France et politique française - Page 2628
-
Julien Langella - Pour une reconquête catholique et identitaire
-
Une droite vraiment à droite
"[...] Une droite vraiment à droite ne se laisse pas manipuler par ceux qui dénoncent la tentation du repli identitaire et agitent le chiffon rouge du Front national en prétendant que c'est lui - et lui seul - le danger.
Une droite vraiment à droite a conscience que le seul vrai danger pour la France, c'est la gauche qui tue notre pays à petit feu. Une droite vraiment à droite n'a pas d'ennemi à droite.
Quant à ma définition de la droite, elle est simple: la droite est la postérité sécularisée du christianisme, dont elle a gardé le refus de l'utopie et les valeurs qui font durer les sociétés humaines.
Cela oppose radicalement la droite à la gauche, dont les racines renvoient à une double trahison du christianisme: d'une part le millénarisme et sa promesse sur la terre d'un paradis égalitaire de bonheur absolu, qui est la matrice des socialismes et du communisme ; et d'autre part la gnose avec son mépris de la matière, de la procréation, du mariage et de toutes les règles de la vie sociale, sur fond de sacralisation de l'individu du fait de la croyance à divinité de son âme qui fait de lui un homme-Dieu dégagé de toute autorité, de toute règle. La gauche, c'est d'un côté l'utopie sociale, de l'autre l'utopie sociétale.
La droite est l'héritière des précieuses valeurs de durée que le christianisme tire pour l'essentiel de son substrat biblique: valorisation de la famille, de la patrie, exigence morale et par-dessus tout transmission de la vie: bref, tout ce que travaille à détruire la gauche, imprégnée consciemment ou non de la vieille haine de la gnose pour tout cela.
Dans des pays forgés par un millénaire et demi de chrétienté, être de droite constitue la manière normale de penser, de sentir et d'agir. Être de droite offre aux Européens - à ceux qui croient au ciel, à ceux qui n'y croient pas - le moyen de continuer à vivre sur la lancée de leur civilisation millénaire d'origine chrétienne. La droite est le parti des braves gens et du bon sens, du sens commun qui garantit à un groupe humain son existence sur le long terme.
Vous écrivez que parmi les cadres et dans l'électorat de la droite de gouvernement, tous ceux qui sont des «libéraux modernes, qui croient à l'État de droit, au libre échange et à l'héritage moral des années 70» ne sont tout simplement pas de droite. Pourquoi? Qu'entendez-vous plus précisément par «libéraux modernes»?
La frontière entre droite et gauche passe à l'intérieur du libéralisme. Le libéralisme est de droite quand il insiste sur la responsabilité de l'individu quant aux conséquences de ses actes, dans la tradition du Décalogue. Il est de gauche quand il refuse cette responsabilité au nom de la souveraineté absolue du moi, laquelle renvoie à l'homme-Dieu de la gnose, à qui est permis l'immoralisme.
À cela s'ajoute l'antithèse entre l'individu inséré dans une société particulière et l'individu pareil à un électron libre, sans attache ni identité. À l'état pur, quand il ne veut connaître que l'individu et l'humanité, le libéralisme est une religion séculière, une utopie, un système total, comme le communisme.
Face au libéralisme de droite - héritier du christianisme, gardant la notion de bien et de mal -, les libéraux modernes poursuivent une utopie de la liberté illimitée, par-delà le bien et le mal, par-delà les spécificités des peuples, des civilisations, des sexes même. Pour ce libéralisme total œuvrant à l'uniformisation du monde, il n'y a que des individus interchangeables selon le modèle de l'homo œconomicus et festivus d'un marché mondialisé hédoniste. [...]
