Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

religion - Page 99

  • Véronique Lévy, soeur de BHL, explique sa conversion dans la basilique du Sacré-Cœur, le 25 sept. 2015

    Témoignage de Véronique Lévy, petite sœur de Bernard-Henri Levy (BHL),  qui s’est convertie du judaïsme au catholicisme. Elle explique sa conversion le 25 septembre 2015 à la Basilique du Sacré-Coeur de Montmartre lors du Congrès Mission. Elle est l’auteur de « Montre Moi Ton Visage » paru aux éditions du CERF, également disponible en numérique.

    Extrait d’une interview parue dans Paris-Match le 30 mars 2015; qu’en penser ? A vous de voir :

    Votre nom rappelle que, selon la tradition, vous descendez d’une des douze tribus d’Israël. Pourtant, vous avez décidé de vous convertir au catholicisme.

    Véronique Lévy: Mon arrière-grand-père était rabbin, mais mon père était très laïque. Je n’ai donc pas reçu d’éducation religieuse. C’est sur une page blanche de toute religiosité qu’est née ma foi. Le Christ est venu me chercher lorsque j’avais 3 ans, sur une plage du sud de la France, par l’intermédiaire d’une petite fille, Coralie, qui m’a dit : “Si tu ne crois pas en Jésus, tu seras emportée par les robots.” Elle m’a appris le “Notre Père” et le “Je vous salue Marie”, que je me suis mise à réciter en cachette de mes parents.

    Lire la suite

  • L'inquiétude de musulmans face à l'attraction du christianisme

    Marc Fromager, directeur de l'Aide à l'Eglise en Détresse a publié un livre sur la situation des chrétiens au Moyen-Orient, analysant les causes du drame actuel. Cet ouvrage propose un décryptage intéressant des enjeux religieux, énergétique et politiques qui déchirent cette région, en pointant du doigt les différentes responsabilités locales et occidentales, y compris françaises.

    La fin des chrétiens au Moyen-Orient semble inéluctable, mais il y a toujours des raisons d’espérer. Parmi elles, il y a les nombreuses conversions de musulmans, conversions qui expliquent aussi la radicalisation de musulmans, qui craignent que cette situation leur échappe :

    51ixEoD02DL._SX331_BO1,204,203,200_"Une réelle inquiétude monte chez certains musulmans qui se rendent compte, mieux que nous, de l'attraction du christianisme. En Occident, on ne le mesure guère au vu de la pratique religieuse qui a connu un net effondrement. En France, elle se situe atour de 4 à 5% de catholiques pratiquants. Dans cet environnement de coma spirituel, parler de l'attraction du christianisme pourrait paraître provocant. Et pourtant !

    Il suffit de voyager en Afrique, en Asie, au Moyen-Orient même pour s'apercevoir que le christianisme attire de plus en plus, y compris des musulmans. En 2006, sur la chaîne Al Jazeera, le cheikh Ahmad Al Katani, président des Compagnons pour les Sciences de la loi islamique en Libye, lançait un réel cri d'alarme : selon lui, 6 millions d'africains se convertissaient chaque année au christianisme, soit 667 par heure.

    En Indonésie, 2 millions de musulmans quittent l'islam chaque année pour le christianisme. Si cette tendance se poursuit, ce pays, le plus grand pays musulman au monde, cessera d'être à majorité musulmane d'ici 2035. La situation est tellement alarmante que le gouvernement musulman a lancé une grande campagne télévisée, "Save Maryam" (Sauver Maryam)pour tenter d'arrêter l'hémorragie mais aussi collecter des fonds pour renforcer l'islamisation."

    Michel Janva

  • Le premier magazine catho féminin en ligne

    C'est ici : http://www.magazine-zelie.com/

    Zelie

     

    (merci à FC)

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2015/10/le-premier-magazine-catho-f%C3%A9minin-en-ligne.html

  • Le premier magazine catho féminin en ligne

    C'est ici : http://www.magazine-zelie.com/

    Zelie

     

    (merci à FC)

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2015/10/le-premier-magazine-catho-f%C3%A9minin-en-ligne.html

  • Conférence Dextra le vendredi 9 octobre : Chiites et sunnites. Mythes et réalités


    Chers amis et camarades, pour ce vendredi 9 octobre, nous aurons la joie et l'honneur de recevoir Mehdi H. qui traitera des Mythes et réalités dans les relations chiites-sunnites. 
    Nous vous attendons nombreux pour la seconde conférence de l'année, qui débutera à 19 h 30 au 19 rue Pascal (Paris Ve) ! 
     
    A Vendredi, et venez avec vos amis et amies !

