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France et politique française - Page 2623

  • LUEURS À L’HORIZON… TOUT NE SERAIT DONC PAS POURRI AU ROYAUME DE FRANCE ?

    Nouvelle, cette impression que « ça » bouge, que les lignes frémissent, les positions flottent, les endormis ouvrent un œil, les muets retrouvent de la voix, les trouillards se redressent.

    Ainsi l’affaire des prières de rue venant juste après la suppression de la croix sur la statue de Jean-Paul II. Ces prières se répètent à Clichy-la-Garenne depuis huit mois, mais enfin des protestations s’élèvent et des élus, pourtant très conventionnels, se massent, écharpe bien visible, pour chanter « La Marseillaise » (quelles que soient leurs arrière-pensées, ils sont là). Il semble désormais permis de dire que trop, c’est trop, qu’il ne faut cesser de tolérer ce qui est intolérable, que le deux poids deux mesures est inadmissible. On ose parler, s’étonner, même s’indigner quand des crèches sont interdites dans les mairies à Noël, alors qu’Hidalgo et autres fêtent la fin du ramadan en mairie. Et même Mme Autain n’est pas d’accord quand l’immunité parlementaire de Gilbert Collard est levée pour une image. Où allons-nous si la vérité n’est plus mise sous le boisseau ?

    Ainsi l’affaire Ramadan, qu’il soit coupable ou non, fait s’écharper des membres hautement respectés de la gauche, de l’extrême gauche : lutte de titans entre Charlie Hebdo et Mediapart, duel sanglant entre Riss et Plenel sous nos yeux goguenards. Quand des menaces de mort, que nous savons n’être pas vaines, s’y ajoutent, le combat devient vraiment sérieux. Les porcs balancés jusqu’ici étaient des porcs « blancs », et voici une figure reconnue de l’islam, jugée respectable par beaucoup, interlocuteur privilégié des journalistes et intellectuels, devenu un cochon comme les autres. Du coup, les femmes qui essayaient de parler AUSSI du harcèlement de rue, dans les banlieues sensibles, dans les quartiers où il ne fait pas bon marcher seule, donnent de la voix et se font mieux entendre. 

    Ainsi en va-t-il des féministes : on leur emboîte le pas quand elles attaquent les hommes, leur désir envahissant, leurs mœurs douteuses, leur virilité exhibée. Les malheureux battent leur coulpe, prêts à se dénoncer eux-mêmes et à expier… Mais qu’elles touchent à notre langue, nous balancent de l’écriture inclusive qui porte mal son nom puisqu’elle exclut l’Histoire de notre langue française, alors enfin des voix autorisées (Académie) s’élèvent, et des voix tout court, celle du bon sens, celle du respect de la langue, de l’amour de la littérature, de la lecture, de la diction qui seront aussi atteintes. Même Mme Schiappa trouve que les féministes ont poussé le bouchon trop loin. Peut-on espérer qu’elles en subissent le contrecoup dans d’autres domaines. Car outre la langue sont aussi en cause les rapports particuliers entre hommes et femmes dans notre pays : il me souvient que, au début des années 80, une amie canadienne accompagnée de son mari déclarait, au cours d’un dîner, à quel point elle aimait venir en France où dans la rue, dans le métro, elle sentait le regard des hommes, alors qu’une réserve toute puritaine (et frustrante) régnait dans son pays. Elle n’était ni contente d’elle, ni provocante, ni aguicheuse, mais se sentait exister comme femme à Paris. C’était un autre siècle !

    Ainsi certains qui avançaient des horreurs sans jamais être inquiétés, qui niquaient la France, interdisaient des manifestations aux Blancs, minimisaient les crimes du terrorisme islamique, exhibaient leur haine sur les écrans et les réseaux sociaux, commencent à être mis en cause, critiqués publiquement, obligés de se défendre. Quand on entend Raphaël Enthoven régler leur compte à ceux qu’il n’appelle pas « islamo-collabos » mais qu’il décrit comme tels (Europe 1), quand Riss ose « islamo-gauchistes » dans Le Figaro, quand sur Canal+, le couturier Lagerfeld dit « On ne peut pas tuer des millions de juifs puis faire venir des millions de leurs pires ennemis après », alors on se prend à penser que peut-être tout n’est pas entièrement « pourri au royaume de Danemark »…