Il me semble que le «ni droite, ni gauche» du Front national est avant tout électoraliste, répondant à une volonté de balayer le plus largement possible le champ électoral. Le Front national a tout simplement repris les positions progressivement abandonnées par la droite de gouvernement au cours de son processus de soumission toujours plus grande au politiquement correct de la religion des droits de l'homme. D'aucuns parleront d'extrême droite. Pourquoi pas? Il ne faut pas avoir peur du mot et de l'amalgame qu'il semble permettre avec le nazisme, car il est sans fondement. Ambassadeur à Berlin, André François-Poncet notait que le nazisme, «adversaire acharné du conservatisme», s'affirmait comme «d'extrême-gauche» et «farouchement révolutionnaire». Et Eichmann indique à plusieurs reprises dans ses mémoires que sa «sensibilité politique était à gauche. Comme cela est bien connu, l'utopie nationale-socialiste frappait par ses ressemblances avec l'utopie communiste. François Furet a observé que dans les deux cas, il s'agissait de réaliser le paradis sur la terre et que les mêmes mots furent employés pour décrire la société harmonieuse que l'on prétendait fonder. Comme l'a montré Frédéric Rouvillois, le nazisme a en commun avec la gauche la volonté d'instaurer une société réconciliée et le projet de faire apparaître un homme nouveau.
Au contraire, dans ce que l'on appelle aujourd'hui extrême droite ou populisme de droite, il n'y a pas d'utopie, il n'y a pas de projet d'un monde parfait ni de rêve de changer l'homme. Il y a juste une demande d'ordre public, de sécurité des personnes et des biens, de respect des valeurs de durée du groupe humain considéré. C'est-à-dire de simples valeurs de droite. [...]"
-
11 novembre, De Gaulle et ses guignols
Patrick Parment
A chaque 11 novembre on nous sort la même soupe : le pèlerinage à Colombey-les-deux-Eglises qui est aux gaullistes ce que La Mecque est aux musulmans. Il y a un mythe gaulliste lié à une légende fabriquée de toute pièce et qui ne reflète que peu la réalité. L’homme du 18 juin n’y est pas pour grand-chose dans la victoire des Alliés sur les Allemands en 1944. En revanche, De Gaulle avait bien compris que les Américains étaient des envahisseurs autrement plus dangereux que les Allemands. Dans le grand cirque guerrier de 39-45, le rôle de la Résistance est marginal. Ce qui l’est moins, c’est l’attitude des communistes qui ont poussé les Allemands à prendre des otages suite à l’assassinat aveugle et gratuit de soldats allemands. Ce qui l’est moins toujours, c’est l’attitude des communistes durant la grande braderie de l’Epuration où ils s’en donnèrent à cœur joie pour régler leurs petites affaires. Et sur cette période douloureuse de notre histoire, on n’a que le silence du camarade De Gaulle, intronisé, il est vrai, par Joseph Staline en 1941 qui lui sauva la mise à Londres auprès de Churchill.
Puis il y a le De Gaulle du coup d’Etat du 13 mai 1958 et surtout le De Gaulle qui va brader l’Algérie aux tueurs du FLN. Depuis cette date, tous les gouvernements se sont couchés devant les autorités algériennes pour le plus grand bonheur du patronat français.
La seule chose que l’on retiendra de De Gaulle est qu’il a agi et régné comme un monarque grâce à une constitution frisant le fascisme. Le reste, c’est de la posture, sans plus.
Alors De Gaulle….
Mais commémorer le 11 novembre 1918 est un devoir, car Il faut rendre hommage à nos poilus qui étaient pour la plupart de braves paysans que l’on a arraché à leur terre et à leur famille.
-
Crèches interdites, calvaires déboulonnés, croix démontées… Les laïcards en guerre contre l’héritage français
-
Pierre Yves Rougeyron : Grand entretien d'Octobre 2017 Partie II
-
Cette droite, incarnation des puissants, a abdiqué toute défense de la souveraineté nationale
L'avocat Philippe Fontana raconte dans Valeurs Actuelles une anecdote qui illustre l'état d'esprit d'une droite française libérale et internationaliste déconnectée des Français et désintéressée de l'avenir de notre nation :
"L’invitation provient conjointement des associations d’anciens élèves et parents d’élèves d’un chic, mais néanmoins très classique établissement catholique du 16ème arrondissement de Paris. Un ancien élève est invité à discourir, en sa qualité de « dirigeant chrétien » au soir de ce 8 novembre sur « un des grands messages du Pape François : "le vrai Pouvoir est celui de Servir". »
Il porte un de ces noms illustres qui résume, pour tout Français, l’histoire de son pays, des Croisades à Dien-Bien-Phu. Sorti de cet établissement où il a fait toutes ses classes, c’est naturellement qu’il a fréquenté HEC puis l’ENA, avant d’entrer à l’inspection des finances. Récemment retraité de sa position de PDG d’une société du CAC 40 exercée pendant seize ans, l’orateur, aux traits étonnamment jeunes, cintré dans un de ces costumes d’une belle étoffe, se livre à une fresque brillante sur l’évolution du monde d’aujourd’hui. Rappelant sa qualité d’ancien administrateur de l’université des dirigeants chinois, telle qu’il aime à la présenter, l’invité attire l’attention de son auditoire sur la fin de l’hégémonie occidentale, confrontée aux forces orientales.
