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religion - Page 95

  • «Comprendre l’Islam», de Guillaume Faye

    Comprendre l’islam, c’est repérer sa double logique, son double ADN millénaire : le totalitarisme et le djihad, la guerre de conquête sans limites géographique, par la ruse ou par la violence.

    Comprendre l’islam, c’est voir qu’en dépit de ses divisions intestines meurtrières, il désigne un ennemi commun : notre civilisation et toutes les autres. Comprendre l’islam, c’est saisir qu’il n’existe aucune différence, seulement tactique, entre islam et islamisme. Comprendre l’islam, c’est réfléchir sur sa confusion de la foi et de la loi, du spirituel et du temporel, du religieux et du politique. Comprendre l’islam, c’est admettre son incompatibilité absolue, d’essence, avec la démocratie pluraliste, la laïcité et la liberté. Sa raison d’être est la théocratie, son règne signifie le recul de l’intelligence.

    comprendre-islam

    Comprendre l’islam, c’est voir qu’un » islam laïc » ou un » islam des Lumières » sont des utopies. Ses collaborateurs occidentaux sont des soumis, des apeurés, des aveuglés, des schizophrènes en contradiction avec leurs propres principes. Comprendre l’islam, c’est débusquer des convergences troubles avec le fascisme, le nazisme, le communisme marxiste, l’antisémitisme. Comprendre l’islam, c’est mesurer à quel point il joue sur une immigration de peuplement et de colonisation massive, rapide et incontrôlée.

    Comprendre l’islam, c’est percevoir qu’il ne possède ni métaphysique, ni théologie, ni philosophie, mais fonctionne sur le binôme dogmatique de la superstition et de l’idéologie. C’est aussi réfléchir sur le duel entre l’obscurantisme et la raison, entre la liberté et la soumission.

    Comprendre l’islam, c’est admettre sa puissance historique de sidération et de conquête, ressurgie des siècles anciens, archéofuturiste et volontariste. Comprendre l’islam, c’est refuser de se soumettre à ses valeurs et d’admettre ses principes. Comprendre l’islam, ce n’est pas le mépriser, car il n’est pas méprisable, c’est le connaître, afin d’éviter l’islamisation de l’Europe qui déboucherait sur un cataclysme et une décadence.

    L’auteur s’exprime d’un point de vue aristotélicien.

    L’auteur : Guillaume Faye, auteur de nombreux livres, est l’auteur du blog gfaye.com ou j’ai Tout Compris. Conférencier en UE, en Russie et en Amérique du Nord, il est considéré comme un théoricien dissident de la “Nouvelle Droite”.

    Prix : 20 €, 400 pages, 14×20

    http://fr.novopress.info/194168/comprendre-lislam-de-guillaume-faye/

  • "Ceci n'est pas sans rappeler les heures les plus sombres de notre histoire"

    C'est de cette façon grotesque que le CCIF (Collectif contre l'Islamophobie en Francecondamne les propos de Jacques Bompard à l'Assemblée. Rappelons que, si l'on veut parler des "heures les plus sombres", le grand mufti de Jérusalem était alors l'allié du IIIe Reich.

    Mais le CCIF veut faire taire Jacques Bompard :

    C"Ces propos doivent impérativement faire l'objet d'une condamnation ferme et sans équivoque de toute la classe politique. Cet acharnement des mouvements et partis d'extrême droite à l'égard des citoyens de confession musulmane doit également interpeller les défenseurs des libertés ainsi que les défenseurs de l’idéal républicain sur leur responsabilité vis à vis de la hausse des discours de haine dans notre pays. [...] Le CCIF en appelle également à ce qu'une sanction soit prise à l'encontre de cet individu haineux qui ne représente en rien les français, ni les valeurs de la République."

    Voilà les musulmans qui défendent "les valeurs de la République"... Les valeurs communes de la décapitation ?

    Michel Janva

  • L’importance de l’institution de la famille et du mariage

    Discours du Pape en conclusion du synode :

    "Alors que je suivais les travaux du Synode, je me suis demandé:que signifiera pour l’Église de conclure ce Synode consacré à la famille?

    Il ne signifie certainement pas avoir achevé tous les thèmes inhérents à la famille, mais avoir cherché à les éclairer par la lumière de l’Évangile, de la tradition et de l’histoire bimillénaire de l’Église, infusant en eux la joie de l’espérance sans tomber dans la facile répétition de ce qui est indiscutable ou le déjà dit.

    Il ne signifie sûrement pas avoir trouvé des solutions exhaustives à toutes les difficultés et aux doutes qui défient et menacent la famille, mais avoir mis ces difficultés et ces doutes sous la lumière de la Foi, les avoir examinés attentivement, les avoir affrontés sans peur et sans se cacher la tête dans le sable.

    Il signifie avoir incité tout le monde à comprendre l’importance de l’institution de la famille et du mariage entre un homme et une femme, fondée sur l’unité et sur l’indissolubilité et à l’apprécier comme base fondamentale de la société et de la vie humaine.

