France et politique française - Page 3173
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Le député Gilbert Collard s'exprime contre la gestation pour autrui
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Ivan Rioufol : À Nice, la charia ne passera pas
Dans ce billet d'humeur qu'on ne peut qu'approuver [Figarovox, 8.06] Ivan Rioufol réagit au récent incident survenu à Nice : une serveuse a été frappée par deux hommes pour avoir servi de l'alcool pendant le ramadan.
Les féministes, les démocrates, les républicains, la gauche, la droite ... ont-ils si peu à dire devant les intimidations de l'islam radical qui veut imposer la charia ? Cette fois, c'est une serveuse d'un bar du centre de Nice qui a été violemment agressée par deux hommes, lundi au premier jour du ramadan, parce qu'elle servait de l'alcool. L'un d'eux, en arabe : « Tu devrais avoir honte de servir de l'alcool en période de ramadan (…) Si j'étais Dieu, je t'aurais pendue ». Elle (musulmane, pratiquant aussi le ramadan) : « Tu n'es pas Dieu pour me juger ». Les deux hommes feignent de partir, puis l'un revient et gifle à toute volée la jeune femme qui s'effondre. Elle explique à l'Obs : « Ce n'est pas parce que je sers de l'alcool que je n'accomplis pas mon devoir. Si je le fais c'est parce que je suis serveuse. En Tunisie, j'exerçais le même métier et je n'ai jamais eu le moindre problème. Je ne pensais pas qu'en France, pays de libertés, je puisse être agressée pour ça ». Les indignés ne se bousculaient pas, ce mercredi, pour dénoncer cette violence machiste et obscurantiste, dont l'un des auteurs serait de surcroit un étranger en situation irrégulière. Il est vrai que cette terreur intégriste est déjà le quotidien des cités françaises gagnées par le salafisme et par l'emprise des Frères musulmans. Cela fait des années que la République, désarmée et conciliante avec les minorités, recule devant ce totalitarisme islamiste qui a pour objectif revendiqué de dominer l'Occident droit de l'hommiste, y compris sur son propre sol. Les féministes de salon, qui le 15 mai annonçaient face au sexisme : « Nous ne nous tairons plus », sont de ces innombrables tartuffes qui rampent devant l'islam politique, qui se comporte de plus en plus comme en terrain conquis. Qu'attendent-elles pour déclarer, à la barbe des illuminés : « La charia ne passera pas ! ».
Ce renoncement à résister au nazislamisme, soutenu par une extrême gauche qui voit dans le musulman le nouveau damné de la terre, est évidemment la pire des solutions pour éviter l'affrontement civilisationnel. A ce compte, en effet, la France millénaire est vouée à disparaître à terme sous un multiculturalisme laissé à la loi du plus fort, du plus brutal. Ce sont ces risques que je décris, dans La guerre civile qui vient (Editions Pierre-Guillaume de Roux, mars 2016). Si les médias audiovisuels maintiennent l'omerta sur mon essai, je constate que Gérald Darmanin, maire LR de Tourcoing (nord), partage pour sa part l'analyse. Il déclare (l'Opinion, lundi) : « Non seulement la guerre civile couve mais, si elle advient, est sera la pire de toute : elle sera religieuse ». Il serait loisible de discuter ce point : je crois cette guerre davantage politique que religieuse, dans la mesure où elle défend un projet de société cohérent défendu par un islamo-gauchisme qui consolide ses alliances. Mais Darmanin à raison, quand il met en garde contre la montée en puissance des exigences communautaires, qui se multiplient dans l'indifférence des politiques. C'est ainsi que vient d'être lancée, sous les encouragements d'Edwy Plenel (Médiapart), Téléramadan, « la revue des musulmans qui en ont marre de s'excuser d'exister ». Ses promoteurs (dont Mouloud Achour, ex-animateur sur Canal +) écrivent : « Nous sommes le Grand Remplacement. Sûrement pas celui que les fous peuvent fantasmer. Nous sommes un grand remplacement naturel (…). Nous sommes le Grand Remplacement d'un système archaïque (…) ». Renaud Camus ne dit pas autre chose. Au fait, Téléramadan prendra-t-elle la défense de la jeune femme humiliée par ces brutes? •
Ivan Rioufol est éditorialiste au Figaro. Retrouvez ses chroniques sur son blog.
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Anne Hidalgo confirme que les véhicules diesel seront interdits à Paris en 2020
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Il veut faire cesser des insultes anti-françaises, il est poignardé !
Le racisme décomplexé d’aujourd’hui se conjugue avec la haine de la France.
Si les faits sont importants, l’analyse des données apporte souvent plus de matière.
