Enfin, les Français ont été entendus ! Et c’est par la voix de leur inestimable Président, Emmanuel Macron, que la nouvelle a été rendue publique dans une joie et une allégresse visible de toute la classe dirigeante française : la Commission européenne vient de confirmer la possibilité pour les États membres d’interdire les réseaux sociaux sous un certain âge ! Youpi !
France et politique française - Page 26
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Liberté d’expression : l’étau se resserre encore
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Un journaliste se fait remettre à sa place par une immigrée totalement assimilée !
A Rome, fais comme les Romains !
Tel est pris qui croyait prendre et pan sur le bec !
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Maire LR de Limoges : “On fait tout pour faire une république islamique”
Maire LR de Limoges depuis 2014, Émile Roger Lombertie répond à Marc Baudriller sur Boulevard Voltaire, suite aux émeutes que sa ville a connues :
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Cet hiver démographique dont il faut sortir...
La nouvelle est presque passée inaperçue, malgré quelques articles et reportages télévisés, et elle est déjà presque oubliée, ce qui n’est guère rassurant quand on se rappelle de la devise « Gouverner, c’est prévoir ! » : depuis l’an dernier, depuis la période du 1er juin 2024 au 31 mai 2025, les cercueils se remplissent plus vite que les berceaux, ce qui est inédit depuis 1945, et ce qui arrive avec une décennie d’avance sur ce qui était prévu, au grand dam des économistes et d’un gouvernement qui n’avait pas vraiment besoin de cette mauvaise nouvelle supplémentaire. En fait, cela fait quelques années déjà que les signes inquiétants se multipliaient, entre une baisse rapide, prolongée et conjointe de la fécondité et de la natalité en France, baisse qui confine désormais à l’effondrement, apparemment sans espoir d’un redressement prochain et qui, de toute façon, ne sera évidemment pas suffisant s’il ne s’appuie pas sur des bases solides et pérennes. Si les causes majeures sont connues depuis longtemps, d’autres sont venues s’ajouter à celles-ci depuis la période de la crise sanitaire qui semble avoir accéléré le processus de déclin démographique du pays, à rebours de ce que l’on aurait pu espérer d’un confinement qui instaurait une proximité plus pressante dans les appartements et maisons…
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« Jean-Marie, sors de ce corps ! »
Maurice Bernard
Il y a deux jours, mercredi 23 juillet, dans l’émission Les Grandes Gueules, sur RMC, l’essayiste et chroniqueuse Barbara Lefebvre, au meilleur de sa forme, a étrillé de belle manière le fantôme de l’Élysée, ainsi que l’UMPS (comme à la grande époque du Front national de Jean-Marie Le Pen), et appelé Bruno Retailleau à choisir l’union des droites :
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Loi Duplomb : François-Xavier Bellamy remet Hugo Clément à sa place
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Boulbon (13) : deux hommes qui tiraient en l’air depuis un scooter, percutés volontairement par une voiture, un mort
Deux hommes sur un scooter ont tiré en l’air dans les rues de Tarascon, dans les Bouches-du-Rhône, ce jeudi 24 juillet vers 19 heures. Quelques minutes plus tard, ce même scooter a été percuté par un véhicule sur la commune de Boulbon, située à huit kilomètres, a appris BFMTV.
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Nouvelle enquête contre Bertrand Cantat : retour sur l’angélisation de l’extrême gauche
Dans la nuit du 16 au 17 juillet 2003, Marie Trintignant tombait sous les coups de son compagnon, le chanteur Bertrand Cantat. Mais l’émoi face à ce que les médias et les militants de gauche appelleraient aujourd’hui un féminicide n’était pas total. Car Bertrand Cantat était un « artiste engagé ». C’est-à-dire qu’il militait publiquement contre le capitalisme – en apostrophant par exemple régulièrement Jean-Marie Messier – et luttait contre « l’extrême droite » – en fustigeant régulièrement le Front national. De quoi amener les médias et le monde politique de gauche à se montrer particulièrement magnanimes. Quelques années plus tard, en 2010, sa compagne Kristina Rady se suicidera après avoir laissé un message glaçant à ses parents sur les violences de Bertrand Cantat. Et là encore, le monde politico-médiatique restera très discret. Mais, ce jeudi 24 juillet 2025, le parquet de Bordeaux a annoncé l’ouverture d’une nouvelle procédure pour « violences volontaires par conjoint ou concubin » contre Bertrand Cantat à propos de sa relation avec Kristina Rady.
Voici ce qu’écrivait Polémia le 16 septembre 2003, quelques jours après cette affaire Cantat. Le traitement médiatique affolant y est fustigé. Si ce texte a quelque peu vieilli puisque le drame est maintenant ancien, le fond du propos est toujours d’actualité. -
Changement de chef d’état-major des armées : une casquette remplace un képi
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Montpellier : un migrant africain suit une jeune femme sur plusieurs kilomètres, sort un couteau et la tire par les cheveux… L’agression sexuelle évitée grâce à l’intervention de policiers. Le Guinéen placé en détention
« Une agression sexuelle évitée de justesse à Montpellier » – Un homme de 18 ans, de nationalité guinéenne, a été placé en détention provisoire, en ce début de semaine, après avoir suivi une jeune femme durant plus de 2 km dans la nuit de samedi à dimanche 20 juillet à Montpellier. Victime qu’il a tenté d’isoler sous la menace d’un couteau.
Cette nuit-là, un individu adoptant un comportement suspect envers plusieurs femmes dans le centre-ville de Montpellier a été repéré par les agents du Centre de supervision urbaine (CSU), qui ont alors décidé de le surveiller et d’alerter la police municipale. Une initiative judicieuse car le mis en cause s’est ensuite focalisé sur une jeune femme de 23 ans qu’il a suivie sur plus de deux kilomètres, depuis le secteur de Rondelet jusqu’aux portes de Tournezy. (…)
En garde à vue, ce Guinéen, âgé de 18 ans, aurait nié les faits selon nos informations. Mais au vu de la gravité de la situation, le parquet de Montpellier a décidé d’ouvrir une information judiciaire et de saisir un juge d’instruction. Le suspect, présenté au juge des libertés et de la détention, a finalement été placé en détention provisoire dans l’attente de son procès.
Selon une source proche de l’enquête, cette intervention a très vraisemblablement évité une agression sexuelle. L’enquête devra établir avec précision les intentions de l’individu qui pourrait être renvoyé devant la cour d’Assises si les faits venaient à être confirmés.