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religion - Page 99

  • SOS Chrétien d’Orient : "La tache est immense, les besoins innombrables"

    Cet été, l’association SOS Chrétiens d’Orient poursuit son travail humanitaire auprès des populations sinistrées, notamment chrétiennes, en Orient. Hélène Bertrand, déléguée générale de l’association, a bien voulu répondre aux questions du R&n afin de faire un point sur les différentes missions estivales.

     

    R & N : Quels sont les différentes missions de SOS Chrétiens d’Orient cet été ?

    SOS Chrétiens d’Orient : Cet été, plus de quatre-vingt-dix volontaires s’engagent dans différentes missions en Irak, en Syrie « Ensemble avec les enfants de Syrie », et au Liban « Ensemble avec les enfants du Liban ». Cinquante d’entre eux se relaieront pendant les mois de juillet et août, au Kurdistan irakien en rejoignant la mission permanente « Mission Irak 2015 ». Rappelons que SOS Chrétiens d’Orient est présent en Irak de manière continue depuis le 8 août 2014. La grande nouveauté réside dans l’envoi de vingt volontaires en Syrie, dans différentes villes. C’est en effet la première fois que SOS Chrétiens d’Orient envoie autant de volontaires sur une longue période dans un pays en proie à une guerre civile largement subventionnée par les Etats voisins ou occidentaux. Notre antenne libanaise (Massihiyyoun Maan), reçoit vingt volontaires, envoyés dans six missions à travers le pays, au service des diverses Églises du pays du Cèdre.

    Quelles que soient les missions sur lesquelles l’association intervient, la tâche est immense, les besoins innombrables. L’objectif reste le même : retisser les liens entre les chrétiens d’Orient et ceux de France à travers l’échange, la connaissance mutuelle mais aussi dans l’encadrement de patronages et la participation à divers travaux.

    R&N : Citez-nous des exemples concrets d’action menées cet été par vos volontaires ?SOS Chrétiens d’Orient  : Evaluer les besoins des réfugiés, apporter de la nourriture et des médicaments, bâtir et agrandir des écoles,fournir des cabines médicalisées, reconstruire les bâtiments détruits par la guerre, organiser des activités pour les enfants : telles sont les missions de nos volontaires.

    En Irak, les activités continuent : jeux avec les enfants, visites de familles isolées pour évaluer les besoins, distributions de nourriture et de médicaments. Douze volontaires s’occuperont en août d’un patronage à Mangesh, petit village chrétien des montagnes kurdes qui a accueilli des milliers de réfugiés suite à la prise de la plaine de Ninive par les barbares de l’Etat islamique.

    En Syrie, les volontaires sont présents notamment à Kafroun -petit village chrétien situé à Mashta Elou entre Homs et Tartus- et Maaloula -village chrétien où l’araméen est encore parlé, au nord de Damas. Ils s’occupent de patronages avec les enfants, de les divertir par des activités ludiques –concours sportifs, ateliers de dessins- et pédagogiques - cours de musique, de chants, de couture, cours de français et d’anglais. A Kafroun, les enfants viennent de toute la Syrie, notamment d’Alep. En finançant leur voyage, SOS Chrétiens d’Orient a permis à certains d’entre eux de quitter, pour quelques jours, les horreurs de la guerre pour la première fois depuis plus de quatre ans. Ils participent également à l’initiative du patriarcat grec-melkite catholique nommée « Une pièce pour une famille ». L’objectif est de permettre à chaque famille réfugiée de recommencer à habiter au moins une pièce de son ancien foyer dans les plus brefs délais. Certains réfugiés ont pu retrouver leur maison après la reconquête des villes et des villages opérée par l’armée arabe syrienne, mais il y a tout à refaire : murs détruits, impacts de balles ou d’obus, destruction des systèmes d’électricité ou d’approvisionnement d’eau.

