Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

social - Page 197

  • Émeutes de banlieue à Chanteloup-les-Vignes : la France se consume – Journal du lundi 4 novembre 2019

     

    Émeutes de banlieue : la France se consume

    Alors que les médias se concentrent sur quelques villes, la situation dans les banlieues françaises est exsangue. Entre les guet-apens contre les forces de l’ordre et les incendies criminels, la France sombre de plus en plus dans un désordre où le ministère de l’Intérieur brille par son incompétence.

    Les Gilets jaunes vers la convergence des luttes

    Un an après le début du mouvement, les gilets jaunes entendent fêter dignement leur anniversaire. A l’occasion de leur assemblée des assemblées, ils ont appelé à rejoindre la grève du 5 décembre lancée par les syndicats de la SNCF et de la RATP. Une convergence des luttes qui devrait faire des étincelles.

    France/Chine : Macron ou la recherche d’une aura internationale

    A la peine en matière de relations internationales, Emmanuel Macron se déplace en Chine où il rencontrera pour la 6ème fois son homologue Xi Jinping. Le président français met en scène un déplacement qui n’a finalement rien d’exceptionnel.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/emeutes-de-banlieue-la-france-se-consume-journal-du-lundi-4-novembre-2019

  • Le nombre de blessures oculaires causées par les LBD en forte hausse depuis la crise des Gilets jaunes

    Le nombre de blessures oculaires causées par les LBD en forte hausse depuis la crise des Gilets jaunes

    C’est le résultat d’une étude menée auprès des CHU de France et publiée dans la revue médicale britannique The Lancet.

    Les auteurs de l’étude « blessures oculaires causées par des armes non-létales en France » ont fait parvenir une « enquête rétrospective » à tous les CHU de France, où sont traités les patients les plus gravement atteints, pour recenser les cas suspectés de blessures oculaires par LBD, sur la période allant de février 2016 à août 2019.

    Deux cas sont recensés en 2016, un en 2017, mais 25 en 2018 – année du début de la crise des Gilets jaunes – et 15 sur la période étudiée de 2019.

    Sur le total de 43 cas étudiés, 20 ont été traités à Paris par l’AP-HP. L’âge moyen des victimes est de 26 ans. Il y a 38 hommes et cinq femmes. Vingt-cinq patients présentent des blessures ouvertes au globe oculaire et 18 d’autres traumatismes, notamment à la rétine (10 cas). Il y a 25 cas de fractures orbitales, 12 de fractures de la face et deux de dommages au cerveau. Trente des 43 patients ont dû être opérés, à une ou plusieurs reprises. Parmi eux, neuf ont dû être énucléés.

    Parmi ces dernières, Florian Lignier, qui vient de témoigner dans un ouvrage paru aux éditions Via Romana : Tir à vue. Samedi 8 décembre 2018 sur les Champs-Élysées, lors de l’Acte  IV du mouvement des « Gilets jaunes , les forces de l’ordre, censées réprime les casseursr, tirent une volée de grenades lacrymogènes sur des manifestants pacifiques regroupés de l’autre côté de l’avenue. Touchée en plein visage, Fiorina est opérée le soir même : fractures du nez, du visage, traumatisme crânien et l’œil gauche perdu. Dans son témoignage elle raconte que le personnel médical, qu’elle a longtemps fréquenté au cours de l’année écoulée, avouait découvrir pour la première fois autant de blessés aux yeux suite à des manifestations.

    Fiorina témoigne que, si elle est venue d’Amiens pour manifester au côté de son fiancé, c’est tout autant pour défendre la dignité des travailleurs de la France « périphérique » que pour s’opposer au Pacte mondial sur les migrations des Nations unies qu’Emmanuel Macron s’apprêtait à signer à Marrakech. Face au silence des médias, à l’indifférence voire au mépris du gouvernement, à la lenteur de la justice, la jeune étudiante en philosophie, marquée par plusieurs opérations qui la marquent désormais pour la vie, a décidé de ne pas baisser les bras. Sans être pour autant animée par un esprit de vengeance :

    https://www.lesalonbeige.fr/le-nombre-de-blessures-oculaires-causees-par-les-lbd-en-forte-hausse-depuis-la-crise-des-gilets-jaunes/

