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France et politique française - Page 3176

  • Origine ethnique des délinquants : un journaliste brise l’omerta

    (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : La révélation nous vient du journaliste Jean Quatremer, correspondant à Bruxelles du quotidien « Libération », cité par l’hebdomadaire Les 4 Vérités. Lors d’un débat sur Arte, le 13 mai dernier, celui-ci a avoué une manipulation récurrente de la presse du système :

    « Je me rappelle un article sur une affaire de tournante en banlieue parisienne, tous les prénoms avaient été changés. C’étaient tous des Alain, des Marcel, des Frédéric, sauf qu’en réalité, c’étaient des Mohamed, des Ahmed… »

    Jean Quatremer ajoute que la « presse bien-pensante » cache sélectivement l’origine ethnique ou culturelle des agresseurs, par peur de déclencher le racisme

    Pour les journalistes présents sur le plateau, ne pas donner ces informations visait à éviter d’alimenter le « populisme ». Mais, en ne disant pas la vérité, on risquait aussi d’alimenter le populisme ! Aucun journaliste n’a semblé intéressé par la question de la vérité pour elle-même.

    Les médias peuvent cacher l’identité des agresseurs, mais peuvent faire encore mieux : nier ou ne pas parler de la violence des immigrés contre les autochtones.

    Technique partagée par la police et la presse allemandes, par exemple à Cologne. Les centaines d’agressions sexuelles du Nouvel An ont été hypocritement tues par la police et par la presse pendant plusieurs jours pour éviter de « faire le jeu » de l’« extrême droite ».

    Toujours pour atténuer la violence des criminels issus de la diversité, les médias utilisent d’autres techniques, notamment la novlangue. Le dernier exemple en date est le braquage d’une bijouterie, en banlieue parisienne, où deux jeunes criminels, dont au moins un malien, ont violé la malheureuse employée qui se trouvait là. Pour minimiser les faits, des médias comme Le Parisien ont titré sur « les bébés braqueurs ». Mais depuis quand les bébés peuvent-ils violer ? Sauf si les « bébés » font 1,80 m et 85 kg… Le Parisien a d’ailleurs changé son titre pour parler d’« ados braqueurs » (mais l’url témoigne encore de l’ancien titre…).

    Pour décrypter d’autres exemples de novlangue utilisée par les médias, vous pouvez lire l’excellent Dictionnaire de Novlangue de Jean-Yves Le Gallou et Michel Geoffroy.

    http://fr.novopress.info/201606/origine-ethnique-delinquants-journaliste-brise-lomerta/

  • Journal du Jeudi 09 Juin 2016 : Société / Nuit Debout ratonne les Veilleurs et TV Libertés

  • Meeting de Sarkozy à Lille : tiens, revoilà l’identité !

