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France et politique française - Page 2368

  • MENACES DE MORT, SHIT, COCAÏNE ET RAMADAN : PETITE SCÈNE DE VIE ORDINAIRE À VILLENEUVE-SUR-LOT

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    L’entrée en matière avait le mérite de la clarté. C’est ainsi qu’ont été accueillis le serrurier, les deux témoins et l’huissier mandaté pour notifier 6.800 euros de loyers impayés à un locataire des « quartiers nord-est » de Villeneuve-sur-Lot (La Dépêche se met à parler de notre petite sous-préfecture comme s’il s’agissait de Marseille). L’huissier a déposé plainte, rappelant à quel point, loin des douces berceuses du vivre ensemble, sa profession est en contact quotidien avec cette partie de la société qui profère menaces et insultes, et passe souvent à l’acte :

    Notre quotidien est de se faire insulter comme les policiers et les gendarmes mais nous n’avons qu’un stylo à bille.

    L’auteur de ces insultes a été jugé en comparution immédiate, d’autant plus que, comme il n’avait pas eu « le temps de faire le ménage » (toujours selon La Dépêche), les policiers ont découvert 1,2 kg de résine de cannabis et de la cocaïne. Il a été condamné à un an de prison dont six mois avec sursis.

    Voilà le fait divers. Tellement divers qu’il est devenu le quotidien de centaines de quartiers en France, aussi bien dans des petites villes comme Villeneuve-sur-Lot que des cités de banlieue de nos grandes agglomérations ; et encore : lorsque les forces de l’ordre peuvent, sans être caillassées ou visées par des tirs, entrer dans ces quartiers.

    Mais revenons au mot d’accueil de notre commerçant de 34 ans, ce locataire-délinquant qui va donc poursuivre son ramadan quelques jours en prison.

    « Tu as foutu en l’air mon ramadan… » Il y a certainement ramadan et ramadan, musulman et musulman. Et toute religion a ses degrés de ferveur, de compréhension, de pratique, de cohérence, de moralité. Toute religion a sa piété populaire. Et puisqu’il est à la mode, dans les rangs du gouvernement et de La République en marche, de mettre dans le même sac voile islamique et foulard de la mère d’Alain Juppé, prêche en arabe et messe en latin, radicalisés islamistes et traditionalistes catholiques – ce qui, Gabrielle Cluzel vous l’a expliqué avec bien d’autres, n’a absolument rien à voir -, on pourrait aussi s’y interroger sur cette conjonction de faits qui touchent malheureusement souvent nos villes et banlieues : délinquance, trafic de stupéfiants, agression contre les forces de l’ordre et revendication islamique bruyante et agressive. Une conjonction que résume ce « Tu as foutu en l’air mon ramadan ».

    Certaines bonnes âmes ou autres doctes théologiens me diront que ça n’a rien à voir. Mais justement, dans la vraie vie, c’est une réalité qui se voit. Et qui s’entend.

    Dominique Monthus

    http://www.bvoltaire.fr/menaces-de-mort-shit-cocaine-ramadan-petite-scene-de-vie-ordinaire-a-villeneuve-lot/

  • FACE À ANNE HIDALGO, LA DROITE COMMET LA MÊME ERREUR QUE FACE À HOLLANDE

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    Presque trois ans avant sa sortie de l’Élysée, un éditorialiste de Boulevard Voltaire nous prévenait : « Hollande, c’est fini ». Discrédité, impopulaire, il n’y avait que lui à croire qu’il pourrait encore se rétablir, se faufiler « dans un trou de souris », comme disait notre président de la République…

    Or, cette évidence de la disqualification irréversible de Hollande avait conduit la droite (au sens très large), toujours paresseuse, à se dire qu’il suffisait de tirer sur cette ambulance pour remporter cette élection « imperdable ». Elle se contenta donc d’aligner François Fillon et Marine Le Pen. Elle n’avait pas réellement pris acte de ce que signifiait l’effondrement de Hollande à 8 %, score que fut d’ailleurs chargé de valider Benoît Hamon ; ce dont il s’acquitta rigoureusement. Mais celui qui avait tout compris, c’était Emmanuel Macron. Il avait aussi mesuré tout l’intérêt qu’il avait à laisser la droite s’acharner sur le bilan de la présidence Hollande. Peu inventive, accrochée à taper sur ce pantin, elle servait ses intérêts et lui ouvrait ainsi les portes du pouvoir.

