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France et politique française - Page 2630

  • « STOP AUX PRIÈRES DE RUE » À CLICHY : UNE CENTAINE D’ÉLUS D’ÎLE-DE-FRANCE VENT DEBOUT !

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    Cette révolte est la première manifestation destinée à protester contre ces provocations.

    Vendredi, pour les musulmans, est jour de prière à la mosquée ou à la maison.

    Et parfois dans la rue, à même le macadam ou le pavé, comme c’est le cas depuis mars à Clichy-la-Garenne, banlieue parisienne qui jouxte la capitale. Bien qu’ayant à leur disposition une grande mosquée, rue des Pavillons pour être précis, quelques centaines de musulmans font de la résistance, refusant la mosquée de Clichy, pour occuper une rue face à la mairie de Clichy et y proclamer leur foi par haut-parleurs interposés.

    

Nuisance sonore, difficultés pour circuler… On peut comprendre l’exaspération des habitants. Comment ne pas voir une laïcité à sens unique ? Le Conseil d’État oblige la mairie de Ploërmel à abattre la croix qui domine la statue de saint Jean-Paul II, vient de refuser à Robert Ménard l’autorisation d’installer une crèche dans sa mairie de Béziers et reste silencieux aux appels du maire de Clichy outré de cette entorse sonore, visible et bien peu respectueuse de la laïcité.

    
Le préfet du 92 est même allé plus loin, en encadrant de policiers – et donc en officialisant tacitement – cette prière dite de rue, qui n’est d’ailleurs pas unique sur le sol français. Cette pratique a déjà été vue dans nombre de grandes villes.

    Mais, au fait, pourquoi le maire avait-il fait fermer la mosquée An-Nour ? Pour cause d’insalubrité et parce que la mairie voulait récupérer ce local pour en faire une médiathèque pour le bien commun de tous les citoyens. Le maire Rémi Muzeau avait hérité de la précédente municipalité socialiste cette « grande mosquée de Clichy » avec qui avait été signé, par l’intermédiaire de l’association musulmane UAMC, un bail précaire auquel il a mis fin à l’échéance.

    L’UAMC avait protesté en affirmant que le maire leur avait promis la construction d’une mosquée ; promesse tenue, puisqu’il a inauguré la mosquée des Trois-Pavillons tenue par une autre association cultuelle musulmane. Querelle de minaret ? Peut-être, mais parce que les habitués de la mosquée évacuée en mars dernier trouvent la mosquée trop éloignée du centre-ville, ils se rebellent donc à coups de prières de rue. 

C’est pour protester contre cette bataille de rue qu’une centaine d’élus de la région parisienne avec, à leur tête, Valérie Pécresse sont venus défier les prieurs en chantant quelques « Marseillaise » pour couvrir les haut-parleurs musulmans et de nombreux Allaouh Akbar qui leur étaient adressés.

    
Derrière la banderole « Stop aux prières de rue », ces élus conduits par Valérie Pécresse, auxquels s’étaient joints quelques centaines de protestataires, n’ont pas réussi à faire stopper l’iman prêcheur. Mais cette révolte est la première manifestation destinée à protester contre ces provocations qui, au travers de la religion, n’ont qu’une idée en tête : s’imposer dans la rue. Il semblerait que le succès de cette protestation improvisée soit un premier pas visant à forcer le timide ministre de l’Intérieur à réagir.

 Mais les journalistes de BFM TV – qui s’en étonnera ? – avaient une tout autre version de cette manifestation.

    http://www.bvoltaire.fr/stop-aux-prieres-de-rue-a-clichy-centaine-delus-dile-de-france-vent-debout/

  • Bistro Libertés avec Jean-Paul Brighelli / Jean Michel Blanquer : Réformateur ou enfumeur ?

  • Intrinsèquement pervers

    La nouvelle a été relayée notamment sur les réseaux sociaux par la mouvance nationale.  Dans la Somme, à  quelques jours des commémorations officielles du 11 novembre, anciens combattants et associations patriotiques ont décidé de boycotter la cérémonie d’hommage à la nécropole nationale de Montdidier pour protester contre la dégradation des sépultures,  laissées dans un  état déplorable par  les autorités. Quid du  respect le plus élémentaire pour ceux qui sont tombés pour la France? Le devoir de mémoire et les indignations citoyennes sont à l’évidence à géométrie variable. Il en va  de même quand il s’agit d’attaquer ignominieusement  ceux qui dénoncent frontalement une barbarie islamiste… officiellement combattue par tous. Mercredi, le jour ou Emmanuel Macron inaugurait  le Louvre Abu Dhabi (Emirats Arabes Unis) évoquant dans son discours   « un combat de l’humain contre les discours de haine », le bureau de l’Assemblée nationale levait  l’immunité  parlementaire de Marine Le Pen à la demande de la justice. Avec la même  inquiétante  servilité, le même aplaventrisme  que le  Parlement européen  le 2 mars dernier… Levée d’immunité, relevons-le,  que l’élue de La France Insoumise Clémentine Autain a refusé de cautionner avec un certain courage au vu de la qualité de son entourage…

