Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

religion - Page 93

  • 168 veillées de prière pour la vie

    Encore un effort pour arriver à 200 !

    Des villes comme Nantes, Cholet, Ajaccio, Bastia, Le Havre, Brest, Saint Brieuc, Besançon, Amiens, Troyes, Dunkerque, Lourdes ou Pointe-à-Pitre peuvent encore se mobiliser et se joindre au témoignage ecclésial commun voulu par le pape, « pour une culture de la vie et de l’amour« .

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Crèches de Noël : les maires FN quittent l'AMF

    Marc Etienne Lansade, Maire de Cogolin, David Rachline, Maire de Fréjus et Patricia Zirilli, Maire du Luc-en-Provence, quittent l’association des Maires de France, après la préconisation, par François Baroin d’interdiction des crèches de Noël dans les mairies :

    "L’association des maires de France (AMF) a présenté les suites de son travail lancé il y a un an sur la laïcité. Leur « Vade-mecum » se veut un mode d’emploi à l’intention des élus.

    L’AMF, en la personne de François Baroin, a interpellé le ministre de l’intérieur pour « une clarification législative ».

    L’association s’inquiète aussi de « potentielles entorses à la laïcité dans le cadre du soutien apporté à des manifestations considérées comme traditionnelles (processions, baptêmes de navires, bénédiction de bâtiments..). »

    A quand l’interdiction de la procession votive, pendant nos Bravades à Cogolin et à Fréjus ?

    Les élus du Front National défendent avec fermeté le principe de laïcité, mais ils n’ignorent pas l’histoire. Il est incontestable que, le christianisme est une expression de la culture française. Que dire alors de Noël, de Pâques, du Lundi de Pentecôte et du Jeudi de l’Ascension qui sont des jours fériés et dont l’origine est indiscutablement liée à notre histoire chrétienne ?

    C’est dans cet esprit que, Marc Etienne Lansade, David Rachline et Patricia Zirilli, protestent contre l’abandon de toutes nos traditions et la coupure avec nos racines culturelles et ne souhaitent plus faire partie d’une association qui sous prétexte de respecter la laïcité, bafoue la culture et les traditions de notre pays."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • «Le «sultan» Erdogan songe-t-il à devenir le calife que prétend être aujourd'hui Al-Baghdadi ?»

    La destruction d’un bombardier russe par la Turquie montre qu'Ankara voit Daesh non pas comme son ennemi – mais bien le contraire, estime John Laughland. Et l'OTAN risque d’être entraînée dans son jeu qui peut avoir des conséquences globales.

    Juste avant sa consolidation, avec la visite de François Hollande à Moscou prévue le 26 novembre, la nouvelle unité entre l'Europe et la Russie dans la lutte contre l'Etat islamique a été descendue en flammes par l'aviation turque. Cet avion russe qui s’écrase sera le symbole du rapprochement éphémère entre Paris et Moscou sur le dossier syrien. La nouvelle entente n'aura duré qu'une dizaine de jours, tout comme, en septembre 2013, l'accord américano-russe sur le désarmement chimique de Damas a été très vite tué dans l'oeuf par la crise ukrainienne.

    Ankara alimente les rebelles syriens, y compris islamistes, avec un soutien militaire, financier et logistique, tout en présentant à l'Europe la facture de la vague migratoire qu'elle laisse passer en direction du Vieux continent à travers son propre territoire

    Depuis le début de la guerre civile en Syrie, la Turquie y joue un sinistre double jeu. En apparence, alliée de l'Occident, elle se sert en réalité de son statut de membre de l'OTAN pour mener une politique régionale aux dépens de la lutte contre l’État islamique. Ankara alimente les rebelles syriens, y compris islamistes, avec un soutien militaire, financier et logistique, tout en présentant à l'Europe la facture de la vague migratoire qu'elle laisse passer en direction du Vieux continent à travers son propre territoire.

