Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

religion - Page 64

  • "Avoir les chrétiens en abomination est un devoir religieux islamique"

    C'est ce que déclare dans une tribune du Monde, le journaliste égyptien Saïd Shuayb :

    "Oui, avoir les chrétiens en abomination est un devoir religieux islamique, les mépriser est une nécessité. Ce ne sont pas véritablement des êtres humains. Soit on les pousse à émigrer en dehors des pays musulmans, soit on les tue. Et si on est un musulman noble, on les laisse vivre, mais humiliés, outragés, et on leur fait payer la jiziya, le tribut prévu dans le Coran pour les minorités non musulmanes, pour les rabaisser.

    Ceci est clairement une partie importante de la culture religieuse islamique. Il ne faut pas tomber dans le piège de croire que ce qui est arrivé dans la province d’Al-Miniya, à 240 km au sud du Caire [en mai 2016 dans un village, une femme copte de 70 ans avait été agressée et humiliée par des islamistes], et ce qui est arrivé avant et ce qu’arrivera encore dans d’autres lieux est uniquement causé par des salafistes puritains radicaux ou des wahhabites saoudiens.

    C’est une conséquence logique de la façon dont on m’a éduqué en tant que musulman et de ce qui m’a nourri tout au long de ma vie. A la mosquée, à l’école, dans les programmes religieux, dans les médias officiels et indépendants, on nous a bien appris que, conformément à ce que nous a ordonné Dieu, le Très-Haut, pour aller au paradis, il faut commencer par détester, outrager, porter préjudice, et tuer si nécessaire.

    Le gouverneur d’Al-Miniya, le préfet, le président de la République et les autres responsables des institutions étatiques sont, tous, le fruit de cette culture raciste et inhumaine.

    C’est ce que nomme, mon cher ami, le chercheur Magdi Khalil, « l’Etat islamique profond » – en référence au terme « Etat profond », apparu après la révolution de 2011 pour désigner le système et les personnes qui dirigent le pays sans apparaître sur la scène politique.

    Ainsi, le gouverneur d’Al-Miniya, qui avait été bouleversé par la découverte d’un œuf de poule sur lequel était inscrit le nom de Dieu, n’a pas été troublé par le feu mis à la maison d’une femme chrétienne, à son expulsion et aux tortures qu’on lui a infligées.

    Cette culture islamique traditionnelle n’est pas seulement dirigée contre les chrétiens, mais aussi contre toutes les minorités. On se rappelle ainsi comment, en 2004, des bahaïs ont été expulsés de chez eux et leurs maisons brûlées [le bahaïsme est une religion monothéiste qui proclame l’unité spirituelle de l’humanité].

    En effet, cette culture sauvage utilise sa puissance pour faire la guerre à toute personne de religion différente. Il faut ainsi se souvenir, par exemple, du cheikh chiite Hassan Shahatah. En 2013, on lui a arraché ses vêtements et on l’a lynché. Ceux qui se trouvaient avec lui dans le village de Zawiyyat Abu Mossalam, dans le gouvernorat de Guizeh, il y a quelques années, ont été aussi torturés jusqu’à ce que mort s’en suive.

    Cette culture terroriste, j’insiste, n’est pas née du wahhabisme saoudien. Il est vrai que le wahhabisme l’a diffusée, mais Muhammad Ben Abd Al-Wahhab, fondateur de cette école sanglante, n’a pas inventé ce radicalisme. Il en va de même pour l’Etat islamique, pour les talibans et bien d’autres encore parmi les organisations terroristes. Tous se fondent sur :

    - Les versets violents du Coran incitant à monter les musulmans contre les « associateurs » (polythéistes) les « Nazaréens » (chrétiens), les juifs et les autres. Et il est demandé au musulman, pour complaire à Dieu, le Très-Haut, et pour entrer au paradis, de devenir terroriste, et de haïrtout ce qui est humain. Ces versets constituent l’échine de l’école sunnite dans toutes ses formes et doctrines. Cette doctrine est enseignée à Al-Azhar, la mosquée et l’institut sunnite officiel, dans les écoles publiques, dans les mosquées, dans les médias et partout ailleurs.

    - Les hadiths[parole de Mahomet non retenue dans le Coran, reconnue comme authentique et qui fait force de loi pour les croyants] appelant clairement à tuer et à terroriser l’ennemi, y compris les musulmans non sunnites.

    L’histoire du califat de Quraysh (que je ne considère pas islamique, comme le califat ottoman et d’autres encore) était celle de l’occupation d’autres peuples et des razzias innombrables. Elle ressemble, bien sûr, à celle de tous les empires antérieurs : soumission, dictature, despotisme, discrimination, crimes. Il n’a jamais existé une histoire idéale. Même l’histoire d’« Al-Andalus » était plutôt celle d’une occupation colonialiste. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Syncope chez les laïcistes à la vue du programme de Civitas

    forces-laiques-vs-civitas-768x724.jpg

    Forces Laïques, une obscure association d’ayatollahs de la laïcité, vient de publier un communiqué alarmiste. Quel est le sujet de l’émoi ? La découverte du programme de Civitas, « à faire frémir d’horreur » tout franc-maçon qui se respecte !