    Une mascarade à laquelle s’est livrée le bureau de l’Assemblée nationale au motif qu’en décembre 2015 Marine avait  publié sur son compte Twitter des photos des exactions commises par  les fous d’Allah…ce qui avait entraîné  l’ouverture d’une enquête pour apologie du terrorisme (!) , après l’intervention du ministre de l’Intérieur . A la suite de Bernard Cazeneuve,  les antifrontistes avec leurs  gros sabots avaient beuglé au scandale, dénonçant à qui mieux mieux la présidente du FN, filant le  parallèle oiseux entre le Front National  et l’Etat islamique, le très controversé journaliste Hervé Ghesquière se signalant alors par ses outrances.

    Comme nous le notions alors sur ce blogue, Marine était attaquée par toute une camarilla d’hypocrites et de malhonnêtes se piquant de nous donner des leçons de bon goût:  les médias  qui avaient  diffusé  quelques mois auparavant  la photo poignante du petit Aylan Kurdi, noyé sur une  plage turque, pour appeler à l’accueil massif des flux migratoires en Europe, les membres d’un  gouvernement qui a armé et soutenu les djihadistes massacreurs pour liquider la République arabe syrienne… Comme le soulignait aussi  Bruno Gollnisch dénonçant cette attaque contre la candidate du FN , «ne nous montre-t-on pas très souvent films et photos insoutenables de victimes du nazisme pour nous en rappeler l’horreur ?  Ou des photos des victimes de Hiroshima pour illustrer les ravages de l’arme atomique ?». «Seuls des imbéciles ou des malveillants peuvent confondre dénonciation d’atrocités et apologie !»  a  de nouveau rappelé  le député frontiste mercredi.

    Ils osent tout comme disait Audiard, avec une morgue et un aplomb qui suscitent à la fois le rire (si la situation n’était pas si grave)  et la consternation de nos compatriotes. Invité  dernièrement  de la radio Alpes 1 à l’occasion de la sortie d’une énième mauvais  pensum sur la France qui vote FN,  Christophe Pierrel,  ex-chef de cabinet adjoint de François Hollande,  a osé affirmer qu’« on a bien gouverné(entre 2012 et 2017, NDLR), le pays va bien par rapport à ce qu’il pourrait être (même si)  les Français ne vont pas forcément mieux. » Ben voyons!

    Et d’ajouter: « les idées de Marine le Pen sont profondément ancrées dans la société française et on est tous responsable. On n’a pas été capable de lutter. »« Le FN est toujours un parti raciste, xénophobe qui peut être totalitaire. Les dérives qu’on voit dans certains pays peuvent arriver en France avec un parti comme le FN à sa tête et il reste un danger pour la démocratie. »

    Propos affligeants, mensongers, entendus et ressassés mille fois, anecdotiques comme leur auteur, mais  qui  participent de ce bruit de fond sur tous les canaux médiatiques, petits ou grands, qui visent  à créer un climat anxiogène autour de l’opposition nationale pour mieux occulter les responsabilités réelles des partis du Système.

    En ce centenaire de la révolution bolchevique (le 7 novembre 1917 selon notre calendrier grégorien), il est permis de rappeler l’encyclique de Pie XI du  19 mars 1937,  Divini Redemptoris,  qui  condamnait un  communisme « bolchevique et athée »,  « intrinsèquement pervers ». Dans celle-ci le pape pointait une « conjuration » à laquelle prend part « une presse aussi avide de commenter les menus incidents de la vie quotidienne» « (mais qui a )  pu si longtemps garder le silence au sujet des horreurs commises en Russie,  (qui)  parle relativement peu d’une organisation mondiale aussi vaste que le communisme dirigé par Moscou (…).  Cette conjuration est due en partie à des raisons inspirées par une politique à courte vue ; elle est favorisée par diverses organisations secrètes, qui depuis longtemps cherchent à détruire l’ordre social chrétien (…). Nous savons que beaucoup (de Russes)  gémissent sous le joug qui leur est imposé de force par des hommes souvent étrangers aux véritables intérêts du pays et nous reconnaissons que beaucoup d’autres ont été trompés par des espérances fallacieuses (…). Ce que nous accusons, c’est le système, ses auteurs et ses fauteurs, qui ont considéré la Russie comme un terrain plus propice pour faire l’expérience d’une théorie élaborée depuis des dizaines d’années, et qui de là continuent à la propager dans le monde entier. »