    Au Liban, des volontaires infirmiers renforcent l’équipe du centre médical de la paroisse d’Al Qa, qui prend en charge quatre mille réfugiés syriens. D’autres aident à la restauration de maisons appartenant à des familles pauvres du Liban, à Zahlé. Plusieurs patronages sont également organisés dans la région de Saïda, de Jabboulé et du Mont-Liban. Les volontaires y font du soutien scolaire aux enfants et mettent en place des animations (activités culturelles, religieuses, scolaires, sportives et récréatives). Dans la Vallée Sainte (Wadi Qadisha), quatre volontaires accompagnent frère Yves, un amoureux du lieu, pour recenser les lieux d’ermitage et l’aider dans la réalisation d’un guide de ce berceau de la chrétienté libanaise. [....]

    La suite sur le Rouge & le Noir

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?SOS-Chretien-d-Orient-La-tache-est

  • Déroute de l’Etat islamique au Sinaï et désinformation des médias internationaux

    Nouvelles de France a obtenu l’aimable autorisation d’Eric Denécé, directeur du site du Centre français de recherche sur le renseignement (CF2R) de reproduire l’excellente tribune du géopolitologue Chérif Amir sur la répression efficace du Président Égyptien Abdel Fattah al-Sissi contre le terrorisme islamiste.

     

    Le 1 er juillet 2015, au nord du Sinaï, les forces armées égyptiennes ont littéralement écrasé les terroristes de l’organisation « Etat islamique », soutenus par le Hamas, tuant 241 islamistes qui rêvaient de répéter le scénario de l’humiliation des armées irakienne et syrienne sur la terre des pharaons. Ils ont cru pouvoir créer une enclave islamique à Al-Arish et dans tout le nord du Sinaï, en attaquant simultanément quinze check points militaires à 06h55. Les terroristes, montés sur plusieurs dizaines de des de pick-up et de motos, étaient lourdement armés (mortiers, RPG, canons anti-aériens, etc.)

    Mais leur rêve s’est transformé en cauchemar grâce à la férocité de la seule armée encore debout au Proche-Orient, dont les pertes à l’occasion de cet affrontement se sont élevées à vingt-quatre hommes seulement. Ils ont pour l’essentiel trouvé la mort en arrêtant l’avancée des véhicules 4×4 piégés qui devaient ouvrir la route aux terroristes et infliger de nombreuses pertes à l’armée égyptienne.

    Pourtant, les médias internationaux – Al-Jazeera, AFP, BBC, Euronews – ont donné une version totalement faussée de ces événements, qu’il s’agisse de mensonges ou d’approximations dans la relation des faits, parlant de plus de 70 tués parmi les militaires et de la chute de nombreuses villes du Sinaï aux mains de l’organisation « Etat islamique ».

    La situation a été en effet bien différente. Les nombreuses vidéos réalisées montrent les terroristes tentant – en vain – de fuir le champ de bataille face à l’infernale puissance de feu de l’armée égyptienne ; on y voit au moins trois pick-up remplis des cadavres de membres de l’Etat islamique.

    L’armée égyptienne a également intercepté les SOS lancés par les terroristes sur les ondes : « Sauvez nous ! Sauvez nous ! Nous sommes blessés ! ». Ces appels, en dialecte palestinien et dans d’autres dialectes arabes, décrivaient la puissance de feu de l’armée égyptienne comme l’enfer, frappant sans arrêt, sur tous les points de l’attaque. [....]

    La suite sur Nouvelles de France

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Deroute-de-l-Etat-islamique-au

  • Beaucaire : comment un tribunal français a-t-il pu recevoir une telle plainte ?

    Ce ne sont pas les arrêtés municipaux de Julien SANCHEZ qui sont discriminatoires, mais la plainte déposée par Abdallah ZEKRI.
    En effet, l’arrêté du 16 juin interdit l’exercice professionnel de TOUTES les épiceries, primeurs, et commerce de distribution de 23H00 à 08H00 dans un périmètre « se situant à l’intérieur d’un périmètre délimité du centre-ville », l’arrêté du 17 juin interdit à TOUS les commerces de travailler de 23h00 à 05h00 dans deux rues de la ville. Aucune mention de l’origine ethnique ou de la confession des gérants des commerces visés, pas plus que de dérogation aux interdictions prononcées en raison d’une origine ou d’une confession particulière.

