine.
    Le magazine « Paris Match » publie en couverture sur Marc Olivier Fogiel avec ce titre, « Ma famille mon bonheur ». C’est la première fois qu’un couple gay accompagné d’enfants issus de GPA se retrouve en une d’un grand magazine français. Une couverture d’autant plus gênante que…. Inutile de le rappeler, la gestation pour autrui est interdite en France.

    Brésil la démocratie serait-elle menacée par les élections ?
    Présidentielle au Brésil, le candidat Jair Bolsonaro arrive en tête du premier tour avec 46 % des voix. Dans la presse française, il est décrit comme « raciste, homophobe, mysogyne », mais difficile de comprendre pourquoi les brésiliens ont voté massivement pour cet homme.

    https://www.tvlibertes.com/2018/10/12/26228/i-media-n219-ne-denfants-sauvez-planete

  • Interdiction du port de la burqa – Le Comité des droits de l’homme de l’ONU épingle la France, par Pierre Malpouge

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    Depuis 2010, une loi française interdit la dissimulation du visage dans l’espace public. Une loi qui vise les femmes d’origine musulmane (ou converties) portant de plein gré ou de force la burqa comme le niqab et autre voile intégral – vêtements si seyants qui, comme chacun sait, cachent le corps et le visage de ces dames imbibées d’islamisme radical.

    Une loi sur le port du voile intégral qui, comme l’a rappelé Bruno Retailleau, président du groupe LR au Sénat, « est si peu appliquée ou si peu contraignante que l’homme le plus recherché de France [Redoine Faïd] se sent en sécurité quand il est couvert par un vêtement pourtant interdit par la loi » – et, comme nous l’écrivions dans Présent du 6 octobre, combien d’autres dangereux criminels, terroristes islamistes ou de droit commun –, lequel Bruno Retailleau et son club de réflexion Force républicaine ont récemment proposé de transformer cette infraction, simple contravention, en délit.

    Une loi si peu appliquée mais dérangeante malgré tout. Du moins selon le Comité des droits de l’homme (CDH) de l’ONU, comme le rapporte La Croix.

    A l’heure où plusieurs voix s’élèvent en France pour demander un durcissement de cette loi, des juristes experts internationaux du Comité des droits de l’homme de l’ONU, estimant que cette loi porte atteinte à la liberté religieuse et crée une discrimination, remettent en cause l’interdiction et épinglent la France. Lesquels juristes experts avaient déjà désavoué la Cour de cassation qui, en 2014, avait validé le licenciement d’une puéricultrice voilée par une crèche (Baby Loup) dont le règlement intérieur imposait un devoir de neutralité.

    Notons que cette loi (par ailleurs symbole d’une position jugée islamophobe par de nombreux Etats musulmans), qui chagrine les membres du CDH, est également en vigueur dans plusieurs pays européens – Autriche, Belgique, Danemark, Italie, Espagne – touchés comme la France par des attentats islamiques.

    Toutefois, si le CDH de l’ONU (qui n’est pas une juridiction) épingle la France, la portée de ses appréciations est toute relative. Il ne s’agit pas là de condamnation mais de simple recommandation… pour satisfaire les « caprices » d’une seule religion. Et ce d’autant plus que la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a une autre vision quant à l’interdiction du port du voile intégral. Jugeant cette loi « nécessaire » dans une société démocratique, la CEDH estime que cette législation vise à assurer « la sécurité publique, l’égalité entre l’homme et la femme et une certaine conception du vivre-ensemble dans la société ». Il serait bon de rappeler aux blablateurs du CDH de l’ONU, dont les décisions n’ont aucune valeur juridiquement contraignante, que vivre en France, c’est avant tout vivre sous les lois françaises.

    Pierre Malpouge

    Article paru dans Présent daté du 12 octobre 2018

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