    Il n’est toujours pas — officiellement — candidat, mais il a déjà son thème : Nicolas Sarkozy est convaincu que la primaire de droite se jouera sur l’« identité » française.
    On accélère. C’est le tempo adopté par Nicolas Sarkozy lors de son meeting hier soir à la Filature à Saint-André-lez-Lille (Nord). Devant une salle aux rangs quelque peu clairsemés — la faute aux embouteillages, plaide l’entourage de l’ex-chef de l’Etat —, le toujours président des Républicains a dessiné l’axe principal de sa future campagne : l’identité. Ou plus précisément, selon le principal intéressé, « la France ». « La primaire se jouera sur la France, la République, la culture française », assène Nicolas Sarkozy.
    Son discours, qu’il « a écrit lui-même » assurent ses proches qui le présentent comme un acte fondateur de précampagne, s’est appesanti durant près de 45 minutes sur ce thème. Résolument anti-communautariste et contre la société multiculturelle, il est loin, très loin de « l’identité heureuse » défendue par son rival Alain Juppé. Et de dénoncer « l’islam prosélyte et intégriste qui vous dit comment manger, comment vous habiller, quel rapport entretenir avec le sexe opposé ». Sarkozy veut ainsi « fixer les règles d’un nouvel islam de France ». Et de marteler que « La France, c’est un pays chrétien » et les minorités doivent s’y adapter, pas l’inverse. Mais il ne reprend pas le concept « d’assimilation » des étrangers qu’il a développé dans le programme des Républicains sur l’immigration. Pas question en effet de franchir la ligne rouge.
    Hier soir, Sarkozy voulait se poser en rassembleur. Réalisant une « synthèse » des différentes sensibilités de son parti, « de Rachida Dati à François Baroin, en passant par Eric Ciotti ». Ce n’est donc pas un hasard s’il s’adresse à son nouveau soutien, François Baroin, pressenti pour être son Premier ministre et qui l’accompagnait pour la première fois en déplacement depuis son ralliement, pour préciser que « chacun a le droit de vivre sa religion, les musulmans comme les autres ». Pas non plus un hasard s’il se livre à une charge en règle contre le FN et le repli sur soi.
    Il prône la renaissance de la nation
    L’ex-chef de l’Etat en profite toutefois pour se démarquer de ses concurrents à la primaire en s’accaparant, notamment, le créneau de l’autorité et de la renaissance de la nation, menacée selon lui de « disparaître ». La faute aux élites, au politiquement correct et à ces « minorités » où il range pêle-mêle islamistes radicaux, zadistes, casseurs et… CGT. La foule scande « Nicolas président ». Lui ne dévie pas d’un iota de sa stratégie. Pas question de faire acte de candidature, n’en déplaise à ses rivaux.
    Gérard Larcher a-t-il saisi hier la haute autorité de la primaire pour lui demander de clarifier sa situation ? Il tacle : « J’ai été élu président pour cinq ans, et on voudrait m’interdire de présider ? Ils vont finir par me rendre très très populaire. » Mais, pour les militants, pas de suspens, comme le résume ce spectateur conquis : « Il n’a pas besoin de le dire, on sait qu’il est candidat. »

    Valérie Hacot Le Parisien :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuyVuyulpyYhrFEfVI.shtml

  • Leur « tropisme libéral »…antinational

    « Réunion publique dans un bunker», titrait L’Obs dans l’article consacré sur son site au « meeting de soutien à la loi Travail » qui s’est tenu hier soir, sous haute protection policière, intitulé Défendons le progrès social (sic). Manuel Valls «était la vedette» de ce raout  qui s’est déroulé près du ministère des Finances à Bercy et qui a réuni 500 permanents, élus et (quelques rares) ministres Martine Pinville (Commerce et Artisanat), George Pau-Langevin (Outre-mer) ou encore Harlem Désir (Affaires européennes). Les intervenants, le Premier ministre, le ministre de l’Agriculture et porte-parole du gouvernement Stéphane Le Foll, le patron du PS Jean-Christophe Cambadélis se sont évertués à démontrer que cette loi El khomri, était un texte de gauche, émanant d’un gouvernement de gauche, combattu en tant que tel par «la droite libérale» et une extrême gauche jusqu’au-boutiste et archaïque.

    Ce texte, qui met en musique des exigences exprimées par Bruxelles, par ses outrances comme par ses insuffisances, est l’objet de très légitimes critiques rappelait dernièrement  Bruno Gollnisch. Il reste aussi le «bébé» d’Emmanuel Macron qui en fut largement le concepteur, lequel a perdu de sa superbe dans l’opinion si l’on en croit les sondages. Selon l‘enquête Ifop pour Le Figaro paru hier, la cote du champion de Jacques Attali  dégringole fortement. Seulement 36% des sympathisants socialistes estiment désormais que le ministre, qui entretient le suspense sur une éventuelle candidature à la présidentielle (2017? 2022?), serait capable de sortir le pays de la crise…contre 59% en avril.