    Mais alors, qu’est-ce qui peut bien chagriner Monsieur ZEKRI à ce point ? Et qu’est-ce qui a bien pu amener le tribunal correctionnel de Nîmes à juger cette plainte recevable (J. SANCHEZ est cité à comparaître le 1er septembre) ?

    « Les mesures prises par ce maire (FN) visent à asphyxier l’activité économique de ces commerçants, en raison de leur appartenance à la religion musulmane », a déploré M. Zekri, dans un communiqué.
    Force est « de constater que ces arrêtés municipaux visent substantiellement les commerçants d’origine maghrébine, appartenant à la confession musulmane », affirme la citation, ajoutant que la « période visée par les arrêtés », à savoir jusqu’au 31 octobre, « couvre la période du ramadan, et plus généralement la période estivale, qui représente l’activité commerciale la plus importante pour les commerçants visés.

    Ainsi apprend-t-on :

    1 – qu’en 2015 certains quartiers, certaines rues de Beaucaire, petite ville provençale, sont « substantiellement » occupés par des commerçants musulmans d’origine maghrébine : y aurait-il au Tribunal de Nîmes, comme à la Préfecture de Montpellier, des « émules » de Robert Ménard ? Ou bien, comme Monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir, ces braves fonctionnaires de la République font-ils des statistiques ethniques sans le savoir ? Bref, on a là la confirmation sans doute involontaire mais on ne peut plus officielle que le remplacement de population n’est ni un fantasme ni une théorie, mais un fait.
    2 – que Monsieur ZEKRI pratique la discrimination (d’accord, on le savait déjà, mais il confirme), mais surtout la défense des intérêts de l’oumma, puisque ce qui l’inquiète, c’est la possible asphyxie des commerçants MUSULMANS, pas celle de commerçants arabes, maghrébins ou africains, non, uniquement celle des MUSULMANS.
    3 – qu’en 2015, un Tribunal de la République française, laïque, une et indivisible, peut se muer en tribunal islamique (« visent substantiellement… », cela signifie donc qu’il reste dans ces quartiers des commerçants qui ne sont ni maghrébins ni musulmans et dont le sort n’émeut nullement ce Tribunal ; « la période visée couvre la période du ramadan », sans aucun doute la « faute majeure » de SANCHEZ, son arrêté fait obstacle à l’exercice d’un des 5 piliers de l’islam!).

    Pour nous tous, Français patriotes, enracinés dans la Vieille Europe, la plainte du sieur Zekri en elle-même n’a aucune importance, ce qui doit nous alarmer c’est que cette plainte ait été jugée recevable par un Tribunal français.

    Béatrice Bontemps, responsable Résistance républicaine Ille et Vilaine

    http://resistancerepublicaine.eu/2015/beaucaire-comment-un-tribunal-francais-a-t-il-pu-recevoir-une-telle-plainte/

  • Le Département d’Etat américain empêche les chrétiens d’Orient de témoigner des persécutions musulmanes, dont ils sont les victimes

    Source : résistance républicaine
    Alors que les persécutions des chrétiens d’Orient par les musulmans atteignent un niveau de brutalité sans précédent, le Département d’État américain a dévoilé sa politique de double standard à l’encontre des minorités chrétiennes persécutées.

    Soeur Diana, une influente Responsable chrétienne irakienne, qui devait se rendre aux USA en mai dernier, afin de plaider la cause des chrétiens persécutés au Moyen-Orient, se vit refuser son visa par le Département d’État américain, malgré le fait qu’elle ait visité les USA précédemment, notamment en 2012.
    Elle devait faire partie d’une délégation de leaders religieux d’Irak, en compagnie, entre autres, de sunnites, de chiites, et de yézidis, invités à Washington D.C. pour parler de la situation de leur communauté respective.
    Chaque responsable religieux reçut un visa, à l’exception de la seule représentante chrétienne du groupe : Sœur Diana.
    Lorsque ce refus fut de notoriété publique, de nombreux Américains protestèrent et certains écrivirent à leurs. députés.
    Ainsi, l’ancien président de la Chambre, Newt Gingrich, se référant au refus d’octroyer un visa à Sœur Diana, déclara :

    Cette administration ne semble jamais trouver une bonne raison pour aider les chrétiens, mais trouve toujours une excuse pour disculper les terroristes… Comme ce refus injustifié attire l’attention, j’espère que le Secrétaire Kerry inversera la situation. Dans le cas contraire, le Congrès devra mener une enquête et virer la personne, responsable de cette décision.