Très bon orateur, le discours prononcé sans aucune notes, est fluide, troussé de ses anecdotes qui, très naturellement contées, démontre à un auditoire captivé et subjugué, la pratique quotidienne des puissants et la connaissances des affaires mondiales. Puis, prospectif en diable, l’invité énumère les quatre grands facteurs qui risquent de troubler le cours de humanité ces prochaines années : changement du climat, évolution de la démographie, rapidité des progrès technologiques et menace des idéologies. Plus précisément sur la démographie, l’orateur attire l’attention sur un phénomène nouveau en occident qu’est la coexistence de 5 générations, illustrant ainsi le vieillissement de la population européenne, tout en rappelant que l’Afrique va connaître un nouveau milliard d’habitants, à l’orée des années 2050.
L’orateur ne manque pas de préciser que ce monde si changeant aura besoin de dirigeants dont les valeurs, sans jamais se risquer à les définir, leur permettront de se distinguer et d’assurer sa bonne marche. Evidemment, l’invité de son ancien collège ne manque pas de préciser à plusieurs reprises qu’il n’a jamais caché sa qualité de chrétien, ce qui ne l’a aucunement nui dans sa carrière.
De qui cette droite est-elle le serviteur ?
Troublé par un discours brillant mais si pénétré de généralités qu’il en devient trop théorique, un ancien condisciple, plus jeune d’une génération et d’une position plus modeste, se risque à lui poser une question.
Après le compliment d’usage, mais sincère, il lui demande, sur le sujet de la démographie, quelles sont ses propositions pour rétablir la natalité en France et limiter la vague migratoire. Passé un moment de surprise et un bon mot invitant son jeune camarade à procéder au repeuplement du pays dès cette nuit, le catéchisme de la mondialisation heureuse va alors être récité pour conjurer le réel malheur à nos portes : une chute drastique de la natalité française, compensée par un afflux croissant d’immigration. La palme de sa réponse fut de donner comme exemple la réussite de Madame Merkel en Allemagne où le million d’immigrants serait, selon l’invité, en train de s’intégrer.
Au delà de l’anecdote, que retenir de cette soirée ? Que le discours de l’invité est celui du parfait représentant d’une droite libérale et internationaliste à l’insolente réussite, mais dont on peine à distinguer l’âme.
Cette droite n’est plus au service de la Nation.
Preuve en est le désintérêt montré par l’orateur pour l’évolution catastrophique de la politique familiale française, dont déjà Michel Debré se faisait le Cassandre. Ce point, capital pour la survie du pays, ne semble mérité ni d’être évoqué ni bien sûr résolu. Alors, de qui est-elle le serviteur, sinon des puissants, à l’image de l’orateur évoqué, s’accommodant indifféremment d’une classe politique qu’il inspire intellectuellement et qu’il réconforte matériellement ?
Dans son discours, l’invité de son ancien collège assure un ralliement présenté comme inéluctable à Emmanuel Macron, après avoir rappelé son actif soutien à François Fillon. Ralliement justifié par une « vraie vision de l’Europe » de l’actuel président de la République dont l’incantation dispense de toute définition. Effectivement, il incarne le « vrai pouvoir » thème de la réunion. Mais au service de qui ? Son discours laisse à penser que ce n’est pas au service de l’intérêt national, ni des plus démunis.
Cette droite, incarnation des puissants, a abdiqué toute défense de la souveraineté nationale ayant choisi de se situer exclusivement sur une échelle européenne et transnationale. Pour preuve de son indifférence, elle laisse ce combat à Mélenchon ou Philippot. En ce jour anniversaire de la disparition du Général de Gaulle, c’est ce dernier qui fleurit désormais sa tombe.