    Que la Turquie se tourne immédiatement vers l'Alliance atlantique après avoir abattu l'avion russe, et non pas vers Moscou avec qui elle a pourtant des rapports fonctionnels,montre à quel point elle entend couvrir ses objectifs régionaux par l'alliance militaire la plus puissante de l'histoire de l'humanité. Que l'Otan lui prête une oreille plus que sympathique montre aussi à quel point les puissances occidentales sont déterminées à ne pas permettre à la Russie de remporter une victoire militaire en Syrie. Si l'Alliance cherchait un prétexte pour torpiller toute entente euro-russe, elle vient de le trouver, à 6 000 mètres d'altitude.

    Qu'Ankara veuille renverser le régime syrien dans un bain de sang n'est un secret pour personne; que la Turquie néo-ottomane rêve de rétablir, au moins une influence, sinon une domination directe sur les anciennes terres de l'empire ottoman, Syrie incluse, est d'autant plus de notoriété que le Premier ministre, Ahmet Davutoglu, en est le principal théoricien. Que la Turquie ne puisse pas supporter que les forces kurdes remportent une victoire au sol, en libérant  le territoire syrien de la peste islamiste, est aussi une évidence.  Le «sultan» Erdogan songe-t-il peut-être aussi à devenir, un jour, le calife que prétend être aujourd'hui Monsieur Al-Baghdadi, une fois le chiisme refoulé par une défaite de l’armée syrienne et des alliés libanais et iraniens ? C'est ce que pensent beaucoup de Turcs non alignés sur la vision islamiste de leur président.

    Le monde entier devrait maintenant comprendre qui, pour Ankara, est le vrai ennemi. De toute évidence, ce n'est pas l'Etat islamique

    En 1914, la Première guerre mondiale a éclaté parce que les grandes puissances étaient liées par une série d'alliances dont les historiens dénoncent aujourd'hui l'automatisme. Cet automatisme a fait d'un petit contentieux régional un conflit à l'échelle planétaire. Aujourd'hui, l'automatisme de l'OTAN nous met dans la même situation hautement dangereuse. Les autres membres de l'Alliance atlantique ne peuvent pas ne pas soutenir leur allié turc dans son propre jeu, et c'est bien grave.

    La politique, c'est le choix entre l'ami et l'ennemi. Le monde entier devrait maintenant comprendre qui, pour Ankara, est le vrai ennemi.  De toute évidence, ce n'est pas l'Etat islamique.

    http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2015/11/25/le-sultan-erdogan-songe-t-il-a-devenir-le-calife-que-preten-5721812.html

  • Qu’est-ce que le salafisme ?

    Salafisme, sunna, hadiths, wahhabisme, vrai islam, faux islam, sunnisme, chiisme : des mots souvent prononcés à tort et à travers.
    Dès après les attentats de Paris, tous les commentateurs se sont improvisés spécialistes de l’islam. Salafisme, sunna, hadiths, wahhabisme, vrai islam, faux islam, sunnisme, chiisme : des mots souvent prononcés à tort et à travers. Aucun journaliste, « expert » ou homme politique n’a su définir pédagogiquement ce que représentent concrètement ces concepts. Il faut dire que la télévision française s’est transformée en cellule d’assistance psychologique alors qu’elle aurait dû, plus que jamais, faire œuvre de transmission des savoirs. Bref, passons.
    Au commencement de l’islam était la loi. Plus précisément la loi d’Allah, c’est-à-dire celle de Dieu. Le Coran, livre saint des musulmans, représente le verbe incréé d’Allah transmis au monde sous forme de révélations faites au prophète Mahomet par l’archange Gabriel. Ce verbe incréé se traduit en règles, en interdits, pour faire court en une pratique religieuse. Tous les musulmans partagent le Coran, mais nombreuses sont les divisions quant à la « bonne » pratique, à l’interprétation des hadiths (témoignages oraux de Mahomet) ou à l’authenticité de ces hadiths.

