Pange Lingua : ce chant écrit par Saint Thomas d’Aquin correspond particulièrement au Jeudi Saint, car il exalte le sacrement
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Pange Lingua : ce chant écrit par Saint Thomas d’Aquin correspond particulièrement au Jeudi Saint, car il exalte le sacrement
En réaction à l’ampleur que prend la polémique autour du lycée Gerson, Alliance VITA rappelle :
1. Alliance VITA est régulièrement invitée à intervenir, officiellement et au su de tous, dans les écoles, sur les sujets concernant la bioéthique, grossesse et la naissance. Elle est sollicitée en raison de son expérience d’écoute et d’accompagnement des femmes et des couples confrontés à des difficultés : infertilité, fausses-couches, annonce de handicap, IMG, IVG…
Pour ces interventions VITA s’appuie sur :
Habituellement, ces interventions alternent plénière et ateliers, qui permettent aux jeunes de s’exprimer et de poser leurs questions. L’avortement est un vrai sujet de société, qui les concerne et les intéresse.
L’expérience d’écoute et d’accompagnement de VITA permet à tous ses intervenants de prendre la parole avec délicatesse et bienveillance, plus particulièrement en ce qui concerne l’IVG.
2. Alliance VITA réagit aux mises en cause dont elle est l’objet dans le cadre de cette intervention à Gerson, qui s’est déroulée dans le cadre d’un cycle bioéthique, en présence de l’infirmière scolaire de l’établissement. Deux membres de l’association ont été accusées anonymement de propos outranciers qu’elles n’ont jamais tenus. Ces termes sont étrangers non seulement au vocabulaire de VITA mais aussi à son état d’esprit et à son approche des questions liées à la vie. VITA dénonce donc fermement le mensonge, et le procédé lâche visant à salir son image et à jeter le discrédit sur son travail ; elle va porter plainte pour diffamation. Les accusations anonymes sont inquiétantes et inacceptables, et VITA souhaite que la lumière soit faite sur ces propos calomnieux."
Une centaine de jeunes filles ont été enlevées dans un établissement d’enseignement secondaire du nord-est du Nigeria par des islamistes lourdement armés, qui sont arrivés en motos et dans des camions. Selon des habitants, ses jeunes filles devaient passer cette semaine un examen annuel donnant accès à un diplôme commun à plusieurs pays d’Afrique anglophone, le WAEC. Ces derniers temps, le mouvement Boko Haram s’est souvent illustré au Nigeria s’en prenant aux écoles ou aux églises.
http://medias-presse.info/des-islamistes-enlevent-une-centaine-de-lyceennes-au-nigeria/8810
[EDUCATION] Polémique pro-vie au lycée Gerson : tempête dans un verre d’eau Sur un ton grave, Europe 1 et BFM TV s’en inquiètent : des « dérives intégristes » mineraient le lycée Gerson, établissement catholique sous contrat à Paris.
A l’origine de la polémique : lors de séances d’instruction religieuse, des intervenants extérieurs, membres de l’association pro-vie Vita ont mis en cause l’avortement de masse. Ainsi, les journalistes rapportent que l’avortement a été présenté comme « un homicide involontaire » par ces intervenants.
Selon les media de l’oligarchie, des parents d’élèves et des professeurs (dont on ignore le nombre) se sont élevé contre cet enseignement, dénonçant l’ « imposition d’une vision des plus obscurantistes de notre société ». [...]
La suite sur Le Rouge et le Noir
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Est-il-encore-possible-d-enseigner
La mairie de Paris a pondu un communiqué délirant (nous mettons en gras les pires passages), et écœurant d’hypocrisie (les républicains passant leur temps à bourrer le crâne des enfants avec leur fausse morale à l’école, par les associations ou par les médias) :
« C’est avec la plus grande stupéfaction que nous apprenons les propos auxquels auraient été exposés des élèves du lycée privé Gerson, dans le 16e arrondissement. [la pilule c'est mal et l'avortement est un meurtre : morale catholique de base - NDCI)
Le lycée reconnait avoir fait intervenir sans contrôle, auprès de jeunes élèves, l’association Alliance Vita, proche du mouvement Opus Dei. Les propos contre la contraception et l’avortement qui auraient été proférés hier par cette association au sein du Lycée ont manifestement pour but de manipuler les consciences des jeunes élèves.