En tout cas, loin du discours évangélique, elle n’apparaît pas comme le serviteur des plus démunis. Les souffrances du pays, la précarité de millions de nos concitoyens, ne sont jamais évoquées, abstention d’autant plus coupable que son auguste représentant connaît parfaitement les rouages de la réussite, qu’il incarne si bien."
-
L’Hebdo Politique #8 avec Philippe Murer : Ecologie et Patriotisme, l’union contre nature ?
-
La chaîne d’information RT France lancée en décembre, les médias du système s’inquiètent
RT sera lancée en France en décembre et les médias du système rivalisent déjà d’injures et de sous-entendus pour tenter d’en contrecarrer les effets qui ajouteraient encore plus de crise dans la situation déjà pas reluisante de la presse française. Avertir les Fraudes, intimider les clients et se lier entre concurrents pour chasser le nouveau venu, ce qui fonctionne dans une guerre des boulangers à Rouillac peut aussi marcher dans les grands médias.
Elle « sent le souffre » pour La Tribune, est un « organe d’influence » pour Macron – alors simple candidat à la présidence – un moyen de « manipuler l’opinion » pour Les Inrocks qui y ont consacré un dossier titré « Poutine vous mate » – « critiquée pour sa couverture pro-russe de l’information » pour Ouest-France ou « outil d’influence russe » pour Le Monde, une chose est sûre, RT en France ne laisse personne indiffèrent. On aura vu la presse française bien plus prudente avec les grandes oreilles de la NSA ou la CIA dont un ancien agent achète à tour de bras des médias dans les Balkans, région toujours stratégique où la Russie conserve de forts appuis dans le peuple et où les médias sont néanmoins très suivis dans la société.
Financée à 100% par l’État russe, « RT est soupçonnée, au même titre que l’agence de presse en ligne Sputnik, d’être un instrument de propagande et une source d’informations mensongères (« fake news ») au service de la politique de Vladimir Poutine », insinue La Tribune. Des accusations qui ont un vieux fond puant qui laisse songeur : le même qui fleure bon l’accusation d’intelligence avec l’étranger, la cinquième colonne, le Maccarthysme.
Xenia Fedorova, qui dirige la chaîne après avoir géré l’agence de presse Ruptly – elle aussi dépendante des médias officiels russes – à Berlin répond aux accusations : « Nous sommes une chaîne russe financée par l’État, mais dans un groupe où les équipes sont internationales et composées de peu de Russes. Notre modèle économique et notre concept ne sont pas tellement différents celui de chaines d’information internationales comme BBC News ou France 24. Notre objectif est de couvrir les actualités locales, régionales et internationales qui touchent la France et le monde francophone, tout en mettant l’accent sur les aspects trop souvent négligés par nos confrères. »
RT, basée à Boulogne va recruter 150 personnes dont 50 journalistes et se centrer, comme les autres médias français, sur Paris. Pas de grands noms à priori, si on exclut des rumeurs sur Zemmour et Elkabbach. Elle veut capitaliser sur l’audience du site d’information, lancé depuis un an, qui a doublé depuis son lancement et qui est maintenant très lu, notamment par les personnes sympathisantes des partis de droite (UMP, FN, DLF, UDI etc…) et beaucoup de jeunes. La chaîne diffusera 24h/24 dont 10 heures de direct par jour et un journal chaque heure. Le budget sera de 20 millions d’euros et la chaîne devrait aussi être disponible sur les satellites Astra 19.2 et Eutelsat 5W.
RT existe déjà en anglais depuis 2005, en arabe depuis 2007, en espagnol depuis 2009 tandis que l’agence Ruptly a été lancée en 2013. Elle revendique 70 millions de téléspectateurs dans 38 pays. Le développement de RT s’est accompagné d’une forte hostilité des médias établis et même de certains gouvernements (Lettonie, Allemagne, Royaume-Uni), de pressions envers les journalistes, les directions, la diffusion de fausses informations dans la presse du système etc. dans un cadre qui relève d’une véritable « guerre froide de l’information ».