    Lire la suite

  • L'agenda des veilleurs et des Sentinelles

    En cas d'annulation, me contacter à tudylsb@gmail.com
     
    Lundi 23 novembre 2015
    • Bergerac - place du palais de justice à 20h
    • Châlons-en-Champagne - face au Palais de Justice, de 18h00 à 19h30 : Sentinelles
    Mardi 24 novembre 2015
    • Beauvais - devant la mairie, place Jeanne Hachette, 21h-22h
    • Bourges - à coté de la mairie, rue Moyenne de 21h à 22h
    • Cherbourg - Sur les marches du Théâtre à 20h30
    • Cholet - place Travot, 21h-22h
    • Limoges - place d'Aine, de 20h30 à 21h30
    • Paris - Place de la République de 20h30 à 22h30

    Rép

    • Reims - Place royale, à 20h

    Mercredi 25 novembre 2015

    • Le Puy en Velay - place Cadelade, 19h à 20h
    • Toulon - face à l’église St François de Paule (pour cause de marché de Noël) de 20h30 à 22h
    Jeudi 26 novembre 2015
    • Aix-en-Provence - devant l'IEP, face à la cathédrale - de 20h30 à 21h30
    • Annecy - devant la mairie à 21h30
    • Châteauroux- veillée place de la République de 20h30 à 21h30
    • Loudéac - bas de l'avenue des Combattants (coté nord de l'église St Nicolas) à 20h
    • Orléans -122° veillée place du Martroi "aux pieds de Jeanne à 20h30 abri si pluie
    Vendredi 27 novembre 2015
    • Bordeaux - place Pey Berland à 18h30 : Sentinelles
    • Carhaix - Place de La Tour d'Auvergne : de 20h30 à 22h
    Samedi 28 novembre 2015
    • Lamotte-Beuvron - Devant la Mairie de 18h à 19h15

    Louise Tudy

  • La culture française est imprégnée de catholicisme : donc certaines revendications musulmanes n'ont pas droit de cité en France

    Marion Maréchal Le Pen était l'invitée de TF1 LCI RTL le Figaro. A partir de la 7e minute, elle revient sur son entretien donné à Présent :

    Michel Janva

  • Crèches interdites : « Moins de christianisme, plus de laïcisme, la pire réponse aux attentats »

    L’abbé Pierre-Hervé Grosjean réagit aux recommandations sur la laïcité de l’Association des maires de France.

    Notre pays vient d’être marqué par les attentats les plus dramatiques de son histoire. Les barbares de l’Etat Islamique ont déclaré la guerre à la France. Ils rassemblent dans une même haine notre culture, notre liberté, notre art de vivre, notre démocratie… mais aussi, si nous prenons le temps de lire leur revendication, la foi chrétienne qui est indissociable de l’histoire et de l’identité de notre pays. Paris, « capitale qui porte la bannière de la croix en Europe » était visée, au cœur d’un pays de « croisés ». Les mots sont clairs.

    Moins d’une semaine après, l’AMF - Association des Maires de France - que préside M.Baroin, sort un « Vade mecum sur la laïcité », qui se veut être le fruit d’une réflexion suite aux attentats de janvier. Or que propose ce document comme réponse à ces attaques islamistes ? Concrètement, s’il fallait résumer, ça tiendrait en quelques mots : « Moins de christianisme, plus de laïcisme ! ».