    Le Département d’État accorda finalement le visa à Sœur Diana.

    Ce n’est pas la première fois que le Département d’État américain refuse d’octroyer un visa à un Leader chrétien, en provenance d’une région musulmane. L’année dernière, alors que l’Institut américain pour la Paix invita tous les gouverneurs des Etats du Nord du Nigéria, à majorité musulmane, à une conférence aux USA, le Département d’État bloqua le visa du seul gouverneur chrétien de la région : Jonah David Jang.
    Selon un avocat nigérian, défenseur des Droits de l’Homme, basé à Washington D.C., le problème de visa du gouverneur chrétien, était tout simplement dû à la politique discriminatoire antichrétienne du gouvernement américain.
    Les USA insistent sur le fait que les musulmans sont les premières victimes de Boko Haram ! Ils affirment également que ce sont les chrétiens, qui discriminent les musulmans de l’État du Plateau, l’un des rares États du Nord à majorité chrétienne.

    http://fr.novopress.info/

  • Profanation d'un cimetière catholique au nord de Vienne

    Communiqué de Christophe Boudot, Tête de liste FN Auvergne / Rhône-Alpes :

    "La profanation de 22 tombes au nord de Vienne vient s'ajouter aux 19 vandalisées dans l’Ain le 20 juillet, et aux nombreuses autres depuis le début de l'année, sans jamais émouvoir ni déplacer le ministre de l'Intérieur ou Jean Jack Queyranne, pourtant si prompt à accourir d'habitude.

    Je dénonce avec la plus grande fermeté ces odieuses atteintes au repos et à la mémoire de nos morts et exige la plus grande fermeté quant aux fauteurs de troubles !

    Les autorités ont les moyens de les retrouver en 48 h il suffit qu'ils en aient la volonté politique.

    Je m’associe respectueusement à la douleur des familles dont la mémoire des défunts a été profanée."

    Michel Janva

  • L’islam contre les femmes

    Les femmes européennes sous le joug musulman

    Pendant près de huit cents ans en Espagne, pendant plus de quatre siècles dans les Balkans, les Musulmans ont imposé leurs lois, leurs modes de vie exclusifs, ont dicté leur loi religieuse à l’ensemble des Chrétiens d’Orient et d’Occident.
    De Tolède à Byzance, chacun a pu mesurer les souffrances endurées par toutes celles et tous ceux qui, au contact des Musulmans, « vivaient comme on peut tenter de le faire au milieu de loups ou de lions ».
    Cible particulièrement fragile de cette cohabitation imposée, les femmes sont considérées en terre d’islam « comme un champ de labour, auquel l’homme va comme il le veut ».

    Pour peu qu’elles soient chrétiennes, elles sont encore moins respectables car « condamnées au feu éternel ».
    Ainsi sont traitées et jugées par l’islam les femmes chrétiennes, officiellement protégées en terre d’islam autrefois par leur statut de dhimmis
    A y regarder de plus près toutefois, on se rend compte que la « dhimmitude » citée en exemple par certains exégètes de l’islam, est un leurre.

    En réalité, les Grecs, Serbes et autres Espagnols qui durent subir la dhimmitude restèrent dans l’oppression. Avilis, méprisés, les sujets chrétiens étaient tout juste bons (comme d’ailleurs les Juifs dans une moindre mesure) à servir de faire-valoir fiscal et financier aux Arabes en Espagne, aux Turcs dans l’Empire ottoman.

