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Les faits se sont déroulés en quelques minutes, en plein centre-ville de Givors. Vendredi 16 mai vers 21 heures (…) Selon les premiers éléments rapportés par le Progrès, un homme se serait approché d’elle, aurait tenté de l’embrasser de force et de lui baisser son pantalon.
Le hasard est parfois curieux. Ce jeudi 22 mai, notre directeur de publication, Guy Sebag, ainsi que notre contributeur Laurent Droit (qui avait signé l’article incriminé sous le nom d’Ivan Bartowski) passeront en cour d’appel, à Paris. Leur crime : avoir écrit, et accepté de publier, un article intitulé « La France ne s’en sortira que si elle éradique totalement l’islam ». Nous portons à la connaissance de nos lecteurs cet article vieux de plus de quatre années, pour lequel nous n’avons pas une virgule à retirer.
« Faire basculer toute la société française dans la charia. » Alors que le rapport sur « Les Frères musulmans et l’islamisme politique en France », commandé par Gérald Darmanin, sera présenté ce mercredi 21 mai par Bruno Retailleau en Conseil de défense, une version déclassifiée a d’ores et déjà été publiée dans les colonnes du Figaro. Long de 73 pages, ce document conclut à l’existence d’un « risque frériste » en France. 139 lieux de culte affiliés aux Musulmans de France - « principale émanation des Frères musulmans en France » -, 280 associations, 21 établissements scolaires… Le rapport dresse le portrait d’une France gangrenée par les réseaux fréristes. Preuve du succès des Frères musulmans sur le territoire, un nombre non négligeable de Français de confession musulmane partagent désormais le « sentiment d’une "islamophobie", qui tend à devenir la croyance en une "islamophobie d’État" », notent les auteurs du rapport. Et si « le secteur éducatif apparaît comme la priorité de la branche française des Frères musulmans », le rapport appelle à ne pas négliger pour autant le « dynamisme de la prédication 2.0 ». En effet, comme le souligne le document déclassifié, les influenceurs « sont souvent une première porte d’entrée dans la découverte de l’islam et sont devenus le lien entre les idéologies islamistes et les jeunes francophones européens ».
Même si « pour la sixième année consécutive, la France vient d’être classée premier pays européen pour les investissements étrangers » tout ceci est une illusion de propagande, et non, quand je dis cela ce n’est pas pour critiquer bêtement notre saint-président, notre phare du Palais, notre lumière élyséenne ou encenser Donald Trump.
« Il aurait reçu un coup de hache sur la route avant de venir s’écrouler sur le parking et de perdre tout son sang, soupire l’élu Moktar Allouache, adjoint au maire de Nogent-sur-Oise. C’est tellement choquant, rien que d’en parler j’en ai des frissons. » (…)
On a l’air de commencer à s’inquiéter de l’entrisme des Frères-Musulmans en France. Mais on prend garde de bien les séparer de l’islam, ce qui fait penser à l’islamisme, qui n’a rien à voir avec l’islam, évidemment, qui est une religion de paix et d’amour, tout le monde sait cela. Ainsi la mascarade peut continuer. Tout comme les attentats aux cris de Allah-Akbar n’ont rien à voir avec l’islam, les Frères Musulmans sont à bien distinguer de l’islam afin de ne pas froisser « l’immense majorité » qui s’intègre parfaitement à la République. Qui s’intégrerait plutôt, uniquement dans le discours, car en pratique, ce n’est pas l’impression qu’on en a en regardant nos rues, désormais bordées de commerces communautaires, coiffeurs, barbiers, épiceries, dont on sait pertinemment que ce sont les façades à peu près acceptables d’un large processus de blanchiment d’argent sale. Ces mêmes rues qui se constellent de femmes voilées, lesquelles font le forcing pour entrer avec leur accoutrement, dans les écoles et les sports de compétition.
Le 22 mars 2023, un coup de tonnerre éclatait dans le petit monde politico-médiatique. Les deux voitures de la maison du maire de Saint-Brevin, Yannick Morez, étaient incendiées, provoquant un début d’incendie, vite maîtrisé, devant sa maison. Nous étions alors, dans la foulée de la victoire de Callac, en pleine bataille contre l’installation d’un Cada dans le quartier de la Pierre Attelée, près d’une école maternelle et primaire.
«Je me suis évidemment interrogé car il est assez inédit qu’un préfet prenne la plume pour témoigner, explique Alexandre Brugère au Figaro. Mais je l’ai fait au regard de l’importance du sujet, car il est important que des acteurs de terrain s’expriment pour avoir une parole républicaine et rationnelle, expliquer la réalité de la menace et les moyens que nous mobilisons dans le cadre de cette lutte.»Son constat est sans appel : les islamistes prospèrent et s’attaquent «à tous les champs de notre vie collective».
À l’initiative de l’autrichien Martin Sellner et de nombreuses personnalités européennes, Remigration Summit 2025, un sommet de la remigration s’est tenu à Milan ce samedi le 17 mai 2025. Le thème, d’une importance vitale pour les Européens, semble faire peur à la bien-pensance à en juger par le délire qui a entouré l’événement. Les tentatives pour le censurer ont en effet été très nombreuses, le maire de Milan Giuseppe Sala allant jusqu’à saisir le préfet pour le faire interdire sur tout le territoire milanais, en réponse à l’appel du collectif « Nessuna persona è illegale » [Aucune personne n’est illégale].