    http://www.bvoltaire.fr/lueurs-a-lhorizon-ne-serait-pourri-royaume-de-france/

  • Budget : les 100 plus riches gagneront 1,5 million d'euros par an chacun

    Après l'appel lancé dans «Libération», le président de la commission des finances a obtenu des réponses de Bercy sur les bénéficiaires de la fin de l'ISF et d'une flat tax de 30% sur les revenus du capital. 
    Un cadeau moyen de 1,5 million d’euros pour chacune des cent plus grandes fortunes de France. C’est un des chiffres récupérés à Bercy par le nouveau président de la commission des finances du Sénat, le socialiste Vincent Eblé, communiqués cet après-midi à la presse et consultés par Libération. Une information obtenue après l’appel lancé dans notre journal par plus de 120 parlementaires, et exigeant du gouvernement des éléments précis sur «l’impact» des réformes fiscales en faveur des plus aisés (transformation de l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF) en impôt sur la fortune immobilière (IFI) et mise en place d’un prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 30% sur les revenus du capital).
    Profitable aux très riches 
    Rien que cette «flat tax», selon les données chiffrées communiquées par Bercy à Vincent Eblé, rapportera 582 380 euros par an aux cent premiers contribuables français qui paient aujourd’hui l’ISF. «Pour les 1 000 premiers contribuables, le gain moyen lié au PFU s’élèvera à 172 220 euros par an», précise Eblé. Une mesure qui profitera avant tout aux très riches : 44% du produit de cette flat tax française bénéficiera à seulement 1% des ménages les plus aisés. 
    Par ailleurs, poussé dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale la semaine dernière, le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, avait consenti à donner quelques chiffres sur l’ISF : les cent premiers contribuables qui y sont soumis payent chacun, en moyenne, 1,26 million d’euros. Bercy assure qu’il lui est impossible de chiffrer ce que ces personnes continueront de payer au titre de l’IFI. Eblé a fait un rapide calcul : «Dans la mesure où les plus hauts patrimoines sont constitués à environ 85% d’actifs financiers [qui ne seront plus soumis au nouvel IFI, ndlr], il peut être fait l’hypothèse que le gain lié à la transformation de l’ISF en IFI s’élève pour ces contribuables à environ 1 million d’euros par an.» 
    Des arguments pour la gauche 
    Total, donc, du chèque moyen «PFU + ISF» pour chacun des cent contribuables les plus riches de France : 1,5 million d’euros par an. Un montant qui vient apporter quelques arguments à l’opposition de gauche qui compte, la semaine prochaine à l’Assemblée puis quelques jours plus tard au Sénat, mettre en regard les économies demandées à certains secteurs (emplois aidés, logement social, Sécurité sociale, hausse de la CSG…) et cet allégement considérable de la fiscalité des plus riches de France.

  • Agressions et harcèlement sexuel chez les Jeunes socialistes : la fin de la loi du silence au PS ?