    Le ministre de l’Économie a subi  lundi un accueil houleux, à base d’insultes, de bousculades et de jets d’œufs, de la part de militants cégéto-communistes lors de sa venue à Montreuil  pour inaugurer un timbre consacré au 80 ans du  Front populaire. Des violences  bien évidemment condamnables, que certains justifient par le caractère provocateur de cette visite.  Patrice Bessac, maire communiste de cette ville, avait fait savoir la veille dans un communiqué son refus de recevoir M Macron : «On ne peut pas vouloir revenir sur le modèle social français et venir à Montreuil, où est le siège de la CGT, inaugurer un timbre consacré au Front populaire. Trop, c’est trop. »

    Benoit Hamon, ex porte parole du PS, notait pour sa part sur radio classique le même jour  qu’il y a « des choix de confrontation qui sont délibérés. En allant pour le lancement d’un timbre sur le Front populaire à Montreuil, on est à peu près certain qu’on aura une manifestation. » Bref, M. Macron aurait cherché délibérément l’affrontement pour médiatiser son déplacement et aurait été récompensé de ses efforts au-delà de ses souhaits… Certes, nous l’évoquions sur ce blogue Emmanuel Macron peut compter aussi  sur le soutien de figures de la droite. Notamment  d’Yves de Kerdrel, directeur de l’hebdomadaire Valeurs actuelles, qui affirme que l’ancien employé de la banque Rothschild « incarne le renouveau des idées dont la France a besoin».

    M. de Kerdrel, qui appartient comme le ministre de l’Economie, beaucoup de membres du gouvernement Valls, à un influent lobby anglo-saxon, la French American Foundation, Young leaders, et qui a siégé avec M. Macron dans la commission Attali, formée sous Nicolas Sarkozy,  se dit  «très proche» du ministre. Il affirmait aussi que la Young leader Najat Vallaud-Belkacem, souvent éreintée dans son journal, est  «une femme structurée, dotée d’un tropisme libéral réel».

    Cela n’empêche pas M. de Kerdrel de prendre toute la mesure de la montée en puissance dans l’opinion des idées, des thématiques défendues de longue date par le Front National. Un déplacement du centre de gravité de la vie politique française pris en compte ces dernières années  par la ligne éditoriale de Valeurs actuelles, très droitière, eurosceptique (anti-bruxelloise), opposée à l’immigration. M. de Kerdrel s’est élevé également (avec raison) contre la «régression du débat intellectuel » dans notre pays, à la suite des condamnations judiciaires dont son journal a fait l’objet suite à des accusations (infondées) de «racisme».

    Yves de Kerdrel reste cependant un soutien de Nicolas Sarkozy et manifeste toujours son hostilité à l’endroit du Front National. Minute  rapportait ainsi les propos de ce dernier lors de sa venue au «Rendez-vous de Béziers» organisé par Robert Ménard  fin mai. «Sans que Robert Ménard n’y puisse rien», «lors de la séance inaugurale (du 27 mai), en présence de Marion Maréchal-Le Pen», Yves de Kerdrel en a profité pour prendre ses distances (…) avec ce qu’il a appelé une extrême droite très sectaire, expression qui visait clairement le Front National». Ce qui serait sectaire dans la bouche des dirigeants du FN ne le serait plus dans celles des journalistes de VA ou de la girouette Sarkozy, actuellement en phase (très laborieuse) de séduction de l’électorat national ?

    A ce sujet, L’Express étrille assez logiquement le discours prononcé hier soir par Nicolas Sarkozy, lors d’une réunion publique à Saint-André-lez-Lille (Nord). L’ami du Qatar, l’ex ministre des Finances qui a bradé en 2004 un cinquième des réserves d’or de la Banque de France ( 600 tonnes de lingots, une perte de 18 milliards d’euros !); le responsable du chaos lybien; le chef d’Etat qui voulait la peau du régime laïque syrien; le champion toute catégorie de l’accueil de l’immigration dite légale sous son quinquennat; le (pseudo) gaulliste qui a placé la France sous le commandement intégré de l’Otan, imposé la constitution européenne, y exposait sa «vision de la France».

    Un discours que «son  équipe le compare à celui de Nîmes de 2006, prononcé avant sa candidature » et que les commentateurs ont aussi perçu comme une manière de se démarquer d’Alain Juppé, crédité, pour le moins, de mollesse sur les questions identitaires au sens large du terme.