    Quatre ans plus tard, et deux ans avant les élections municipales à Paris, la droite parisienne semble commettre la même erreur avec Anne Hidalgo. Elle est – à juste titre – la cible quasi quotidienne des éditorialistes ou des responsables de droite, comme Serge Federbusch ici sur Boulevard Voltaire. Ou encore Florence Berthout, le maire LR du Ve arrondissement de Paris qui a succédé à NKM comme chef de l’opposition au Conseil de Paris. Cette dernière vient de publier Pour comprendre Anne Hidalgo dans le texte, un dictionnaire humoristique d’expressions tarabiscotées. Si la démarche est louable, soulignant les délires idéologiques du maire de Paris qui se traduisent par un novlangue tout aussi délirant, Anne Hidalgo appartient au monde d’avant. Celui de la gauche idéologique des Najat Vallaud-Belkacem et Christiane Taubira, gauche qui a été durablement congédiée avec François Hollande. Anne Hidalgo, c’est fini. Et la droite aurait tort de s’acharner sur ce vestige. En continuant sur cette pente, elle fait le lit du macronisme.

    Elle serait d’autant plus impardonnable qu’Emmanuel Macron est à l’Élysée et que l’un de ses plus proches lieutenants, Benjamin Griveaux, est déjà en campagne pour les municipales à Paris. Contrairement à la fin du quinquennat Hollande, les acteurs sont sur scène, sans masque, et la comédie du nouveau monde en est à son deuxième acte. Il serait temps que la droite suive le spectacle en temps réel.

    Or, tétanisée depuis des années de défaites, la droite parisienne n’a pas de leader, pas de ligne, hésite même, pour certains de ses membres, à faire cause commune avec La République en marche. Elle devrait pourtant se rappeler que la boboïsation à la NKM n’a pas été pour elle une réussite.

    Dans une ville à la sociologie très favorable au macronisme (35 % au premier tour en 2017 et 90 % au second), elle doit se réinventer d’urgence et ne surtout pas se contenter de faire de l’anti-Hidalgo. Ses atouts ? Le poids très faible du Front national dans la capitale : 5 % au premier tour l’an dernier et 10 % au second. Et l’opposition Griveaux-Hidalgo, qui iront chacun au combat sous leurs propres couleurs. Ni bobo, ni gaucho : c’est déjà un bon slogan de départ, et cela représente tout de même beaucoup de Parisiens. Mais ils sont en droit d’exiger davantage que ce positionnement uniquement négatif.

    http://www.bvoltaire.fr/face-a-anne-hidalgo-droite-commet-meme-erreur-face-a-hollande/

  • Le n°4 de "Confrontation", la revue qui dénonce l'islamisation de l'Europe, sort en fin de semaine

    1420490145.jpgConfrontation n°4 - Été 2018 80 pages, 12 €

    Au sommaire :

    Page 3 : URGENCES !   

    L’éditorial de Jean-François Touzé

    Page 5 : Pauvres petits mineurs étrangers isolés

                  Julien Aubin

    Page 9 : La subversion islamo-gauchiste

                  Jean-Yves Léandri

    Page 20 : L’emprise de l’Islam depuis 1973

                     Alain Wagner

    Page 23 : Tariq Ramadan, Dr Jekhill ou Mr Hyde ?

                     José Castano

    Page 27 : Entretien avec le Carl Lang, Président du PdF

    Page 34 : Les nouveaux amis de Jupiter.

                    Jean-Gilles Malliarakis

    Page 39 : Macron face à l’immigration

                    Robert Martin

    Page 54 : Frappe en Syrie, grand spectacle...

                    Roland Lombardi

    Page 58 : Retrait des Etats-Unis de l’Accord de Vienne 

                     J-F Touzé

    Page 62 : Un peuple oublieux est un peuple qui meurt 

                     J. Guillemain

    Page 67 : La chronique de Bernard Atlan

    Page 70 : Au fil des pages…

    Jean-Yves Léandri et Agnès Claude

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  • L’affaire Kohler éclabousse Macron

    Comme Cahuzac les yeux dans les yeux, Kohler nous dira “je suis clean de chez clean”! MDR! HaHaHa!

    Selon les documents de la commission de déontologie que nous publions, le secrétaire général de l’Élysée n’a jamais révélé à cette instance ses liens familiaux avec la société MSC. Pour faciliter son pantouflage controversé en 2016, Emmanuel Macron a signé une attestation qui n’évoque pas la situation de conflit d’intérêts de son ami et plus proche collaborateur.