    Que l’on soit ou non croyant, comment ne pas penser que de nombreuses  nations  sont aussi en ce début de millénaire considérées comme des terrains propices à l’expérimentation de théories inquiétantes, voire mortifères? D’un totalitarisme internationaliste l’autre, de l’horreur du terrorisme islamique plus ou moins instrumentalisé,  aux destructions sociales, économiques, politiques, environnementales générées par l’ultra-libéralisme mondialiste, le matérialisme niveleur, le règne de la quantité,  les menaces qui pèsent sur les peuples  qui entendent garder leurs  identités, leurs traditions, leurs souverainetés, sont plus actuelles que jamais. Et ceux qui entendent museler Marine Le Pen, le Front National, les défenseurs des libertés et des enracinements, participent bien de cette idéologie intrinsèquement perverse qui a muté dans sa forme, mais dont le fond et la nature restent identiques. 

    https://gollnisch.com/2017/11/10/intrinsequement-pervers/

  • Thomas Joly était convoqué au Palais de Justice de Beauvais ce matin

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    Un communiqué de Thomas Joly :

    Dans la joie et la bonne humeur propres à ceux qui ont raison, moi-même et quelques militants du Parti de la France étions au Tribunal de Beauvais aujourd'hui pour mon audience. Le jugement sera rendu le 23 novembre. Un compte-rendu détaillé de l'audience sera publié sous peu. Sachez que je n'ai pas baissé la tête devant ce tribunal politique (même si les magistrats sont restés très mesurés, les ordres de poursuite venaient de Paris et non localement) et mon avocat a fait une brillante plaidoirie.

    Merci à tous pour votre soutien, en particulier à ceux qui ont pu se libérer.

    Quoi qu'il advienne je serai toujours en première ligne face à l'invasion afro-musulmane et personne ne me fera taire ! Me ne frego !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Islamisme : la grande naïveté de Macron comparée au réalisme de Trump

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    Sous le titre « Terrorisme : Trump plus lucide que Macron », Ivan Rioufol a publié, le 1er novembre, un comparatif accablant entre la réaction du Président américain après l’attentat islamiste commis le jour même à New York et la politique en la matière conduite par la France sous la direction d’Emmanuel Macron. Nous le publions ci-dessous.

    « Je viens juste d’ordonner à la Sécurité intérieure de renforcer notre programme de vérification déjà extrême. Etre politiquement correct, c’est bien mais pas pour ça ! »

    Donald Trump a posté ce tweet, ce mercredi matin à 2 h 26 (heure française), peu après l’attentat islamiste à New York, près du site du World Trade Center. Sayfullo Saipov, un jeune Ousbek, au volant d’une camionnette, a tué huit personnes et en a blessé 11 avant d’être blessé lui-même par la police. Des témoins l’ont entendu crier Allah Akbar. Le tueur était arrivé aux Etats-Unis en 2010. Il bénéficiait d’une carte verte. Il était chauffeur chez Uber. Autre tweet du président américain : « Nous ne devons pas permettre à l’Etat islamique de revenir ou d’entrer dans notre pays après l’avoir vaincu au Moyen-Orient et ailleurs. Assez ! »

    En France, c’est une politique inverse qui est suivie par Emmanuel Macron. En ressort une grande naïveté, qui ne peut qu’inquiéter.

    En dépit des attentats islamistes qui frappent le pays – Laura et Mauranne, assassinées à Marseille, étant les dernières victimes – l’état d’urgence a été levé ce 1er novembre. Le dispositif arrêté par la nouvelle loi sur la sécurité intérieure, publiée mardi, maintient certaines protections. Elles resteront néanmoins en deçà de celles que permettait l’état d’urgence. Il était en en vigueur depuis les attentats de novembre 2015. Lors de son discours à la Sorbonne, fin septembre, le chef de l’Etat s’était fait également l’avocat de l’accueil : « Faire une place aux réfugiés est notre devoir commun », avait-il déclaré en s’engageant à renvoyer ultérieurement, sans dire comment ni sur quels critères précis, les déboutés du droit d’asile.