    Il signifie avoir écouté et fait écouter les voix des familles et des pasteurs de l’Église qui sont venus à Rome en portant sur leurs épaules les poids et les espérances, les richesses et les défis des familles de toutes les parties du monde.

    Il signifie avoir donné la preuve de la vivacité de l’Eglise catholique qui n’a pas peur de secouer les consciences anesthésiées ou de se salir les mains en discutant de la famille d’une façon animée et franche.

    Il signifie avoir cherché à regarder et à lire la réalité, ou plutôt les réalités, d’aujourd’hui avec les yeux de Dieu, pour allumer et pour éclairer avec la flamme de la foi les cœurs des hommes, en un moment historique de découragement et de crise sociale, économique, morale et de négativité dominante.

    Il signifie avoir témoigné à tous que l’Évangile demeure pour l’Église la source vive d’éternelle nouveauté, contre qui veut «l’endoctriner» en pierres mortes à lancer contre les autres.

    Il signifie encore avoir mis à nu les cœurs fermés qui souvent se cachent jusque derrière les enseignements de l’Église ou derrière les bonnes intentions pour s’asseoir sur la cathèdre de Moïse et juger, quelquefois avec supériorité et superficialité, les cas difficiles et les familles blessées.

    Il signifie avoir affirmé que l’Église est Église des pauvres en esprit et des pécheurs en recherche du pardon et pas seulement des justes et des saints, ou plutôt des justes et des saints quand ils se sentent pauvres et pécheurs.

    Il signifie avoir cherché à ouvrir les horizons pour dépasser toute herméneutique de conspiration ou fermeture de perspective pour défendre et pour répandre la liberté des enfants de Dieu, pour transmettre la beauté de la Nouveauté chrétienne, quelquefois recouverte par la rouille d’un langage archaïque ou simplement incompréhensible.

    Sur le chemin de ce Synode les diverses opinions qui se sont exprimées librement – et malheureusement parfois avec des méthodes pas du tout bienveillantes – ont certainement enrichi et animé le dialogue, offrant une image vivante d’une Eglise qui n’utilise pas ‘des formulaires préparés d’avance’, mais qui puise à la source inépuisable de sa foi une eau vive pour désaltérer les cœurs desséchés.

    Et – au-delà des questions dogmatiques bien définies par le Magistère de l’Église – nous avons vu aussi que ce qui semble normal pour un évêque d’un continent, peut se révéler étrange, presque comme un scandale, pour l’évêque d’un autre continent; ce qui est considéré violation d’un droit dans une société, peut être requis évident et intangible dans une autre; ce qui pour certains est liberté de conscience, pour d’autres peut être seulement confusion. En réalité, les cultures sont très diverses entre elles et chaque principe général a besoin d’être inculturé, s’il veut être observé et appliqué. Le Synode de 1985, qui célébrait le vingtième anniversaire de la conclusion du Concile Vatican II, a parlé de l’inculturation comme de l’« intime transformation des authentiques valeurs culturelles par leur intégration dans le christianisme, et l’enracinement du christianisme dans les diverses cultures humaines»3. L’inculturationn’affaiblit par les vraies valeurs mais démontre leur véritable force et leur authenticité, puisqu’elles s’adaptent sans se transformer, mais au contraire elles transforment pacifiquement et graduellement les différentes cultures.

    Nous avons vu, également à travers la richesse de notre diversité, que le défi que nous avons devant nous est toujours le même: annoncer l’Évangile à l’homme d’aujourd’hui, en défendant la famille de toutes les attaques idéologiques et individualistes.

    Et sans jamais tomber dans le danger du relativisme ou du fait dediaboliser les autres, nous avons cherché à embrasser pleinement et courageusement la bonté et la miséricorde de Dieu qui surpasse nos calculs humains et qui ne désire rien d’autre que «tous les hommes soient sauvés» (1 Tm 2, 4), pour insérer et pour vivre ce Synode dans le contexte de l’Année extraordinaire de la Miséricorde que l’Église est appelée à vivre.

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    Michel Janva

  • D’anciens militaires français s’entrainent dans le sud de la France pour rejoindre les milices chrétiennes en Irak

    Photo tirée de la page Facebook Assyrian/French Légion – Dwekh Nawsha . Dans un lieu tenu secret prés de Perpignan, d’ex-militaires français s’entraînent pour rejoindre Dwakh Nawsha, un groupe de combattants chrétiens en Irak.

    Selon un reportage du Parisien,  et le témoignage recueilli dans cette vidéo, ces hommes veulent avant tout garantir un avenir plus sûr à leur pays. Pour cela, ils sont prêts à tout quitter ici, à investir de fortes sommes d’argent dans leur équipement, quitte à tout vendre. Et même à se séparer de leur familles pour plusieurs mois. Ils préfèrent prendre ces risques plutôt que d' »attendre que la menace ne vienne frapper à nos portes ».