    «En 2006 rappelle L’Express, ni le mot islam ni celui de musulman ne figurait dans le texte. En 1950, la France était catholique, étatisée et centralisée. Elle est aujourd’hui laïcisée, européenne et décentralisée. En 1950, elle était monoculturelle, elle est aujourd’hui multiculturelle, se réjouissait-il alors. Désormais, Nicolas Sarkozy voit dans le combat communautariste et la société multiculturelle, un puissant relais de la part d’ombre de Mai 68»… que Patrick Buisson lui conseillait déjà de pourfendre lors de la présidentielle de 2007.

    «Il y a dix ans, Nicolas Sarkozy estimait que le repli communautariste menace (…), le communautarisme, même s’il était multifactoriel, était avant tout présenté comme une conséquence du manque de considération des pouvoir publics. Nicolas Sarkozy allait même jusqu’à se dire partisan de la discrimination positive, qui n’est au fond que l’égalité réelle, que l’autre nom du volontarisme républicain. Dix ans plus tard, la perspective est inversée. Le même Nicolas Sarkozy pourfend la vision des élites pour qui la Nation se résume à la juxtaposition plus ou moins harmonieuse de communautés reconnues dans leurs droits particuliers. »

    « (…). En 2006, il était un fils d’immigré qui a reçu à sa naissance la France en cadeau et disait savoir ce que cela signifie de prendre en partage une histoire qui n’est pas celle de ses ancêtres. Désormais (il) dit: Je suis français. C’est même par ces mots qu’il commence son discours. Je suis chrétien, ajoute celui qui définit la France comme un pays né du baptême de Clovis il y a plus de 1500 ans. »

    «Mais si sa définition de la France a changé, les objectifs de Nicolas Sarkozy restent les mêmes. Ces Français humiliés par une droite qui n’en finissait pas de s’excuser de ne pas être la gauche et qui par dépit sont dans l’impasse du Front National, je veux les convaincre de revenir dans le giron républicain, disait-il à Nîmes en 2006. Jamais je n’accepterai la moindre complaisance avec les dirigeants du Front National et avec leur idéologie, assène-t-il toujours dix ans plus tard. Il y a une ligne rouge qui ne peut être franchie. » De son propre aveu, ce n’est pas la partie du discours qui a été la plus applaudie par son public.» Ce qui n’est certainement pas pour étonner Yves de Kerdrel.  Qui s’illusionne peut être plus sur la capacité du patron de LR, lui aussi doté d’un tropisme libéral réel,  à rééditer le casse de 2007, à cocufier de nouveau en 2017 des électeurs au tropisme national réel,  les patriotes  de droite, de gauche, d’ailleurs

    http://gollnisch.com/2016/06/09/jeudi-3/

  • Le faux tweet d’Ali Juppé, par Caroline Parmentier

    Chard-Ali-Juppé.jpg

    Faux-Tweet-Juppé-Ramadan-300x118.jpg« Un très bon ramadan à tous mes frères et sœurs en islam. Que la paix d’Allah soit sur vous. » L’astuce de ce faux message agrémenté d’une photo de Juppé lancé sur Twitter par un lycéen de 17 ans habitant en Ardèche, c’est qu’il était vraisemblable, de nombreux internautes n’ont même pas flairé le canular.

    Juppé n’a pas ri non plus. Bien que son compte n’ait pas été piraté (l’objet du crime n’a jamais été tweeté par le compte d’Alain Juppé), ce dernier a porté plainte lundi contre cet internaute plaisantin appelé Candide qui détourne régulièrement des tweets politiques. Candide a d’ailleurs déjà fait d’autres montages humoristiques concernant Juppé sans que celui-ci ne s’en offusque.

    L’ennui c’est que par les temps qui courent et à un an de la présidentielle, il fait moins bon être le chantre de la France multiculturelle et communautariste, grande ouverte à l’islam que Juppé a toujours défendue. S’il réagit aussi vivement à ce faux tweet, c’est précisément parce que sa complaisance envers la communauté musulmane est bien réelle et bien connue, lui valant à Bordeaux le surnom d’Ali Juppé et qu’il a besoin de préciser en plus qu’il ne s’est pas converti !