    Cliquez ici pour accéder à l'événement

  • Entretien Radio Courtoisie-Le Salon Beige avec Marion Maréchal Le Pen

    En partenariat avec le Salon Beige et Radio Courtoisie, le libre journal de la Résistance de Grégoire Boucher reçoit aujourd'hui le député de Vaucluse Marion Maréchal Le Pen, candidate tête de liste en région PACA. Voici le déroulé de cette émission préenregistrée avec Louise Tudy :

    • 4’ : La génération anti-68 – Sens de son engagement
    • 10’30 : Analyse géopolitique de la France
    • 14’45 : Droit d’asile et contrôle de l’immigration
    • 20’20 : Politique d’aide au développement
    • 25’45 : Crise du proche-Orient. Syrie et Libye
    • 30’ : Engagement en politique et espoirs
    • 33’30 : La France est-elle réformable ?
    • 25’30 : Fin du système des partis
    • 38’30 : Famille, mariage et Pacs
    • 44’45 : Sacralité du mariage chrétien
    • 46’45 : Foi et politique : cohérence de l’engagement
    • 52’ : Rôle de l’Eglise et fin de l’ancien monde
    • 54’ : Combat spirituel contre le relativisme
    • 56’ : Racines de la France et laïcité
    • 1h 00’30 : Le gouvernement des juges
    • 1h 03’00 : Enjeux et perspectives des élections régionales
    • 1h 05’00 : L’écologie humaine, valeurs chrétienne
    • 1h 09’00 : Appel à l’Union des patriotes en PACA et en France
    • 1h 13’30 : La survie de la France
    • 1h 14’00 : Les points non négociables
    • 1h 18’00 : Lutte contre l’avortement
    • 1h 20’10 : Appel à l’engagement 

    Michel Janva

  • La religion n’est pas la cause majeure des guerres dans l’histoire – Croyance populaire démasquée