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  • Bernard Lugan déconstruit le mythe de « Mai 68 » sur Sud Radio

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    Le 14 mai 2018 dernier, Bernard Lugan intervenait dans l’émission “André Bercoff dans tous ses états” sur Sud Radio pour évoquer son ouvrage : Mai 68 vu d’en face.

    https://fr.novopress.info/

  • Éric Zemmour : “On détruit un peuple avec l’immigration et on détruit une Nation avec le multiculturalisme

    Voir l'image sur Twitter
    Fdesouche@F_Desouche
     

    Éric Zemmour : "On détruit un peuple avec l'immigration et on détruit une Nation avec le multiculturalisme" http://www.fdesouche.com/1011819-eric-zemmour-on-detruit-un-peuple-avec-limmigration-et-on-detruit-une-nation-avec-le-multiculturalisme 

  • Une femme égorgée à Orléans par un récidiviste

    Samedi, une femme de 31 ans, mère de trois enfants, a été poignardée à plusieurs reprises, à Orléans. La presse indique qu'elle présentait des plaies au niveau du cou et du thorax. Autrement dit, elle a été égorgée.

    Un homme a été interpellé, samedi soir, à Paris dans le 12e arrondissement. Le meurtrier présumé est actuellement en garde à vue à l’hôtel de police d’Orléans. L’individu âgé de 34 ans, Malik S., a déjà été condamné par le passé pour avoir tué un jeune homme à l’arme blanche. Il est actuellement en... libération conditionnelle depuis 2012 et il est suivi par un juge d'application des peines. Il devait terminer son aménagement de peine en décembre 2018.

    Le 18 décembre 2004, la cour d’assise du Loiret avait reconnu Malik S. coupable d’homicide volontaire pour un crime de 2002. Il avait été condamné à 20 ans de réclusion...

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Appel d’Angers - Pour l’unité de la droite

    6a00d83451619c69e20224e03cf342200d-200wi.pngLa plupart des appareils politiques Parisiens bloquent toute idée d’entente à droite.

    Mais l’entente ne cesse de progresser à la base.

    Chaque semaine, de nouvelles réunions dans l’esprit de l’appel d’Angers s’organisent, un peu partout en France.

    Et des Dizaines d’élus locaux et de militants associatifs ont déjà signé cet appel.

    Vous pouvez les rejoindre: http://appel-angers.org/

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Demain, la grande expropriation

    853060743.jpgGeorges Feltin-Tracol

    Voir Macron. 8 scénarios pour un quinquennat (NDLR : Michel Drac, Le retour aux sources, 17 € cliquez ici) comporte une terrifiante hypothèse pour les contribuables français qui viennent de remplir leur déclaration annuelle. Dans un troisième scénario intitulé « La grande spolation », Michel Drac envisage qu’à la suite de conflits locaux et de coups d’État financiaristes, des « ajustements financiers sont opérés dans tous les pays de la zone [Euro] par confiscation pure et simple des propriétés, via le plus souvent des moyens insidieux et indirects. En France, par exemple, l’État est maintenant copropriétaire de toutes les propriétés immobilières. Il perçoit donc une redevance de copropriété (p. 144) ». « Fumisterie ! Exagération anxiogène ! Complotisme ! » réagit le Système.

    Pourtant, l’ISF transformé en Impôt sur la fortune immobilière (IFI) ne concerne plus les valeurs mobilières. Typiquement bougiste, ce nouvel impôt convient bien à la finance anonyme et vagabonde. Pendant la crise de l’euro, les Grecs ont vu leurs retraits bancaires hebdomadaires limités tandis que les comptes courants des Chypriotes subissaient une forte ponction de la part des organismes financiers. L’Union pseudo-européenne prévoit la généralisation de ce prélèvement non consenti à l’ensemble des titulaires des comptes courants de l’Eurolande en cas de situation grave.

    La chronique dans Libération du 15 mai 2018 d’Iona Marinescu, enseignante en économie à l’Université de Pennsylvanie, évoque Radical Markets, un ouvrage d’Eric Posner et Glen Weyl. Les deux universitaires de Chicago dénoncent la propriété privée qu’ils jugent criminelle parce que monopolistique. Ils suggèrent de fiscaliser toutes les formes de propriété, « sauf peut-être, précise la chroniqueuse, les effets personnels ». Cette proposition obligerait ainsi les propriétaires à vendre leur bien si une tierce personne souhaite l’acquérir. Par exemple, une personne déclare au fisc la valeur de sa maison, soit 70 000 €. Si un acquéreur souhaite l’acheter à ce prix, il l’obtiendra sans aucune discussion possible.

    Iona Marinescu pense que les rentrées fiscales qui en découleront pourraient alimenter un revenu universel. Bref, cet impôt sur la propriété « est radical, parce qu’il transforme la notion de propriété privée en une notion de propriété collective qu’on loue au plus offrant ». Déjà les cartes bancaires de retrait et les cartes magnétiques de transports tels Navigo en Île-de-France sont la propriété des banques et du STIF… Une nouvelle fois se manifeste un « communisme de marché », titre de l’ouvrage prémonitoire de Flora Montcorbier paru en 2000. Eric Posner et Glen Weyl confirment l’inquiétante convergence entre certains pans de la pensée libertarienne et un gauchisme économique le plus égalitariste, soit l’immense marchandisation de la vie, de la nature et du monde.