  • Un an après la crise des « gilets jaunes », rien n’a été fait pour les plus pauvres, selon la Fondation Abbé-Pierre

    Le 14 avril, Christophe Robert avait demandé un profond sursaut politique avec un pacte du pouvoir de vivre après la crise des « gilets jaunes ». Rien n’a été fait depuis, selon le délégué général adjoint de la Fondation Abbé-Pierre. « Globalement, le taux de pauvreté a augmenté en France en 2018. Nous voulons pousser avec les citoyens à une société plus juste, plus solidaire, plus écologique également ».

    Les ferments de la colère qui avaient entraîné la crise des « gilets jaunes » l’an dernier sont-ils toujours là ? « Ça dépend de quelle catégorie de population on parle. Dans la redistribution qui a eu lieu, la classe moyenne inférieure s’est vue proposer des solutions, mais les plus pauvres sont encore descendus plus bas. Les APL ont beaucoup baissé, la réduction des impôts ne les concerne pas, la prime d’activité non plus », estime Christophe Robert dans les « 4 Vérités » lundi 4 novembre.

    France Info

    https://www.tvlibertes.com/actus/un-an-apres-la-crise-des-gilets-jaunes-rien-na-ete-fait-pour-les-plus-pauvres-selon-la-fondation-abbe-pierre

  • Patrick Sébastien : »le gouvernement a organisé des choses pour décrédibiliser le mouvement des Gilets Jaunes. »

    Sur le plateau de C à Vous ce vendredi 1er novembre, Patrick Sébastien a fait quelques confidences sur sa relation avec les gilets jaunes. Il a notamment expliqué comment le gouvernement a organisé des choses pour décrédibiliser le mouvement.

    Lire la suite sur Les moutons rebelles

  • HOPITAL PUBLIC : LES VRAIES RAISONS DE LA CRISE (Dr Jean Philippe de la Ribausière)

    L’hôpital public traverse aujourd’hui une crise sans précédent, que certains qualifient même d’existentielle, c’est dire ! D’abord révélée par les services d’urgence saturés (chaque année, 21 millions de personnes se présentent aux urgences, dont 4 millions sans en avoir besoin), elle s’est étendue à la majeure partie des services, au point qu’un Collectif Inter-Hôpitaux s’est récemment créé parmi les professionnels de santé hospitaliers et les patients (appelés dans la novlangue « usagers de santé ») afin d’organiser une rébellion contre les politiques d’austérité mises en œuvre depuis déjà de nombreuses années.

    UNE CRISE EXISTENTIELLE…

    D’après ce Collectif, l’état des lieux est le suivant : les économies demandées aux hôpitaux publics, année après année, ont entraîné des difficultés majeures d’accès aux soins, une dégradation de la qualité et de la sécurité des soins, un épuisement des personnels hospitaliers.

    Ils estiment que les pertes de chances pour les patients, par manque de moyens, sont devenues réelles. Effet pervers de cette dégradation chronique, les soignants et les médecins quittent l’hôpital, entraînant des vacances de poste et une majoration des sous-effectifs en personnel dans les services, l’hôpital public devenant de moins en moins attractif.

    L’INSUFFISANCE DES CREDITS N’EST QU’UN ASPECT DU PROBLEME

    C’est pourquoi ce Collectif associé au Collectif Inter-Urgences demande un plan d’urgence pour l’hôpital public avec un financement à hauteur des besoins de santé.
    Ce mouvement de protestation tombe à pic dans le calendrier, avec le vote prochain de la loi de financement de la sécurité sociale qui ne prévoit qu’une augmentation de 2,1 % de l’ONDAM (Objectif National des Dépenses d’Assurance Maladie) hospitalier, alors qu’il faudrait une augmentation d’au moins 5% pour compenser l’argent non affecté des années précédentes.
    Si la loi est votée en l’état, les restrictions budgétaires pour les hôpitaux se poursuivront, avec l’aggravation du phénomène décrit précédemment.