    L’existence des infidèles, Juifs et Chrétiens, était une condition nécessaire de l’équilibre du budget.
    La mission prioritaire des gouverneurs musulmans à Cordoue ou des fonctionnaires turcs dans les Balkans, était de lever l’impôt foncier et la capitation dus par les populations vaincues demeurées fidèles à leur foi. Gare à celui qui ne s’acquittait pas de sa capitation : il pouvait être réduit en esclavage, voire puni de mort. Gare également au Chrétien dont la femme était trop désirable, il pouvait très facilement passer de vie à trépas !
    Les dhimmis n’avaient pas le droit de port d’armes, ne pouvaient pas monter à cheval, devaient s’effacer dans la rue quand ils voyaient un Musulman, et se lever quand ils étaient assis, au passage d’un croyant.

    Ils devaient également hospitalité à tout voyageur musulman qui le réclamait.
    Autant de contraintes que vécurent pendant des siècles Chrétiens d’Orient et d’Occident. La femme jouant le rôle essentiel de conserver au sein du foyer la foi catholique ou orthodoxe, ciment essentiel qui permit, en tout cas, aux Espagnols et aux Grecs (mais aussi aux Serbes et aux Bulgares) de résister à la gangrène islamique.

    La femme chrétienne humiliée

    Considérées par l’islam et le Coran comme « Les pires bêtes pour Dieu car elles sont parmi les sourds et les muets qui ne comprennent rien et s’entêtent à ne pas croire », les chrétiennes vont subir pendant des siècles les humiliations, les violences, les vexations des maîtres musulmans. Ce qui pouvait d’ailleurs leur arriver de moins pire au regard des égorgements, viols, meurtres rituels et autres crémations qui furent infligées aux plus récalcitrantes et aux plus rebelles. Souvenez-vous des massacre de Chio du génocide arménien et de la folie meurtrière qui s’empara, en 1922, des musulmans qui, à Smyrne notamment, rendirent la mer Egée rouge du sang des centaines de milliers de victimes chrétiennes, dont de nombreuses femmes, jeunes et moins jeunes, égorgées comme de vulgaires moutons après avoir été violées par leurs bourreaux.
    En 1866, lors du soulèvement crétois contre l’oppresseur turc, Omer Pacha, envoyé par la Sublime Porte pour réprimer la révolte, n’hésita pas, lors de la bataille de Frangokastello, après avoir exterminé une majorité d’hommes en état de se battre, à exécuter froidement femmes et enfants. Juste pour la forme, se réservant pour son bon plaisir une jeune fille, rejeton d’une grande famille.
    La même année, plus de 1000 personnes dont une majorité de femmes, retranchées avec des moines à l’intérieur du Monastère d’Arkadi, choisirent volontairement la mort en acceptant que les moines mettent le feu aux poudrières. Elles voulaient échapper à la cruauté des troupes turques !
    En 1823, lors d’une première révolte dans la région de Lassithi, plus de 2 000 femmes et enfants avaient été exterminés !
    C’est dire la cruauté des descendants des hommes de Mehmet II, qui, lors de la chute de Byzance en 1453, arrachaient les enfants aux mères, massacraient les nouveaux-nés, violaient sans honte les vierges dans les églises consacrées, dénudaient les femmes âgées et les outrageaient.
    Doit-on s’étonner d’un tel comportement quand on sait que les Ottomans pensaient qu’une « Esclave croyant en Allah vaut mieux qu’une femme qui croit en la Trinité » ?
    Humiliée, la femme chrétienne était aussi une proie rêvée et un objet convoité sur les marchés d’esclaves d’Alger ou de Constantinople. Les Algérois mettaient par exemple, à profit un voyage à Constantinople pour acquérir une esclave de Russie et la revendre ensuite au plus offrant.
    La conversion à l’islam était, bien sûr, obligatoire. On cite le cas d’Anna, jeune russe qui dut solennellement renier sa foi orthodoxe en piétinant sa croix, en crachant dessus trois fois et en la jetant dans la mer Noire. Une telle adhésion à l’islam ne signifiait cependant pas la fin des tourments pour les victimes. En effet, la dure loi de la conversion forcée, du voile imposé, de la vie partagée dans le harem avec d’autres femmes tournait souvent au drame.
    La « Renégate » était souvent mise en quarantaine, parce que plus belle que les favorites musulmanes qui voyaient d’un mauvais œil l’arrivée de belles Circassiennes, semblables à la chère Aziyadé de Pierre Loti.
    Et que dire de ces milliers de jeunes chrétiennes razziées en Occident ou dans les Balkans, entrées en islam à 10 ou 12 ans, aussitôt mariées de force à des musulmans turcs ou morisques et qui, à la faveur d’un rachat par des marins, retrouveront la mère patrie ? A leur retour en terre chrétienne, elles seront obligées de se présenter devant les tribunaux inquisitoriaux qui ne chercheront pas à exercer un contrôle strict sur le retour de ces femmes converties de force par des Musulmans.
    En Espagne, lors de la conquête musulmane, la terreur s’abat en Castille, en Galice, dans les Asturies et au Pays Basque. Les habitants de ces régions redoutent, en effet, la sa’ifa (campagne d’été de Musulmans) qui se solde inévitablement par des pillages, l’enlèvement du bétail et la mise en esclavage systématique des femmes et des enfants alors que les hommes sont tués pour la plupart d’entre eux.
    Toujours les Musulmans « semèrent la terreur à Narbonne vers 720. Après avoir fait main basse sur des statues en argent massif dans une église qu’ils prennent la peine de détruire, ils emmenèrent comme esclaves de nombreuses femmes, beaucoup d’enfants et quelques hommes », comme le note Charles-Emmanuel Dufourcq dans une magistrale « Vie quotidienne dans l’Occident médiéval », rappelant également que pendant leur conquête de Sicile, ces mêmes Maures, exaspérés par la résistance qui leur est opposée, pillent, tuent et égorgent tout ce qui se trouve sur leur passage, mettant un raffinement certain dans les tortures qu’ils infligent aux femmes.
    Sans doute avaient-ils présent à l’esprit que « Les incroyants qui ont la Bible et l’Evangile iront dans le feu de la géhenne et y seront pour toujours »…