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  • Les Chrétiens face aux Migrants

    Voici une conférence faite par l'Abbé de Servigny, pour les paroissiens de Notre-Dame des Armées le 13 octobre. Ce n'est pas là une conférence politique mais plutôt un appel à avoir un regard plus haut.

    Michel Janva

  • Le texte de Richard Robert, deuxième partie

    Nous publions ici la suite (première partie) du texte fouillé de Richard Robert, ancien militant islamiste converti au christianisme et revenu de ses errements passés, détenu depuis plus de dix ans (d’abord au Maroc, puis actuellement à la prison centrale de Moulins-Yzeure), qui analyse la doctrine, le prosélytisme et le développement de l’idéologie islamiste. Nous laissons à l’auteur la responsabilité de certains de ses propos, que nous ne partageons pas nécessairement, libre également à chacun de ne pas en adopter forcément tous les assertions et éclairages. Mais en tout état de cause, ce texte nous paraît inciter à la réflexion, au débat, et améliorer nos connaissances sur ce sujet d’une importance cruciale.

    Les mouvances islamistes et l’histoire de l’islamisme moderne

    La mouvance islamiste se développe sur une période de 50 ans, entre les années 1940 et 1990. L’œuvre de l’égyptien Hassan al-Banna (1906-1949), le fondateur des Frères Musulmans, est sa base idéologique. Bien que la mouvance ne soit pas homogène et qu’il y ait eu des scissions au cours des années il y a des points en commun entre les différents groupes. Ses militants sont rarement desmollahs (titre donné aux personnalités religieuses, docteurs de la shari’a), mais des jeunes sortis du système scolaire moderne.

    Les islamistes voient dans l’islam autant une religion qu’une idéologie. Pour eux, la prise du pouvoir constitue un moyen adéquat pour réislamiser les sociétés corrompues par des valeurs occidentales. Ils se servent des sciences et des technologies du monde contemporain pour parvenir à leur but.

    Contrairement aux oulémas (le corps des lettrés, des docteurs de la shari’a), ils ne préconisent donc pas simplement un retour à ce qui existait avant le délaissement de la shari’a, mais ils mettent les technologies modernes au service du politique pour avoir une emprise totale sur la société.

    Dans ce sens, les islamistes sont des purs produits du monde moderne bien que leur discours officiel aille à l’encontre de la modernité. Pour eux, il n’y a qu’un islam, celui des temps de Mahomet, dévoyé par la suite. Leur littérature reflète cet imaginaire politique islamique : la première communauté des croyants au temps de Mahomet et des quatre premiers califes y est idéalisée. Sur ce point les islamistes rejoignent l’enseignement orthodoxe des oulémas, que le politologue Olivier Roy appelle le fondamentalisme stricto sensu.

    En quoi se distinguent donc les islamistes des oulémas ? Tout d’abord, pour les islamistes, l’islamisation de la société est le résultat d’une action politique révolutionnaire : il faut sortir de la mosquée, car l’islam est un concept global et totalisant. Il ne suffit pas que la société soit composée de musulmans, il faut qu’elle soit islamique dans son fondement et sa structure.

    Les islamistes introduisent donc une distinction linguistique entre ce qui est musulman et ce qui est islamique. Cette distinction légitime d’ailleurs l’usage du terme islamiste. Mais au final, ils reprennent la vision classique de l’islam selon laquelle l’islam est un système complet et universel qui n’a pas besoin de se moderniser ou de s’adapter. La différence entre l’islamisme et le fondamentalisme est donc essentiellement que les islamistes veulent passer à l’action, tandis que les fondamentalistes des oulémas se contentent d’un discours théorique.

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  • Véronique Lévy, soeur de BHL, explique sa conversion dans la basilique du Sacré-Cœur, le 25 sept. 2015

    Témoignage de Véronique Lévy, petite sœur de Bernard-Henri Levy (BHL),  qui s’est convertie du judaïsme au catholicisme. Elle explique sa conversion le 25 septembre 2015 à la Basilique du Sacré-Coeur de Montmartre lors du Congrès Mission. Elle est l’auteur de « Montre Moi Ton Visage » paru aux éditions du CERF, également disponible en numérique.

    Extrait d’une interview parue dans Paris-Match le 30 mars 2015; qu’en penser ? A vous de voir :

    Votre nom rappelle que, selon la tradition, vous descendez d’une des douze tribus d’Israël. Pourtant, vous avez décidé de vous convertir au catholicisme.

    Véronique Lévy: Mon arrière-grand-père était rabbin, mais mon père était très laïque. Je n’ai donc pas reçu d’éducation religieuse. C’est sur une page blanche de toute religiosité qu’est née ma foi. Le Christ est venu me chercher lorsque j’avais 3 ans, sur une plage du sud de la France, par l’intermédiaire d’une petite fille, Coralie, qui m’a dit : “Si tu ne crois pas en Jésus, tu seras emportée par les robots.” Elle m’a appris le “Notre Père” et le “Je vous salue Marie”, que je me suis mise à réciter en cachette de mes parents.

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