    Ainsi l’AMF veut faire disparaître une fois pour toute les crèches de Noël dans tout les bâtiments publics (p.16). Ces crèches constituent sans doute un danger pour le « vivre ensemble »… Mais comme les derniers jugement rendus au tribunal ont reconnu que ce n’était pas le cas, l’AMF veut une nouvelle loi ! L’AMF insiste par ailleurs pour que les élus adoptent une neutralité personnelle radicale lors des offices religieux (p.14). Un élu qui fait le signe de croix ferait donc trembler la république ? Mais l’AMF ne s’arrête pas là. A la même page, voici déjà un autre danger à contrer : les « entorses à la laïcité » quand les élus soutiennent des manifestations traditionnelles, mais qui ont gardé un sens spirituel : processions, baptême de navires, etc… Même si tout cela est accompagné de festivités ou de propositions culturelles ! Pensez à la Fête des Lumières du 8 décembre à Lyon…Voilà… traquez le religieux, traquez ces vieilles traditions chrétiennes, même populaires et culturelles. Et encore, je vous passe les consignes sur la programmation musicale (p.14 : pas trop d’œuvres d’inspiration chrétienne…) ! [....]

    La suite Le Figaro.vox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Creches-interdites-Moins-de

  • Interdire l’islamisme donc le Coran ?

    Manuel Valls a donc l’intention d’expulser les « imams radicaux » et Bernard Cazeneuve entend fermer les mosquées qui « prêchent la haine ». Cela signifie que, malgré l’attentat contre Charlie, les imams radicaux avaient toujours pignon sur rue et que les mosquées où l’on prêche la haine restaient ouvertes.
    Dont acte.
    8487-Chard
    Voilà qui témoigne d’une mâle quoique tardive résolution ! Mais, apparemment déterminés sur la fin, ils sont muets sur les moyens et les nécessaires définitions juridiques pour fonder légalement ces légitimes interdictions.
    Qu’est-ce qu’un imam « radical » ? Un salafiste ? Un intégriste ? Et qu’en est-il des imans français inexpulsables ? Où commence le radicalisme musulman, et jusqu’à quel degré est-il tolérable et à partir duquel est-il condamnable ? Le ministre de l’Intérieur a-t-il un étalon-or pour le mesurer ? Il en est de même de la « haine ».
    On a compris qu’il ne s’agit pas d’interdire tous ceux qui prônent la haine et la hurlent, comme en 2002 ceux qui défilaient entre les deux tours de la présidentielle au cri de « Le Pen, salaud, le peuple aura ta peau ! » sous les applaudissements des amis de François Hollande.

    Il s’agit des prédicateurs qui relaient en France et approuvent les méthodes atroces de l’État islamique et celle des terroristes. Mais ceux-là assurent qu’ils ne font qu’appliquer la charia, la loi islamique.
    On nous dit alors qu’ils la comprennent mal, que ce ne sont pas d’authentiques musulmans, les vrais, si l’on croit nos ministres et nos médias, sont plus des disciples de Gandhi que de Mahomet. Or, que dit le Coran ? En le consultant, on voit que les islamistes n’ont rien inventé.
    Les verbes tuer et combattre se trouvent respectivement 62 et 51 fois qui, le plus souvent, constituent des ordres, par exemple : « Après que les mois sacrés se seront écoulés, tuez les polythéistes partout où vous les trouverez, capturez-les, assiégez-les, dressez-leur des embuscades » (sourate 9, verset 5.) »
    Ou encore : « La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et son messager, et qui s’efforcent de semer la corruption sur la terre, c’est qu’ils soient tués ou crucifiés, ou que soient coupées leurs mains et leurs jambes opposées. » (5,32)

    Les imams radicaux, les prédicateurs de haine qui ne seraient pas de vrais musulmans, citent un vrai Coran et de vraies sourates. Or, selon le Livre lui-même, il ne saurait être interprété. D’après la sourate 43,4 le livre préexistait en Dieu : « Il (le livre) existe auprès de Nous, sublime et sage, dans la Mère du Livre. » Dès lors, si Dieu lui-même est l’auteur de chaque mot et phrase du Coran, il n’y a plus d’espace pour quelque interprétation que ce soit, ou « contextualisation » historique.