Nous dénonçons fermement ces propos qui soumettent les élèves parisiens à une guerre idéologique d’un autre temps.
Comme les hirondelles qui font le printemps, les Sentinelles sont revenus à Lyon, capitale de la Résistance, lundi 14. Quelques tweets dans le week-end auront suffi pour qu’ils se retrouvent une quinzaine à veiller debout. Comme toujours aucun mot d’ordre, mais la volonté de quelques uns de venir chaque soir, de 18 h à minuit, en soutien tangible et visible aux sentinelles de Paris.
“On ne peut pas se téléporter place Vendôme, confie un veilleur, alors on vient ici, on se sent quand même avec eux”.
Lundi, tout s’est passé gentiment. Une bonne soirée pour les policiers en faction, qui ont pu dîner et passer la soirée dans leurs cars... L’ancien palais de Justice de Lyon (resté Cour d’Appel et d’Assises), surnommé “les 24 colonnes” est un cadre splendide. Les sentinelles tournent le dos au quai de Saône, maissont visibles des milliers de voitures qui passent. Elles lient conversation avec toutes sortes de touristes et de fêtards, car le Vieux Lyon est un peu le Boul’Mich local. Les Sentinelles lyonnaises semblent déterminées à rejoindre chaque soir leur “vieux palais”. Certains comptent et recomptent les colonnes, d’autres améliorent leur score au 2048, d’autres encore lisent sur leur tablette. Et que lisent-ils ? Le Salon Beige bien sûr !
Jean Ousset dans son livre l'Action, répond à l’ambition décourageante et inutile des impatients qui croient nécessaire de former ex nihilo une génération de remplacement pour « prendre le pouvoir ». Par la vertu de l’ordre vrai, la tâche est plus facile pour peu que l’on communique « l’ardeur » et le souci du « bien commun » à ceux qui exercent les responsabilités en prise avec le réel.
« Nous pensons à ces impatients de « prise de pouvoir » qui se croient réalistes parce qu’ils proposent, sans attendre, de former techniquement les membres du gouvernement qu’ils espèrent constituer...
Dieu merci, l’emploi d’un appareil si lourd est loin de nous être nécessaire.Nous avons surtout besoin d’une solide formation doctrinale. Et non point tant d’une formation technique de cadres ou chefs pré-désignés. Et cela par la vertu de l’ordre vrai.
Car c’est là ce qui constitue, fondamentalement, la dialectique révolutionnaire [l’esprit du monde].
Et c’est de cela qu’il faut se garder si l’on ne veut pas entrer soi-même dans le jeu auquel on prétend mettre fin.
Nous avons à considérer toutes les classes, toutes les catégories de citoyens selon la justice même de l’ordre naturel et divin. Chacune à sa place. Chacune ordonnée, jugée selon ses fonctions.
S’il apparaît que, pour rétablir la Cité dans son ordre vrai, certains « limogeages » peuvent être nécessaires, il est inconvenant de penser qu’on ait à former, artificiellement, les chefs et les cadres de la société. Comme si cette société n’avait pas existé jusque-là. Si l’action politique et sociale que nous devons mener est conduite avec la prudence qui s’impose, cette formation technique est pratiquement inutile. Car dans une société normale, ces cadres, ces chefs existent…
En conséquence, puisqu’il existe des juristes, des financiers, des militaires, des cadres professionnels, des élites paysannes, des professeurs, etc., il est plus conforme à l’ordre vrai de chercher à gagner et former DOCTRINALEMENTces gens qui sont déjà TECHNIQUEMENT au point.
Nous avons moins à détruire qu’à ravitailler, réordonner un ordre social pré-existant qui, pour vicié qu’il soit, n’en est pas moins rempli de ressources précieuses qu’il serait criminel d’anéantir ou négliger.
En vérité il est à la fois juste et faux de dire que nous manquons de cadres. Ces cadres existent, techniquement formés. Pratiquement en place. Cadres et chefs normaux de la société contemporaine.
Certains, sans doute, sont gagnés à [l’esprit mondain]. Mais combien le sont inconsciemment, superficiellement. Et qu’un bon décrassage (intellectuel, spirituel) suffirait à transformer en ardents et habiles restaurateurs de l’ordre social chrétien.