    Dans la presse, huit femmes qui disent avoir été harcelées et parfois agressées sexuellement par un ancien président du Mouvement des jeunes socialistes livrent leur témoignage.
    A l'une, il a tripoté les seins, à une autre les fesses, une autre encore dit avoir été contrainte de le masturber «pour s'en débarrasser», d'autres ont dû s'acquitter d'une fellation ou s'en défendre... C'est le bilan noir dressé par les témoignages publié dans le quotidien Libération le 14 novembre auprès de huit femmes accusant Thierry Marchal-Beck, ancien président du Mouvement des jeunes socialistes (MJS), de harcèlement et d'agressions sexuelles entre 2010 et 2014. 
    A en croire ces récits, l'ancien patron du MJS, devenu secrétaire général du Syndicat du Chocolat en 2015, aurait donc eu des gestes extrêmement inappropriés envers ces jeunes femmes, toutes militantes ou cadres du MJS. Si aucune plainte n'a été déposée, certaines victimes y songeraient, selon le quotidien. 
    Parmi les témoignages, plus outrageants les uns que les autres, celui d'une membre du bureau national qui dit avoir été la victime du jeune socialiste à la fin de l'année 2011, est particulièrement frappant. 
    La jeune femme se trouvait dans le bureau de Thierry Marchal-Beck, rue de Solférino, au siège du Parti socialiste (PS). D'après les dires de la victime, le harceleur présumé aurait alors ouvert sa braguette sans raison, en pleine discussion. «Sa voix n'a pas changé pendant qu'il faisait ça», précise-t-elle. «Il prend ma tête, l'approche de son sexe pour m'obliger à lui faire une fellation. Je le repousse très fort, je l'insulte et je pars en courant.» 
    L'omerta brisée, les vannes s'ouvrent au PS 
    La loi du silence, qui semble avoir prévalu pendant des années au PS, serait enfin brisée. Rita Maalouf, la secrétaire nationale du PS, a demandé une exclusion «dans les plus brefs délais» de l'ancien président du MJS et elle souhaite qu'une cellule d'écoute soit mise en place au sein de son parti. Elle a également déclaré à l'AFP qu'elle exigerait que, dorénavant, «le harcèlement soit un motif d'exclusion». 
    L'actuel président du MJS a également réagi, se disant «révulsé» par ces révélations et il s'est engagé sur son compte Facebook à travailler sur ces sujets pour «interroger et transformer nos cadres collectifs, nos pratiques, nos silences». 
    Dans le contexte de l'affaire Weinstein et du hashtag #MeToo, Caroline de Haas n'a pas tardé à réagir à ces nouvelles révélations. Elle l'a fait sur Twitter, en reprenant le hashtag qu'elle utilise fréquemment, #1femmesur2. La militante politique a déclaré son «soutien total» aux victimes présumées dans un texte également signé par Clara Gonzales, créatrice du numéro «anti-relou».

  • 17 novembre 2012 : première Manif Pour Tous pour défendre la famille

    5 ans déjà :

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    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Civitas organise le samedi 24 mars prochain la 2e fête du Pays Réel : réservez dès maintenant votre stand

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    Un communiqué de Civitas :

    La 2e Fête du Pays Réel s’annonce déjà comme un rendez-vous incontournable. Elle se déroulera le samedi 24 mars 2018, de 10h à 18h, sur un vaste espace couvert à Rungis, en bordure de Paris (800 places gratuites de parking et nombreux transports en commun).

    Vous êtes déjà nombreux à avoir demandé des informations pour y faire partie des exposants. Afin de réserver suffisamment d’espace pour pouvoir satisfaire les demandes de chacun, il est impératif pour vous et nous de s’y prendre tôt. Pour vous y encourager, un tarif avantageux (voir ci-dessous) est proposé aux exposants qui réservent dès maintenant. Attention, seul le payement tient lieu de réservation.

    Bloquez déjà la date : le samedi 24 mars 2018, 2ème Fête du Pays Réel

    La 2ème Fête du Pays Réel se déroulera le samedi 24 mars 2018, de 10h à 18h, sur un vaste espace couvert à Rungis, en bordure de Paris (800 places gratuites de parking et nombreux transports en commun).

    Une fête du Pays réel ? Qu’est-ce donc ? C’est la volonté, durant toute une journée, de mettre à l’honneur la France des terroirs et des clochers dans une ambiance unitaire, conviviale, joyeuse et familiale.

    D’une part, de nombreux stands illustreront l’histoire, la foi, les coutumes, le patrimoine, la culture, le savoir-faire, la gastronomie et le dynamisme de ce Pays réel : éditeurs, associations, congrégations, médias alternatifs, artisans, artistes, viticulteurs, brasseurs et petits producteurs rivaliseront de talents et de richesses à vous faire découvrir. Sans oublier, bien sûr, la longue liste d’auteurs pour petits et grands qui viendront dédicacer leurs livres ou bandes dessinées.

    D’autre part, tout au long de la journée, des intervenants de qualité se succèderont à la tribune dans une salle réservée à cet usage.

    Parmi les intervenants déjà annoncés pour cette édition 2018 : l’abbé Xavier Beauvais, Pierre Hillard, Marion Sigaut, Valérie Bugault, Me Olivier Wyssa, Carl Lang et Alain Escada.