    La femme chrétienne, otage malgré elle

    Pendant des siècles, les musulmans (barbaresques, morisques et autres turcs ottomans) ont pratiqué l’enlèvement systématique des enfants chrétiens, mâles ou femelles.
    Le « greffon », l’enfant chrétien, ainsi transplanté en terre d’islam, et ravi à l’affection de sa mère, devait devenir un bon musulman, élevé par des nourrices turques ou arabes dans des maisons privées ou dans les palais des Stambouliotes.
    Les musulmans faisaient un prélèvement régulier aux dépens des forces vives du monde chrétien (Espagne jusqu’en 1492, Serbie, Grèce, Russie, Bulgarie) en le délestant, chaque année, de plusieurs milliers de ses enfants, auxquels ils offraient la possibilité d’une intégration totale dans les sociétés cosmopolites du Maghreb ou de l’Empire ottoman.
    1. En Europe occidentale, les enfants étaient razziés sur terre ou capturés en mer. La mémoire populaire a d’ailleurs gardé la hantise de ces raids-éclair en Corse, en Sicile, aux Baléares, mais aussi sur nos côtes de Provence ou du Roussillon.
    Aussitôt embarqués de force sur les bateaux pirates, les petits garçons étaient circoncis afin de prévenir toute action des Consuls de leur pays respectifs, au cas où des familles porteraient plainte.
    Violences, coups, tout était fait pour que la jeune victime devienne rapidement un musulman soumis.
    Dans leur ouvrage consacré au « Chrétiens d’Allah », Bartolomé et Lucile Bennassar citent également les mères enlevées en même temps que leurs enfants : « Anastasia, une jeune Russe et sa mère, furent achetées par le même maître et partagèrent sept ans de captivité ». 2. En Europe orientale (en Serbie et en Grèce plus particulièrement), les jeunes garçons orthodoxes fournirent jusqu’au milieu du 17ème siècle le corps des janissaires, corps d’élite de l’armée turque.
    La Devchirmé (littéralement ramassage) régissait ainsi le recrutement de l’armée. « C’était un plan diabolique et le plus épouvantable tribut de chair humaine qui ait été levé par une religion victorieuse sur une religion vaincue » comme l’écrira un historien du 19ème siècle, Théophile Lavallée.
    Comment, en effet, ne pas qualifier de diabolique cette opération qui consistait à rassembler, dans un village chrétien, toute la population mâle et à prélever les plus sains d’entre eux, chassés et prélevés comme on prélève un gibier.
    Cruauté suprême, les garçons étaient souvent choisis en nombre plus important que prévu… les fonctionnaires turcs, chargés du ramassage, se faisant ainsi racheter les enfants par les parents.