    L’opposition entre directeurs d’hôpitaux et personnels risque de se renforcer, dans la mesure où les directeurs cherchent avant tout à réduire les déficits et n’évaluent les services qu’à partir de lignes budgétaires, ce qui n’empêche pas certains, comme Martin Hirsch, de se gargariser dès lors qu’il peut mettre en avant (avec toute sa coûteuse « com ») la qualité et l’innovation dans les soins dans les hôpitaux de l’AP-HP.

    Les directeurs d’hôpitaux, soumis aux diktats des Agences Régionales de Santé (ARS), organisent d’énormes groupements hospitaliers, qui facilitent la fermeture progressive des lits et donc la réduction du personnel, motivant leur décision en ne jurant à l’avenir que sur la prise en charge ambulatoire, alors que cette dernière ne peut en fait s’étendre à tous les types de pathologies ni à tous les patients.

    La question des moyens alloués aux hôpitaux publics est certes d’importance majeure, mais ne demeure dans le fond qu’une partie du problème. En effet, si l’Etat se décidait enfin à accorder un budget décent aux hôpitaux, les personnels se plaindraient encore et toujours de conditions de travail dégradées et de souffrances au travail, avec à la clé un manque d’attractivité persistant et préoccupant.

    Car l’hôpital public souffre de maux qui sont très rarement mis en avant…

    DES PROFESSIONNELS DE SANTE PARASITES

    Il y a tout d’abord les nombreux professionnels de santé qui travaillent à l’hôpital public comme des parasites. On peut citer par exemple les médecins dont l’activité est essentiellement libérale et qui profitent de toutes les ressources offertes par leur service. C’est pour eux tout bénef ! Certains ont même le toupet de marchander leurs honoraires avec leurs patients comme dans un souk, d’une façon totalement éhontée. D’autres aggravent leur cas lorsqu’ils sont universitaires, passant leur temps dans des congrès où ils aiment faire les beaux, alors que la majorité des publications scientifiques présentées lors de conférences scientifiques ne valent pas grand-chose…

    On ne les voit pas souvent dans leurs services (pourtant, pour l’administration hospitalière, ils sont bien là, sur le papier !). Les hôpitaux publics étant très souvent des centres hospitaliers universitaires, les doyens des facultés des sciences de la santé, irresponsables, favorisent toujours plus le recrutement de jeunes médecins universitaires ayant un pur profil de chercheur, à l’activité hospitalière fantomatique, alors qu’ils sont pourtant payés pour !

    DES SOIGNANTS PLANQUES

    Il y a aussi tout un tas de soignants planqués. Dans une équipe d’infirmières et d’aides soignantes, il n’est pas rare de voir des professionnels faisant en plus de leur boulot une bonne partie du travail du collègue, la palme de la fainéantise revenant sans doute aux Antillais (qui n’ont un rythme de travail efficace que lorsqu’ils travaillent au black…), très (trop !) nombreux dans nos hôpitaux publics.

    Certains sont assez adroits pour faire bonne figure jusqu’à leur titularisation, et après, ne font plus aucun effort. Et sauf faute grave, ils peuvent ainsi glandouiller dans leur service jusqu’à la retraite.
    L’idéal serait de pouvoir virer tous ces vilains petits canards.

    L’ISLAMO-AFRICANISATION

    L’autre mal qui mine nos hôpitaux publics, c’est le phénomène d’islamo-africanisation. Au fil des années, il est devenu de plus en plus frappant, y compris dans les hôpitaux parisiens des beaux quartiers. Si, individuellement, cela peut ne pas poser de problème, à plus grande échelle, c’en est toujours un, d’autant plus prégnant dans le contexte actuel où la France est soumise à des attentats de façon récurrente.

    Au point de donner presque raison à Brenton Tarrant, qui écrivait en substance dans son manifeste que les allogènes non-armés sont plus dangereux que ceux qui ne le sont pas. Les professionnels de santé de confession musulmane ne sont-ils pas en effet montrés en exemple aux Français quand il est question de « ne pas faire l’amalgame » ?  

    urgences-islam-300x150.jpgPourtant, l’islam est un vecteur constant de violences de toutes sortes, y compris psychologiques, du fait qu’il s’agit d’un système politique et juridique d’essence totalitaire. Ces violences qui n’épargnent personne sont responsables d’une maltraitance chronique des personnels hospitaliers qui finissent par craquer.