Cette action pourrait être plus rapide qu’on ne croit.
Ne sommes-nous pas plus répandus, dans toutes les sphères de la société, que ces premiers chrétiens dont parlait Tertullien ?
Le malheur n’est donc point dans le fait d’une non-existence, d’une non-présence des chrétiens dans la Cité, mais dans leur tiédeur, la superficialité de leur connaissance, leur mollesse, leur pusillanimité.
Et comme nous serions près du but le jour où il serait permis de dire : voici queces chrétiens omniprésents connaissent, non plus sommairement, mais dans le détail et avec enthousiasme, cette doctrine sociale de l’Eglise… Ainsi, grâce à eux, un consensus s’établirait d’un bout à l’autre de la société. Condition et promesse de toute réforme sociale qui se veut profonde, sans être subversive…
Une formation convenable est donc nécessaire pour apprécier comme il faut l’action possible des divers réseaux. Car il ne suffit pas de pousser à l’action ceux qui souhaitent agir, s’il apparaît que la forme d’action envisagée déracine ou déclasse.
D’où l’intérêt des formules bien adaptées aux conditions de vie, aux caractères, aux mœurs de chaque réseau. Sans qu’on ait à sacrifier à cette harmonie les intérêts de l’action en général... ».
A suivre ….
Au moment où des français se lèvent pour défendre la dignité de toutes les personnes et de toute la personne, en particulier des plus fragiles, que faire pour une action durable ? Ce livre est un maître livre pour bien penser l’action en fonction du but poursuivi. Tout homme ou femme d’action le lira avec profit pour inspirer son engagement. Jean Ousset est le premier en effet à avoir méthodiquement formalisé une doctrine de l'action culturelle, politique et sociale à la lumière de l'enseignement de l'Eglise pour, concrètement répondre au mal par le bien. Action de personne à personne et actions multiformes en réseau, ses intuitions sont mises en œuvre magnifiquement dans l'utilisation d'internet. A l'encontre des pratiques révolutionnaires et de la dialectique partisane, si l'amitié est le but de la politique, Jean Ousset nous montre comment pour agir en responsable, l'amitié en est aussi le chemin.
Jean Ousset dans son livre l'Action, répond à l’ambition décourageante et inutile des impatients qui croient nécessaire de former ex nihilo une génération de remplacement pour « prendre le pouvoir ». Par la vertu de l’ordre vrai, la tâche est plus facile pour peu que l’on communique « l’ardeur » et le souci du « bien commun » à ceux qui exercent les responsabilités en prise avec le réel.
« Nous pensons à ces impatients de « prise de pouvoir » qui se croient réalistes parce qu’ils proposent, sans attendre, de former techniquement les membres du gouvernement qu’ils espèrent constituer...
Dieu merci, l’emploi d’un appareil si lourd est loin de nous être nécessaire.Nous avons surtout besoin d’une solide formation doctrinale. Et non point tant d’une formation technique de cadres ou chefs pré-désignés. Et cela par la vertu de l’ordre vrai.
Car c’est là ce qui constitue, fondamentalement, la dialectique révolutionnaire [l’esprit du monde].
Et c’est de cela qu’il faut se garder si l’on ne veut pas entrer soi-même dans le jeu auquel on prétend mettre fin.
Nous avons à considérer toutes les classes, toutes les catégories de citoyens selon la justice même de l’ordre naturel et divin. Chacune à sa place. Chacune ordonnée, jugée selon ses fonctions.
S’il apparaît que, pour rétablir la Cité dans son ordre vrai, certains « limogeages » peuvent être nécessaires, il est inconvenant de penser qu’on ait à former, artificiellement, les chefs et les cadres de la société. Comme si cette société n’avait pas existé jusque-là. Si l’action politique et sociale que nous devons mener est conduite avec la prudence qui s’impose, cette formation technique est pratiquement inutile. Car dans une société normale, ces cadres, ces chefs existent…
En conséquence, puisqu’il existe des juristes, des financiers, des militaires, des cadres professionnels, des élites paysannes, des professeurs, etc., il est plus conforme à l’ordre vrai de chercher à gagner et former DOCTRINALEMENTces gens qui sont déjà TECHNIQUEMENT au point.
Nous avons moins à détruire qu’à ravitailler, réordonner un ordre social pré-existant qui, pour vicié qu’il soit, n’en est pas moins rempli de ressources précieuses qu’il serait criminel d’anéantir ou négliger.