    Les vieux serbes se rappellent encore que les enfants mâles nés les années impaires, étaient de futurs janissaires pendant que ceux qui avaient eu le bonheur de naître les années paires, n’étaient pas soustraits à l’affection de leurs mères.Ils pouvaient ainsi contribuer à payer l’impôt réclamé par Allah.
    Quant aux Grecs, ils subirent le même sort… jusqu’en 1807, mais les prélèvements en chair humaine seront moins répétitifs.
    Et pendant ce temps là, que faisait la mère de famille, l’épouse, la femme sinon se lamenter et jurer la perte de ces brutes qui pouvaient également enlever les jeunes filles ou même les épouses ?

    On cite le cas de cette veuve grecque convoitée par le gouverneur turc de Thessalie, enlevée par ses hommes et qui refusait d’épouser son tortionnaire.
    Retrouvée par ses deux fils à Constantinople, elle prit le voile dans un Monastère pendant que ces derniers étaient faits prisonniers…

    Conclusion

    Neuf siècles ont été nécessaires pour effacer la présence musulmane en Espagne et près de quatre siècles sont venus à bout du joug ottoman dans les Balkans, même si aujourd’hui, à cause de la politique imbécile de certains, l’islam refait surface sur ces vieilles terres orthodoxes de Serbie, de Thrace ou de Bulgarie.
    Tout au long de ces siècles de domination ottomane ou arabe, vécue comme un vrai calvaire par les populations soumises au bon vouloir des pachas, effendis, agha, caïmacan, dahi, et autres califes, des millions de Chrétiens (hommes, femmes et enfants) ont été assassinés, égorgés, violés, déportés, brûlés vifs, dépecés vivants.
    Tous cela au nom d’Allah et des principes coraniques.
    Aujourd’hui encore – les récents événements tragiques du Kosovo le prouvent, des massacres sont commis au nom de la « soumission » à Dieu, traduction littérale du mot islam.
    A un moment où faire repentance est devenu un passage obligé quand il s’agit du colonialisme, de l’esclavage ou de bien d’autres choses encore, ne serait-il pas temps que les Musulmans fassent aussi repentance en reconnaissant l’étendue de leurs crimes contre l’humanité ?

    Françoise Monestier, Paris, 07/02/2002
    Colloque régional « L’islam contre les femmes »

    http://www.polemia.com/lislam-contre-les-femmes/

  • «Dwekh Nawsha», la milice chrétienne qui envoie des Français contre l'Etat islamique

    Logo_of_the_Dwekh_Nawsha_Militia« Dwekh Nawsha » signifie « futurs martyrs » en araméen. C'est une organisation en pleine expansion, lancée mi-mai 2014 en Irak, qui a compté dans ses rangs des vétérans américains et britanniques. Son objectif: défendre les chrétiens. En France, le groupe est né au lendemain des attentats de janvier. 

    Le site internet assure : 

    « De plus en plus de Français se renseignent sur les moyens de se rendre en Syrie et surtout en Irak combattre les extrémistes, notamment les miliciens ultraradicaux du groupe Etat islamique ». 

    Les futurs soldats sont des volontaires non rémunérés. La campagne de recrutement a payé.

    « Un groupe d’une quinzaine d’éclaireurs seront en tête de pont.Ce sont principalement des anciens de l’armée, âgés de 25 à 45 ans. Nos contacts avec les Assyro-Chaldéens sont réguliers et se passent bien. Vous savez, pour l’instant, ils restent assez méfiants vis-à-vis des Français, qu’ils considèrent être plus proches des djihadistes… » 

    Le dossier de quelque 200 réservistes est actuellement à l’étude. 

    "Les profils sont sérieux : nous recherchons d’abord la motivation, la maturité, des personnes avec un casier judiciaire vierge et… si cette personne est un ex-militaire, c’est encore mieux ». 