    C’est bien le politiquement correct, dont s’est affranchi le président américain, qui lie les mains du président français. A l’évidence, la menace salafiste reste sous-évaluée par les pouvoirs publics.

    Lundi, sur RTL, le ministre de l’Intérieur a reconnu que seules 11 mosquées salafistes avaient été fermées (et certaines vont rouvrir) alors que la France en compte plus d’une centaine. Gérard Collomb a confirmé également que sur les 250 djihadistes déjà revenus en France après avoir combattu en Irak ou en Syrie, 110 sont en liberté, même s’ils sont suivis par la DGSI. Il est à craindre que les demandes de rapatriement de nombreux autres combattants islamistes encore sur place ne soient entendues par ce gouvernement, qui se veut exemplaire dans la défense des droits de l’homme.

    Or ces droits ne sont évoqués par les égorgeurs et autres barbares, qui redoutent la justice locale, que pour être violés ultérieurement par leurs bénéficiaires.

    Le procès Merah […] a montré le gouffre entre la contre-société salafiste qui s’est installée dans les cités et la République bonasse qui continue de ne rien voir. Celle-ci n’a toujours pas compris qu’une guerre avait été déclarée contre elle, au nom d’un islam porteur d’un projet de société.

    Contrairement à ce que dit Macron, ce ne sont pas les crises sociales ni le réchauffement climatique qui motivent les terroristes, mais la haine de la France et de l’Occident. Oui, Trump a tout compris.

    Texte repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/

  • EMMANUELLE DUVERGER-MÉNARD : « L’ASSEMBLÉE A LEVÉ L’IMMUNITÉ PARLEMENTAIRE DE MARINE LE PEN. ON MARCHE SUR LA TÊTE ! »

    L’Assemblée nationale vient de lever l’immunité parlementaire de Marine Le Pen. Pour Emmanuelle Ménard, cette décision absurde signe l’incohérence de l’Assemblée. Quand on se pose en défenseur de la liberté d’expression, il faut la défendre pour tous, pas seulement pour les copains.

    Emmanuelle Ménard, après Gilbert Collard, l’Assemblée nationale a décidé, aujourd’hui, de lever l’immunité parlementaire de Marine Le Pen pour avoir divulgué des photos d’exécution de Daech. Que vous inspire cette décision ?

    Je suis un peu abasourdie par cette décision. Je ne comprends pas l’incohérence de l’Assemblée.
    Hier, le Premier ministre fait une déclaration disant qu’il faut absolument protéger la liberté d’expression, la liberté de la presse et combattre les gens qui menacent Charlie Hebdo, par exemple.
    Les parlementaires applaudissent à tout rompre, debout dans l’Hémicycle.
    Et aujourd’hui, le bureau de l’Assemblée vote pour la levée de l’immunité pour simplement avoir publié des photos. C’était une visée informative pour montrer ce que font les terroristes. Ce n’était pas pour encourager ou faire l’apologie du terrorisme, mais pour montrer la monstruosité des actes de ce genre.
    Je ne comprends donc pas.

    De nombreuses personnalités du Front national ont fait un rapprochement entre le sort du député M’Jid El Guerrab et Marine Le Pen. Ils disent qu’il est moins risqué d’aller agresser quelqu’un avec un casque de moto que de dénoncer le terrorisme de Daech. Qu’en pensez-vous ?

    Je ne veux surtout pas mettre les deux choses en parallèle.
    Les deux événements n’ont rien à voir l’un avec l’autre.
    Toutefois, je comprends que certains puissent trouver qu’il y a deux poids deux mesures.
    Mais je ne veux pas les comparer.
    Dans le cas de Marine Le Pen, nous sommes vraiment dans la liberté d’expression et de la liberté d’information. Ce n’est pas le cas de ce député qui donne des coups de casque sur son adversaire politique.
    La défense de la liberté d’expression, après le discours du Premier ministre, qui suscite une ovation des parlementaires, et le lendemain une levée de l’immunité pour des photos publiées sur un compte Twitter.
    On marche sur la tête !

    La décision de l’Assemblée nationale a fait réagir. Le #soutienMarine est en top tweet sur le réseau social. Il semblerait que la décision ait choqué les internautes et, donc, les électeurs français. Cela vous surprend-il ?