    L’année dernière, la Fête du Pays Réel avait rassemblé des dizaines d’exposants et un public nombreux venu de toute la France. Cette année, il faut faire mieux encore !

    Vous êtes relieur, peintre, dessinateur, sculpteur, graveur, orfèvre, ébéniste, verrier, imprimeur, libraire, éditeur, brasseur, viticulteur, chocolatier, antiquaire…

    Vous vendez des articles de scoutisme, des drapeaux, des vêtements, des porcelaines, des faïences, des figurines historiques, des jouets, du miel, du foie gras, des fromages, des biscuits, du cidre, des liqueurs, du champagne, des bijoux, des produits bios ou santé…

    Vous représentez un mouvement de jeunesse, une association patriotique ou d’anciens combattants, une association familiale, une association de sauvegarde du patrimoine, une école hors contrat, un média alternatif, une congrégation religieuse traditionnelle, une association de reconstitution historique…

    Vous voulez être exposant

    lors de la 2e Fête du Pays Réel ?

    Contactez dès à présent le secrétariat de Civitas– 01 34 11 16 94) pour connaître les conditions et tarifs pour votre secteur d’activité et réserver votre emplacement. Nous contacter rapidement est la meilleure garantie d’obtenir autant d’espace que vous le souhaitez.

    Pour réserver cliquez ici

    NDLR SN : comme lors de la première fête, en mars dernier, Synthèse nationale aura un stand à cette sympathique journée.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2017/11/17/civitas-organise-le-samedi-24-mars-prochain-la-2e-fete-du-pa-6000087.html

  • Quimper. Claudine Dupont-Tingaud arrêtée pour avoir brandi la Une de Valeurs actuelles sur l’islam et le catholicisme

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    Source Breizh info cliquez ici

    Claudine Dupont-Tingaud, militante identitaire et catholique de longue date, s’est retrouvée ce samedi 11 novembre en garde à vue pendant 5 heures, à Quimper, en marge des commémorations du 11 novembre. Son « crime » ? Avoir brandi la une de Valeurs actuelles sorti vendredi 10 novembre sur lequel on peut lire « chassez le christianisme et vous aurez l’islam ».

    Insupportable pour le préfet du Finistère, Pascal Lelarge, qui fera intervenir plusieurs fois les policiers pour retirer les affiches portées par l’ancienne conseillère régionale, cette dernière en ressortant à chaque fois une nouvelle. Claudine Dupont Tingaud finira par se faire arrêter sous le prétexte d’un outrage à agent, et passera 5 heures en garde à vue, traitée comme une délinquante de droit commun. Elle sera convoquée en janvier 2018 devant le procureur.

    Dans un communiqué qui dénonce les atteintes à la liberté d’expression, cette dernière explique :  « après le déroulement de la messe en la cathédrale Saint Corentin (non signalée dans le presse locale, laïcité oblige t’elle ?) en souvenir de l’armistice clôturant la guerre 14-18 le jour de la Saint Martin, évangélisateur des Gaules, la présidente de REAGIR, je participais au cortège d’anciens combattants, d’officiels et de Quimpérois patriotes se rendant au carré militaire du cimetière Saint-Marc.» puis de poursuivre :

    « Je m’étais munie de la Une d’un hebdomadaire national présentant la statue du Pape Jean Paul II à Ploërmel, tant controversée pour être surmontée du symbole du catholicisme, et titrant « Chassez le christianisme et vous aurez l’islam » pensant que ce combattant, lui aussi, du communisme avait toute sa place au milieu d’autres Croix faisant rappel d’un autre péril : le retour de l’islam pourtant chassé et repoussé dans d’autres siècles de notre continent.»

    Claudine Dupont-Tingaud dénonce  «  le désir de mutiler la liberté d’expression que présentait ma pancarte et l’acceptation d’un danger qui devrait se faire lever de nouveaux combattants  comme ceux dont on célébrait la mémoire ce 11 novembre ! »

    Outre Pascal Lelarge, préfet du Finistère, participait à la commémoration notamment Ludovic Jolivet, maire de Quimper, accompagné des délégations militaires, d’associations d’anciens combattants et des représentants des corps constitués de l’État.

