
En plein marasme financier l’Élysée engage des sociétés privées, pour quel montant, mystère, pour devinez quoi ? Surveiller les comptes qualifiés de libertariens. Entendez, des personnes qui prônent un rôle réduit de l’État et réclament le droit de jouir de la liberté individuelle et du respect de la propriété. Sacrilège, blasphème insoutenable, pour les chantres du contrôle absolu et de la censure, pardon de la régulation raisonnée et surtout de la défense de la démocratie, qu’ils sont les seuls à incarner, évidemment. C’est donc avec l’argent de nos impôts que Macron et sa clique veulent savoir ce qui peut bien pousser les gens à trouver dans le président argentin, Milei et dans Musk un motif de contentement, voire un modèle à exporter. En effet il est inconcevable pour ces sociaux-démocrates, biberonnés aux idées bolcheviques du bien-être de la ponction systématique de toute richesse, que la méthode Milei puisse séduire. Et pourtant, les résultats sont là et c’est bien ce qui dérange Macron et quasiment toute notre classe politique. Le réel est terrible, car sans appel.