    Et ce communiqué de noter :

    • Abrogation de la loi Taubira
    • Retrait de la loi Gayssot
    • Interdiction de l’avortement
    • Arrêt immédiat de l’immigration et « réémigration » des immigrés
    • Fin de la laïcité,…

    Plus effroyable encore, le communiqué de Forces Laïques remarque que Civitas a pour but avoué de restaurer la France catholique

    La rumeur prétend qu’à la lecture de ce communiqué en loges maçonniques, plusieurs frères trois-points ont fait une syncope.

    http://www.medias-presse.info/syncope-chez-les-laicistes-a-la-vue-du-programme-de-civitas/73935/

  • Une histoire de la laïcité (entretien avec Guillaume Bernard)

  • Malgré Macron, les Sentinelles toujours debout

    Même à Montpellier où des "Sentinelles" ont rappelé le 10 mai 2017 soir devant la Préfecture que l'esclavage qui avait été aboli en 1848 reste une triste réalité contemporaine avec la Gestation Pour Autrui (GPA), pratiquée, tolérée ou facilitée avec la circulaire Taubira de 2013. La repentance a des limites et la cohérence serait d'abolir la GPA sous toutes ses formes.

    MPL 2 10 05 17 (1)

    MPL 2 10 05 17 (2)

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Plus de 200 millions de chrétiens persécutés dans le monde

    carte-persecutions-des-chrétiens-2017-960x500.jpg

    Depuis des mois nous relayons dans nos colonnes les persécutions que subissent quotidiennement de par le monde les chrétiens.

    Le Vatican dénonce désormais publiquement une situation insupportable à plusieurs niveaux : liberté religieuse ; culturel ; ou encore la persécution et la discrimination.

    Déjà en 2014, le cardinal Parolin (numéro 2 du Saint-Siège) pour sa part « a dénoncé publiquement devant le même auditoire les exactions d’une « atrocité inouïe » commise par « l’État islamique » : « meurtres de masse, décapitation de ceux qui pensent différemment, vente des femmes sur le marché, enrôlement des enfants pour les combats, destruction des lieux de cultes ». Rappelant qu’« il est licite d’arrêter l’agresseur injuste » pour l’Église « mais dans le respect du droit international », il a une nouvelle fois appelé à l’urgence de l’engagement de la communauté internationale pour une solution politique. »

    Jean-Marie Guénois faisait un point « géopolitique » sur la situation dans un article du Figaro du 22 octobre 2014.

    Nos publications montrent malheureusement que la situation s’est aggravée depuis. Vous en trouverez trace sur ce lien.

    Ce lien vers la carte datée de janvier 2017 vous donne également son commentaire.

    Vous trouverez ici un extrait en français du rapport 2017 sur la persécution des chrétiens

    Enfin pour suivre au jour le jour et recevoir les synthèses vous pouvez consulter le site de l’Observatoire de la christianophobie

    http://www.infocatho.fr/plus-de-200-millions-de-chretiens-persecutes-dans-le-monde/

  • « Si les chrétiens étaient cohérents, ils voteraient tous pour Marine Le Pen »

    6a00d83451619c69e201bb099822eb970d-800wi.jpgClotilde Libert, 39 ans, secrétaire de circonscription FN à Dunkerque, mariée, 9 enfants (dont un enfant africain adopté), déclare à La Croix du Nord :

    « J’ai rejoint l’UDF, puis Christine Boutin et ensuite Philippe de Villiers. Je tournais autour du FN car ce vote était tabou chez les chrétiens. Mais un jour je me suis dit que si c’était ce parti qui incarnait mes idées, alors je devais les soutenir. Ce n’est pas un coup de colère anti-système, j’ai toujours eu la même colonne vertébrale ».

    Et ce n’est pas seulement sur la position concernant la famille qu’elle se sent proche du FN.

    « Quand mon immeuble brûle, je sauve mes enfants d’abord. Les élus délaissent leurs administrés pour s’occuper d’autres populations dont ils n’ont pas la charge ». « Je ne pensais pas revoir des camps en France ». « Des racistes, il y en a dans tous les partis. Au FN, ils ne sont pas en responsabilité ».