    En 2016 déjà, Claudine Dupont-Tingaud – qui fût jadis la plus jeune prisonnière de France appartenant à l’OAS – avait été arrêtée lors des commémorations du 19 mars 1962 à Pleyben, cliquez ici, toujours à la demande du préfet du Finistère, Jean-Luc Videlaine à l’époque.

    NDLR SN : sacrée Claudine !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • La crèche de la mairie FN d'Hénin-Beaumont jugée illégale

    6a00d83451619c69e201bb09d7b694970d-200wi.jpgCommuniqué de la mairie d’Hénin-Beaumont :

    « Condamnée pour avoir installé... une crèche de Noël »

    La cour administrative d’appel de Douai vient d’interdire l’installation d’une crèche de Noël au sein de la mairie d’Hénin-Beaumont et de condamner la ville à verser 1.500 euros à un conseiller municipal communiste qui est à l’origine de cette plainte.

    Cette décision scandaleuse viole toutes les traditions de notre pays et confirme la dérive des juridictions administratives qui interdisent les crèches de Noël l’hiver mais autorisent le burkini l’été.

    Il est particulièrement inquiétant de voir la justice et certains élus avoir pour priorité la destruction de la magie de Noël plutôt que la lutte contre l’insécurité, l’immigration illégale et le chômage."

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/11/la-cr%C3%A8che-de-la-mairie-fn-dh%C3%A9nin-beaumont-jug%C3%A9e-ill%C3%A9gale.html

  • Il y a de la friture sur les ondes entre les dirigeants de l’audiovisuel public

    Lu dans Présent :

    8989-20171117.jpg"[...] Selon un rapport confidentiel du ministère de la Culture (rapport qui a « fuité » dans la presse), des mesures d’économie drastiques seraient envisagées – mais pas confirmées – dans le monde de l’audiovisuel public, dont les entreprises emploient quelque 17 000 salariés, pour un budget total de 3,8 milliards d’euros d’argent public distribué à tout va.

    Ainsi, après avoir imposé un serrage de ceinture avec près de 80 millions d’euros de coupes budgétaires pour 2018 à France Télévision (Arte, Radio France, France 24…), le gouvernement – qui a déjà annoncé pour 2018 une réforme du mode de désignation des patrons de l’audiovisuel public – envisagerait quelques mesures chocs tendance mise au régime sec.

    Parmi les mesures évoquées : fermeture de France Ô, basculement sur internet de la radio Le Mouv’ et de France 4, « rapprochement » des réseaux régionaux de France 3 et France Bleu, « reconfiguration » des deux orchestres de Radio France, « regroupement des sociétés au sein d’une holding ». Le tout accompagné de départs non volontaires. D’où une soupe à la grimace chez les chaînes de télévision et radios concernées qui, sur l’air bien connu du « on ne touche pas aux privilèges », dénoncent une compilation de mesures sous le tapis depuis une décennie. Mesures jugées impossibles à mettre en pratique : « Fermer la chaîne des outre-mer [France Ô] après la grève générale en Guyane, c’est compliqué politiquement », assure-t-on au sein des sociétés de l’audiovisuel concernées.

    Quant à la création d’une « BBC à la française », avec un seul patron pour la télé et la radio, cela fait doucement sourire, certes un peu jaune, les patrons de ces entreprises régies par des conventions collectives différentes. Lesquels dirigeants de l’audiovisuel public – Delphine Emotte (France Télévision), Mathieu Gallet (Radio France), Marie-Christine Saragosse (France Médias Monde), Véronique Cayla (Arte), Laurent Vallet (INA) – ont adressé une lettre au gouvernement avec un rappel de ses missions et des pistes d’économies concrètes. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

     

  • Samedi 2 décembre, Paris : conférence organisée par les Amis franciliens de Synthèse nationale avec Adrien Abauzit

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    LA-FRANCE-DIVISE-PAR-ELLE-MEME_ADRIEN-ABAUZIT.jpg

    Le nouveau livre d'Adrien Abauzit

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    Écoutez l'émission sur Radio Libertés cliquez là