    Je comprends que cela puisse choquer. Moi-même je le suis.
    On ne peut pas se poser en « père la morale » de façon systématique, comme le fait le mouvement En Marche ! dans l’Hémicycle, et avoir des actes en totale contradiction. Ce n’est pas possible !

    Le Premier ministre a rappelé, hier, que la liberté d’expression peut choquer. C’est le propre de la liberté d’expression. Si c’est défendre seulement la liberté d’expression des copains, c’est très facile.
    Donc, quand on défend la liberté d’expression, quand on se pose en défenseur de la liberté d’expression, il faut défendre la liberté d’expression de tout le monde.

    En plus, ici, il ne s’agissait pas de faire l’apologie d’actes odieux, mais au contraire de les dénoncer. Je ne comprends donc pas la logique.

  • Des « violences policières » ...

    L'avez-vous remarqué ?  A écouter les médias - tous les médias - , il y a en France deux types de violences, traitées, présentées, comme symétriques, équivalentes : celles des voyous, des casseurs, des radicaux de l'ultragauche, des enragés des diverses ong dites humanitaires, et il y a - à égalité de traitement - les violences policières ... En version « médias », tel casseur en action ou en fuite subira une « agression » des forces de l'ordre. Éventuellement, on organisera une marche en défense de cette victime des « violences policières », voire en hommage, selon le terme en vogue … Et ainsi de suite. Vous entendrez tout cela sur les médias du service public ... Question de vocabulaire. Et indifférence du Pouvoir. Qui fera taire France Inter ?

    Ce n'est pas que nous ayons si grand respect pour les forces d'un ordre qui n'est pas celui que nous souhaitons ; qui du reste n'en est pas un vraiment. Ce n'est pas que nous ayons la « religion du flic ». Nous savons assez que le 6 février 1934 ces auxiliaires du régime tiraient sur les patriotes place de la Concorde comme ils tireront trente ans plus tard sur les partisans de l'Algérie Française, ou comme encore cinquante ans après ils gazeront les foules de lamanif pour tous ... Ce n'est pas que le policier soit un citoyen pire que les autres, que son métier ne soit pas honorable, même si l'esprit policier, les méthodes policières comportent leur dose de duplicité et autorisent parfois des procédés douteux, c'est pour l'essentiel qu'il est amené à servir un régime de désordre profond et de décomposition sociale, dont on voit les méfaits tous les jours. L'ordre qu'il protège n'est pas, n’est plus l'ordre légitime. 

    Le paradoxe est que les forces de police défendent aussi le peu qu'il reste d'ordre public, d'ordre social, fût-il devenu indigne et frelaté. Et qu'elles protègent les honnêtes-gens subsistants, contre la déferlante toujours grandissante des voyous et des casseurs indigènes ou, pour nombre d'entre eux,  importés. Il faut prendre la mesure de cette contradiction. 

    Le temps est loin où l'on fusillait en Russie celui qui avait levé la main sur le dernier des policiers du tsar parce qu'il figurait le tsar lui-même. Il n'y a plus de tsar en Russie et surtout plus de roi en France pour incarner la nation. 

    En tout cas, un régime qui laisse ainsi ravaler sa police au rang des casseurs par le service public dépendant de lui ne nous semble pas disposer des promesses de l'éternité.  

    Retrouvez l'ensemble de ces chroniques en cliquant sur le lien ci-dessous

    En deux mots, réflexion sur l'actualité

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2017/11/07/des-violences-policieres%C2%A0-5996841.html

  • Christophe Billan démissionne de la présidence de Sens commun

    Le président de Sens commun revient sur la polémique née de son entretien dans L'Incorrect, dans lequel il évoquait la possibilité d'une «plateforme» avec Marion Maréchal-Le Pen. Il annonce au Figaro :

    "Je démissionne de la présidence de Sens commun. Le bureau politique et le comité stratégique du mouvement m'ont renouvelé leur soutien à trois reprises et s'apprêtaient à le faire une quatrième fois lundi. Je suis très touché par cette loyauté et par cette cohérence en dépit des charges qui ont été menées contre nous. Mais tant que je reste un point de crispation, Sens commun ne peut pas remplir sa fonction, qui est de peser sur le débat des idées. Il faut que l'on sorte de cette espèce de procès stalinien, de cette tempête dont le but est de réduire au silence Sens commun. Ensuite, je veux recouvrer ma liberté de parole. Je veux que mes mots n'engagent pas Sens commun et pouvoir dire clairement les choses. Mais je reste un adhérent fidèle du mouvement."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les idées à l’endroit : pour ou contre la souveraineté.