    Financiers, banquiers et autres cloportes du Capital planétaire nous préparent vraiment un monde affreux. Faisons donc cesser leurs manigances infernales, de gré ou de force !

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°80, diffusée sur Radio-Libertés, le 25 mai 2018.

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  • QUAND ÉDOUARD PHILIPPE MET EN CAUSE LA DÉMOCRATIE EN PRÉTENDANT LA DÉFENDRE

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    Jean-Luc Mélenchon avait promis, pour le 26 mai, une « marée populaire » : ce fut « un petit coefficient de marée », ironise le Premier ministre, dans un entretien au JDD. Il est de bonne guerre de discréditer l’adversaire par un mot d’esprit. Mais un bon mot n’a jamais fait une bonne politique, même s’il aide à la faire passer. Surtout quand l’argumentation qui l’entoure débouche sur d’autres débats, comme la légitimité du gouvernement et, plus généralement, des formes actuelles de la démocratie.

    Que la SNCF et le statut des cheminots doivent être réformés, nul n’en disconvient. Encore faut-il le faire sans arrière-pensées, expliquer clairement pourquoi une réforme est nécessaire et accepter un dialogue constructif. Édouard Philippe (qui ne fait qu’appliquer la volonté d’Emmanuel Macron) préfère passer en force. On n’a plus qu’à se taire. Pas question de discuter, puisque « la démocratie a parlé » : il est dangereux de « rejouer dans la rue ce qu’ [on] a perdu dans les urnes », souligne-t-il.

    Il faut sans doute avoir mauvais esprit pour n’être pas convaincu par ce raisonnement. Pourtant, au lieu de renforcer la position du gouvernement, il la rend plus contestable. « Nous avançons. Nous mettons en œuvre le programme du président de la République pour lequel les Français ont voté. » Pas de chance : la réforme de la SNCF n’était pas explicitement au programme. L’eût-elle été, cela n’autorise pas l’exécutif à imposer ses décisions.

    Macron a bien été élu par les Français, mais il a été mal élu : c’est incontestable. Insister sur la légitimité du Président, c’est pointer les faiblesses du système démocratique actuel, qui donne à une minorité la capacité d’être majoritaire. On objectera que, si beaucoup d’électeurs ont voté pour Macron sans conviction et par rejet de sa concurrente, les députés LREM, qui portaient son programme, ont obtenu une écrasante majorité.

    Il serait cruel de prétendre que la plupart n’ont été élus que parce qu’ils avaient le soutien de Macron. Et pourtant ! « Un âne aurait l’étiquette En Marche !, il aurait été élu », avait déclaré Edwy Plenel, au soir du premier tour des élections législatives. Pour une fois, avec raison. Tous les élus ne sont pas des ânes, mais force est de constater que rares sont ceux qui ne se comportent pas en godillots. Osent-ils sortir du lot, voire se rebeller, Richard Ferrand (le président du groupe) les rappelle vite à l’ordre et les remet dans le rang.

    Quand on voit la composition de l’Assemblée nationale, peut-on dire qu’elle soit représentative de l’ensemble des Français ? Le scrutin uninominal à deux tours permet, certes, d’avoir une majorité de gouvernement, mais c’est le gouvernement d’une minorité. Ce n’est pas l’introduction d’une petite dose de proportionnelle, tempérée par la diminution du nombre de parlementaires, qui y changera quelque chose. Seule une proportionnelle intégrale répondrait aux impératifs de la représentativité.

    Mais cela supposerait qu’on fasse des compromis. Vous n’y pensez pas ! Voulez-vous que nous connaissions la situation de l’Autriche ou celle de l’Italie (on oublie, généralement, de citer l’Allemagne) ? Pourquoi pas ? Ces pays respectent, plus que la France, le jeu démocratique. N’est-il pas paradoxal que nos dirigeants n’aiment la démocratie que lorsqu’elle leur assure d’avoir les mains libres ? Ils ont dédaigné, en 2005, les résultats du référendum pour une Constitution européenne, qui traduisait l’opinion du peuple.

    Si l’on doit fausser les règles de la démocratie pour pouvoir gouverner, ce n’est pas acceptable. C’est tout le système institutionnel qu’il faut avoir le courage de remettre en question et de refonder. Sans quoi, on joue la comédie de la démocratie en se comportant en despote.

    http://www.bvoltaire.fr/edouard-philippe-met-cause-democratie-pretendant-defendre/