    Cette croyance populaire aux fondements aussi nébuleux que tenaces semble, en fait, absolument et scientifiquement fausse voire, n’ayons pas peur des mots,malhonnête. L’athée qui utilise cet argument n’a en réalité aucune base solide pour son assertion.
    Bien qu’il soit clair que certaines guerres eurent comme cause première la religion, la vaste majorité d’entre elles sont, factuellement, non-religieuses (1). Dans le livre de référence « Encyclopedia of Wars » de Charles Phillips et Alan Axelrod (voir aussi une autre « Encyclopedia of Wars » pour des chiffres très similaires), l’on peut constater avec étonnement qu’hors des 1763 guerres recensées, seules 123 revêtent un caractère religieux (pour une liste complète de ces 123 guerres, voir ici aux pages 51 à 53). Sans compter que, comme William T. Cavanaugh le démontre dans son ouvrage « Myth of Religious Violence: Secular Ideology and the Roots of Modern Conflict » (à consulter impérativement), il n’est pas toujours évident de qualifier des guerres d’exclusivement religieuses puisque de forts intérêts séculiers (économiques et politiques) s’y entremêlent bien souvent voire les chapeautent. Cependant, sans rentrer dans cette vaste question et si l’on s’en tient à ces chiffres, cela constitue donc moins de 7% de toutes les guerres et moins de 2% de toutes les personnes tuées lors des conflits. En outre, lorsque l’on soustrait des guerres « religieuses » celles commises au nom de l’Islam (66), le pourcentage tombe de moitié à 3.23% (majoritairement « chrétiennes » ; bien que j’estime, comme beaucoup, qu’aucune guerre ne devrait se voir associer cet adjectif… Le Christ commandait en tout premier lieu l’amour du prochain, et ce même de l’ennemi et en faisait la base de la reconnaissance du vrai chrétien).
    Renversant n’est-ce pas ? Pour prendre un exemple pratique ayant attrait non pas aux nombres de guerres, mais au nombre de victimes, tandis qu’un à trois millions de personnes furent tués lors des horribles croisades et trois mille sous l’affreuse Inquisition, plus de trente-cinq millions de soldats et civils furent assassinés lors de la guerre hautement séculière, non-religieuse qu’est la Première Guerre mondiale.
    De plus, les anciens conquérants, que cela soit les Égyptiens, les Babyloniens, les Perses, les Grecs ou même les Romains sont connus pour avoir généralement bien reçu les croyances de ceux qu’ils conquéraient ; ils ajoutaient même les dieux conquis à leur panthéon. Aucun motif religieux derrière leurs exactions.
    Cela ne changera pas avec les guerres modernes : la campagne napoléonienne, la révolution américaine, la révolution française, la guerre civile américaine, la Première Guerre mondiale, la révolution russe, la Deuxième Guerre mondiale ainsi que les conflits en Corée et au Vietnam comptabilisent à elles seules le gros des massacres de l’histoire et étaient purement nationalistes et ethniques, absolument pas religieuses.
    Pour clore la réflexion, un certain monstre sanguinaire du nom de Napoléon a apparemment dit que « un bon croquis vaut mieux qu’un long discours », je ne puis donc que vous laisser sur quelques chiffres et noms supplémentaires de « grands » athées pour agrémenter cet article (je ne suis pas l’auteur de ce graphique, aussi non, j’y aurai rajouté Napoléon et d’autres, pas seulement ces dictateurs ; en outre, certains chiffres me semblent légèrement sujets à discussion même si, au fond, ils sont tout de même globalement représentatifs des réalités sous-jacentes) :
    « On dirait que l’humanité a oublié les lois de son divin Sauveur, qui prêchait l’amour [et ce, même de l’ennemi] et le pardon des offenses, et qu’elle fait consister son plus grand mérite dans l’art de s’entre-tuer. » – Léon Tolstoï dans son œuvre sublime « Guerre et Paix ».
    Note :
    (1) Il convient ici de poser deux remarques.
    La première concerne la définition du mot « religion » ici utilisée. L’on a défini la religion de façon « classique », « substantive » ou encore « restrictive » (tels sont les qualificatifs attribués à cette approche par la sociologie). La définition suivante pourrait en être donnée : « La religion est un système de croyances et de pratiques relatif à une réalité supra-empirique transcendante qui unit tous ceux qui y adhèrent en vue de former une communauté morale. » (définition donnée par Karel Dobbelaere dans son ouvrage : Secularization: A Multi—Dimensional Concept, Londres, Sage Publications, 1981, p.3). Cette approche exclut donc les religieux plus « diffus ». En effet, si une définition « extensive » de la religion était utilisée, nul doute que l’on pourrait y inclure le nazisme, par exemple, comme système religieux également (système particulièrement haineux à l’égard des juifs et des chrétiens confessants de l’époque d’ailleurs…). Tel n’est pas le cas ici.
    Ensuite, la deuxième remarque est une précision quant à la pertinence de cet article. Il ne s’agit pas ici de dire que le religieux était exclu de la plupart des guerres. Il était bien au contraire inclus/caché même dans certaines des guerres les plus athées ! Le dessein de cet article est plutôt de démontrer que bien que présent, il n’a pas été la cause majeure de conflits (telle est l’exacte formulation du titre par ailleurs), le déclencheur principal des guerres dans l’histoire. La « volonté de puissance » en l’homme, comme dirait Nietzsche, a largement suffi pour ce faire (retour au texte).
    Voici un autre croquis valant mieux qu’un long discours métaphysique (par Alain Auderset).

  • Des centaines d'immigrants se convertissent au christianisme en Allemagne

    Lu ici, cette oeuvre du pasteur cité dans mon précédent post : 

    "Le pasteur Gottfried Martens de l'église de la Sainte Trinité à Berlin a vu sa paroisse évangélique luthérienne sous le feu des projecteurs. Il s'apprête à célébrer une cinquantaine de baptêmes pour le seul mois de novembre, et a déjà fait entrer dans le giron de l'Église près de 600 musulmans depuis 2008. Il les accueille dans sa paroisse, et leur donne des cours de catéchisme «Je veux les baptiser, mais je dois tous les connaître personnellement pour être sûr que leur conversion est vraiment sincère», témoigne-t-il sur France 2. «Je suis loin de donner un certificat de baptême à tout le monde», se défend le pasteur. A Hanovre, un autre pasteur, le père Oboski revendique 2000 baptêmes depuis 2008. Une autre petite paroisse de Berlin affirme avoir converti 120 nouveaux paroissiens en trois ans.

    Parmi eux, des Afghans, quelques Syriens, mais surtout une majorité d'Iraniens. Il existe en effet une proximité théologique plus importante entre chiisme et christianisme, qui facilite les conversions.

    «Ma mère est musulmane mais moi, j'ai décidé de me convertir. En Grèce et en Italie, j'ai eu le temps de voir ce qu'est le christianisme. C'est la meilleure religion que je connaisse.» témoigne, Asma, une Afghane de 17 ans, dans La Croix.

    «J'ai vu de mauvaises choses dans ma religion, l'islam. Il y a le groupe État islamique, dans mon pays il y a une dictature islamique mais en arrivant dans cette église, j'ai vu les bonnes choses qu'il y a dans le christianisme» explique ainsi un réfugié iranien.

    Lahire