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Tandis que Yaël Braun-Pivet qualifie les héritages de manne qui « tombe du ciel » et appelle à les taxer davantage, l’examen du projet de loi de finances semble réveiller les appétits, notamment à gauche mais aussi au centre, de ceux qui souhaitent alourdir la fiscalité sur les transmissions.
Ce que dit Laurent Alexandre aujourd’hui je le disais dans la vidéo ci-dessous il y a déjà 4 ans. Le niveau scolaire est tellement effroyable, que les pseudo formations non techniques et non scientifiques soit disant Bac +5 qui ne vous apprennent pas grand-chose en un temps terriblement longs (5 ans c’est très long et c’est très cher à financer) pour apprendre ce qu’on pourrait globalement apprendre dans des formations bien plus courtes et bien plus denses que c’est une véritable perte de temps et d’argent.
Je lisais Le Monde au bar des Brisants, face au port de Lechiagat, entre deux averses d’octobre, un de ces jours où la mer a des reflets de fer. Sur petite terrasse, sous une vigne fatiguée et où les chaises de couleurs se résignaient à faire de la figuration sous la pluie, et je feuilletais sans curiosité apparente les pages politiques du grand quotidien parisien. Soudain, deux articles retinrent mon attention. Le premier signé Guillaume Sainteny, secrétaire général de la Fondation Jean-Jaurès, le second de Brice Teinturier, directeur général délégué d’IPSOS. Tous deux commentaient le baromètre annuel sur les affinités partisanes. Et pour la première fois, à ma grande surprise, Le Monde semblait s’incliner devant la réalité qu’il niait depuis quarante ans : la France s’est droitisée, non par accident, mais par maturation.
L’ancien directeur général de la DGSE a délivré un entretien choc, dans Le Figaro Magazine, où il s’exprime sur les enjeux de l’immigration, vingt ans après les grandes émeutes de 2005. La clarté d’analyse de Pierre Brochand s'appuie sur une expérience acquise à travers un parcours professionnel tutoyant les plus hautes fonctions de l'État. Son constat est particulièrement préoccupant et - fait rare pour une sommité à la parole publique libérée - il rejoint le diagnostic porté par la droite nationale depuis des décennies.
La note de la France une fois de plus dégradée, et notre nouveau ministre du budget de déclarer que c’était là un appel à la lucidité ? Et pour toute réponse il propose une augmentation des prélèvements de 19 milliards, sans toucher aux dépenses. La démence les possède et ils ne cesseront que lorsqu’on les arrêtera, où alors, ils ont des ordres fermes ? Le socialisme jusqu’au bout jusqu’à l’ivresse et le coma. Nous n’en sommes pas très loin, mais il faudra que tout s’écroule, qu’il n’y ait plus rien à ponctionner, plus de richesses produites, pour que la population se rende compte du désastre de plus de quarante ans de dérive budgétaire, de socialisme outrancier, où les seules solutions ne furent concrètement que taxes et impôts supplémentaires. Où la justice sociale est passée par une ponction toujours plus présente jusqu’à l’asphyxie de notre économie, de nos volontés, avec comme refrain que ceux qui réussissaient devaient payer pour les autres, quand bien même ces autres ne tenteraient rien, et pire viendraient simplement sur notre sol pour profiter d’une manne financière qui n’existe nulle part ailleurs.
Si comme moi vous avez été nouveau un jour, forcément on sait que c’est compliqué.
Aussi compliqué qu’un budget de la sécu, mais tout de même !
Madame est ministre, elle sait qu’elle va être interrogée, elle peut même deviner les sujets, et de vous à moi, avec son service communication, elle peut même demander les questions avant… Alors, bafouiller ainsi n’est pas digne d’un ministre de la santé.
On les croit de droite. C’est un leurre. Ce sont les centristes mous du genou, en perpétuelle génuflexion devant la gauche. Samedi soir, ce vieux boomer d’Alain Juppé s’est offert son quart d’heure warholien. C’est sûr, à 80 balais, susciter les ricanements de connivence sur le plateau de Léa Salamé, ça vous pose un homme ! Invité de l’émission Quelle époque !, samedi soir, sur France 2, l’ancien Premier ministre de Jacques Chirac – il avait un livre à vendre – a fait le malin, lors de la séquence Photocall. Quand vient la photo de Bruno Retailleau, Alain Juppé lance alors un « Ciao » méprisant. Cela lui aura valu - une fois n’est pas coutume - de faire rire l’assistance.
Près de mille mineurs non accompagnés étrangers devraient être accueillis prochainement dans des centres en construction. Un projet qui révèle un véritable bras de fer entre des élus locaux et le département, accusé de mettre en place ces «villages» sans se concerter avec les maires. […]
En février 2025, le parquet de Nice a ouvert une enquête confiée conjointement à la brigade de recherches de la gendarmerie et au service d’enquête judiciaire de la CPAM PACA. Des centanies de trajets médicaux n’ont jamais été effectués.