Au sein de l’équipe française, Jérôme Bonnet, cofondateur du journal satyrique Zelium, sera le rédacteur en chef adjoint en charge du digital, Nadia de Mourzitch, ancienne directrice adjointe des magazines de TF1, gérera les programmes avec Jean-Maurice Potier, ex-présentateur de JT sur LCI, Vincent Fazekas, consultant, est nommé directeur du marketing. Le comité d’éthique est composé de l’économiste Jacques Sapir et de l’ancien député Thierry Mariani, deux personnalités connues pour leur engagement pro-russe. Hélène Carrère d’Encausse s’est cependant désistée.
La chaîne a obtenu un conventionnement du CSA, bien obligé – rien dans ses règles ne lui permettait de le refuser : « nous ne sommes pas dans la logique d’un appel à candidatures pour l’octroi d’une fréquence hertzienne mais dans le seul champ de la liberté de communication », répondait Olivier Schrameck, son président, au Monde.
RT fait la critique radicale des médias du systèmeLoin de baisser les yeux, RT en France aggrave la jaunisse des médias établis en se livrant à une critique radicale de ceux-là. Dans les Inrocks, Xenia Fedorova répond aux accusations : « “Notre but est de donner aux audiences françaises des infos rapides, crédibles, et qui n’apportent pas un seul point de vue, qui présentent aussi l’autre partie de l’histoire (…) Offrir une perspective différente en somme, et en disant cela je ne parle pas de ce que les médias nomment “le point de vue russe” : c’est totalement faux.” »
Elle dénonce sur son site le parti pris des médias du système envers RT : « depuis quelques mois, je suis le témoin privilégié d’un phénomène que je n’aurais jamais cru possible dans le pays de Voltaire […] la campagne de dénigrement permanent dont est victime RT France dont le lancement n’a même pas encore eu lieu ! ». Pour elle, « ces accusations pourraient aisément être réfutées en à peine quelques minutes de recherche, ce que tout journaliste digne de ce nom devrait faire avant publication. Pourtant, dès lors qu’il est question de RT, il semble que ces élémentaires vérifications soient rarement, voire jamais effectuées, comme si les médias mainstream n’entendaient pas laisser les faits faire obstacle à leurs scénarios alarmistes pré-écrits ».
Elle dénonce le parti-pris des médias du système pour Macron, qui lui a refusé d’accréditer Sputnik et RT au motif que ces médias seraient des « agents d’influence » qui diffuseraient des contre-vérités à son égard… ou qui lui seraient opposés. Curieuse vision de la démocratie. « Durant cette année d’élection présidentielle, cette presse grand public, qui accuse RT de partialité, n’a pour l’essentiel produit qu’une gigantesque et concertée campagne de promotion pour le candidat de son choix, répétant à l’envi les éléments de langage forgés par ses équipes ».
Conclusion logique : « les médias mainstream ont avant tout tourné le dos à leurs responsabilités, cessé de faire leur travail. Ironie du sort : ces médias qui alertaient partout sur la nécessité impérieuse de lutter contre les fake news en sont devenus les principaux propagateurs ». Avec le lancement de RT en décembre, nombre de gens dans les rédactions du système vont pouvoir se faire des cheveux blancs. Le monopole de l’information, déjà ébréché par les médias de réinformation sur internet, est en train de s’effondrer. Comme en 1989, le Mur tombe. Mais plus à Berlin, à Paris.
Texte repris du site de l’Ojim
-
Samedi 2 décembre, Paris : conférence organisée par les Amis franciliens de Synthèse nationale avec Adrien Abauzit
Le nouveau livre d'Adrien Abauzit
Pour l'acheter cliquez ici
Écoutez l'émission sur Radio Libertés cliquez là
-
Manifestation contre une prière musulmane dans la rue : la presse dénonce... les élus
Entre Le Parisien et Le Lab c'est un festival :
A Clichy aujourd'hui, des élus ont manifesté et chanté la Marseillaise devant la prière de rue organisée par des musulmans. 3 conseillers régionaux d'Ile de France du FN se sont associés à cette manifestation menée notamment par Valérie Pécresse (LR) et Rémy Muzeau Maire de Clichy La Garenne.