C’est ce qui transparaît dans un article du Parisien du 8 juin : « Mardi 17 mai, vers midi, alors qu’il voyageait dans une rame de la ligne 4 du métro, un usager a tenté de faire cesser les agressions verbales d’un individu virulent qui tenait des propos anti-français envers un passager. »
L’intérêt de cette phrase est triple. Elle démontre que le racisme décomplexé d’aujourd’hui se conjugue avec la haine de la France. Il faut être L’Obs ou Libé pour récuser ce phénomène. Le passager qui a subi ces insultes a préféré se taire et ne pas répondre aux attaques verbales. On le sent, dans le métro comme ailleurs : la peur règne sur la ville et nombreuses sont les personnes qui préfèrent rester silencieuses plutôt que d’être traitées de racistes ou de prendre un mauvais coup. A contrario, on peut encore être optimiste : il s’est trouvé un irréductible « Gaulois » pour refuser l’invective en faisant fi des risques.
Le gouvernement a souvent donné des Légions d’honneur pour moins que cela !
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1789 et 2016 : mêmes moyens, mêmes objectifs
L'éditorial de François Billot de Lochner pour Liberté Politique compare très justement 2016 à 1789 :
"La terreur révolutionnaire, qui commença dès le printemps 1789, et non en 1793, comme le laisse entendre l’histoire officielle afin de la minimiser en en réduisant la durée, se donna pour objectif principal de régénérer l’homme, en déconstruisant tous les fondements sur lesquels celui-ci s’appuyait.
Elle s’attaqua avec la dernière violence au système monarchique, à la religion catholique, aux familles, à l’enseignement, à la morale traditionnelle, à la culture etc. La France nouvelle se devait d’être démocratique, libre de mœurs, fraternelle et égalitaire. Pour y parvenir, tous les moyens étaient permis, de la suppression de toute liberté à l’extermination la plus radicale des opposants. Les révolutionnaires mirent donc en place, dans de courts délais, une implacable dictature, qui, en quelques années, se traduisit par un bain de sang comme la France n’en avait jamais connu. Cerise sur le gâteau, ils avaient cru nécessaire de déclarer la guerre à tous les pays européens : il était de leur devoir d’exporter par tous les moyens, même les plus violents, le nouveau paradis révolutionnaire qu’ils avaient follement décidé de créer.
La même terreur révolutionnaire se met actuellement en place dans notre pays, de façon inexorable. La régénération de l’homme est au programme officiel des « dirigeants » en place. Il s’agit bien de terminer le travail inachevé de la révolution de 1789, par la déconstruction finale des fondements de notre pays. À la nation française doit succéder une Europe ouverte aux quatre vents, puis un monde global de consommateurs favorisant des migrations de populations aussi échevelées que salutaires. À la famille naturelle doit succéder une collection d’individus interchangeables autorisant toutes les combinaisons possibles. À l’instruction traditionnelle doit succéder une « éducation » assurée par l’État afin de soustraire les enfants aux déterminismes familiaux. À la morale traditionnelle doit succéder un libertarisme de mœurs, permettant toutes expériences, surtout les plus « innovantes ».
Pour mener à bien ce vaste programme, les armes utilisées ressemblent étrangement à celles de la grande Révolution. Le très mal nommé ministère de l’Education nationale, après avoir consciencieusement mené la déconstruction du service public de l’instruction, s’attaque, comme il fallait s’y attendre, au système dit « hors contrat », dernier espace de liberté pour les familles. Le très impuissant ministère de l’Intérieur accorde une impunité quasi complète aux casseurs, aux voyous, aux gauchistes, aux islamistes, aux anti-tout et autres pourfendeurs de tout ce qui est « phobe », mais réprime avec une implacable sévérité les défenseurs de « l’ordre bourgeois », qui dressent de petites digues pour tenter de stopper le ravageur tsunami de la déconstruction. Le très décadent ministère de la Famille ne s’intéresse qu’aux modèles familiaux les plus contestables, et engage avec vigueur son nouveau combat fondamental : la promotion de la très épanouissante pornographie, rangée dans la catégorie de l’expression artistique la plus libre."
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1789 et 2016 : mêmes moyens, mêmes objectifs
L'éditorial de François Billot de Lochner pour Liberté Politique compare très justement 2016 à 1789 :
"La terreur révolutionnaire, qui commença dès le printemps 1789, et non en 1793, comme le laisse entendre l’histoire officielle afin de la minimiser en en réduisant la durée, se donna pour objectif principal de régénérer l’homme, en déconstruisant tous les fondements sur lesquels celui-ci s’appuyait.
Elle s’attaqua avec la dernière violence au système monarchique, à la religion catholique, aux familles, à l’enseignement, à la morale traditionnelle, à la culture etc. La France nouvelle se devait d’être démocratique, libre de mœurs, fraternelle et égalitaire. Pour y parvenir, tous les moyens étaient permis, de la suppression de toute liberté à l’extermination la plus radicale des opposants. Les révolutionnaires mirent donc en place, dans de courts délais, une implacable dictature, qui, en quelques années, se traduisit par un bain de sang comme la France n’en avait jamais connu. Cerise sur le gâteau, ils avaient cru nécessaire de déclarer la guerre à tous les pays européens : il était de leur devoir d’exporter par tous les moyens, même les plus violents, le nouveau paradis révolutionnaire qu’ils avaient follement décidé de créer.
