Dans son discours de politique générale ce mardi 1er octobre, Michel Barnier a évoqué « la maitrise de l’immigration », à traiter « avec doigté » en évitant « les controverses inutiles ». Il a appelé des mesures « indissociables de l’état de droit et du respect de l’indépendance de la justice à laquelle je suis attaché ».
France et politique française - Page 99
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« État de droit » et immigration : Bruno Retailleau persiste et signe
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Toulouse : Le migrant clandestin multirécidiviste sous alcool et cocaïne mais sans permis qui a envoyé deux policiers municipaux à l’hôpital après un refus d’obtempérer avait déjà fait l’objet d’une expulsion ces derniers mois (MàJ)
01/10/24
Un conducteur a forcé un contrôle de la police municipale vendredi soir dans le nord de Toulouse. Deux agents de la police municipale ont été blessés. Le conducteur, sans permis et interdit du territoire français, avait bu et consommé des stupéfiants. Courtes explications devant le tribunal.
“Non je suis né le 14 juillet 1999 à Mostaganem…” Surprise devant le tribunal correctionnel de Toulouse où ce garçon de 26 ans, ou de 25 ans, décline une nouvelle identité. “Le dossier compte cinq alias”, prévient la présidente. “Sa naissance au Maroc, en juin 1998, a été établie après vérifications de ses empreintes”, souligne la procureure.
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État de droit : Barnier a choisi Fabius et la gauche contre Retailleau
On attendait Barnier au coin du bois. Certains espéraient qu’il renverse la table, comme appelait à le faire Bruno Retailleau. Ces candides attendaient un Bonaparte, et ils ont eu le dalaï Lama (la formule est d’Eric Zemmour, et il parlait du général de Villiers, le frère de son copain Philippe).
Dans un entretien accordé à TF1, le nouveau ministre de l’Intérieur était allé très loin, tenant un discours très proche de celui d’Eric Zemmour.
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Le gouvernement veut taxer EDF … qu’il vient de nationaliser. Des flèches !
Vous le savez peut-être mais EDF n’est plus coté à la bourse de Paris, puisque l’Etat français a décidé de renationaliser EDF qui n’aurait jamais du être privatisé, le tout dans un contexte de libéralisation stupide du marché de l’énergie, qui n’a rien d’un marché libre si ce n’est dans les délires technocratiques de la grosse commission de Bruxelles.
Bref, c’est encore un autre débat.
Ce qui nous occupe aujourd’hui c’est encore une idée de vedettes, une idée de Mozart de la finance niveau expertise, que dis-je des flèches du gouvernement qui vont nous chercher des trucs vraiment digne de la 7ème compagnie en cours d’économie.
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Au nom de la vérité
Yves Thréard
Ce n’est pas la censure des députés que doit redouter le plus Michel Barnier ce mardi, à l’issue de son discours de politique générale. Le Rassemblement national, tout occupé à ses procès, l’a dit et répété : il n’est pas dans cet état d’esprit. La gauche de Mélenchon est acquise à l’idée, mais pas les socialistes. Le bloc central et Les Républicains n’ont, quant à eux, rien à y gagner.
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Le marché automobile français enregistre son cinquième mois consécutif de baisse, avec 11% de diminution par rapport à l'année précédente, selon la Plateforme automobile (PFA)
En septembre, le marché automobile français a enregistré son cinquième mois consécutif de baisse, avec une diminution de 11,07 % par rapport à l'année précédente, rapporte la Plateforme automobile (PFA).
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Bienvenue dans le monde opaque des notes blanches de la DGSI !
Claude Janvier.
Supprimées par Nicolas Sarkozy en 2002, elles sont à nouveau utilisées par la Direction générale de la sécurité intérieure, - DGSI -, depuis l’instauration des états d’urgence successifs, afin de proposer au ministère de l’Intérieur des assignations à résidence, perquisitions administratives et autres mesures d’exception.
Pour une fois que Nicolas Sarkozy avait adopté une bonne mesure en les supprimant, elles sont réapparues. Mais de quoi s’agit-il ? De ces fameuses notes blanches. Dignes d’un état policier, ce que la France est devenue, elles sévissent de nouveau depuis 2015. Le prétexte invoqué étant, vous vous en doutez, l’état d’urgence. Entre 2015 et 2017, nous avons vécu sous menaces terroristes, donc sous état d’urgence, puis nous avons enchaîné l’état d’urgence sanitaire de 2020 jusqu’au 1er août 2022. (1) Bienvenue dans le monde sans fin et programmé des "états d’urgence".
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La cabanisation de la France ? La France des cabanes, du tiers monde et de la survie.
“La France des yourtes et des cabanons illicites : un fléau qui se propage” C’est un le titre d’un article du Figaro (source ici).
“Travailleurs pauvres, retraités sans ressources, néoruraux, gens du voyage… Ils sont de plus en plus nombreux à vivre en toute illégalité dans des chalets ou des camionnettes installés dans des champs ou au milieu des bois. Un casse-tête pour les préfectures et maires qui tentent de freiner le phénomène.
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Voici l’effrayant bilan économique, et tout va empirer avec la pression fiscale
L’effrayant bilan économique, le voici. Mais si Barnier augmente la fiscalité, tout va empirer. On ne sauvera pas la France de la faillite en tuant la croissance.
Et avec le nouveau patron de Bercy qui se dit en extase devant le bilan de Le Maire, ça promet ! A vrai dire, je crains le pire si Barnier ne s’attaque pas aux dépenses inutiles, à la fraude colossale et aux subventions démentielles. Tout est à revoir.
Ces chiffres économiques catastrophiques qu’on nous cache depuis des années, au même titre que ceux de l’immigration et de l’insécurité, montrent que la France peut s’effondrer à tout moment, aussi bien sur le plan économique que sécuritaire.
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La France pas prête pour manger des cafards ! La start-up Ÿnsect placée en procédure de sauvegarde.
Pour tous les bons vivants et les gourmands dont je fais partie, c’est une bonne nouvelle !
En effet la start-up Ÿnsect a été placée en procédure de sauvegarde, malgré un plan de départs volontaires l’an dernier touchant 20 % de ses effectifs.
Ÿnsect spécialisée dans la production d’aliments protéinés à base d’insectes, pour les animaux, est désormais à la recherche de nouveaux investisseurs.