    « Je n’ai jamais connu autant de fraternité qu’au FN ». « On y trouve toutes les classes sociales et on sait mieux que dans les presbytères qui est au chômage, qui n’a pas rempli son frigo… »

    « Je suis bannie depuis que j’ai affiché ma proximité avec le FN. Lorsque les membres de l’Emmanuel auquel j’appartenais l’ont su, je me suis fait insulter. Chez les scouts, on nous sollicite moins. Je me suis auto-bannie aussi, je reste pratiquante mais dans une petite église où je reste au fond sans chercher à m’engager. »

    « Si les chrétiens étaient cohérents, ils voteraient tous pour Marine Le Pen ». « Notre éthique sociale est héritière de la doctrine sociale de l’Église ». « Travail le dimanche, homme jetable : voter Macron est-il compatible avec la foi chrétienne ? »

    Au FN, un seul point sur lequel elle ne déroge pas par rapport à sa foi : son attachement au pape François, qui ne fait pas l’unanimité au sein de son parti.

    « Je le défends car il n’est pas toujours compris. Il accueille des migrants au Vatican, mais un petit nombre adapté à la taille du pays ».

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Etre catholique est compatible avec le vote FN

    Le Prisme, blog tenu par des élèves du lycée Stanislas (Paris), passionnés par la politique, l'économie, la géopolitique et la philosophie, se demande si FN et catholicisme sont incompatibles. Extraits :

    "Le but de mon propos n’est nullement d’identifier le catholicisme et le Front national. Ce serait absurde dans la mesure où le premier est une religion, quand le second est un parti politique. [...] Non, l’objet de ce papier est de répondre à cette question : y a-t-il une incompatibilité fondamentale entre l’enseignement de l’Église et le programme du Front national ? Ou plus directement : peut-on être catholique et voter Front national ?

    A voir la constance avec laquelle l’épiscopat français attaque le Front, on pourrait en douter. Ainsi Mgr Olivier Ribadeau-Dumas estimait dans La Croix « un certain nombre de ses idées sont clairement en opposition avec l’Évangile et avec la vision chrétienne de la société ». Dans un article paru dans la revue jésuite Projet intitulé « Aux chrétiens tentés par le Front national », l’argument-massue, censé priver durablement les catholiques de toutes vélléités concernant le parti de Marine Le Pen, était formulé ainsi : « Comment être d’accord avec un programme politique si manifestement hostile aux étrangers ? ». Tel est le reproche premier adressé au FN : sa volonté de restreindre l’immigration, d’expulser les clandestins et d’appliquer la préférence nationale, apparemment contradictoire avec la parole du Christ « Aimez-vous les uns les autres, comme je vous ai aimés » (Jn 13, 34).

    Notons en premier lieu que le véritable enseignement de l’Église sur l’immigration n’est nullement la préconisation d’un accueil inconditionnel et illimité des étrangers. L’Église au contraire a une position juste, réaliste et responsable, posant que le droit à l’immigration ne peut être limité que pour des motifs graves et objectivement fondés relevant du bien commun. Il est évident que le FN ne souhaite pas limiter l’immigration pour d’autres motifs que le bien commun national. Entrent en jeu ici des considérations de quantité et de qualité. L’immigration est d’abord une « question de taille », selon le mot du philosophe Olivier Rey. Accueillir un million de migrants comme l’a fait notre voisin allemand est objectivement irresponsable. Benoît XVI rappelait bien le devoir qu’ont les migrants de s’intégrer à leur pays d’accueil (« Les immigrés ont le devoir de s'intégrer dans le pays d'accueil, en respectant ses lois et l'identité nationale. »). [...]

    Le Front national se pose en dernier rempart de la nation, ce que lui reproche aussi la revue jésuite, qui écrit : « Le patriotisme est un maître mot du Front national, il ne saurait en avoir l’apanage. N’est-ce pas plutôt le nationalisme et la préférence nationale qu’il proclame ? Ce nationalisme qui porte en germe les violences et les conflits : nous ne le voyons que trop, aux portes mêmes de l’Europe. » Si elle a raison de souligner que le Front national est un parti nationaliste, on aimerait avoir les arguments qui soutiennent l’affirmation que le nationalisme porte en germe les violences et les conflits. Il est d’usage de faire du terme « nationalisme » un repoussoir suffisant qui ne requiert aucune autre explication ni justification. Le nationalisme, c’est mal, un point c’est tout. Le FN lui-même, sous l’impulsion de Philippot, semble vouloir toute référence au « nationalisme » au profit du « patriotisme ». Pour revenir au nationalisme, on voit mal ce que ses détracteurs lui reprochent à moins de vouloir l’identifier imprudemment au nazisme ou au fascisme, erreur historique majeure. C’est la même disqualification morale qui est à l’œuvre lorsqu'on fait du FN un parti d’extrême-droite. S’il est vrai que son positionnement est à droite des Républicains censés constitués la droite actuelle (donc au sens strict à droite de la droite), le FN n’est assurément pas plus proche des idéologies nazies ou fascistes que ne le sont les autres partis français. Marion Maréchal-Le Pen explique ainsi : « [Parmi les caractéristiques du fascisme], il y a l'antiparlementarisme, l'autoritarisme et la doctrine basée sur la race. Nous ne répondons à aucun de ces critères. Moi je ne me considère ni d'extrême droite, ni fasciste et je trouve que c'est de la paresse intellectuelle de la part des adversaires. C'était une recommandation de Staline d'ailleurs aux communistes français, de dire : 'Traitez vos adversaires de fascistes'. On se base sur la morale et ainsi ça permet d'éviter d'aller sur le fond politique. » Classer le FN version 2017 à l’extrême-droite est d’ailleurs moins vrai que jamais, tant le positionnement idéologique du parti a évolué. Mais il semblerait que les préjugés concernant le FN – racisme, fascisme, anti-républicanisme, clichés que nous traitons dans notre article FN : pourquoi tant de haine ? – restent profondément ancrés dans l’inconscient collectif catholique...