La même terreur révolutionnaire se met actuellement en place dans notre pays, de façon inexorable. La régénération de l’homme est au programme officiel des « dirigeants » en place. Il s’agit bien de terminer le travail inachevé de la révolution de 1789, par la déconstruction finale des fondements de notre pays. À la nation française doit succéder une Europe ouverte aux quatre vents, puis un monde global de consommateurs favorisant des migrations de populations aussi échevelées que salutaires. À la famille naturelle doit succéder une collection d’individus interchangeables autorisant toutes les combinaisons possibles. À l’instruction traditionnelle doit succéder une « éducation » assurée par l’État afin de soustraire les enfants aux déterminismes familiaux. À la morale traditionnelle doit succéder un libertarisme de mœurs, permettant toutes expériences, surtout les plus « innovantes ».
Pour mener à bien ce vaste programme, les armes utilisées ressemblent étrangement à celles de la grande Révolution. Le très mal nommé ministère de l’Education nationale, après avoir consciencieusement mené la déconstruction du service public de l’instruction, s’attaque, comme il fallait s’y attendre, au système dit « hors contrat », dernier espace de liberté pour les familles. Le très impuissant ministère de l’Intérieur accorde une impunité quasi complète aux casseurs, aux voyous, aux gauchistes, aux islamistes, aux anti-tout et autres pourfendeurs de tout ce qui est « phobe », mais réprime avec une implacable sévérité les défenseurs de « l’ordre bourgeois », qui dressent de petites digues pour tenter de stopper le ravageur tsunami de la déconstruction. Le très décadent ministère de la Famille ne s’intéresse qu’aux modèles familiaux les plus contestables, et engage avec vigueur son nouveau combat fondamental : la promotion de la très épanouissante pornographie, rangée dans la catégorie de l’expression artistique la plus libre."
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Ne dites plus « grand remplacement » mais « dynamique de peuplement » !
Le « grand remplacement » ? Quel « grand remplacement » ? Scandalisée par la récente couverture du Figaro Magazine sur Saint-Denis, qualifiée de « Molenbeek-sur-Seine », deux militantes politiques déguisées en journalistes, Sihame Assbague et Widad Ketfi, viennent de livrer à Acrimed une prétendue « contre-enquête » sur la préfecture de Seine-Saint-Denis, présentée comme un modèle de « travail de journalisme de terrain ». La bonne blague !
Parmi les très nombreuses critiques que Sihame Assbague et Widad Ketfi portent sur le reportage du Fig Mag figure celle d’avoir écrit qu’il devient difficile de trouver de la viande qui ne soit pas halal à Saint-Denis. Faux ! s’exclament-elles, car « en se renseignant, auprès des Dionysiens ou de Google » (sic), on trouve une charcuterie tout près de la mosquée et… « au moins deux autres boucheries vendant de la “viande non halal“, un peu plus loin dans la ville » ! « Un peu plus loin » comment ? Au bout de la ligne de bus ? Deux boucheries traditionnelles donc – on n’ose écrire « normales »… – dans une ville de plus de 100 000 habitants et il faudrait se réjouir ?
Fières de leur trouvailles sur Google, Sihame Assbague et Widad Ketfi écrivent alors :
« Ce qui se “cache“ derrière le marché du halal, ce n’est pas la main invisible du “grand remplacement islamique“ mais celle de… l’offre et de la demande mue par des dynamiques de peuplement s’expliquant, elles-mêmes, par des facteurs historiques, sociaux et politiques. »
Mais dites, Mesdames, cette « dynamique de peuplement », n’est-ce pas justement ce qui entraîne le « grand remplacement » ? Vous avez quatre heures.
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Ramadan : une élue FN porte plainte pour menaces de mort sur les réseaux sociaux
Dimanche 5 juin, Isabelle Surply, conseillère régionale et responsable du canton de Rive-de-Gier au FN Loire a relayé sur Twitter « un message d’un internaute mécontent des hommes politiques qui souhaitent un bon ramadan aux musulmans, où il parlait d’eux en les traitant de collabos ».
Depuis, explique l’élue, « j’ai reçu un nombre de réactions incroyables, des menaces de me tuer, me défigurer, me violer. Même des menaces sur mon fils ». Devant cette déferlante, Isabelle Surply a déposé plainte ce vendredi 10 juin au commissariat du 2e arrondissement de Lyon.
Marianne : Souhaiter un « bon ramadan » aux musulmans ? Un acte de « collabo », relaie cette élue FN
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"Ils jouent avec le feu!" (Marion Sigaut et Jean-Michel Vernochet)