    Patients ou familles de patients mahométans véhiculent à longueur de temps, en particulier aux urgences, des revendications communautaristes de plus en plus agressives.

    Côté personnel, on ose certifier des hôpitaux alors que de très nombreux médecins pratiquent le ramadan, mettant en danger la sécurité des patients pendant un mois chaque année. Sans compter que rien n’empêche que l’un d’eux ne se radicalise (tout musulman étant un djihadiste en puissance) et fasse un carnage dans un hôpital, un fusil d’assaut à la place du stéthoscope.

    Ce phénomène d’islamo-africanisation des hôpitaux est un facteur majeur de leur perte d’attractivité, sachant qu’il est directement responsable d’un processus de « shitholisation » * au quotidien que tout Français de cœur et d’esprit, même formaté façon bobo gauchiste, finit par fuir comme la peste.

    750 M€ DANS LES 2 ANS ? MOINS QUE LE COUT DE L’AME (1 Milliard €) !

    Confrontés à cette situation inadmissible (dont certains sont conscients, d’autres encore dans le déni), les directeurs d’hôpitaux, les ARS, le ministère de la santé ne font rien, strictement rien.

    Ils accordent tout au plus une aumône, comme l’a fait récemment Agnès Buzyn avec son annonce de débloquer 750 millions d’euros d’ici 2022 pour tenter de résoudre cette crise. C’est en fait se moquer du monde, quand on connaît le montant de l’AME destinée à assurer des soins aux clandestins pseudo-réfugiés toujours plus nombreux ainsi que le coût de l’immigration pour l’Etat, que certains économistes évaluent à plus de 100 milliards d’euros par an.

    Une bonne partie de ces milliards pourrait être investie prioritairement dans la santé si la France disposait d’un Etat sain gouvernant selon une politique fondée sur la raison et non sur cette superstition mortifère de la dignité et de l’égalité entre tous les hommes. Il faudrait les consacrer en priorité à la santé de tous les Français respectueux des lois de la République et sachant garder leurs croyances religieuses dans la sphère privée lorsqu’ils consultent à l’hôpital public.

    A défaut d’une prise de conscience de nos gouvernants que ce n’est absolument pas le rôle des hôpitaux français de soigner la moitié de l’Afrique (véritable tombeau de l’humanité au XXIe siècle), les professionnels de santé pourraient déjà réduire de façon simple et rapide leur charge de travail, en particulier aux urgences.
    Il suffirait en effet de faire appliquer dans les hôpitaux publics des règles drastiques de laïcité, afin que toute manifestation ostentatoire d’une religion soit formellement interdite (en particulier vestimentaire, à commencer par le voile).

    Emmanuel Macron s’est d’ailleurs lui-même récemment prononcé à ce sujet en soulignant le devoir de neutralité dans les services publics. Les patients de confession musulmane ne seraient pris en charge dans les hôpitaux publics que s’ils font passer les lois de la République au-dessus de la charia. Ceux pour qui la charia passe avant tout pourraient toujours se soigner avec de la pisse de chameau, dont les sciences islamiques ont démontré l’efficacité. Si, si !

    L’état désastreux actuel de l’hôpital public n’est que le reflet tragique de notre société en proie à une œuvre politique de destruction amorcée dès les années 70-80.
    Il faudrait une révolution pour enrayer le processus, à commencer par une révolution spirituelle.

    Mais je crains que les choses ne se clarifient qu’une fois nos hôpitaux civils transformés par la force des choses en hôpitaux militaires…

    * de l’anglais : « shit hole » ; en français : fosse à purin ; « purinisation », pourrissement…

    Dr Jean Philippe de la Ribausière
    30 octobre 2019

    https://www.minurne.org/billets/21894

  • Politique-Eco n°234 avec Roland Hureaux : Les maux de la France sont-ils l’effet d’une volonté ?