    La volonté du gouvernement de combattre le « radicalisme » et les imans qui prêchent la violence devrait, en bonne logique, agir à la source, à savoir le Coran et donc l’interdire. Le pouvoir ne le fera pas. Mais alors, que Hollande cesse de nous sermonner en nous répétant de ne point faire d’amalgame entre l’islam et l’islamisme ! Le lien existe entre l’islam et l’islamisme, c’est le Coran !

    Guy Rouvrais

  • Interdire l’islamisme donc le Coran ?

    Manuel Valls a donc l’intention d’expulser les « imams radicaux » et Bernard Cazeneuve entend fermer les mosquées qui « prêchent la haine ». Cela signifie que, malgré l’attentat contre Charlie, les imams radicaux avaient toujours pignon sur rue et que les mosquées où l’on prêche la haine restaient ouvertes.
    Dont acte.
    8487-Chard
    Voilà qui témoigne d’une mâle quoique tardive résolution ! Mais, apparemment déterminés sur la fin, ils sont muets sur les moyens et les nécessaires définitions juridiques pour fonder légalement ces légitimes interdictions.
    Qu’est-ce qu’un imam « radical » ? Un salafiste ? Un intégriste ? Et qu’en est-il des imans français inexpulsables ? Où commence le radicalisme musulman, et jusqu’à quel degré est-il tolérable et à partir duquel est-il condamnable ? Le ministre de l’Intérieur a-t-il un étalon-or pour le mesurer ? Il en est de même de la « haine ».
    On a compris qu’il ne s’agit pas d’interdire tous ceux qui prônent la haine et la hurlent, comme en 2002 ceux qui défilaient entre les deux tours de la présidentielle au cri de « Le Pen, salaud, le peuple aura ta peau ! » sous les applaudissements des amis de François Hollande.

    Il s’agit des prédicateurs qui relaient en France et approuvent les méthodes atroces de l’État islamique et celle des terroristes. Mais ceux-là assurent qu’ils ne font qu’appliquer la charia, la loi islamique.
    On nous dit alors qu’ils la comprennent mal, que ce ne sont pas d’authentiques musulmans, les vrais, si l’on croit nos ministres et nos médias, sont plus des disciples de Gandhi que de Mahomet. Or, que dit le Coran ? En le consultant, on voit que les islamistes n’ont rien inventé.
    Les verbes tuer et combattre se trouvent respectivement 62 et 51 fois qui, le plus souvent, constituent des ordres, par exemple : « Après que les mois sacrés se seront écoulés, tuez les polythéistes partout où vous les trouverez, capturez-les, assiégez-les, dressez-leur des embuscades » (sourate 9, verset 5.) »
    Ou encore : « La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et son messager, et qui s’efforcent de semer la corruption sur la terre, c’est qu’ils soient tués ou crucifiés, ou que soient coupées leurs mains et leurs jambes opposées. » (5,32)

    Les imams radicaux, les prédicateurs de haine qui ne seraient pas de vrais musulmans, citent un vrai Coran et de vraies sourates. Or, selon le Livre lui-même, il ne saurait être interprété. D’après la sourate 43,4 le livre préexistait en Dieu : « Il (le livre) existe auprès de Nous, sublime et sage, dans la Mère du Livre. » Dès lors, si Dieu lui-même est l’auteur de chaque mot et phrase du Coran, il n’y a plus d’espace pour quelque interprétation que ce soit, ou « contextualisation » historique.

    La volonté du gouvernement de combattre le « radicalisme » et les imans qui prêchent la violence devrait, en bonne logique, agir à la source, à savoir le Coran et donc l’interdire. Le pouvoir ne le fera pas. Mais alors, que Hollande cesse de nous sermonner en nous répétant de ne point faire d’amalgame entre l’islam et l’islamisme ! Le lien existe entre l’islam et l’islamisme, c’est le Coran !

    Guy Rouvrais

  • 28 novembre : 113 veillées pour la vie

    Il est toujours temps d'en organiser pour le renouveau de la culture de Vie.

    Michel Janva