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Ce quadragénaire, déjà condamné 19 fois dont sept pour violences, était jugé à Lyon pour l’agression d’un retraité le 9 mars.
Le tribunal correctionnel de Lyon a condamné à trois ans de prison ferme, ce lundi 12 mai, un automobiliste qui avait roué de coups et traité de « sale Juif » un homme qui avait assisté à son accident à Villeurbanne (Rhône). Le prévenu, Mehdi S., 45 ans (…) venait de prendre part à la « rupture du jeûne » à la fin du ramadan, avec une association qui « œuvre pour le vivre-ensemble des religions » (…)
Nous recevons aujourd'hui Marc Menant, figure incontournable de CNEWS. Homme aux multiples facettes, il fut commentateur du tour de France et présentateur météo. Conteur hors pair, il est un passionné d’histoire et de belles lettres.
À Clermont-Ferrand, une campagne de lutte contre la fraude dans les transports en commun présente le contrevenant sous les traits d'une jeune fille de bonne famille.
Faudrait quand même pas que des centaines de migrants nouvellement arrivés en Seine-Saint-Denis empêchent le dealer Mohamed et la voilée Fatima en voie d’intégration de devenir de bons petits Français préparant leur filet mignon chaque dimanche, jour du Seigneur…
Ubuesque. Ce 17 mai, une Française et un Tunisien en situation irrégulière doivent se marier à la mairie de Bourg-lès-Valence (Drôme). Mais Marlène Mourier, maire Les Républicains de cette commune de 20.000 habitants, refuse de célébrer leur union. Selon elle, il s’agit « manifestement d’un mariage de complaisance », autrement dit un mariage blanc. Elle en veut pour preuve les aveux du futur marié lui-même qui aurait, lors d’une audition préalable, confessé vouloir « se marier pour les papiers ». Aujourd’hui, elle a l’intime conviction que ce « mariage est insincère ». L’édile refuse donc de se « rendre complice d’une violation d’une règle de droit et de manipulation de l’institution du mariage ». Les mariés, de leur côté, assurent « avoir pleins de projets » et « s’aimer ».
Le pays connaît une nouvelle mortalité infantile alarmante et la France pointeau 23e rang sur les 27 au sein de l’Union européenne. Il s’agitd’un indicateur clé de la qualité des soins périnatals et des politiques de santé publique, ceci alors que dans les années 1990, la France figurait parmi les pays les mieux classés. La mortalité a été plus marquée à partir de 2022, où le taux de mortalité infantile, avant l’âge d’un an donc, a atteint 4,5‰ chez les garçons et 3,7‰ chez les filles, contre respectivement 3,5‰ et 3,0‰ en moyenne dans l’UE27. La Suède en particulier affiche un taux de mortalité infantile de 2,5‰, soit presque deux fois inférieur à celui de la France. Cette mortalité infantile soulève des interrogations… 2022, que s’est-il passé cette année là ? Mais plusieurs facteurs sont en cause : état de santé des mères, inégalités territoriales et sociales d’accès aux soins, qualité de la prise en charge. Cette mortalité serait essentiellement due à l’augmentation de la mortalité pendant la première semaine suivant la naissance, ce qui fait dire aux analystes que ce serait les ratées d’une meilleure prise en charge des affections à la naissance qui fait que l’on comptabilise comme mortalité, des bébés qui auraient précédemment été comptabilisés comme « morts nés ».
Selon Le Progrès, le commissariat de Rillieux-la-Pape, situé rue du Bottet, a été la cible mercredi 14 mai à 23h30 d’une attaque coordonnée : au moins quatre cocktails Molotov et divers projectiles ont été lancés contre l’entrée publique du bâtiment. Une dizaine d’individus vêtus de noir et masqués sont à l’origine des faits.
Dans le Tarn-et-Garonne, une enquête conduite par le parquet de Montauban a permis de mettre au jour une filière marocaine d’immigration illégale adossée à un système de travail dissimulé dans le secteur agricole. Trois personnes ont été interpellées. Elles sont soupçonnées d’avoir participé à une filière organisée d’aide à l’entrée et au séjour irréguliers, mêlant emploi d’étrangers sans titre, travail dissimulé et abus de bien social. Des saisonniers, recrutés contre 10 000 euros, étaient exploités dans des exploitations locales sans titres de séjour ni droits sociaux. Deux suspects seront jugés en octobre.
Plus de trois heures. Plus de trois longues heures de logorrhée présidentielle, d’auto-satisfaction creuse, de bons sentiments en boucle, de « en même temps » aussi fades qu’inefficaces. Emmanuel Macron s’est livré hier soir à un monologue indigeste, à mi-chemin entre le sermon d’un curé progressiste et le discours lénifiant d’un DRH en séminaire. Pendant trois heures, les Français ont eu droit à un étalage d’arrogance technocratique, sans une seule annonce concrète, sans la moindre décision forte – et surtout, sans le moindre courage.
À l’occasion de l’intervention télévisée du président de la République, un moment, un court moment, a été consacré à la sécurité. En particulier à l’avenir des polices municipales. En face d’Emmanuel Macron, pour aborder ce sujet, Robert Ménard, le médiatique maire de Béziers. La question de M. Ménard était simple. En substance, « Monsieur le Président, je suis maire et confronté, dans ma ville, à une criminalité galopante et hors de contrôle. Que pouvez-vous faire pour moi ? » Face à cette question d’une simplicité biblique, Emmanuel Macron n’a pas manqué de rebondir sur le thème, à la mode il est vrai, du renforcement des pouvoirs des policiers municipaux. Dès lors, la première réaction qui pouvait venir à l’esprit était celle de se demander pourquoi, en huit ans de pouvoir, jamais rien n’a été fait.