    Roland Hureaux l’affirme sans ambages : « Dix ans encore et nous serons redevenu un pays sous-développé ! ». Dans son ouvrage publié chez L’Harmattan : « Les Gilets Jaunes ont raison… et bien plus qu’ils ne croient », l’ancien élève de l’ENA attaque les effets du mondialisme. Cette idéologie, sorte de « carcan mental », consiste à singer des modèles étrangers inadaptés et à s’autodénigrer jusqu’à ce que mort s’en suive. Roland Hureaux, qui préconise un tournant politique complet, car, oui, la France PEUT être mieux gouvernée, est l’invité de « Politique-Eco ».

    https://www.tvlibertes.com/politique-eco-n234-avec-roland-hureaux-les-maux-de-la-france-sont-ils-leffet-dune-volonte

  • Lubrizol : les huées après la fumée – Journal du jeudi 31 octobre 2019

     

    Lubrizol : les huées après la fumée

    Un mois après l’incendie de l’usine Lubrizol, Emmanuel Macron s’est rendu, mercredi, à Rouen à l’occasion d’une visite surprise. Un déplacement compliqué pour le chef de l’Etat qui a dû faire face aux huées et aux sifflets des riverains.

    Énième plan banlieue dans le 9-3

    Le gouvernement présente un nouveau plan pour le département de la Seine Saint-Denis. Un numéro de communication en forme de gage social avant les élections locales… qui ne devrait pas faire de miracle

    Des cocards pour la Cocarde

    Le 17 octobre dernier, l’université de Nanterre a été le théâtre d’affrontements entre des militants d’extrême-gauche et des membres du syndicat de droite, la Cocarde etudiante. Une violente altercation entre étudiants qui est loin d’être une première dans cette Université marqué par le syndicalisme de gauche.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/lubrizol-les-huees-apres-la-fumee-journal-du-jeudi-31-octobre-2019

  • Logement social à Paris : les chiffres

    L’équipe de Paris Vox a pu consulter un rapport mené conjointement par l’Insee Île-de-France et l’Observatoire des loyers de l’agglomération parisienne. Le document traite principalement du parc locatif parisien mais aborde le logement social. Voici les points clés de ce rapport :

    LOGEMENTS SOCIAUX : LES CHIFFRES CLÉS

    Près d’un logement sur cinq à Paris est un logement social pour les résidences principales. (18,8 % des résidences principales à Paris sont des logements sociaux.)

    Trois arrondissements ont un taux élevé de logements sociaux, le 13ème (quartiers Gare et Maison-Blanche), le 19ème (Villette, Pont-de-Flandre, Amérique) et le 20ème arrondissement (particulièrement Saint Fargeau et Charonne). Dans ces arrondissements parisiens ces habitations représentent plus du tiers des résidences principales.

    Les logements sociaux sont plus récents et plus grand que ceux de l’habitat privé. La plupart ont été construits après 1945.

    QUELLE TYPOLOGIE POUR L’OCCUPANT ?

    Les ménages de grande taille, composés de couples avec enfant(s) ou de familles monoparentales, sont davantage représentés dans ce parc, la part des personnes vivant seules s’élevant à 40 %.

    La moitié d’entre eux n’ont pas le niveau bac, et ils sont plus souvent chômeurs, retraités ou préretraités ou autres inactifs.

    Le parc social accueille une forte proportion de personnes immigrées (32,2 %). L’INSEE qui estime les immigrés représentent 9,7  % de la population totale sont donc surreprésentés statistiquement dans l’accès aux logements sociaux.

    DES PRIX AVANTAGEUX

    Dans le privé, le loyer moyen dans la capitale oscille entre 18 et 30 € le m² en fonction des quartiers. Dans le cas des logements HLM il varie entre 8 et 16 € le m² suivant leur catégorie.

    C’est ainsi que la grande majorité des logements sociaux à Paris sont loués entre 500 et 1 000 € (avant déduction d’éventuelles allocations logement). À caractéristiques égales, il faudrait compter entre 1 000 et 1 500 € dans le parc privé.

    Source / Paris Vox

    https://www.tvlibertes.com/actus/logement-social-a-paris-les-chiffres