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Bernard Antony, président de l’AGRIF, directeur de la revue Reconquête, fondateur de Chrétienté-Solidarité, communique :
De la barbarie algérienne en France
A Marseille, ce dernier mercredi, les Galeries Lafayette ont été la cible d’une incroyable razzia par toute une faune à l’évidence « culturellement maghrébine ». Les vidéos en notre possession montrent que tous les stands de vêtements, de chaussures, de parfums ont été systématiquement pillés alors que des « fatmas » étaient assises, accroupies sous leurs voiles en attendant tranquillement la fin des pillages.
Le dernier rapport annuel de l’Inspection générale de la police nationale (IGPN), publié le 15 octobre, révèle une hausse spectaculaire des « atteintes à la probité » au sein de la police. Ces infractions (corruption, trafic d’influence, concussion, détournement de fonds publics, prise illégale d’intérêts, favoritisme ou encore consultation illégale de fichiers) ont presque doublé en cinq ans, passant de 137 en 2020 à 234 en 2024, selon Franceinfo. Dans le détail, 66 enquêtes ont concerné des faits de corruption active ou passive (contre 33 en 2020), et 75 des détournements de fichiers (contre 57 en 2020).
Les temps sont durs pour les patriotes et les tenants des traditions qui enracinent les hommes dans leurs territoires, et les désillusions tombent comme à Gravelotte, aux pays des wokismes et de l’islamogauchisme. Il est donc plus qu’important de relater et de relayer des bonnes nouvelles lorsqu’elles nous arrivent. Cela n’est pas si fréquent, hélas.
Un douzième texte de notre rubrique « Souvenez-vous de nos doctrines » est à retrouver aujourd’hui, de Louis XIV dans ses Mémoires et instructions pour le Dauphin…
Ce fut alors que je crus devoir mettre sérieusement la main au rétablissement des finances, et la première chose que je jugeai nécessaire, ce fut de déposer de leurs emplois les principaux officiers par qui le désordre avait été introduit ; car depuis le temps que je prenais soin de mes affaires, j’avais de jour en jour découvert de nouvelles marques de leurs dissipations et principalement du surintendant.
Les détails du crime sont insoutenables. Ce vendredi 17 octobre, l’ouverture du procès de Dahbia Benkired pour le viol et le meurtre avec actes de torture ou de barbarie de la petite Lola Daviet replongeait dans l’horreur de la journée du 14 octobre 2022. Ce jour-là, le corps dénudé de la collégienne de douze ans était retrouvé sans vie à l’intérieur d’une malle, dans son immeuble du XIXe arrondissement de Paris.
Interpellés le 13 octobre 2025, dans le cadre d’une opération antidrogue, dans un immeuble de Saint-Lô (Manche), trois hommes ont été présentés en comparution immédiate, vendredi 17 octobre, à Coutances. Ayant demandé un délai pour leur défense, ils seront jugés le 21 novembre.
Confronté à la gestion calamiteuse de ses prédécesseurs, Lecornu préparant son budget, ne démérite pas : il ratiboise. Non pas que chez les Gaullistes nous soyons contre l’impôt, mais au moins, nous sommes pour que chacun puisse vivre dignement de son travail, de son mérite, de son courage et de sa volonté d’entreprendre. Lecornu fait bien tout le contraire de cela, il prend un peu plus chez ceux qui travaillent et donne un peu moins à ce qui ont déjà peu, le tout sous couvert de justice sociale, avec une dialectique appropriée : « tout le monde doit faire des efforts ». Tout le monde s’entendant par « ceux qui en font déjà doivent en faire encore plus », avec son corollaire, « ceux qui n’en font pas doivent pouvoir continuer à ne pas en faire ». Et de continuer dans la dialectique appropriée, ceux qui ne sont pas d’accord, sont des « irresponsables », très à la mode, veulent le « chaos », comme si Macron et sa clique n’étaient pas eux mêmes le chaos ? Ils s’estiment même « garants de la stabilité ». Impensable, nous ne sommes pas stables mais en plein plongeon. Note de la France dégradée, production industrielle sous les 10 %, richesse moyenne inférieure aux pays européens équivalents, services publics en berne et délinquance galopante… ce serait cela la « stabilité » ?
Alors que l’actualité politique ne semble plus être qu’une succession de décisions hasardeuses, Pierre Boisguilbert revient sur ce qui caractérise la situation : la suspension… Polémia
Pour beaucoup, c’est par simple ignorance, pour quelques uns, c’est par idéologie – ils ne veulent pas savoir, ne veulent pas le comprendre pour continuer à appartenir au camp du bien – mais finalement, très peu le comprennent et encore moins le pratiquent. C’est bien évidemment visible dans beaucoup de leurs réflexions au jour le jour, notamment avec cette manie de toujours vouloir non pas « aider les pauvres » mais surtout « taxer les riches ».
La sanction devait tomber le 28 novembre. Autrement dit dans un siècle, dans le calendrier de la vie politique française devenu dingue depuis que Macron a décidé de faire de la constitution son hochet. Mais l'agence Standard & Poor's a rendu le verdict, dès hier soir, vendredi 17 octobre, surprenant tout le monde : la note de la France passe de AA− à A+, passant de la quatrième à la cinquième meilleure note. Moody’s avait déjà abaissé la note française à Aa3 en décembre dernier, et Fitch il y a un mois, et cette nouvelle dégradation intervient après la propre alerte de S&P en février dernier qui avait abaissé la perspective à négative.