    Mais c’est à double tranchant. Est-il vraiment en train de nous expliquer que l’usurpation d’identité en question est infamante et que faire de lui un membre de la communauté islamique porte atteinte à son honneur ou à sa considération ? De même est-ce déshonorant de souhaiter un bon ramadan à la communauté musulmane, tout le monde ou quasiment tout le monde, Manuel Valls et Anne Hidalgo en tête, le fait. Certes la forme était un peu grosse !

    Mais le terrain est casse-gueule et Candide est un petit malin. Il a précisé à la police que son tweet était « un piège pour les islamophobes » et qu’il se moquait « du cliché véhiculé par l’extrême droite selon lequel Alain Juppé serait très islamophile ». Juppé se mettait donc dans le cas d’attaquer en justice un jeune militant anti-extrême droite et anti-islamophobie pour une plaisanterie qui n’est même pas injurieuse…

    A l’heure où nous écrivons ces lignes la plainte a été retirée. Qu’il le prenne dans son équipe plutôt ! Il rajeunira son image dont les mauvaises langues disent qu’elle est celle d’un candidat d’une autre époque dépassé par les réseaux sociaux (entre autres).

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent n° 8625 daté du 9 juin 2016

    http://fr.novopress.info/

  • Le complot terroriste inventé...

    Une fois de plus les stratagèmes du Système prennent les Français pour des imbéciles. A quelques jours du lancement de la coupe d'Europe de foot-ball, ils viennent de concocter un scénario rocambolesque pour faire frémir les bonnes âmes.

    Tenez-vous bien, on se croirait dans un mauvais roman de gare. A la frontière ukraino-polonnaise un Français de 25 ans a été arrêté avec petit arsenal dans le coffre de sa voiture. Pour se procurer un tel armement, même en Ukraine, cela nécessite des complicités et surtout la bienveillance des autorités. Or, le Français ne semble pas être sur ses gardes puisqu'il envisage benoitement rentrer en France par la route en passant la frontière sans problème. Il est vrai qu'une fois en Pologne, il a peu de risque d'être inquiété puisque, en vertu de Schengen, les postes de douane entre les différents Etats ont été supprimés. Mais là où les choses se dévoilent, c'est qu'en perquisitionnant le domicile de notre contrebandier du dimanche les flics français ont découvert, tenez-vous bien, un polo frappé d'un insigne "d'extrême droite". Bingo ! Tous les ingrédients du complot de l'internationale noire sont réunis... et la presse aux ordres peut s'en donner à cœur joie.

    En réalité, cela ressemble plus à une farce politico-médiatique qu'à autre chose. Il faudrait nous expliquer comment un individu bénéficiant des moyens pécuniaires et matériels pour réaliser un tel trafic, puisse être assez naïf pour se présenter à la douane sans préjuger les risques qu'il prend...

    Tout cela relève de l'enfumage le plus pervers et de la manipulation. Pendant que l'on s'obstine sur de prétendus complots d'extrême droite, les terroristes musulmans peuvent s'organiser tranquillement.

    Un jour viendra où les responsables, qu'ils soient à Matignon, Place Beauvau ou ailleurs devront s'expliquer...

    Synthèse nationale

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Nuit Debout ratonne les Veilleurs et le journaliste de TV Libertés

    Nuit-Debout-violences

    La place de la République à nouveau théâtre de violences. Mercredi soir, une soixantaine de Veilleurs a tenté de s’installer place de la la République. Ils ont été rapidement agressés par l’extrême gauche à l’instar du journaliste de TV Libertés qui promet un journal spécial ce soir qui fera le point sur cette agression odieuse, une de plus émanant de ces anarcho-communistes qui agissent en toute impunité.

    http://www.medias-presse.info/nuit-debout-ratonne-les-veilleurs-et-le-journaliste-de-tv-libertes/56010

  • Marion Maréchal Le Pen : "Karim Benzema est un récidiviste dans l'antipatriotisme"