    Cette milice manque d'instructeurs pour former ses combattants. Un ancien militaire français témoignait en avril :

    "Le membre de la milice avec lequel je suis en contact m'a demandé de lui retranscrire mes motivations, pour juger de mon état psychologique en quelques sortes. Puis on m'a demandé mes compétences pour intégrer la milice. J'ai été accepté grâce à mon expérience des armes, par mon passage dans l'armée française. La milice cherche du personnel expérimenté, mais pas seulement dans le maniement des armes. Des personnes travaillant dans le domaine médical ou encore le génie civil sont également recherchées. Certains membres n'ont donc aucune expérience des armes avant de se rendre en Irak."

    Michel Janva

  • Des centaines de femmes esclaves en Arabie

    Aminetou Mint el Moktar, présidente de l'Association de femmes chefs de famille de Mauritanie, l'AFCF, révèle la traite des femmes :

    "200 jeunes filles, récemment parties de Mauritanie, sont déjà sur place, en Arabie saoudite. Elles sont séquestrées dans des cours de maisons, victimes de toutes les formes de maltraitances physiques, psychologiques et sexuelles".

    La police judiciaire a ouvert une enquête après le dépôt d'une plainte d'une des mères des jeunes filles. 300 autres esclaves mauritaniennes seraient prêtes à partir, selon Aminetou Mint el Moktar.Avec la complicité des autorités de Mauritanie :

    "J'estime que le départ d'un tel nombre de personne, appartenant à la même communauté, ne peut passer inaperçu des autorités des deux pays".

    "L'Arabie saoudite est réputé pour l'esclavage. Accusés de crimes ou de péchés, des jeunes femmes des Philippines, d'Inde ou Pakistan sont parfois liquidées après avoir été séquestrées et violées et renvoyés chez elle dans un cercueil".

    Michel Janva

  • Venue du roi d’Arabie saoudite en France : la polémique enfle

    Tout permis. Arrivé samedi à Nice avec une suite de près de 1 000 personnes, le roi d’Arabie saoudite a fait interdire l’accès à une place privée. Ce qui a provoqué la colère des riverains.

     

    Le roi d’Arabie saoudite, ici en compagnie de François Hollande. Photo © AFP

    Le roi Salmane d’Arabie saoudite est arrivé ce samedi 25 juillet dans sa villa située à Vallauris, dans les Alpes-Maritimes. Accompagné de sa suite de plusieurs centaines de personnes, il fait l’objet d’un accueil très spécial.

    400 VTC mobilisés

    Pas moins de 400 VTC (voitures de transport avec chauffeur) ont été mobilisés pour le mois pour emmener la famille royale, les amis du roi et ses hôtes.

    Des policiers empêchent l’accès à la plage

    Des policiers gardent les accès à la résidence mais aussi les abords de la plage qui fait face à la villa du roi. En mer, une vedette de la gendarmerie maritime et une vedette rapide de la gendarmerie nationale bloquent une zone de 300 mètres aux abords du rivage pour éviter que les bateaux ne puissent entrer dans cette zone.

    La suite sur Valeurs Actuelles

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Venue-du-roi-d-Arabie-saoudite-en

  • L'argent saoudien pour exporter l'islamisme

    Lu ici :

    S"Selon quotidien américain The New York Times, qui trié et étudié des dizaines de milliers de documents diplomatiques saoudiens révélés par le site WikiLeaks, l'Arabie Saoudite investit "des milliards de pétrodollars dans des organisations islamiques à travers le monde, pratiquant une diplomatie du chéquier". [...]

    Riyad a notamment accordé des moyens financiers à des prédicateurs à l’étranger, construit des mosquées, des écoles, des centres et soutenu des campagnes pour contrer des responsables et des médias à l’étranger qui étaient susceptibles de s’opposer à l’agenda du Royaume".

    D'après Usama Hasan, chercheur en études islamiques à la fondation Quilliam à Londres, cité par new York Times, "il s’agit de milliers et de milliers d’organisations militantes et religieuses (...) directement ou indirectement financées par eux" à travers le monde.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html