    6a00d83451619c69e201b7c8f33af7970b-250wi.jpgReprenons la « Note doctrinale sur l’engagement et le comportement des catholiques dans la vie politique » offerte aux fidèles en 2002 par le cardinal Ratzinger alors préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, texte malheureusement magistralement ignoré de l’épiscopat français mais auquel l’abbé Grosjean a consacré son Mémoire. Ratzinger présente les « principes moraux qui n’admettent ni dérogation, ni exception, ni aucun compromis » : refus de l’avortement et de l’euthanasie, respect des droits de l’embryon humain, protection de la famille fondée sur le mariage monogame et entre personnes de sexe différent, garantie de la liberté d’éducation des enfants, protection sociale des mineurs, et libération des victimes des formes modernes d’esclavage, droit à la liberté religieuse, et développement d’une économie au service de la personne et du bien commun, respect de la justice sociale, de la solidarité et de la subsidiarité, sauvegarde de la paix. En 2006, devenu pape, il énumère les principes non-négociables devant le Parti populaire européen, la droite européenne, les réduisant à trois : « protection de la vie dans toutes ses phases ; reconnaissance et défense de la structure naturelle de la famille – union entre un homme et une femme fondée sur le mariage – ; protection du droit des parents à éduquer leurs enfants ».

    Dès lors, il convient de réajuster les paramètres de la discussion sur la compatibilité entre le Front national et le catholicisme. Le FN respecte-t-il ces critères et spécialement les deux premiers principes non-négociables particulièrement clivants ? La récente passe d’arme entre Marion Maréchal-Le Pen et Florian Philippot sur l’avortement montre qu’une partie importante du parti de Marine Le Pen y est opposé, à contre-courant de l’opinion générale pour qui l’avortement constitue un droit fondamental. On ne retrouvait nulle opposition de la sorte dans le programme d’un François Fillon qui pourtant se dit opposé à l’avortement « en conscience ». Mais la conscience n’est-elle pas le critère essentiel de choix politique ? Jean-Marie Le Pen, lui, était opposé l’avortement mais l’épiscopat français, souhaitant absolument se démarque de toute proximité idéologique avec le fondateur du FN, ne trouva d’autre moyen que de mettre en doute sa parole : Jean-Marie Le Pen était opposé à l’avortement pour une mauvaise raison. Laquelle ? Il s’y oppose non pas parce qu’il défend la vie, mais parce qu’il s’agit de sauvegarder la nation. Ce reproche lui est adressé sur la base d’un slogan frontiste « Tuer l’enfant, c’est tuer la France ». Mais ce slogan diffère-t-il vraiment du mot de Saint Jean-Paul II « Une nation qui tue ses propres enfants n’a pas d’avenir » ?

    Sur l’opposition au mariage homosexuel, là encore le FN se place comme l’un des partis les plus en adéquation avec la Note du cardinal Ratzinger. Certes le Front national ne fit pas bloc contre la loi Taubira, certes Marine Le Pen ne se rendit à aucune Manif pour Tous, mais Marion Maréchal-Le Pen ou le SIEL, mouvement proche du Front, furent à la pointe de la contestation. Contre Macron, Le Pen se pose en seule défenseure authentique du mariage entre un homme et une femme, en proposant d’abroger la loi Taubira. Se pourrait-il que le million de défenseurs de la famille et de la filiation descendu dans la rue contre le mariage gay en 2013 renie leur combat soudainement en votant pour un candidat libéral-libertaire, promouvant la PMA pour les couples lesbiens ? La Manif pour Tous dans un communiqué n'a-t-elle pas qualifié Macron de "candidat ouvertement anti-famille" faisant "passer l'argent avant l'humain" ? Enfin, comment nier que, comme l’indique le baromètre d’Alliance Vita, institut pro-vie, il n’y a aucune comparaison possible entre Le Pen et Macron sur les sujets sociétaux, auxquels l’Église porte tant d’attention ? [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html