En vérité il est à la fois juste et faux de dire que nous manquons de cadres. Ces cadres existent, techniquement formés. Pratiquement en place. Cadres et chefs normaux de la société contemporaine.
Certains, sans doute, sont gagnés à [l’esprit mondain]. Mais combien le sont inconsciemment, superficiellement. Et qu’un bon décrassage (intellectuel, spirituel) suffirait à transformer en ardents et habiles restaurateurs de l’ordre social chrétien.
Cette action pourrait être plus rapide qu’on ne croit.
Ne sommes-nous pas plus répandus, dans toutes les sphères de la société, que ces premiers chrétiens dont parlait Tertullien ?
Le malheur n’est donc point dans le fait d’une non-existence, d’une non-présence des chrétiens dans la Cité, mais dans leur tiédeur, la superficialité de leur connaissance, leur mollesse, leur pusillanimité.
Et comme nous serions près du but le jour où il serait permis de dire : voici queces chrétiens omniprésents connaissent, non plus sommairement, mais dans le détail et avec enthousiasme, cette doctrine sociale de l’Eglise… Ainsi, grâce à eux, un consensus s’établirait d’un bout à l’autre de la société. Condition et promesse de toute réforme sociale qui se veut profonde, sans être subversive…
Une formation convenable est donc nécessaire pour apprécier comme il faut l’action possible des divers réseaux. Car il ne suffit pas de pousser à l’action ceux qui souhaitent agir, s’il apparaît que la forme d’action envisagée déracine ou déclasse.
D’où l’intérêt des formules bien adaptées aux conditions de vie, aux caractères, aux mœurs de chaque réseau. Sans qu’on ait à sacrifier à cette harmonie les intérêts de l’action en général... ».
A suivre ….
Au moment où des français se lèvent pour défendre la dignité de toutes les personnes et de toute la personne, en particulier des plus fragiles, que faire pour une action durable ? Ce livre est un maître livre pour bien penser l’action en fonction du but poursuivi. Tout homme ou femme d’action le lira avec profit pour inspirer son engagement. Jean Ousset est le premier en effet à avoir méthodiquement formalisé une doctrine de l'action culturelle, politique et sociale à la lumière de l'enseignement de l'Eglise pour, concrètement répondre au mal par le bien. Action de personne à personne et actions multiformes en réseau, ses intuitions sont mises en œuvre magnifiquement dans l'utilisation d'internet. A l'encontre des pratiques révolutionnaires et de la dialectique partisane, si l'amitié est le but de la politique, Jean Ousset nous montre comment pour agir en responsable, l'amitié en est aussi le chemin.
Suite à la polémique, la mairie de Paris a publié un communiqué pour exiger la neutralité. La neutralité de l'enseignement catholique sur la question du respect de la vie ? c'est une vaste blague, surtout venant de ceux qui prennent les enfants pour des cobayes afin d'expérimenter leur idéologie du gender. Extrait du communiqué :
"Le lycée reconnait avoir fait intervenir sans contrôle, auprès de jeunes élèves, l’association Alliance Vita, proche du mouvement Opus Dei. Les propos contre la contraception et l’avortement qui auraient été proférés hier par cette association au sein du Lycée ont manifestement pour but de manipuler les consciences des jeunes élèves.
Nous dénonçons fermement ces propos qui soumettent les élèves parisiens à une guerre idéologique d’un autre temps. [...] La Mairie de Paris demeure vigilante quant au respect du droit de chaque adolescente et adolescent d’être informé sur sa sexualité et les moyens de contraception existants, au moyen d’informations validées par les professionnels.
Nous demandons aujourd’hui au Rectorat de diligenter une enquête administrative au sein de ce lycée privé sous contrat, soumis au respect des devoirs et règles républicains, et faire toute la lumière sur les évènements du lundi 14 avril."
L'enseignement de l'avortement et de la contraception, gratuits et obligatoires, est un devoir républicain.
L'une des signatrices de ce communiqué, Alexandra Cordebard, peut être contactée ici : Alexandra.Cordebard@paris.fr
Au quarantième et dernier jour de la campagne de Carême – lancée Mercredi des Cendres et qui s’est achevée dimanche des Rameaux.